Carnets de Voyages en Syrie avec la Communauté syrienne de France

Pages spéciales…

jeudi 10 janvier 2013

"L'ami du FLN" squattant l'Élysée ajoute à l'ignominie de son discours d'Alger : notre dévoué président de l'ADIMAD, Jean-François Collin déchu de la Légion d'honneur !


Un gag dont la bassesse ajoute à l'imbécillité du pouvoir gaullo-socialiste en place :
que cela soit notre meilleur cadeau en ce nouvel an… afin que tout soit bien clair !
Et notre combat sans merci…

« Je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée !
Jamais je n'aurai la marque du collier ! »

Jean-François Collin a été déchu de sa décoration de chevalier de la Légion d'honneur, obtenue en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en Algérie, par un décret paru vendredi sur la version papier du Journal officiel.

Selon l'article R96 du code de la Légion d'honneur cité dans le décret, les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou partielle, exclusion) "peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l'honneur".

Cette mesure d'exclusion pour "acte contraire à l'honneur" est extrêmement rare, les exclusions étant généralement prononcées contre des légionnaires condamnés à des peines de prison. Jean-François Collin, 73 ans, avait été nommé chevalier de la Légion d'honneur avec traitement, dans la promotion du 5 mai 2011 réservée aux militaires et anciens militaires au titre de mutilé de la guerre d'Algérie, durant laquelle il avait servi comme sous-lieutenant. Jean-François Collin se dévoue de toute son énergie à la présidence de l'Association de défense des intérêts moraux des anciens détenus (Adimad) ayant combattu avec l'OAS.

Interrogé par l'AFP, Jean-François Collin ne s'est pas étonné outre mesure de son exclusion, rappelant le discours qu'il avait prononcé devant la stèle de l'Adimad à Marignane (Bouches-du-Rhône) le 1er novembre 2011, après avoir reçu sa décoration du capitaine Jean Biraud, chef de commandos OAS en Oranie, condamné à mort par contumace par un tribunal d’exception gaulliste.

Il avait dédié sa croix de chevalier "à tous les combattants de l'OAS qui sont morts les armes à la main ou ont été fusillés par le plus grand traître de l'Histoire de France (le général de Gaulle). Ce sont eux, aujourd'hui, qui devraient être honorés à ma place!" "Et pour que les choses soient limpides, je vous promets que je ne porterai jamais cette croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée… Jamais je n'aurai la marque du collier !" s'est-il engagé, fidèle à l'Honneur.

Gravement blessé au combat en Algérie en 1960, Jean-François Collin avait ensuite rejoint l’OAS « Métro » à Paris. Arrêté en février 1962, il avait été condamné à douze années de réclusion criminelle, dont il avait purgé cinq ans avant d’être amnistié, de même que l’ensemble des membres de l’OAS, en juillet 1968 par DeGaulle.

En 1982, le président François Mitterrand avait fait voter une loi permettant aux anciens condamnés de l’OAS de toucher leur retraite.





Jean François Collin, reçoit la Légion d'honneur : "J'ai cru qu'on se fichait de moi"


Le Gaulois : Ancien OAS, les socialistes lui retirent sa Légion d'honneur !
Les bassesses se succèdent. Les socialistes décorent un imam de la Légion d’honneur mais la retirent à Jean-François Collin, un Ancien Combattant mutilé pendant la guerre d’Algérie. Prétexte invoqué par la mafia socialiste : il a appartenu à l’OAS.
Nous avons vraiment à faire à un État pourri jusqu’à la moelle qui patauge en pleine trahison !
Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre ! Et ils le savent. C'est pourquoi "les chacals craignent pour leur peau..."



Car l'heure des comptes viendra bientôt, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Les tambours battent le rappel, heia oho
Et pour l'Europe c'est le réveil, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Les régimistes, nous les chasserons, heia oho
Et les marxistes nous les pendrons, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Des camarades sont tombés, heia oho
Et nous vaincrons pour les venger, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Dans la nuit partent nos commandos, heia oho
Déjà parer l'Ordre Nouveau, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.


*      *

*

En début d'année Jean-François Collin et l'équipe de l'ADIMAD nous présentaient ainsi leurs vœux :



Chers Camarades, chers Amis,

2013 ne nous rendra pas notre Province trahie et abandonnée à des terroristes vaincus !
2013 continuera de constater que les vainqueurs des vainqueurs, les gaullistes, demeureront, avec leurs alliés, prisonniers à jamais des vaincus !
2013 ne nous rendra pas nos Camarades fusillés par des Tribunaux d’exception, créés par le plus grand traître de l’Histoire de France !
2013 ne nous rendra pas nos Camarades tombés les armes à la main face aux sicaires gaullistes !
2013 ne nous rendra pas nos morts d’El Halia, des Barricades, de la rue d’Isly, d’Oran… !
2013 ne ranimera pas les 26.000 militaires de toutes confessions, tombés pour rien !
2013 ne ressuscitera pas les 150.000 Harkis, Soldats de France, désarmés et livrés, par De Gaulle, à des tueurs sanguinaires reconnus par lui seul comme seuls interlocuteurs !
2013 continuera de voir honorés les porteurs de valises et les « gars pourris » que vous savez ! Nous leur crachons à la gueule notre mépris !
Nos deux derniers présidents pourront continuer à nous insulter, à vilipender l’œuvre de la France dans la province barbaresque turque !
La république continuera d’honorer, par sa représentation officielle, la « Fête de la Victoire » algérienne, les 19 mars !

Mais l’ADIMAD continuera d’honorer la mémoire du juste combat de l’Algérie française, avec votre soutien : « Un Peuple sans racines, sans passé, est appelé à disparaître ».
Ni oubli ni pardon !

Amitiés nationalistes

Semper fidelis


*      *

*




Jean-Marie AVELIN, président de Veritas, "Comité pour le rétablissement de la vérité historique sur l’Algérie Française" : Lettre avec A.R. à François Hollande concernant son discours du 20 décembre 2012 à Alger

Objet : Votre discours du 20 décembre 2012 à Alger
Lettre ouverte
Monsieur le Président de la République,
Vous avez déclaré, lors de votre discours visé en marge : « Pendant 132 ans, l’Algérie a été soumise à un système profondément injuste et brutal. Ce système a un nom, c’est la colonisation, et je reconnais ici les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien. »
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, car la ville où vous vous trouviez, à ce moment précis, cette ville dont vous admiriez sûrement la somptuosité est l’œuvre des colons français qui l’ont construite de bout en bout et aimée comme ne l’aimeront jamais les Algériens qui l’habitent aujourd’hui, lesquels ont pu devenir des « Algériens » uniquement parce que la colonisation française a pris soin d’eux et leur a construit un beau et prestigieux pays là où il n’y avait que ruines, misère et désolation !
Donc, devant vos yeux se trouvait la preuve que l’œuvre des colons français n’était ni injuste, ni brutale, mais profondément humaniste, et dans cette ville d’Alger, les murs ont dû vous crier la vérité sur l’amour qui l’a bâtie ! Les constructions, et réalisations françaises dans ce pays sont grandioses au point qu’aucun pays arabe ne pouvait prétendre, au moment de l’indépendance, rivaliser, en n’importe quel domaine, avec l’Algérie…
Examinons, l’un après l’autre, les qualificatifs manichéens dont vous avez affublé l’œuvre de nos ancêtres : « injuste » avez-vous déclaré. Vous ignorez peut-être que c’est le concert des nations européennes qui, à Londres en 1816, puis à Aix-la-Chapelle en 1818, incitèrent la France à détruire ce repaire de pirates et d’esclavagistes qui, depuis leur fief d’Alger, régence turque, infestaient la Méditerranée… Vous ignorez aussi les multiples tentatives européennes pour mettre un terme à ce honteux état de fait qui subsistait depuis des siècles ?…
Qui dois-je vous citer pour vous en convaincre ? L’Histoire des Berbères d’Ibn Khaldun (1390) ou bien Voltaire qui s’indignait de voir notre pays s’humilier humblement (déjà !) pour supplier les Barbaresques d’accepter des fortunes en échange de quelques uns des milliers de Français qui subissaient, dans les bagnes, l’esclavagisme, un système profondément injuste et brutal (et c’est un euphémisme !).
La délivrance de 35 000 esclaves européens – dans quel état ! – dont plus de 3 000 Français – n’était-elle pas une raison suffisante pour justifier l’intervention française et le débarquement de nos troupes à Sidi-Ferruch ?
Qu’ont découvert les Français sur cette terre de désolation ? Des êtres humains plongés dans une stagnation et une misère indescriptibles ! Les Français eurent beaucoup de mal à les faire sortir, lentement et progressivement, de cette lamentable situation et, bien évidemment, nos vaillants soldats durent, aussi, faire face à de multiples interventions pacificatrices lors de soulèvements tribaux…
Par piété familiale, j’accorderai une attention particulière au Maréchal Bugeaud dont mon aïeul était officier d’ordonnance, car grâce à la perspicacité et à la ténacité de celui-ci, des milliers d’hommes ont alors cessé d’être à la merci de razzias, de pillages, d’exactions de toutes natures… Les soldats-laboureurs de Bugeaud ont fait disparaître le spectre de la famine pour une population, de plus en plus nombreuse, qui voyait avec bonheur ce pays, jadis indigent et désertique, se couvrir de cultures vivrières…

Je pense que vous ne pouvez pas ignorer tout cela, et j’en viens à votre second qualificatif : « brutal » qui m’affecte profondément car rien n’est plus attristant que celui qui éprouve, envers sa propre famille, des sentiments de mépris, d’hostilité, voire de haine, et lorsqu’une telle attitude est celle d’un chef d’État, elle est aussi abjecte qu’inadmissible ! Ainsi, vos ancêtres et les miens n’auraient fait preuve que de brutalité, et ce, de père en fils, durant 132 ans ???
C’est pourtant bien ce que vous avez exprimé par votre discours du 20 décembre à Alger car, en quelque sorte, vous affirmiez, publiquement, le plus odieux des mensonges : « Nous, les Français, nous sommes des envahisseurs, brutaux et injustes, et nous avons perpétré, sur des innocents opprimés, des massacres… »… Et vous avez fait cette déclaration inique devant des terroristes ayant massacré, depuis le début de la guerre d’Algérie, « des civils désarmés et innocents, et, de ce fait, s’étant placés, eux-mêmes en dehors de l’Humanité » !!! (Je cite là votre discours sur le terrorisme !).
Dois-je vous remémorer, Monsieur le Président de la République, ce qui s’est passé à l’indépendance, cette curée envers tout ce qui était français ou pro-français – et je n’évoque pas seulement les « Européens », mais tous les Musulmans, qu’ils aient été élus de la nation française, ou soldats engagés pour défendre la France ? De l’aveu même de votre homologue algérien, des douars, des mechtas, vieillards, femmes et enfants compris, ont été entièrement et effroyablement massacrés, parce qu’un seul Harki s’y était réfugié !!! Certains historiens chiffrent ces malheureuses victimes à 150 000, mais jamais nous ne saurons la vérité sur cette sanglante, et ô combien brutale, épuration !!!
Est-ce cela que vous appelez « lucidité » ? Évidemment, il y a eu Sétif, Guelma, et Kherrata, nul ne le nie… Mais vous vous êtes bien gardé de préciser qu’en ces lieux, il s’agissait d’une répression, certes aveugle et disproportionnée, mais justifiée par le fait que la France avait été attaquée au travers de centaines de ses citoyens innocents, atrocement massacrés… Et vous avez poursuivi en disant que la France avait manqué, le 8 mai 1945, à ses valeurs universelles… La France ? … Comment pouvez-vous être aussi ambigu ? Votre discours du 20 décembre, c’est bien vous qui l’avez prononcé, et non la France qui, depuis des mois, vous crie : NON À LA REPENTANCE ! La répression des massacres de Sétif et Guelma, ce n’est pas la France qui l’a ordonnée, mais bien celui qui a toujours fait couler le sang, français de préférence, et là il fallait nommer clairement l’ordonnateur de cette répression, le Président du Conseil de l’époque : CHARLES DE GAULLE, aussi responsable de la répression aveugle de Sétif que de l’Épuration en France !
Peut-on humilier davantage le pays dont on est le représentant ? Oui, et c’est une performance que vous aviez déjà accomplie, avant de prononcer ce discours calamiteux, en rendant hommage à Maurice Audin, coupable de haute trahison envers la France, traître à son pays en temps de guerre ! A-t-on jamais vu le chef d’un État rendre hommage à un compatriote ayant collaboré avec l’ennemi, contre son propre pays en guerre ? Combien de soldats français ont trouvé la mort dans ce conflit par la faute de M. Audin et ses semblables ? Même les pires dictateurs n’ont jamais agi de cette manière… Ah ! Oui… Les valeurs universelles de la France ont été bien malmenées, en Algérie, les 19 et 20 décembre 2012, et, malheureusement, par celui qui est censé la représenter, défendre sa dignité et son honneur, mais qui n’a cessé de l’abaisser, de la flétrir et de la souiller…
Vous avez cité des écrivains algériens dont nous ne désavouons pas le talent, mais vous avez, sciemment, oublié le plus célèbre, le plus doué d’entre eux, celui qui rafle tous les prix littéraires à l’heure actuelle, celui dont les qualités de narrateur n’ont qu’un seul défaut : exprimer la vérité ! Alors, juste pour vous rafraîchir la mémoire, j’invoquerai Boualem SANSAL, avec lequel je fraternise depuis longtemps, celui qui affirme à notre déléguée générale Anne CAZAL dont il est très proche : « Tu es plus Algérienne que tous ceux qui vivent dans ce pays ! »… Celui qui a osé écrire, et ce sera ma conclusion : « Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants ! ».
En vous remerciant de bien vouloir prendre en considération les termes pesés du présent courrier,
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression du respect que je dois à votre haute fonction.
Jean-Marie AVELIN

Et alors, où est l'authentique et flagrant manquement à l'Honneur ? Et ce Flanby-là aura-t-il la décente honnêteté de signer, en application de l'article R96 du code de la Légion d'Honneur, un décret signifiant sa propre déchéance de la Légion d'Honneur ? Ou faudra-t-il qu'un très prochain successeur prenne cette décision pour lui, après un jugement (équitable) auquel certes  il ne manquera pas d'échapper…



*      *

*


Sur proposition du Conseil de l'Ordre, le Président de la République vient de signer l'exclusion de Jean-François Collin de l'Ordre de la Légion d' Honneur.

Rappelons que notre ami, Jean-François Collin, ancien officier du Groupement de Commandos Parachutistes (GCP), grièvement blessé en Algérie, décoré de la Valeur militaire, a été nommé Chevalier de la Légion d’Honneur à titre militaire en 2011. Il n'a subi aucune condamnation de justice, il n'a commis aucun acte susceptible de justifier une exclusion, selon les intentions des statuts de l'Ordre. Il est sanctionné, sur pure et simple dénonciation d'un certain Gavoury, uniquement pour avoir conservé sa liberté de pensée et exprimé son opinion sur DeGaulle, responsable de l'abandon de l'Algérie, lors de la cérémonie de sa réception dans l'ordre le 1er novembre 2011.

Le site officiel de l'Ordre de la Légion d'honneur publie la liste des membres de son Conseil de l'Ordre qui a instruit "ce procès d'opinion" et soumis au Président de la République cette sanction d'exclusion, dérisoire par sa bassesse mais scandaleuse quant à ses motivations…

Le grand chancelier de la Légion d’honneur, aujourd’hui le général d’armée Jean-Louis Georgelin, préside le Conseil de l’Ordre, ainsi composé :

M. Hubert BLANC, préfet de région honoraire
M. Gérard PÉLISSON, ancien président du conseil de surveillance d'un groupe hôtelier
M. Elrick IRASTORZA, général d'armée
Mme Hélène GISSEROT, procureur général honoraire près la Cour des comptes
M. Bertrand DUFOURCQ, ambassadeur de France
M. François DAVID, président d'honneur d'une compagnie d'assurance
Mme Michèle GENDREAU-MASSALOUX, ancien recteur de l'Agence universitaire de la francophonie
M. Xavier EMMANUELLI, ancien ministre, président du SAMU social international
M. Pierre DEVAUX, vice-amiral d'escadre
M. Hugues GALL, ancien conseiller d'État, membre de l'Institut
M. Jean-Marie COULON, premier président honoraire de la Cour d'appel de Paris
M. Bruno GENEVOIS, ancien président de la section du contentieux au conseil d'État
M. Jean-Pierre MARTIN, général d'armée aérienne
Mme Dominique MEYER, médecin, universitaire, membre de l'Académie des sciences
Mme Martine CLÉMENT, vice-présidente d'un organisme coopératif, ancienne présidente-directrice générale de société
Mme Marion GUILLOU, présidente du conseil d'administration de l'École polytechnique
Mme Marie-Claude KERVELLA, ancienne secrétaire générale d'une organisation syndicale


Riposte à la mesure d'exclusion de la légion d'honneur :

1- Envoyez des messages de soutien à Jean-François Collin ; 

2 - Envoyez des messages d'indignation à Georgelin le grand chancelier : lettres, courriels,  fax, téléphone. 

http://www.legiondhonneur.fr/shared/fr/ordresdecorations/fordredecoration.html

Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur
1, rue de Solférino
75700 PARIS 07 SP – FRANCE
Tél. : 01 40 62 84 00
Fax : 01 45 56 02 98



Le Comité VERITAS invite le Président de la République et les personnalités qui ont instruit ce PROCÈS D’OPINION, à méditer sur les textes immuables suivants : 

- Article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789 : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme.  Tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

- Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 : Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

- Constitution Française 1958 : La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances...

Le Comité VERITAS, devant cette sanction pour délit d’opinion, annonce la prochaine parution d’une revue hors série de 40 pages dédiée à M. Jean-François COLLIN et aux martyrs de l’Algérie Française et apportant les preuves de toutes les vérités enfouies sur LA RÉSISTANCE FRANÇAISE EN ALGÉRIE !



Georgelin se cassera la gueule dans les Pyrénées le 18 août 2023… De ce salopard rien d'autre à retenir que cette radiation de la Légion d’Honneur de notre ami Jean-François Collin, président de l’Adinad…


1 commentaire:

  1. Aux salopards qui se sont emparés du pouvoir et à tous ceux qui les soutiennent, crachons leur à la gueule tout notre mépris !

    RépondreSupprimer