Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
dimanche 21 septembre 2014
Jounées du Patrimoine : pourquoi ne pas visiter le site de Nicolas Sarkozy ?…
Facebook Nicolas Sarkozy
Et voilà que clairement Flanby et Bécassine, le staff mariniste et les socialauds, redeviennent comme en 2012 farouchement alliés objectifs contre le danger Nicolas Sarkozy… Danger pour la Bécassine qui, par son obstruction dans le débat politique, n'ambitionne que la stérilisation d'un maximum de voix lors d'une présidentielle pour un encaissement maximum de fonds publics à la faveur des dispositions légales concernant le financement des partis politiques… Danger pour les socialauds qui ne peuvent espérer se maintenir dans leur squat qu'à la faveur d'un second tour d'une présentielle les opposant complaisamment à la Marine… Leur comportement, aux uns et aux autres, ne fera que le confirmer. Comportement dont les ficelles seront immanquablement masquées par la presse, notamment celle de droite avec Présent et Rivarol dont les intérêts financiers se sont récemment liés à l'écho de la propagande mariniste… … Et, par ailleurs, attendons-nous à tous les coups bas du "meilleur d'entre tous", l'inénarrable Juppé…Il est bien évident qu'un combat en faveur de tel ou tel est prématuré, y compris concernant Nicolas Sarkozy… que tout nationaliste rejette "presque" autant que les socialauds ou les gaullo-marinistes… L'irruption de Nicolas Sarkozy dans l'arène politique comble malheureusement un vide qui ne pouvait qu'être favorable au combat nationaliste…Malgré cela, dans l'état de décomposition de la France, espérons qu'un vrai changement, un changement radical, aura rapidement et avant 2017 une occasion de s'imposer… Fasse la Providence que la France échappe enfin au joug des francs-maçons, de leurs complices mondialistes et de leur avatar républicain…À défaut, à l'échéance de 2017 que l'on nous embarque plus dans le principe "entre deux maux, on ne choisit pas". Entre deux maux, il y a bien un moindre mal…
* * *
Pour éclairer le débat :
Le « retour » de Nicolas Sarkozy en réjouit certains (Sarko-mania impressionnante chez les « jeunes pop’ UMP »), en terrifie d’autres (à commencer par Fillon), en agace beaucoup, aussi, notamment parmi les militants de la « Manif pour tous ». Mais il ne s’agit pas de réagir avec ses sentiments : il s’agit de prendre le problème à bras le corps et d’exiger des conditions strictes pour qu’un programme de droite voit le jour…La question qui entoure le retour de Nicolas Sarkozy n’est pas de savoir pourquoi il revient, mais surtout comment il revient. Et là les choses apparaissent clairement : il revient, ou tente de revenir, comme rassembleur d’un parti divisé, ainsi qu’en témoigne son communiqué de presse sur Facebook (ce qui, en passant, ramène la presse à n’être plus qu’une coquille vide bonne qu’à agréger des subventions)…« J’ai senti chez beaucoup de Français la tentation de ne plus croire en rien ni en personne, comme si tout se valait, ou plutôt comme si plus rien ne valait quoi que ce soit. Cette absence de tout espoir si spécifique à la France d’aujourd’hui nous oblige à nous réinventer profondément ».Une réinvention ? Je me méfie des « réinventions »… Il n’y a rien à inventer en France, la voie économique est toute tracée par une réduction de l’archi-présence de l’État dans tous les domaines, à cause d’une gestion catastrophique de l’argent public, et la voie « sociétale » est entièrement prise dans le mouvement de sinistrogyre, ce mouvement du « progrès » qui penche à gauche, et même bien à gauche. On ne réinvente pas dans ces conditions. On refonde complètement et on édifie, c’est-à-dire qu’on fait une tabula rasa - celle-là même qu’ont entrepris les révolutionnaires, mais dans le mauvais sens - du mouvement général de la société, puis on édifie quelque chose de positif pour contrecarrer la déconstruction opérée depuis plus d’un siècle. C’est à partir de cette édification collective qu’il faut repenser le politique.De la libertéUne doctrine économique viable, qui ne pompe pas tout l’argent des Français pour le redistribuer aux régimes spéciaux, aux artistes de l’art d’État, aux médias du pouvoir et aux amis politiques. Une réduction drastique des dépenses, qui va de pair avec une réduction drastique des impôts.La souveraineté, par exemple, n’est pas celle qu’exerce l’État sur la vie des gens, des entreprises et du monde culturel. La souveraineté, c’est d’abord celle de la personne. Souveraineté sur ce qu’elle pense, sur ce qu’elle veut, sur ce qu’elle fait, sans qu’on lui oblige à rentrer dans le cadre « théologique » des valeurs dites républicaines, ou de la bien-pensance médiatique et culturelle. Nous exigeons la mise en place urgente de conditions qui puisse permettre une liberté pleine et complète de la personne.Nous exigeons des mesures concrètes pour mettre en place ces conditions de possibilité : le chèque scolaire, un immense plan de simplification administrative, une réduction drastique du train de vie de l’État, la suppression totale des subventions aux médias, la fin de l’intervention de l’État dans la vie économique (afin qu’il conserve un rôle de régulateur en dernière instance), et la suspension immédiate de toute intervention de l’État dans les questions morales et idéologiques.Pour faire simple, nous exigeons la fin de l’idéologie de l’État-providence, de cet État-nounou qui prend votre argent pour le redistribuer à ses fins, qui éduque vos enfants avec des valeurs contraires à celle des parents, qui organise une propagande via les médias publics et l’art subventionné. Nous exigeons un moins-d’État, nous exigeons un minarchisme, nous exigeons qu’un Président avoue qu’il veut avoir moins de pouvoir sur la vie des gens.De l’identitéNicolas Sarkozy avait proposé un débat salvateur sur l’identité nationale, mais il a reculé devant la pression médiatique. Nous exigeons d’un président qu’il aille au bout de ce qu’il entreprend selon la ligne qu’il a proposé dans son programme et ses discours. Face à la France entière, un type comme François Hollande tient bon et impose toutes ses idées délirantes envers et contre tous.Nous ne sommes pas sans savoir qu’il a perdu les dernières présidentielles parce que les médias avaient fait de lui un terrible « fasciste », selon les méthodes propres à la gauche. La note de Terra Nova (l’axe UMP-FN) avait donné le ton de toute la campagne ; on y retrouvait déjà tout ce qui a pu animer le « débat » : « droitisation », « ligne Buisson », etc. Que Nicolas Sarkozy n’en vienne pas à penser qu’il a perdu parce qu’il a été trop à « droite ». Vu ses dernières sorties à consonance politique (meeting de NKM, fusion avec l’UDI, raout de BHL) il y a tout lieu de craindre qu’il n'ait fait son bilan, et qu’il ne soit pas celui que nous attendions.Nous exigeons la réduction drastique de l’immigration, la tenu d’une immense concertation sur l’identité nationale de laquelle puisse sortir une doctrine claire et précise de ce qui nous est ennemi (tout ce qui s’oppose à la liberté et à la souveraineté de la personne) et de ce qui nous est ami (les pays de liberté, notamment religieuse). Nous attendons d’un Président qu’il protège la France, non qu’il la saccage, volontairement (Hollande) ou involontairement (Sarkozy 2007-2012).
Lire aussi : Guillaume Faye : Les douzes plaies de la France
Goldofaf : Le Combat de Demain… à la 8e Journée de Synthèse nationale !
samedi 20 septembre 2014
Hery Rajaonarimampianina visite, un jour avant les "Sans-Dents"… le squat élyséen à Flanby
"Un démembrement du territoire national malgache
au mépris du principe de l’intangibilité des frontières coloniales"
au mépris du principe de l’intangibilité des frontières coloniales"
Flanby a malicieusement souligné que, par la Réunion et Mayotte, la France et Madagascar sont voisins… Le Loukoum - moins con que d'hab dans ses "bons mots" - s'est bien gardé de préciser ce qu'il insinuait : les deux pays sont voisins à un point tel que la France occupe une partie de Madagascar, les îles Éparses constituées par l'archipel des Glorieuses, les îles Juan de Nova, Europa, Bassa da India (ainsi que Tromelin cogérée depuis 2010 par Maurice et la France)… Hery, comme le nomme familièrement Flanby, n'aime sans doute pas le rougail trop épicé… il a malheureusement oublié de relever la désobligeante plaisanterie du Loukoum, son hôte du jour…
Du palais d'État de Iavoloha au squat à Flanby
Le Président de la République, SEM Hery Rajaonarimampianina, accompagné d’une délégation composée de ses proches collaborateurs, du Ministre d’État en Charge des Infrastructures, de l’Équipement et de l’Aménagement du Territoire Rivo Rakotovao, du Ministre des Affaire Étrangères Arisoa Razafitrimo, du Ministre des Transports Ulrich Andriantina, ainsi que de plusieurs chefs d’entreprises, effectue une visite officielle de deux jours en France sur invitation du Président de la République Française, SEM François Hollande.Cette délégation a quitté le sol malgache ce jeudi 18 septembre et son séjour dans l’Hexagone est prévu se dérouler comme suit :Vendredi 19 septembre 2014 à 9h30 :La délégation présidentielle atterrira à l’aéroport Roissy par le vol Air Madagascar 050 où elle sera accueillie par les autorités françaises, suivi d’un transfert à l’hôtel ou résidera le PRM durant son séjour.Le Chef de l’État français accueillera son homologue Malgache sur le perron du Palais de l’Élysée à 11h45.Une rencontre en tête à tête ainsi qu’une réunion des deux chefs d’État entourés de leurs collaborateurs proches sont prévues.Le Président de la République sera par la suite l’invité de haut niveau du patronat français, le MEDEF (Mouvement des Entreprises de France), pour un déjeuner d’échanges et de travail dans l’enceinte des prestigieux locaux du Cercle de l’Union Interalliée, rue faubourg Saint-Honoré à Paris, voisine de l’Élysée. Le chef de l’État sera à cette occasion entouré d'hommes et femmes chefs d’entreprises malgaches.À 16 heures, le Président de l’Assemblée Nationale de la République française, Claude Bartolone, sera l’hôte du Président de la République de Madagascar. Cette rencontre se déroulera à l’Hôtel de Lassay jouxtant le Palais Bourbon.En fin d’après-midi, le Président de la République accueillera en entretien de travail, différentes personnalités françaises à la Résidence de Madagascar, avenue Raphaël, Paris, dont Nicolas Hulot, envoyé spécial de François Hollande pour la protection de la planète.
En voyant cette photo, on a comme la sale impression d'entendre le président français dire fermement, en ouvrant son dossier jaune : "nous ne discuterons pas des îles Éparses". Et la réponse correspondante coule de source : "Euh… oui, Vazaha". De quoi rire jaune, n'est-ce pas ? [Madagate] |
Samedi 20 septembre 2014Le Président de la République sera l’invité spécial des compagnies Airbus et ATR à Toulouse. Les acteurs de l’industrie aéronautique à Madagascar seront à ses côtés pour l’occasion.En fin d’après midi, la délégation présidentielle conduite par le Président de République, effectuera un dépôt de gerbe au « Mémorial aux soldats de Madagascar » sis au Jardin d’Agronomie tropicale de Vincennes en banlieue parisienne.Le Président de la République quittera le sol français à l’issue de cette visite officielle pour se rendre directement à New-York.New-York, 22 – 23 – 24 – 25 septembre 2014Le Président de la République et une délégation se rendront au siège des Nations Unies, afin de participer au sommet pour le climat et au débat général de l’Assemblée des Nations Unies du 22 au 25 septembre 2014.La participation de Madagascar à la 69ème Assemblée Générale des Nations Unies est très attendue.Outre le discours que le Chef de l’État malgache prononcera le jeudi 25 septembre à la tribune des Nations Unies, la délégation malgache participera à des réunions les 22 et 23 septembre, entre autres, au Forum annuel présidentiel de l’African Travel Association (ATA).Il y aura également la participation de Madagascar à la Conférence mondiale sur les peuples autochtones ainsi que celle sur l’Environnement et le Changement Climatique.Le Président de la République recevra les plus haut dirigeants de la compagnie Boeing le mardi 23 septembre 2014 en début de soirée.En marge du sommet se déroulera en même temps une conférence internationale sur l’habitat.
Madagascar et les îles Éparses… profiter de la "mollesse du Loukoum"…
Madagate - Madagascar îles Éparses : haro sur le régime Rajaonarimampianina
Madagascar-Tribune.Com - Cogestion des Îles malgaches : Le président Hery Rajaonarimampianina se fourvoie
Madagate - France : discours répétitif et monotone de Rajaonarimampianina à l’Élysée
Madagascar : Le canal du Mozambique, un enjeu stratégique pour la France
Juan de Nova, du gaz dans l’eau entre Madagascar et la France…
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Flanby invite les Sans-Dents à visiter son squat : "La surprenante vie de l'Élysée"
Flanby raffole des bons mots, à la limite de la provocation… C'est ainsi qu'il invite le bon peuple des Sans-Dents à visiter son luxueux squat : "La surprenante vie de l'Élysée".
Ainsi le Palais de l’Élysée squatté par Flanby ouvrira ses portes aux Sans-Dents ébahis dans le cadre de la 31ème édition des Journées européennes du Patrimoine, les samedi 20 et le dimanche 21 septembre 2014, de 8h à 19h.
Cette édition a reçu pour thème « Patrimoine culturel, patrimoine naturel » rappelant les liens qui unissent le patrimoine sous toutes ses formes à l’environnement coquin rêvé par Flanby du haut de sa monture élyséenne, le redoutable scooter Vespa.
L’entrée des Sans-Dents s’effectuera par la grille du Coq - encore une allusion provocatrice gauloise - située avenue Gabriel. Un accès pour les personnes à mobilité réduite est prévu par l’entrée située à l’angle de l’avenue Gabriel et de l’avenue Marigny.
Cette visite débutera par les jardins du Palais et se poursuivra dans les salons où les visiteurs pourront découvrir la salle des Fêtes, le salon Murat et le bureau où Flanby cogite ses conneries… La visite des alcôves reste toutefois exclue du programme "normal".
The French President Francois Hollande see Paris by Scooter
Sur le site officiel du squat élyséen : "La surprenante vie de l'Élysée"
Oh… regarde, j'ai jamais vu ça !
เหอะๆ มองไร… ไม่เคยเห็นหมาเหรอ |
หน้ามืด ไม่ดง ไม่ดู มันแร้ววว |
แน่ใจหราา ว่านายคือหมา |
Vu, parmi une foule de photos toutes plus curieuses les unes que les autres, sur la page Facebook de kh. ร้าว ราน :
https://www.facebook.com/siamjuntarasakul
vendredi 19 septembre 2014
Flanby : "J'y suis… J'y reste… Et j'emmerde les Français."
"Ce qui fait ma légitimité, c'est le mandat que j'ai reçu du peuple. (…) Les institutions sont faites pour ça, non pas pour protéger une personne, mais pour prendre des décisions…"Flanby
Autrement dit :
"J'y suis… J'y reste… Et j'emmerde les Français."
Hollande: ce qu'il faut retenir de sa conférence de presse
Le Premier ministre écossais, Alex Salmond, se démarque des "dirigeants" occidentaux…
Le Premier ministre écossais met en parallèle Israël et le pseudo-État islamique (EI) !
Lors d'un entretien accordé à la BBC le 14 septembre, le Premier ministre écossais et chef du Scottish National Party (SNP), Alex Salmond a comparé le terrorisme du pseudo-État dit « islamique » (EI) à l’offensive militaire menée par l’entité sioniste contre le Hamas à Gaza.
Réagissant à l’assassinat ignoble du journaliste écossais David Haines par le pseudo-État islamique le 13 septembre, il a souligné que « la communauté musulmane écossaise n’était pas responsable, sous quelle que forme que ce soit, des atrocités ou de l’extrémisme commis en Irak ou ailleurs », tout comme lors de l’opération Bordure protectrice, « la communauté juive écossaise n’était pas responsable de la politique de l’État d’Israël ».
jeudi 18 septembre 2014
La France périphérique : fractures françaises…
La haine de la France profonde et populaire, attachée aux traditions, est donc un des fondamentaux de la classe médiatique et politique au pouvoir. Le même symptôme se retrouve dans d’autres pays d’Europe. Dans leur majorité (pas à 100% évidemment), les médias, les intellectuels, les institutions européennes parlementaires, judiciaires et administratives, les appareils gouvernementaux, bref l’oligarchie antidémocratique qui gouverne (comme en URSS, sous le label ”démocratique”) ne cessent de pencher, sous prétexte, de Droits de l’homme, en faveur de la protection de l’immigré clandestin privilégié et des délinquants en majorité d’origine immigrée. Tout ce qui ressemble à la protection et à la préférence envers les catégories populaires européennes est assimilé au péché populiste, raciste et fasciste. Par une sinistre inversion, l’État de droit ne protège plus le peuple, il le dépouille de ses défenses. Il est implicite, d’autre part, que les classes moyennes autochtones, doivent payer et se taire. Les envahisseurs se ravissent de cette maladie mentale. Et tous les autres pays du monde extra-européen nous regardent en pensant que nous sommes devenus fous.
Dans La France périphérique, comment on a sacrifié les classes populaires (Flammarion), le géographe Christophe Guilluy démontre que 61% de la population française ont été relégués hors des grandes agglomérations ; les classes populaires se concentrent dans les villes petites et moyennes enclavées et dans les espaces ruraux. Comme l’a relevé le sociologue Dominique Lorrain, les ”banlieues sensibles” ne sont nullement abandonnées mais au contraire privilégiées dans d’énormes proportions par les investissements publics – sans aucun résultat en matière de paix sociale. Les mensonges des médias sur les ”quartiers immigrés défavorisés” sont dignes de la propagande soviétique. L’image misérabiliste de banlieues ghettos où seraient parqués des immigrés afro-maghrébins condamnés à la pauvreté est à la fois un fantasme et une propagande. Le revenu moyen dans les banlieues d’immigrés est la plupart du temps de 20% supérieur à celui des zones périphériques ou éloignées où vivent les classes populaires de souche, les ”petits Blancs” ignorés. Abreuvées de subventions, d’allocations, d’aides de toute nature, la Seine Saint Denis ou les banlieues marseillaise, lyonnaise, lilloise, etc. sont, en terme de PIB, beaucoup plus aisées que la Meuse, l’Ariège, le Cantal. Précisons qu’aux aides, payées par les classes moyennes de souche ultra-fiscalisées, s’ajoutent les revenus substantiels des trafics, dont celui de stupéfiants, de moins en moins réprimés. Chiffre sans appel destructeur de légendes : 85% des ménages pauvres (qui gagnent moins de 993€ par mois, soit 60% sous le salaire médian) n’habitent pas dans les ”quartiers sensibles ” immigrés.
Le « petit peuple » de souche, méprisé par l’oligarchie et discriminé par rapport aux immigrés
La "France périphérique" : là où se joue l'avenir des nouvelles classes populaires
L'ethnicisation des "Blancs", un phénomène qui pose la question de la cohésion sociale en France
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