Les super riches sont une minorité dans le bataillon des candidats à l’exil…
En France le bon sens de l’opinion publique, à rebours de l'hypocrisie de politiciens et journaleux qui se goinfrent, a parfaitement compris qu’il convient avant toute autre chose de remporter la mère de toutes les batailles : le combat pour une baisse draconienne des dépenses publiques, préalable indispensable à toute baisse conséquente des impôts.
Sans cela, les Français compétents continueront à quitter le navire. D’autant plus que nos voisins opportunistes leur déroulent le tapis rouge. Ainsi Boris Johnson, le maire de Londres (celui-là même qui qualifia la politique fiscale de François Hollande de pire « tyrannie depuis 1789 ») s’est dit prêt à accueillir « tous les Français talentueux ». Et ils sont chaque année de plus en plus nombreux ces Français qui répondent à l’appel de Londres mais aussi à l'offre de bien d'autres capitales.
Le numéro de décembre 2013 - janvier 2014 des Enquêtes du contribuable, qui s’appuie notamment sur la récente étude de Jean-Paul Gourévitch consacrée à l’expatriation des Français, le démontre : à rebours des chiffres que nous assènent la propagande officielle, les super riches sont une minorité dans le bataillon des candidats à l’exil.
À une écrasante majorité, ce sont des entrepreneurs, des cadres, des jeunes diplômés, des retraités, « des gens comme vous et moi » qui entonnent le chant du départ pour un aller bien souvent sans retour.
Les Enquêtes du Contribuable - Expatriation : ces Français qui fuient le socialisme
Ces Français qui s’ expatrient pour fuir le socialisme
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