Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 12 février 2014

Quand l'islam plaide pour une restauration de l'honneur et de la grandeur de la France…





Excellente vidéo… Un document à diffuser et méditer judicieusement… Que certains auront jugé terrifiant ? Pas tant que ça ! Un document qui ne peut que conforter dans leurs convictions ceux qui pensent que cet orateur et son auditoire plutôt que de haïr la France la méprisent… Un mépris frisant peut-être la haine ? Amour déçu… Amour de la France de ceux qui lors des deux Grandes Guerres, au Liban, en Indochine, en Afrique du Nord ont donné leur sang à une patrie en laquelle ils faisaient alors pleinement confiance. Une France qui a subi la débâcle en 1940, qui a été vaincue en Indochine, qui au mépris d’une constitution tout nouvellement votée oublia l’Union française et contraint à une indépendance non souhaitée l’Afrique noire française [cf. André Giresse, président de la Cour d’Assises de Paris de 1975 à 1985, et Philippe Bernert : Seule la Vérité blesse, L’Honneur de déplaire, Plon, 1987], une France qui abandonna lâchement l’Algérie… Républiques lâches et imbéciles, de la IIIème à la Vème… Défaites et renoncements amplifiés par cette inconséquente bassesse de repentance… République actuelle qui détruit la famille : relégation des vieux dans des mouroirs, euthanasie, dénaturation des enfants programmée par l’école et la théorie du genre, adoption d'enfants livrés à des pervers, procréation artificielle, mariage de couples de pédés ou de gouines… Sans oublier dans une actualité toute chaude, ce voyage d’un pitre, prétendu président de la France, qui en perdition s’en va se faire cajoler par les excès exhibitionnistes de compassion d’un complice américain… Face à ce mépris, une seule attitude : restaurer l’honneur de la France… Tâche immense… pour laquelle aucune solution n’est pour l’instant percevable… Tâche à laquelle font obstacle les sionistes, principalement ashkénazes et francs-maçons de "droite", pour lesquels les débordements de l’islam et son terrorisme bienvenus restent le meilleur rempart protecteur contre une solution à l’occupation de la Palestine… Piège sioniste grossier, certes, mais dans lequel tombent malheureusement la plupart d’entre nous…

samedi 8 février 2014

À Delhi il ne fait pas bon d'être de type tibéto-birman… Nido Taniam lynché à mort…


New Delhi, Nido Taniam, 19 ans,  lynché à mort parce que de type tibéto-birman

À Delhi, le lynchage d'un jeune garçon de l'Arunachal Pradesh, Nido Taniam, soulève depuis fin janvier le tollé chez les Indiens himalayens du nord-est. Depuis la communauté du Nord multiplie les protestations, face à l'échoppe du marché où Nido a été battu à mort jusqu'à la rue Jantar-Mantar, cette enclave de New-Delhi où affluent les protestataires de toute l'Inde. La bagarre avait éclaté suite aux remarques essuyées par le jeune homme sur son profil physique de type tibéto-birman. Des manifestations qui s'organisent autour du portrait du jeune étudiant, un visage adolescent barré d'immenses lunettes… « Nido est mort en martyr, car il était différent… L'Inde a joué son rôle dans l'histoire de l'anticolonialisme et de l'antiracisme aux Nations unies. Mais nous n'avons pas su voir le racisme chez nous » clame Anuradha Chinoy, professeur à  l'université Jawaharlal-Nehru…






L'Humanité : L’Inde meurtrie par le racisme


jeudi 6 février 2014

Robert Brasillach : Poèmes de Fresnes… "L’Enfant Honneur"



Robert Brasillach, le poète assassiné
Robert Brasillach, lors de son procès

Pierre Fresnay



Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 1/3


Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 2/3


Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 3/3




Au berceau de l’enfant Honneur
On a vu deux fées apporter
Deux présents pour l’enfant Honneur
Le courage avec la gaieté.

- A quoi, dit-on à la première,
Sert un présent comme le vôtre ?
– Presqu’à rien répond la première
A donner du courage aux autres.

- L’autre, dit-on à la seconde,
N’est-il pas de trop pour l’Honneur?
– Un enfant, répond la seconde,
A toujours besoin d’une fleur.

Robert Brasillach (30 janvier 1945)


Le 6 février 1945 Robert Brasillach était fusillé, victime des vagues de l'Épuration… L'avocat général Philippe Bilger retrace le parcours de Robert Brasillach ainsi que son procès dans son dernier livre : "20 minutes pour la mort, Robert Brasillach : le procès expédié" publié aux éditions du Rocher.

Un procès qui n'a duré que 6 heures et dont le délibéré a pris 20 minutes (du jamais vu) pour aboutir à la sentence de mort. 20 minutes pour tout revoir, tout peser, tout analyser. Bref, 20 minutes pour rien, car tout était déjà décidé bien avant l'heure :
"… rien, jamais, ne parviendra à justifier cette froide résolution mise en œuvre par une cour d'exception et validée par un général de faire disparaitre un esprit, une âme, une vie de la surface de la France."

mercredi 29 janvier 2014

"Journée de retrait de l'école" : Farida Belghoul défie Vincent Peillon et les francs-maçons…





Farida Belghoul lance une action nationale pour l'interdiction du gender à l'école






POUR L'INTERDICTION DE LA THÉORIE DU GENRE DANS TOUS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES

À partir de janvier 2014, retirons nos enfants de l'école un jour par mois : choisissez ce jour en concertation avec le comité local dont vous dépendez sans prévenir les enseignants. Vous justifierez l'absence de votre enfant le lendemain par le motif suivant : journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires.

Ce symbole est fort : il dit clairement que nous sommes prêts à tout pour empêcher l'Education Nationale de désorienter, de traumatiser et de déstructurer nos enfants.

Organisons-nous pour faire de cette journée un moment privilégié entre parents et enfants, entre voisins, entre amis : libre à nous de concevoir maintes activités en ce jour de retrait ! En se regroupant, tout est envisageable : spectacles pour enfants, sorties, rencontres, débats, ateliers créatifs...

Le gouvernement ne nous laisse pas le choix avec l'introduction à notre insu de la « théorie du genre » en classe : en retirant nos enfants de l'école une journée par mois, nous affirmons nos droits fondamentaux et nous passons à la vitesse supérieure.

Nous, Pères et Mères, sommes les garants de l'innocence de nos enfants. Leur pudeur et leur intégrité sont leurs biens les plus précieux.
Nous, Pères et Mères, sommes les protecteurs de nos enfants. Nous en sommes les seuls responsables.
Nous, Pères et Mères, sommes les authentiques éducateurs de nos enfants, seuls légitimes à décider pour eux en attendant leur maturité.
Nous, Pères et Mères, aimons nos enfants et nous nous sacrifions chaque jour pour eux.
Nous, Pères et Mères, organisons une Journée de Retrait de l'Ecole (J.R.E.) une fois par mois pour sauver nos enfants.

Farida Belghoul
Pour le Comité National J.R.E.
18 décembre 2013


Rivarol, le rendez-vous hebdomadaire de ceux qui ont cessé d'obéir…