Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 24 janvier 2014

Témoignage d'un rescapé : un soldat métropolitain enlevé par le FLN en juillet 1962



"La grande défaite en tout, c'est d'oublier."
Louis-Ferdinand Céline
Voyage au bout de la nuit

Témoignage d'un rescapé : un soldat métropolitain enlevé par le FLN en juillet 1962 : Vidéo-témoignage d'André Aussignac



André Aussignac, appelé du 23e Rima à Alger, a été déclaré disparu le 21 juillet 1962 par l'armée française… André Aussignac, un militaire appelé en Algérie et originaire de Bordeaux a attendu l'âge de 68 ans pour oser relater son enlèvement par le FLN, après l'indépendance, et l'effroyable calvaire subi dans une mine de fer près de Miliana, son calvaire mais aussi celui d'autres Français civils et militaires qui eux n'en réchappèrent pas.

Souvenez-vous après le fin de la guerre du Vietnam, les Américains auront passé plus de dix ans à aller chercher dans tous les recoins de la jungle tous leurs prisonniers. La France, elle, les a sacrifiés au FLN ! On notera avec stupeur qu’un ministre algérien a visité les prisonniers français dans les couloirs des mines de Miliana où ils étaient traités avec la dernière sauvagerie… Honte à DeGaulle pour ce lâche abandon complice… Honte à François Hollande pour son comportement ignoble à l'égard de tous ceux qui ont combattu le FLN… pour sa collusion éhontément affichée avec le FLN et ses héritiers…

Voici, résumée cette confession, de l'horreur à l'absurde…
« Le soir du 21 juillet 1962 je suis sorti, en uniforme, de ma caserne de Maison-Carrée près d'Alger pour aller acheter des cigarettes…
Je suis alors tombé sur un barrage d'Arabes algériens en uniforme. Ils m'ont pris ma carte d'identité militaire et l'ont déchirée. Je me suis retrouvé dans une camionnette avec des civils européens, dont le propriétaire du véhicule. Nous avons été conduits dans une briqueterie, déshabillés et jetés dans un four encore tiède. Dans la nuit, d'autres Européens sont arrivés. À la fin, nous étions 17. Nous sommes restés là, entassés, sans boire ni manger, à redouter qu'ils allument le four. Au bout de quarante-huit heures environ, nous sommes partis en camion bâché. Une fois dans le djebel, on nous a fait descendre et nous avons entamé une marche forcée de plusieurs semaines pour finalement aboutir dans une mine de fer près de Miliana.

Là, on nous a jetés à moitié nus dans une galerie. Dans la mienne, nous étions environ 60, mais il y avait d'autres galeries avec d'autres Européens. On nous obligeait à creuser avec des petites pioches. Nous avions droit à un verre d'eau par jour et parfois à un plat de semoule. Pour ne pas mourir de soif, nous mettions nos slips dans les parois humides de la mine et nous suçions les gouttes d'eau. Quand le plat de semoule arrivait, nous nous battions entre nous comme des chiens. Certains sont morts d'épuisement, d'autres se sont volontairement tués. Un jour, l'un d'entre nous a planté sa pioche dans la terre et s'est jeté sur la lame.
 Un autre jour, un ministre algérien est venu visiter la galerie. Je ne me suis pas levé pour le saluer. Il m'a balancé un grand coup de pied dans la tête [la cicatrice à l'arcade sourcilière est encore visible]. J'ai essayé de m'évader deux fois sans succès. La première fois, en représailles, on m'a donné de grands coups de bâton sur les chevilles. La deuxième, on m'a assis sur une pierre, ligoté à un pieu et arraché les ongles des orteils avec une pince. La troisième tentative a été la bonne. J'étais avec deux autres copains qui ont été abattus. J'ai marché jusqu'à l'épuisement. Des Pieds-noirs m'ont découvert évanoui et nu dans un fossé. Ils m'ont soigné, puis fait embarquer sur un chalutier en direction de Marseille.
 Quand je suis arrivé chez moi, à Bordeaux, ni mes parents ni ma fiancée ne m'ont reconnu. Je pesais moins de 40 kilos [contre 70 avant mon départ]. Le 22 juillet 1963, j'ai été arrêté par la gendarmerie de Villeneuve-sur-Lot. C'était pendant mon voyage de noces. On m'a interné au fort du Hâ pour « désertion en temps de paix » !
J'ai été brutalisé. On voulait que je livre les filières qui m'avaient permis de revenir d'Algérie. Je suis resté muet. On m'a ensuite conduit à l'hôpital militaire Robert Piquet. Sur la porte de ma chambre, on avait inscrit : « Individu dangereux, à ne pas mettre en contact avec les autres recrues ». Le tribunal militaire de Bordeaux m'a finalement acquitté. Je rends hommage au commissaire du gouvernement qui a plaidé pour ma non culpabilité. Il a ensuite été muté. En novembre 1963, le sénateur Etienne Dailly a évoqué mon cas au Sénat (Journal officiel du 24 novembre 1963, p. 2572).

Quelques jours auparavant, la Sécurité militaire m'avait menacé pour que je me taise. Mon histoire gênait. Je me suis tu jusqu'à aujourd'hui. J'offre ce témoignage à la mémoire de mes compagnons qui ont été sacrifiés. »

Avec toute son intransigeance, CIVITAS participera au Jour de Colère ce 26 janvier


Civitas a appelé à participer ce 26 janvier prochain au "Jour de Colère" et à se regrouper avec les associations amies derrière la banderole "Catholiques en Colère".




Entretien de Médias-Presse-Info avec Alain Escada


Médias-Presse-Info – Que pensez-vous de cette initiative connue sous l’intitulé Jour de Colère ?

Alain Escada – Le manifeste de Jour de Colère annonce vouloir permettre « l’expression d’une prise de conscience de la société civile face à une action gouvernementale délétère qui nous mène droit vers l’abîme » et évoque un Dies Irae contemporain en énumérant une série de motifs de mécontentement. En tant que président de CIVITAS, j’ai lu attentivement chaque ligne, chaque mot de ce manifeste, et je me suis réjoui d’une telle initiative, tant sur le fond que sur la forme.



Médias-Presse-InfoVous êtes connu pour être intransigeant sur les principes. En émettant un avis favorable à propos de ce Jour de Colère et de son manifeste, cela signifie que vous les percevez fort différemment d’autres manifestations que vous trouviez inappropriées ?

Alain Escada – Sur la forme, j’ai souvent dit et répété que c’est une ineptie d’organiser des manifestations festives lorsqu’on vient exprimer un mécontentement. Veut-on obtenir des résultats, faire reculer un adversaire, mettre fin à un projet inique ? Dans ce cas, il faut démontrer force et détermination. Cela ne se fait pas en dansant sur une musique de boîte de nuit. La fête, il sera toujours temps de l’organiser lorsque nous aurons obtenu une victoire méritant d’être célébrée. Tant que ce n’est pas le cas, l’heure et le ton sont à la bataille, pas à autre chose. L’expression « Jour de Colère » traduit bien cet esprit. J’apprécie aussi que les organisateurs de Jour de Colère permettent à tous les mouvements qui se reconnaissent dans cet objectif commun d’y participer sous leurs propres couleurs et avec leurs propres slogans. Nous avons trop souvent vu par le passé des manifestations dites pour tous chercher à imposer leurs niaiseries en même temps que chasser la moindre trace de christianisme. Ceux qui se plaignaient que leur sweet soit interdit par les autorités étaient les mêmes qui interdisaient tout drapeau à sacré-cœur dans leurs manifestations.


Les raisons de la colère

Sur le fond, CIVITAS a toujours exprimé sa détestation des compromissions. Si le nombre doit s’obtenir au prix des reniements, c’est d’office stérile et sans aucun intérêt. Dans le cas du manifeste de Jour de Colère, il n’y a pas d’intention de céder au politiquement correct ou de sombrer dans le consensus mou. La défense de la Famille et de la Patrie y sont explicites. Des thèmes essentiels sont également abordés comme la sécurité, l’immigration, le système scolaire, la fiscalité,… Le choix des mots sonne juste, comme lorsque Jour de Colère prend la défense des paysans. Ce mot paysan si déconsidéré aujourd’hui, alors qu’il illustre l’un des métiers les plus indispensables et les plus respectables. Tout cela sent bon le pays réel et voilà pourquoi je soutiens, au nom de CIVITAS, cette initiative.

Médias-Presse-Info – Cela signifie donc que CIVITAS participera bien au Jour de Colère le 26 janvier à Paris ?

Alain Escada – Oui, je vous confirme que CIVITAS y participera. Nous fixerons prochainement un lieu de rendez-vous pour nous regrouper et nous rejoindrons dès 14h ce rassemblement. CIVITAS y viendra avec ses bannières ainsi qu’une grande banderole « Catholiques en colère ». Nous souscrivons à tous les motifs de mécontentement signalés par Jour de Colère. Nous y ajoutons simplement un motif supplémentaire de mécontentement : les nombreuses provocations antichrétiennes tolérées voire organisées par le système qui nous gouverne. Nous avons souvent rappelé que la haine de la famille a pour corollaire la haine du christianisme. Nous pourrions ajouter que la haine de l’identité française a également pour corollaire cette haine du christianisme.

Médias-Presse-Info – Quels moyens mettrez-vous en œuvre pour soutenir ce Jour de Colère ?

Alain Escada – CIVITAS profitera des quatre prochaines semaines pour mobiliser tous ses réseaux de sympathisants dans tous les départements. C’est un rendez-vous important pour démarrer 2014 avec de bonnes résolutions. Il faut que ce Jour de Colère soit un succès. Nous tenterons d’y contribuer.


Pour toute information pratique "Jour de Colère" : son site officiel

"Jour de Colère" sur Facebook

Civitas organise des cars pour rejoindre le "Jour de Colère" le 26 janvier

L'AGRIF et les manifestations



jeudi 23 janvier 2014

En France, une vraie priorité : combattre sans merci l'antisémitisme…


Lu sur un site qui se prétend laïc :
C’est là que j’entendais à ma stupéfaction : « Juif, la France ne t’appartient pas ».
Stupéfait d’entendre une évidence ! Quand on prétend défendre la "laïcité", en principe cela signifierait que la France n’appartiendrait à aucune confession… De simples propos de bon sens qui dans l’état actuel de la France devraient scandaliser ! Ainsi le voudrait la police de la pensée ! Comment accepter encore longtemps de telles "stupéfactions" ?

Qui sont les vrais responsables de l'"antisémitisme" ?




Grâce à Dieu y'a les lardons et le couscous
Grâce à Dieu y'a Malek Boutih et Mouss Diouf
Grâce à Dieu on a le Chit et le Cali
Grâce à Dieu si je dis nique la France j'ai des amis !
Grâce à Dieu Jésus vient de Jérusalem…


Il suffit d’écouter cette vidéo pour comprendre, au-delà de la provocation, le ridicule de ces rappeurs et de leurs références… Paroles, paroles… Références plus stupides que haineuses à un islam auquel n’adhèreront jamais que les esprits faibles d'une minorité localisée, et contrôlable. Paroles, paroles qui néanmoins ne feront d’exacerber une certaine islamophobie… Islamophobie, manipulée, qui masquerait un danger bien plus pernicieux : l’antisémitisme. Un antisémitisme qui ne fait que croître en France, au point d’atteindre un niveau d'adhésion alarmant… À ce stade, une lutte énergique contre l'antisémitisme s’affirme comme une priorité… Mais, bien sûr, sachons qu'on n'éradiquera jamais l'antisémitisme en chassant les antisémites, réels ou supposés… C'est prendre les gens pour des imbéciles… Le malheur c'est que les ficelles de la farce ne sont jamais clairement débridées, ni par les médias, ni même par les victimes de ce bluff totalitaire… L’"affaire" Dieudonné en est une démonstration éclatante. On ne guérit pas une maladie en tentant d'en effacer les effets mais en diagnostiquant les causes profondes du mal… Recherchons ardemment les causes profondes de l'antisémitisme… Et pourquoi pas avec le concours actif du CRIF et de la LICRA ! Chiche !


mercredi 22 janvier 2014

La moitié des Français veulent un roi !




Valeurs actuelles - Cevipof : Le rapport qui accuse
Séisme. En partie censuré, le 5e baromètre de la confiance politique est une bombe. “Valeurs actuelles” se l’est procuré dans son intégralité. Ses 84 pages révèlent une société au bord de l’explosion. Jusqu’à réclamer, pour la moitié des Français, un “homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections” !… suite

Démocratie royale : La moitié des Français veulent un roi !

mardi 21 janvier 2014

21 janvier 1793 : Louis XVI, notre bon roi assassiné par la franc-maçonnerie



Messe Louis XVI - 21 janvier 2012 - Toulouse

www.democratie-royale.com 21 janvier 2012  à Toulouse : messe à la mémoire du Roi Martyr Louis XVI, pour le repos de son âme 12h15, messe (rit ordinaire) en l’église Saint-Jérôme. Les royalistes toulousains étaient nombreux aux rendez-vous ! Passage filmé par l'Association Démocratie Royale : la lecture du testament de Louis XVI lors de la messe, en la chapelle Notre-Dame.
« Je recommande mes enfants à ma femme, je n’ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux ; je lui recommande surtout d’en faire de bons chrétiens et d’honnêtes hommes, de leur faire regarder les grandeurs de ce monde-ci (s’ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l’Éternité. Je prie ma sœur de vouloir bien continuer sa tendresse à mes enfants, et de leur tenir lieu de Mère, s’ils avaient le malheur de perdre la leur. »








Albert Camus le meurtre du roi-prêtre.pdf
L’homme révolté (La Pléiade, pages 528/529)

"Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Évangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt, mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau."

*   *   *



Messes en 2014 pour l'âme de Louis XVI


Chronique concernant le Meurtre inouï de Louis XVI, décrété dès 1784, dans le sein de "sociétés secrètes"

L'assassinat de Louis XVI décidé en 1784 - 1785 par la Franc-Maçonnerie

Le Livre noir de la Révolution française et le Procès de Louis XVI

Lien pour télécharger l'ouvrage de Maurice Talmeyr (1850-1933) : La Franc-Maçonnerie et la Révolution française (1904)

SAR Louis XX


Toute la vérité sur la Révolution française

Sommaire :

Le rôle du roy de France / échec de la royauté française

Les Porteurs de la Lumières : les judéos-maçons ont fomenté la Révolution française

Volonté destructrice de la Révolution française contre l'Église

Vrai combat contre-révolutionnaire : État d'esprit vendéen

Fausse Restauration

Désinformation massive 

Bilan : la raison trouve la conclusion catholique 

Sélection de films et documents supplémentaires :

- Conférence Pichot-Bravard

- Guerre de Vendée : dates

- La République a menti

- Guerres de Vendée

- Massacre des Gardes-suisses / 10 août 1792

- Pourquoi nous ne fêtons pas 1789

- Film Les Vendéens / Jacques Dupont  (cliquez sur "vidéo sur les guerres de Vendée" )

- Mémoricide

- François Hollande / discours chez les francs-maçons

- Tous des francs-maçons... 

- Quand les lys blancs refleuriront 1934

- Vive Louis, notre Roi légitime !


Les professions de santé au chevet de Yingluck Shinawatra…






Les professions de santé solidaires du diagnostic des campus Siriraj et Ramathibod de l’université Mahidol ainsi que des universités Thammasat, Burapha, Chulalongkorn, Prince Songkla, Naresuan et Rangsit accourent au chevet du Premier ministre Yingluck Shinawatra… Un Premier ministre têtue comme un bourricot, sinon atteinte d’autisme, face à la colère d’un peuple aspirant à une réelle démocratie… Un Premier ministre qui s’obstine à maintenir des élections au résultat d’avance connu… Des élections qui une fois de plus seraient entachées de corruption et au résultat figé, mais qui par la défection de plusieurs provinces faute d’un nombre suffisant de députés élus ne permettront pas à la Chambre de se réunir… Un scrutin inutile… Un entêtement provocateur… 




Les vrais enjeux de la révolte thaïlandaise

Bangkok Post : le point de vue de Voranai Vanijaka

Le scandale du riz thaïlandais entre dans une nouvelle phase

8 medical faculties call for Feb 2 election delay - Health workers join rally, demand reform

Medical chief warns of more clashes

Public Health officials told to be on alert

Army sounds alert over city weapons stockpiles - Prayuth says soldiers not yet ready to step in

vendredi 17 janvier 2014

Hery Rajaonarimampianina : premier président élu de la IVe République de Madagascar


Hery Rajaonarimampianina deviendra le premier président de la IVe République de Madagascar lors de son investiture, le samedi 25 janvier 2014…



Le nouveau président de Madagascar : un économiste et expert-comptable


Hery Rajaonarimam­pianina est né à Antsofi­nondry Sabotsy Namehana le 6 novembre 1956. Issu d’une famille modeste, il a passé son enfance et son adolescence dans cette localité et consacré une grande partie de sa vie aux études. À 24 ans, il décroche déjà son diplôme de maitrise en Sciences économiques à l’Établissement d’enseignement supérieur de droit, d’économie, de gestion et de sociologie (EESDEGS) de l’Université d’Antananarivo, à Ankatso. Il a ensuite poursuivi ses études au Canada pour y décrocher un DEA en Finances et comptabilité à l’Université de Trois-Rivières, au Québec. De ce pas il se spécialise de ce même pas dans l’expertise comptable et décroche en 1991 son diplôme d’expertise comptable du Certified general accountant’s Association.

Malgré ses diplômes qui auraient pu lui permettre de faire une carrière professionnelle à l’étranger, Hery Rajaonarimampianina décide de rentrer au pays la même année et devient directeur des études à l’Institut national des sciences comptables de l’administration d’entreprises (Inscae). Parallèlement, il exerce comme expert comptable et enseigne à l’Université d’Antananarivo et à l’IAE de Metz, en France.

C’est en 1995 qu’il décide de fonder son propre cabinet d’expertise et de commissariat au compte qui deviendra par la suite un des plus reconnus dans ce domaine à Madagascar, aussi bien dans le milieu des entreprises qu’auprès des bailleurs de fonds.

Hery Rajaonarimam­pianina a commencé sa vie de personnage public en 2003, lorsque ses pairs experts comptables ont décidé de l’élire comme président de l’Ordre des experts comptables et des commissaires aux comptes. Il a également été vice-président du Conseil supérieur de la comptabilité et conseiller du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité, depuis 2004.

C’est en 2009 que le régime de Transition de Andry Rajoelina a décidé de faire appel à lui pour être ministre des Finances et du budget au sein du premier gouvernement de Camille Vital. Un pari extrêmement difficile à l’époque, avec la suspension des aides internationales qui menaçait l’équilibre financier du pays. « Si les aides internationales arrivent, ce sera tant mieux. Mais, s’il n’y en a pas, on fera avec », avait-il alors déclaré juste après la présentation du nouveau gouvernement.


Qui est Hery Rajaonarimampianina ?

Hery Rajaonarimampianina : premier président élu de la IVe République de Madagascar

Portrait – Un économiste et expert comptable à la tête du pays

lundi 13 janvier 2014