Affaires : l'acharnement à tout "nettoyer" des socialauds
HOLLANDE OU COSTA CROISIÈRES C'EST DU PAREIL AU MÊME |
Quand Flanby fait les poubelles à Valls et Taubira et les décharge sur le Monde et Médiapart…
Le Journal du Dimanche a récemment révélé que le président Hollande avait secrètement rencontré deux journalistes du Monde, Fabrice Lhomme et Gérard Davet, qui sont à l’origine de l’article sur les écoutes de Nicolas Sarkozy et de leur publication. Une information qui laisse penser que, contrairement à ce que l’Élysée assure, le président Hollande aurait été informé de cette affaire bien avant le 4 mars et qu’il y aurait joué un rôle. L'un des deux l'a confirmé mercredi 19 mars matin sur Public Sénat : ils ont rencontré Hollande à plusieurs reprises et ont parlé des écoutes.
Nous savons donc qui a donné des informations sur le contenu des écoutes aux journalistes du Monde chargés d'enquêter sur les turpitudes supposées de Sarkozy : c'est probablement le président de la République lui-même.
De son côté, Mediapart qui a relancé l'affaire en révélant de nouveaux entretiens entre Sarkozy et son avocat, convient qu'il a eu accès aux sept écoutes judiciaires illégales sur les seconds portables de Sarkozy et de son avocat Herzog. Et cet accès il l'aurait obtenu après une rencontre d'Edwy Plenel avec son avocat à lui qui est aussi, quelle coïncidence, celui de François Hollande.
Mais Plenel, pour ne pas gêner son copain avocat, laisse entendre qu'il aurait obtenu la retranscription écrite des enregistrements par l'un des magistrats ou des policiers de la nombreuse équipe (une centaine de personnes !) répartie entre la Justice, l'Intérieur et l'Élysée qui travaille à plein temps à nuire à Sarkozy.
Mais officiellement personne n'était au courant, ni Taubira, ni Valls, et ce serait de la faute des sous-fifres qui n'informent pas leurs ministres et le président. La raison en est, selon Jean-Christophe Cambadélis paraît-il "furieux", que "on n'a pas bien fait le nettoyage" en arrivant dans les ministères. Il y resterait donc quelques fonctionnaires intègres qui dénoncent les mensonges et les pratiques douteuses de leurs patrons socialistes.
Pendant ce temps-là, à l'Élysée, un directeur de cabinet toutes affaires cessantes, cherche à savoir d'où vient la fuite sur les agendas "confidentiels" de Hollande qui sont parvenus au Journal du Dimanche. Nous voilà donc avec le gag de l'arroseur arrosé !
L'Élysée nous aura décidément tout fait en matière de ridicule.
Parce que si le PS n'avait pas fait entrer dans les mœurs la politisation des cabinets ministériels, du personnel de l'Élysée et des hauts postes de l'administration en les réservant aux encartés du PS et du Grand Orient de France (après le "nettoyage", dont convient Cambadélis), les non-PS ne se seraient sans doute pas sentis déliés de leur devoir de réserve. C'est le syndrome Falletti, ce haut magistrat qui s'est révolté et a révélé aux médias la pression que Taubira a exercé sur lui pour le faire partir et le remplacer par un ami politique bien rose, voire rouge, en toute indépendance de la Justice, bien évidemment !
Car la Justice a elle été aussi touchée par le "spoil system" pratiqué par le PS : déplacement ou mise à la retraite des magistrats jugés incompatibles avec l'idéologie et leur remplacement aux postes importants par des membres du très gauchiste Syndicat de la Magistrature qui a ses bureaux au cœur même du ministère et dont la présidente est mise en examen pour "le mur des cons". Ce sont les seuls que l'on voit quand les journalistes vont interviewer un magistrat au ministère de la Justice. Ce n'est pourtant pas le syndicat majoritaire chez les magistrats, mais l'autre, l'Union Syndicale des Magistrats, n'étant pas politisé n'intéresse pas le pouvoir qui ne veut voir que des têtes de gauche jusqu'à l'horizon.
Entrant comme d'habitude dans le jeu du pouvoir, Christophe Barbier a accusé vendredi matin sur BFM Sarkozy d'avoir écrit son article dans le Figaro pour détourner l'attention des affaires qui lui sont reprochées.
Il est tout de même extraordinaire que, pour le pouvoir socialiste, les seuls problèmes importants à résoudre aujourd'hui seraient des affaires concernant une possibilité d'aide financière accordée à l'UMP par la Libye il y a une dizaine d'années, (ce qui a pourtant été fermement démenti par le chef des Services secrets libyens de l'époque), ou bien un soupçon de trafic d'influence (qui n'a jamais été prouvé), ou encore le don qu'aurait fait une riche et vieille dame à son ami pour l'aider dans sa campagne électorale et cela il y a plusieurs années aussi, (cette affaire-là étant tombée à l'eau elle aussi faute de preuves).
On voit bien que ceux qui cherchent à détourner l'attention des Français des difficultés énormes que connaît la France après deux années d'échec patent de leur politique, ce sont les socialistes.
Tout cela est du cinéma dont la mise en scène vise à camoufler deux affaires bien plus graves que toutes les autres qui ont contribué à dégoûter les Français de la politique socialiste.
La première est la mise en "surveillance renforcée" (comme l'Irlande et l'Espagne) autrement dit la mise en examen pour promesses non tenues de la France par la Commission européenne, ce qui signifie que Moscovici et Hollande, qui font pour le moment semblant de s'en moquer, auront des comptes à rendre.
Plus grave encore est la pression qui monte pour l'instauration d'un climat de guerre - froide ou non - avec la Russie. On dirait que Obama, Hollande et quelques autres chefs d'État en difficulté viennent de redécouvrir le vieux principe politique des loosers : quand tout va mal, il faut vite se trouver un ennemi extérieur pour réveiller le sentiment nationaliste des citoyens.
Du temps de la guerre froide qui a sévi de 1945 à 1989, date de l'écroulement de l'Union soviétique, le monde occidental n'était-il pas prospère et dynamique ? Alors pour sauver sa peau menacée par la colère montante des Français, Hollande est prêt à agresser la Russie puisque les deux guerres qu'il a déjà déclarées en Afrique ont été insuffisantes pour ressouder les Français derrière lui et sa bande de pieds nickelés, Moscovici, Sapin et Montebourg, les économistes amateurs qui ont tout raté depuis qu'ils sont ministres de l'économie.
Depuis vingt-cinq ans, les Occidentaux se sont acharnés à dépecer l'ex-URSS en intégrant les anciens pays d'Europe de l'Est dans l'OTAN, prenant le berceau de la Serbie, le Kosovo, pour le donner à la mafia islamo-albanaise après l'avoir vidé des Serbes qui le peuplaient. Puis en faisant des appels du pied à l'Ukraine pour qu'elle rejoigne l'Europe et l'OTAN, ce qui aurait définitivement détaché de la Russie sa grande base militaire en Crimée, terre russe depuis des siècles. La ficelle était trop grosse, c'était trop pour un Poutine qui n'est certes pas un ange et dont les méthodes quelques peu dictatoriales de gouvernement sont critiquables, mais qui s'efforce de redonner (avec succès) à la Russie son rang de grande puissance. Il a repris la Crimée dont Krouchtchev - qui était ukrainien - avait fait don à son pays natal en 1954 en témoignage d'amitié pour célébrer le 300ème anniversaire de l'association russo-ukrainienne.
Le viol du droit international qui lui est reproché par Obama et Hollande à propos de la Crimée est une plaisanterie quand on se souvient des multiples droits d'ingérence que les États-Unis et la France se sont arrogés sous prétexte de sauver le monde alors qu'il ne s'agissait que de déstabiliser des pays jugés trop influents ou réticents à la politique d'expansion mondialiste de l'élite politique occidentale, ou de retrouver une influence coloniale perdue comme en Afrique.
De plus, Poutine est bien meilleur que les deux mollassons ci-dessus nommés puisqu'il a su récupérer la Crimée avec l'accord quasi unanime de son peuple et sans action militaire forte, alors qu'Américains et Français font chaque fois qu'ils interviennent des centaines ou des milliers de morts.
Poutine a repris la Crimée comme les Américains ont pris le Kosovo à la Serbie (mais en bombardant celle-ci), comme les Français avaient pris en 1945 la Sarre à l'Allemagne (région qu'ils durent lui restituer quelques années plus tard), comme ils ont pris Mayotte aux Comores avec, comme Poutine en Crimée, l'accord de sa population.
L'argument qui consiste à comparer la récupération de la Crimée à celle des Sudètes par Hitler est une simple tactique de diabolisation par la "réductio ad hitlerum", comme celle qui est régulièrement utilisée par la gauche contre le FN et tous les "réacs" de droite : Poutine n'a pas cédé à la pression expansionniste de l'Europe et de l'OTAN, il est donc néo-nazi, c'est l'ennemi contre lequel tous les peuples d'occident doivent se liguer, on va lui faire la guerre, économique pour le moment, mais préparons-nous à du plus sérieux, disent-ils.
D'après un article original de Maurice D. pour Minurne Résistance
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