Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 20 janvier 2016

Message de Damas… les quartiers est et ouest de la zone de Qadam libérés



Message de Damas…

Des dizaines de familles ont commencé à retourner à leur domicile dans les quartiers est et ouest de la zone de Qadam située aux périphéries sud de Damas.

Ces quartiers ont été occupé par les hordes du front al-Nosra, les amis de M. Fabius "qui font du bon boulot" en juillet 2012 lors de l'opération Volcan de Damas.

Vous ne pouvez pas imaginer la joie des familles qui ont vécu des années de galère insupportables. Ils vont retrouver ce soir leur appartement et dormir pour la première fois au chaud, sous un toit et entre quatre mur, et derrière des portes fermées.

J'ai eu des larmes en regardant ces milliers de personnes qui remerciaient les soldats, leurs soldats, qui étaient là pour leur sécurité. La victoire est proche…

Vive l'armée Syrienne

S. Hilal Alcharifi







Source : La Communauté Syrienne de France

mardi 19 janvier 2016

Dégage Charlie : tu pues


Charlie crache sur le cadavre d’un enfant

Amateurs de rire, voici un dessin qui va vous ravir tant il s’en dégage un puissant humour… Un grand moment à partager entre amis :



Dégage Charlie : tu pues

C’est sordide, propagandiste et islamophobe : c’est Charlie. Ce dessin, c’est l’histoire d’un enfant dont tout le monde connait le nom et l’histoire. Une vie broyée – votre enfant, le mien, tous les enfants – par la violence du monde. Après les attentats de Paris, la presse publie des biblios des victimes du terrorisme, pour leur rendre un peu de vie. Charlie crache sur le cadavre d’un enfant. Chacun son style.

Un dessin de Charlie, franchement, je m’en contrefiche, comme tant d'autres… Tout le problème est que Charlie est devenu le panache blanc auprès duquel se rallient notre « gouvernement » et la flopée de ses cireurs de pompes : députés, presse, petits barons de province, mendiants de médaille…

En réalité, il y a deux problèmes : Charlie qui pue, et la propagande gouvernementale qui colle à Charlie…

Charlie qui pue

La famille d’Aylan peut certainement faire un procès pour ce dessin, que Charlie a choisi de diffuser dans le numéro spécial « mémoire », à un million d’exemplaires.

Un peu d’humour mal placé ? Non, une analyse vicieuse.

Le sens du dessin est que cet enfant, dont le monde entier connait l’identité et l’histoire, était voué, comme ses coreligionnaires, à être un intrus, un pauvre d’esprit car non-occidental, un basané qui sera toujours étranger dans un monde trop élaboré pour lui. Tôt ou tard, le rupestre zarabe allait occuper son temps à agresser les femmes, en leur pelotant les fesses. Heureusement, sa mort a évité le passage à l’acte. Pour Riss, il s'agit de « migrants » et non de « réfugiés ». Marine approuve.

Une analyse très violente.

Massivement violente pour la mémoire d’Aylan, pour le droit à l’intimité de la vie privée de cet enfant. C’est contre son gré que le monde entier connait son nom. Tant pis pour lui : Charlie ne respecte rien. Riss dézingue un gosse de trois ans.

Riss va répondre qu’il ne faut pas en rester à une lecture simple, qu’il faut interpréter, contextualiser… Il faut chercher le sublime dans le crachat…

Le problème d’Aylan, ce n’est pas le départ de Syrie, qui est le choix de ses parents. Quitter la Syrie en 2015… tous les points de vue circulent, on en reparlera. Mais pour Aylan, la seule question est le devoir des États européens, tenus par leur constitution, la signature de la Convention sur les réfugiés et de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme d’accueillir toute personne en situation de précarité. Un impératif qui ne se discute pas.

Les États signataires de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme – 48 États, un vrai bloc de civilisation incluant la Russie et la Turquie – sont tenus de respecter les articles 2 (droit à la vie) et 3 (refus des traitements inhumains et dégradants) en toute circonstance, et ils doivent agir préventivement pour s’assurer de l’effectivité de ces droits.

Or, en septembre 2015, lors du décès d’Aylan et de ses proches, rien de sérieux n’était fait. Le sens de l’événement, c’est l’Europe – première puissance économique du monde – qui refusait de mettre à disposition des bateaux pour qu’aucun être humain ne meure noyé dans les eaux de la Méditerranée. En juillet 2013 à Lampedusa, le Pape l’avait dit, dans l’indifférence. Un enfant meurt parce que l’Europe manque à tous ses devoirs… Et Charlie se marre parce que cet enfant était programmé agresseur de femmes…

Bien sûr que Charlie mérite un procès, mais le plus grave est ailleurs.

La propagande

Charlie publie ce qu’il veut, et basta. Là où ça devient grave, c’est avec l’idolâtrie « républicaine » autour de ce journal nihiliste et provocateur, focalisé sur son chiffre d’affaires. La fusion « État-Charlie », c’est la catastrophe. La question n’est pas les frelatés de Les Républicains que sont Hollande et Valls… La question, c’est la France, un grand peuple, qui a tant à dire au monde, un membre permanent du Conseil de sécurité, que le monde entier observe.

Associer Charlie et la République, c’est ajouter une bouse de plus au romantisme arrangé de notre histoire, après les guerres de religion, le roi et la reine décapités en place publique, la Terreur, le rétablissement de l’esclavagisme par Naboléon, les terrifiantes guerres de conquête par ce même criminel, la répression de la Commune de Paris par le gouvernement républicain, Jules Ferry et la supériorité de la race blanche, […], l’assemblée du Front populaire de 1936 […], la destruction de l’Afrique par la Françafrique…

Et tant d’autres… Alors, aimer son pays, et toujours, mais (1) ne pas confondre le gouvernement et le pays, et (2) regarder les faits sans le maquillage, pour identifier les falsificateurs et les propagandistes, et les rejeter.

Des journalistes tués par des tueurs masqués, c’est 100% de consensus de condamnation dans le pays. À commencer par la communauté musulmane qui sait les problèmes que lui posent ces criminels, dotés d’un petit pois vérolé à la place du cerveau.

Mais Charlie, c’est no way. L’insupportable impératif « être Charlie » pour être un bon Français, comme certificat d’adhésion aux valeurs de la République, de la laïcité intégrée… Stop, please. Lisez Charlie, regardez le dessin d’Aylan. Si le dessin ne suffit pas, lisez « Mohicans », le livre de Denis Robert.

Les dirigeants de l’État ont commis une faute grave en voulant faire de « je suis Charlie » un principe, alors que ce journal ne représente qu’un nihilisme catin et bourgeois.

Dégage Charlie : tu pues.

Source : Gilles Devers, avocat - Actualités du Droit : Charlie crache sur le cadavre d’un enfant


dimanche 17 janvier 2016

Jesus é o nosso Rei !





La scène se passe au Brésil durant les JMJ. On le voit pas dans la vidéo, mais le prêtre arrive comme tout le monde, en marchant. C'est une fois qu'il met son habit et qu'il sort la croix que les gens autour comprennent que c'est un homme d'église. ;) La fin est magnifique quand ils scandent "Jésus é o nosso Rei" (Jésus est notre Roi.
Posté par Christianisez-vous sur vendredi 15 janvier 2016


La scène se passe au Brésil durant les JMJ. La vidéo le montre brièvement, le prêtre arrive comme tout le monde, en marchant… C'est une fois qu'il revêt son habit et qu'il brandit la Croix que les gens tout autour comprennent qu'il est un homme d'église… La fin est magnifique quand l'assemblée scande "Jesus é o nosso Rei" (Jésus est notre Roi)



Bernard Lugan - La Libye : bombe à retardement pour l'Europe


Un exposé brillantissime !



Bernard Lugan fait le point sur la situation libyenne sur TV Libertés





01:36 – 1937 : La guerre sino-japonaise
21:41 – Sigmaringen, l’ultime espoir des membres du gouvernement Vichy, 2ème partie



mardi 12 janvier 2016

บุญราศีนิโคลาส บุญเกิด กฤษบำรุง - Bienheureux Nicolas Bunkerd Kitbamrung


Nicolas Bunkerd Kitbamrung est fêté le 12 janvier…










บุญราศีนิโคลาส บุญเกิด กฤษบำรุง - NICHOLAS BUNKERD KITBAMRUNG

Bienheureux Nicolas Bunkerd Kitbamrung

Nominis : Bienheureux Nicolas Bunkerd Kitbamrung

Blessed Nicholas Bunkerd Kitbamrung

Roman Catholic Archdiocese of Bangkok

Martyrs of Songkhon, Thailand

Province de Mukdahan, le wat Song Khon
Province de Mukdahan, le wat Song Khon
Province de Mukdahan, wat Song Khon : les sept martyrs catholiques
Province de Mukdahan, wat Song Khon : les sept martyrs catholiques

Province de Mukdahan, wat Song Khon : les tombes des sept martyrs catholiques

Wat Ban Song Khon or Our Lady of the Martyrs of Thailand Shrine (วัดบ้านสองคอน - วัดศาสนาคริสต์ โรมันคาทอลิก) The huge Roman Catholic Church in a modern architectural style is named the largest and most beautiful church in Southeast Asia. The church won the Architectural Design Award 1996 from the Association of Siamese Architects under Royal Patronage.

Province de Mukdahan : localisation du wat Song Khon, près du Mékong, le Laos en face

โบสต์คริสต์วัดสองคอน

Blessed Nicolas Bunkerd Kitbamrung

Martyr's Beatification Will Encourage Missions




มรณสักขีแห่งสองคอน - วิกิพีเดีย

The Martyrs of Songkhon (Thai: มรณสักขีแห่งสองคอน) Thailand (also called Seven Blessed Martyrs of Songkhon) are seven Roman Catholic Thais executed in the village Songkhon, Mukdahan Province, northeastern Thailand, in December 1940 by local police forces. This was during the Franco-Thai War and police falsely believed they were spying for the French. The victims were beatified by Pope John Paul II in Rome on October 22, 1989.





samedi 9 janvier 2016

Les terroristes de l’État Islamique n’ont qu’une crainte : être abattus par une femme…



« Il a trois types de personne dans ce monde. Les moutons, les loups, et les chiens de berger. Certaines personnes préfèrent croire que le diable n’existe pas dans ce monde. Et si la haine était à leur porte, ils ne sauraient pas comment se protéger. Ce sont les moutons… Puis il y a les prédateurs qui utilisent la violence pour s’attaquer aux faibles. Ce sont les loups. Puis il y a les bénis qui ont le besoin impérieux de protéger le troupeau. Ils sont rares et vivent pour s’opposer aux loups. Ce sont les chiens de berger. »



Les terroristes de l’État Islamique n’ont qu’une crainte : être abattus par une femme… Pas de bol pour eux, les “Filles du Soleil” sont à leurs trousses.

Les femmes et les Yézidies font partie des cibles privilégiées par Daesh… Les femmes yézidies sont donc particulièrement menacées. Elles sont d’ailleurs plusieurs milliers à avoir déjà trouvé la mort ou à avoir été réduites à l’état d’esclaves sexuelles…

Mais 123 d’entre elles ont décidé de briser la peur, de relever la tête et de prendre les armes : elles ont entre 17 et 30 ans et ont créé un bataillon 100% féminin chargé de traquer l’agresseur où qu’il se trouve.

C’est une chanteuse de 30 ans, Xate Shingali, qui est à l’origine de cette idée. Pour la mettre en œuvre, elle a obtenu le feu vert et l’appui de Massoud Barzani, le président du gouvernement régional du Kurdistan.

Ce bataillon pas comme les autres s’est baptisé les « Sun Girls » : les "Filles du Soleil". Et n’allons pas croire que c’est pour faire fun ou joli : le Soleil est au centre des croyances yézidies. En se nommant ainsi, les femmes combattantes espèrent obtenir sa protection.

Parmi elles, outre Xate Shingali, se trouve une autre personnalité : Tiger Sun. Cet ex-modèle a décidé, à 46 ans, de porter les armes pour défendre son peuple. Et comme la plupart de ses camarades, elle non plus n’avait jamais été formée au combat !

Mais ce n’est pas tout. Pour apporter son soutien à ces femmes courageuses, Helly Luv, qu’on surnomme aussi la Shakira kurde, est allée tourner un clip sur le terrain même des opérations. Depuis, Daesh veut sa peau. La chanson s’appelle "Révolution". Elle a été mise en ligne en mai dernier et a déjà été visionnée près de quatre millions de fois ! La voici :




L’engagement des femmes kurdes dans le combat contre Daesh n’est pas que symbolique. Non seulement elle mettent toutes leurs forces dans la bataille mais, en plus, figurez-vous que les terroristes de l’État Islamique les craignent encore plus que leurs ennemis masculins : s’ils sont tués par une femme, ils n’auront pas droit aux 72 vierges qu’est censée leur offrir une mort au combat ! Les « Sun girls » n’en sont donc que plus redoutables…

« Ils nous violent, on les tue. »

Humiliées, brisées, déshumanisées, les femmes yézidies ont décidé de mener un combat des plus courageux. Pour cela, elles méritent le respect du monde entier. Mais surtout, elles mériteraient de l’aide… comme tous ceux qui combattent la barbarie de l’État Islamique !

Pour faire un don : Dwekh Nawsha France aux côtés des Peshmergas