Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
dimanche 25 août 2013
vendredi 23 août 2013
Mieux que le Malet-Isaac des francs-maçons… Jamel Debbouze : l'Histoire nouvelle…
M6 : l’Histoire de France racontée par Jamel Debbouze ?
Un programme court qui sera diffusé sur M6…
La mini-série devrait voir le jour à la fin de l’hiver prochain et nul ne sait à l’heure actuelle si Jamel Debbouze apparaîtra à l’écran où s’il n’aura fait que se consacrer à l’écriture.Inconnue et inquiétude de l'OJIM : "À quoi ressemblera l’Histoire debbouzienne ? En novembre 2010, l’historien déclarait que l’Islam était présent en Europe depuis 3000 ans. Attendons-nous ainsi à voir des Gaulois en train de prier tournés vers La Mecque !"
Un programme court… Tout un programme… C’est bien avec des programmes courts que l’on embrigade… Que l’on manipule. Propagande… Tracts… Court pour mieux être incrusté dans des cerveaux fragiles…Cette façon d’enseigner l’Histoire n’est certes pas nouvelle… J’ai toujours été rebelle à tout procédé d’apprentissage appelant à la mémoire… J’aime trop essayer de comprendre avant tout. Hélas ! c’est à un authentique viol de conscience que j’ai été soumis, tout comme mes condisciples, durant une interminable et inutile scolarité au lycée Lamoricière d’Oran… Je souffre encore de la paresse et de l'incompétence de certains enseignements, leur insulte à la raison hante toujours certains de mes cauchemars. L’Histoire… Souvenir douloureux de ce prof d’Histoire corse qui ne levait le cul de sa chaise que pour aller pisser, paraphrasait - quand il ne se contentait de lire - le Malet-Isaac… Puis qui nous intimait pour le cours suivant d’apprendre par cœur le résumé de la leçon qu’il venait lui-même d’ânonner… Nous étions alors notés sur notre seule aptitude à débiter intégralement l’insidieux résumé. Pensionnaire, le jeudi j'allais fouiner dans la bibliothèque de mes grands-parents. Je découvrais les livres. Je devais être en première quand j'eus l'outrecuidance de réviser pour ma compo d’Histoire dans un ouvrage peu favorable à la révolution russe découvert un de ces jeudis. Cela me valut un 2/20. Évaluation sans appel de l'ignorance de tous ces profs installés dans le dérisoire de leur autorité et leur servilité à l’idéologie officielle. Que de temps gâché. Combien j'ai par la suite envié l'éducation de Marguerite Yourcenar, elle qui n'a jamais connu les bancs de l'école.
Que de violence… Que de temps perdu… Tout ce que j'ai appris, je l'ai acquis hors ou après l'école. Quelle ivresse le lycée oublié de pouvoir enfin goûter au bonheur et à la liberté d’apprendre…
Ânonner le résumé du Malet-Isaac, que voilà un bel exemple de la stupidité pernicieuse des méthodes pédagogiques auxquelles nous avons été soumis. Si nos parents et nous-mêmes avions été éduqués différemment aurions-nous acquis une maturité politique qui nous eût permis de répondre autrement à l'adversité ? Combien de fois me le suis-je demandé. Courir au bateau, la tête vide ! Voilà ce que nous ont appris nos maîtres dits "historiens", agents zélés d'une république franc-maçonne.
Histoire ou mémoire ?
C’est fou ce que chaque mois porte de dates remarquables… Des dates qui appartiennent à l’Histoire ou à la mémoire ? Autrement dit qu’est-ce que l’Histoire, qu'est la mémoire ? L’Histoire (avec nécessairement une majuscule !) se veut la Vérité. Évidemment !… puisqu’elle est écrite et réécrite par les vainqueurs. À présent le privilège revient Jamel Debbouzze… C'est fait. C'est entériné. Jamel Debbouze et les siens officiellement reconnus nouveaux maîtres de la France ! Nouvelles falsifications d'une Histoire invariablement travestie mythifiée imposée, en définitive "enseignée", rôle dévolu aux larbins du pouvoir, aux instits, aux profs dits d'Histoire, aux moralistes et démagogues de tout poil, à tous ceux qui approchent les plus influençables, les jeunes, les enfants, les moins cultivés… Ainsi l'Histoire reste d’essence totalitaire… ne souffre aucune contestation… Menaçante comme le Dieu méchant des juifs et des musulmans… La mémoire, elle, appartient à chacun de nous, aux rebelles, aux vaincus, aux minorités… En ce sens, elle seule a des chances d’être vraie, authentique, plurielle… À condition que nous soyons honnêtes envers nous-mêmes… que nous ne nous racontions pas d’histoires… Gardons-nous de ceux qui prétendent nous dire l'Histoire…
Histoire-géographie au lycée ou comment on embrigade la jeunesse
Un monastère catholique attaqué au cocktail Molotov et souillé de tags injurieux en Israël…
La Croix : Le monastère catholique de Beit Jamal, en Israël, visé par un cocktail Molotov et des graffitis
Un cocktail Molotov a été lancé contre le monastère catholique de Beit Jamal, près de Beit Shemesh, dans les collines de Judée, en Israël, a annoncé une porte-parole de la police mercredi 21 août 2013. Des images de caméras de sécurité montrent le feu brûler pendant plusieurs minutes, mais sans s’étendre à la végétation ni au mobilier en bois.
« Des graffitis en hébreu ont également été gribouillés sur les murs, sur lesquels on peut lire “mort aux goys” et “vengeance” », a précisé Luba Samri dans un communiqué. « La police enquête sur toutes les pistes, dont des motivations nationalistes », a-t-elle ajouté.
Les Sœurs de Bethléem, qui habitent le monastère près de la ville de Beit Shemesh, ne se sont pas rendu compte de l’attaque que lorsque des visiteurs sont arrivés et ont constaté les dégâts, précise le quotidien israélien Haaretz. Mercredi 21 août, le patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal, s’est rendu sur place et a condamné l’incident.
Ces trois dernières années, une vingtaine de sites chrétiens et musulmans ont été la cible d’agressions…
Christianophobie en Israël : actes de vandalisme contre le monastère trappiste de Latroun
Netanyahou chouchoute les rabbins fanatiques… Campagnes christianophobes en Israël…
Encore une église souillée en Israël…
Encore une église vandalisée à Jérusalem…
Vandalisme et slogans antichrétiens à Jérusalem
Noël à Bethléhem : entre occupation israëlienne et islam radical…
NicolasVodé - Christianophobie : en Israël aussi…
Le mur de Bethléem : une toile pour les artistes :
Saviez-vous que tous les jours des religieuses catholiques vont prier le chapelet au mur pour la paix et la justice ? On retrouve même sur le mur des images religieuses comme cette superbe icône de Marie. Les habitants de l’endroit la nomment Marie-qui-fait-tomber-les-murs.
Marie-qui-fait-tomber-les-murs (photo © Marie-Armelle Beaulieu) |
mardi 20 août 2013
Boîte à idées : Expédier les vieux mourir en Thaïlande… Une suggestion qui titille la Suisse !
Croquis de Stéphane Montavon |
L’idée se répand insidieusement de délocaliser ces citoyens coûteux en Thaïlande ou en Croatie.
Quelques petits cantons et communes ont fait travailler leurs neurones afin de trouver comment éviter un certain nombre de dépenses publiques. Tous ces vieux qui n’ont pas les moyens de payer entièrement les 5 à 6 000 francs suisses mensuels de l’EMS les ont titillés. Devoir assurer le complément de ce paiement leur est sans doute apparu moins naturel que le financement de grandes banques en difficulté. Aussi l’idée se répand-elle insidieusement de songer à délocaliser ces citoyens coûteux en Thaïlande ou en Croatie. Comme l’a fait remarquer subtilement un de ces penseurs à la mode : « De toute façon, les vieux devenus déments ne se rendront même pas compte qu’ils ne sont plus en Suisse. »
Au 19e siècle dans notre pays, en pleine période de crise voire de famine, des cantons et des communes ont préféré payer le voyage dans les Amériques plus un petit pactole à des familles plutôt que de risquer devoir leur offrir un logement et une aide matérielle. À cette époque, il n’existait aucune assurance sociale et le colonialisme paraissait être une solution, selon le principe du « gagnant-gagnant ».
Point de rupture de la solidarité
Dans le cas des vieux externalisés, il ne s’agit pas vraiment de cela. Mais bien plutôt de la volonté de faire disparaître du paysage helvétique les vieux qui ne sont pas riches. Ce n’est pas seulement le comble de la dérive du marché et de son cynisme. C’est pire. On atteint ici le point de rupture de la solidarité. La remise en cause de principes essentiels comme celui qui veut que le bien portant paie pour les malades, que les vieux paient des impôts pour financer les écoles et la formation, que le monomaniaque de la voiture aide à financer les transports publics, que celui qui ne sort jamais la nuit paie l’éclairage public, que le riche partage. Cette solidarité est grignotée chaque jour. Et l’on va même jusqu’à agir comme si les liens avec sa famille, ses petits enfants, ses amis, ses souvenirs, ses racines étaient sans valeur par rapport au fric. Le vivre ensemble n’existerait-il qu’entre gens professionnellement actifs ? Après les vieux expatriés, à qui le tour ?
Des centaines de retraités allemands ont déjà été déportés en Hongrie ou en Slovaquie, vu les coûts des EMS. Bien entendu, d’habiles entrepreneurs organisent et gèrent ces relégations en pays lointains, arguant que les familles peuvent en profiter pour y passer une fois l’an de chouettes vacances auprès de leur cher papy ou mamie. Nul doute que des pompes funèbres envisagent déjà de gagner quelque argent dans le rapatriement des corps de retraités exilés défunts, dernier profit que l’on pourra en tirer.
Des dérives qui conduisent à l’exclusion
Notre société en est-elle arrivée à ce point de marchandisation ? Elle qui se targue dans le préambule de la Constitution fédérale que le peuple suisse et les cantons sont « déterminés à vivre ensemble dans leur diversité… sachant que la force de la communauté se mesure au bien être du plus faible de ses membres ». Vat-on tolérer l’exclusion plus ou moins volontaire de ceux qui ont construit la prospérité du pays et qui ont lutté pour créer des assurances sociales dont la plus ancienne, l’AVS, n’a que 65 ans ? La marchandisation de la santé qui est en marche démontre ici de façon éblouissante sa stratégie obstinée et les dérives qu’elle implique.
Certes, en théorie, personne ne peut contre son gré être embarqué dans une telle galère. Mais les pressions, la culpabilité de « coûter cher à la société », le sentiment d’être inutile vont faire leur œuvre sournoise.
Dans un communiqué, l’Avivo suisse a fait savoir son inquiétude et son indignation.
Expat et SDF en Thaïlande
N’allez jamais en Thaïlande… la Thaïlande c'est vraiment pas les Pâquis !
Expatriation, seule planche de salut : W Project
lundi 19 août 2013
La Voix de la Russie : Ridicule et prétentieux… Flanby fait plancher ses minhistrions… "Exposez votre vision de la France en 2025"…
Au sommaire de cette édition du 19 août 2013 :
- Les Jeux Olympiques de Sotchi, menacés par une minorité d'invertis
- Au royaume de Hollandie, c'est au rythme du Djembé qu'on augmente les impôts
- Prestation affligeante des sénateurs français lors de leur visite en Suisse
- Feuilleton Navalny : le héros du mainstream médiatique continue d'accumuler les casseroles
- L'Égypte dévorée à la sauce qatarie ou à la sauce saoudienne
- Roumanie : le mouton des Carpates joue avec le feu et les minorités ethniques
- Gibraltar : un conflit vieux de trois siècles fragilise l'OTAN
- Sur son plateau moscovite, l'émission "à bâton rompu" reçoit Evgueni Erokhine, professeur de français à l'Institut français de Moscou.
samedi 17 août 2013
Toulouse : le pont du Chevalier Bayard lavé des outrages infligés par le socialaud Cohen…
Sur le "Pont Bayard" Toulouse érige la statue de l'infamie dédiée à son maire Pierre Cohen…
Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962
"19 mars 1962" : Pierre Cohen maire socialiste de Toulouse s'obstine…
Toulouse : Le pont de l'Infâmie… 19 mars 1962, un "maire" ose célébrer une capitulation !!!
Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire
vendredi 16 août 2013
Né à Ubon Ratchathani, l'avocat du Diable viendra-t-il expier ses péchés en Thaïlande ?
Né le 5 mars 1925 à Ubon Ratchathani [อุบลราชธานี] d'un père médecin réunionnais et d'une mère indochinoise l'avocat du Diable, Jacques Vergès, reviendra-t-il en Thaïlande expier pour ses mauvaises fréquentations ?
La Thaïlande comme ses voisins, notamment la Birmanie, dispose de nombreux lieux susceptibles d'accueillir les âmes damnées… L'infâme criminel compulsif De Gaulle subit un châtiment éternel dans le delta de l'Irrawaddy. J'ai eu récemment le privilège de visiter à nouveau les lieux de son supplice et d'en faire de nombreuses photos, photos dont je publierai certaines ici, bientôt… Parmi les lieux accueillant ces âmes damnées en Thaïlande, l'un d'eux mérite une attention toute particulière, le wat Phai Rong Wua (วัดไผ่โรงวัว) dans la province de Suphanburi… 0ù sera envoyé l'avocat du Diable ? Son maître, le Diable, en décidera seul…
Pas de secrets dans ce monde… Supplice infligé aux enfants et adolescents qui mentent à leurs parents |
Facilité et lâcheté sont dans le péché… Supplice infligé à ceux qui exterminent ou maltraitent les animaux |
Débauche et théorie du "gender" envahissent notre monde… Supplice infligé aux pervers |
Qui n'est pas soucieux de sa vie ou celle d’autrui mourra ou tuera… Supplice infligé aux chauffards |
La soif de richesse est insatiable… Supplice infligé aux voleurs |
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L’AVOCAT DE LA TERREUR (2007)
Lien pour voir librement le film dans son intégralité : http://resistance-medias.com/2013/08/18/lavocat-de-la-terreur-2007/
L'Avocat de la terreur - Bande-Annonce (VF)
Synopsis : Communiste, anticolonialiste, d’extrême droite ? Quelles convictions guident Jacques Vergès ? Barbet Schroeder mène l’enquête pour élucider le mystère. Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d’Algérie, les attentats du FLN et Djamila Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste et la femme. Puis disparaît huit ans, sans donner signe de vie. Est-il au Cambodge, avec Pol Pot ? En Palestine ? Ou bien tente-t-il d’échapper à des ennuis financiers ? À son retour, il défendra les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des criminels historiques tels que Klaus Barbie.
Construit comme un thriller avec ses rebondissements et ses zones d’ombre, ce documentaire présenté à Cannes en 2007 montre un Vergès marqué par ses racines, s’affirmant « né colonisé ». Grâce aux témoignages d’amis, journalistes, hommes politiques et surtout de Vergès lui-même, on découvre un homme engagé mais cultivant volontiers ses zones d’ombre et son côté irritant (il parle de ses « grandes vacances » à propos de ses huit ans de clandestinité). De nombreuses images d’archives nourrissent ce portrait fouillé et documenté qui est autant celui du célèbre avocat que celui de son époque, de la guerre d’Algérie à la naissance du terrorisme international. Réalisateur (Barfly, Le Mystère von Bülow) et documentariste renommé, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par « l’avocat de la terreur », d’affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, aux confins du politique et du judiciaire.
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Obsèques religieuses, youyous et hommage khmer rouge pour Jacques Vergès
Jacques Vergès, décédé le soir de l’Assomption à 88 ans, a eu droit ce mardi 20 août à des obsèques religieuses à Paris, dans l’église Saint-Thomas d’Aquin, paroissedu VIIème arrondissement, en présence de son frère Paul, sénateur du Parti communiste réunionnais. C’est le père Alain Maillard de La Morandais, un ami de longue date de Me Vergès, qui a célébré les obsèques…
L’avocat et ancien ministre socialiste Roland Dumas était assis au premier rang. Le chiraquien Michel Roussin et Marie-France Garaud étaient également présents, ainsi que Dieudonné et l’ancien président centrafricain François Bozizé, renversé en mars 2013…
À la sortie de l’église, le cercueil a été longuement applaudi tandis que des youyous étaient criés. Des gerbes de fleurs portaient des bandeaux au nom du barreau d’Alger, de l’équipe des avocats de Khieu Samphan ou de la Compagnie des Bateaux-Mouches…
Jacques Verges, à propos du 8 mai 1945… Guelma… Sétif… Kherrata
jeudi 15 août 2013
L'Assomption, fête de la Nation France : l'Église catholique ouvre enfin sa grande gueule
Que l'Église catholique ouvre enfin sa grande gueule après des décennies de silence tous ceux qui restent attachés à un modèle de civilisation contre le pourrissement ultime dans lequel nous engloutissent la gauche et le laxiste mollissime Flanby ne peuvent que s'en féliciter. Le temps des atermoiements est passé… Il ne s'agit plus de religion mais de civilisation. Chacun de nous catholique ou non, croyant ou non… mais tout simplement Français doit se sentir mobilisé…
Face au discrédit généralisé de la classe politique, je dis bien d'absolument toute la classe politique, seule la voix de l'Église montre désormais la voie du salut de la Nation France.
Pour ceux qui auraient du mal à comprendre, je les renverrai à la magistrale introduction de René Girard pour son œuvre maîtresse "Des choses cachées depuis la fondation du monde"…
Aurions-nous oublié que Notre-Dame de l’Assomption est patronne surnaturelle de la France ?
Aussi le 15 août a toujours été et reste notre authentique fête nationale à nous Français qui n'ignorons rien de notre Histoire qui fut jadis glorieuse. Célébrons avec ferveur la Reine de l’Univers, qui est aussi à jamais Reine de France…
La prétendue fête nationale du 14-Juillet n'a aucun sens, sinon nous rappeler douloureusemant ces années de malheur et de sang voulues par cette scélérate franc-maçonnerie… Maudit 14-Juillet… Une célébration inventée par la IIIème République… Mais quel 14-Juillet ? Ce “Bastille Day”… Cette journée qui vit une foule ivre de sang trancher la tête du malheureux marquis Bernard-René Jordan de Launay, gouverneur de la Bastille, alors que ladite prison ne contenait que sept prisonniers, tous des “droits communs” ! Funeste procession annonçant la prochaine République que celle de ce bon peuple hurlant brandissant une tête tranchée au bout d’une pique…
La prétendue fête nationale du 14-Juillet n'a aucun sens, sinon nous rappeler douloureusemant ces années de malheur et de sang voulues par cette scélérate franc-maçonnerie… Maudit 14-Juillet… Une célébration inventée par la IIIème République… Mais quel 14-Juillet ? Ce “Bastille Day”… Cette journée qui vit une foule ivre de sang trancher la tête du malheureux marquis Bernard-René Jordan de Launay, gouverneur de la Bastille, alors que ladite prison ne contenait que sept prisonniers, tous des “droits communs” ! Funeste procession annonçant la prochaine République que celle de ce bon peuple hurlant brandissant une tête tranchée au bout d’une pique…
15 août : Message de Mgr Marc Aillet, Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron
Mgr Marc Aillet ne lâche rien. Un an après la mobilisation lancée par le cardinal André Vingt-Trois, grâce à la fameuse prière du 15 août 2012 pour la famille, l’évêque de Bayonne appelle à renouveler nos prières pour la France et à poursuivre la contestation de l’illégitime loi Taubira. Ce 14 août au soir il processionne à Bayonne en l’honneur de la patronne principale de la France :
14-Juillet : Fleury-Mérogis, la Bastille à Flanby et à la république des francs-maçons…Le 15 août 2012, le Cardinal André Vingt-Trois, inquiet des menaces qui pesaient sur le mariage et la famille, avec le projet de loi dit de « mariage pour tous », proposait à tous les catholiques de France de porter cette intention dans la prière universelle. Il s’agissait ni plus ni moins, en la fête de l’Assomption de Notre-Dame, patronne principale de notre pays, que de prier pour la France. Cette simple et modeste prière eut des retentissements insoupçonnés, elle réveilla l’âme profonde de notre nation et c’est une mobilisation sans précédent qu’elle entraîna : un débat public, confisqué par un gouvernement et un parlement démocratiquement élus, s’ouvrit ; de nombreuses personnalités du monde des élus et de la société civile, mais aussi des grandes confessions religieuses, dont de très nombreux évêques de France, brisèrent la loi du silence imposé par des lobbies ultra-minoritaires mais exerçant une pression inouïe sur les responsables politiques et la plupart des grands media ; des foules inédites de plus d’un million de personnes, dont de très nombreux jeunes, descendirent dans la rue pour faire entendre leur voix, bravant à trois reprises le mépris du gouvernement, la répression policière, le silence complice des grands media. Et c’est pacifiquement que la force du droit se heurtait à des instances politico-judiciaires s’arrogeant le droit d’user de la force de manière parfaitement illégale. Le rappel à l’ordre de la France par le Conseil de l’Europe pour mauvais traitement policier infligé aux manifestants de la « manifpourtous », et les actions en justice contre de tels agissements, qui éclateront au grand jour dans quelques mois, démontrent cette illégalité.Depuis l’adoption de la loi Taubira par le Parlement le 23 avril 2013 et sa promulgation par le gouvernement le 17 mai, la mobilisation des opposants ne s’est pas relâchée, comme en témoigne la grande manifestation nationale du 26 mai et les multiples initiatives ici ou là tout au long de ces vacances d’été, et cela sans récupération politique de l’opposition, d’ailleurs très divisée, voire ambiguë sur la question. C’est la nation profonde, de plus en plus réservée par rapport à l’action et à l’influence des partis politiques quels qu’ils soient, qui se mobilise. Pour beaucoup, c’est l’avènement d’une foi engagée dans la sphère sociopolitique, pour d’autres le réveil du simple bon sens.Lorsqu’il n’était encore que l’archevêque de Buenos Aires, le Pape François avait situé cette reconnaissance légale du mariage entre personnes de même sexe à son vrai niveau, en disant qu’il ne s’agissait pas seulement « d’un simple projet législatif mais d’une manœuvre du Père du mensonge qui prétend embrouiller et tromper les enfants de Dieu », et en demandant instamment aux carmélites de son diocèse de prier et d’offrir des sacrifices à cette intention.Les grands media ont beaucoup caricaturé l’engagement des opposants au « mariage pour tous » et favorisé leur diabolisation dans l’opinion publique par des lobbies qui agitent le spectre de l’« homophobie ». On prétend même que les situations de rejet des personnes homosexuelles dans la société auraient augmenté du fait de cette opposition. Ce qui est vrai, c’est que l’omniprésence de ces lobbies dans les media, l’obsession des pouvoirs publics pour « la lutte contre l’homophobie » et la réduction des personnes à leur orientation sexuelle dans le discours officiel, ont fini par créer un climat d’exaspération propice à des formes de rejet qui n’existaient plus ou presque plus. Il ne faut pas se laisser enfermer dans ce piège. L’Église, quant à elle, a toujours été claire sur le refus de toute discrimination ou marginalisation de quiconque en raison de son orientation sexuelle, comme l’a rappelé le Pape François aux journalistes dans l’avion qui le ramenait de Rio à Rome, en citant le Catéchisme de l’Église Catholique et en ajoutant : « Qui suis-je pour juger ? ». Il n’en maintient pas moins fermement la position bien connue de l’Église sur la légalisation des unions de personnes de même sexe : « L’Église s’est déjà parfaitement exprimée sur cela […] Les jeunes savent parfaitement la position de l’Église ».Nous ne saurions considérer cette nouvelle loi de la République comme un dogme intouchable et il est bien légitime de continuer à s’y opposer avec fermeté et ténacité, en demeurant toutefois obstinément dans une posture pacifique et non violente. D’autant plus que d’autres lois sont en préparation et que « la théorie du gender » fera son apparition dans les programmes scolaires de la petite enfance, dès cette année. Dans sa lettre du 25 mars dernier aux évêques d’Argentine réunis en assemblée plénière, le Pape François renvoyait ses frères au « Document d’Aparecida » comme « marque référentielle », à même d’apporter « les orientations nécessaires en ce moment de l’histoire ». Dans le rapport de cette 5ème Conférence générale de l’Épiscopat sud-américain et des Caraïbes, intitulé « Disciples et missionnaires de Jésus-Christ pour que nos peuples aient la vie en lui », et dont le Cardinal Bergoglio fut le président de la commission de rédaction, les évêques écrivent sans ambiguïtés : « Devant des lois et des dispositions gouvernementales qui sont injustes à la lumière de la foi et de la raison, on doit favoriser l’objection de conscience ». Et d’ajouter avec gravité : « Nous devons nous tenir à la ‘cohérence eucharistique’, c’est-à-dire, être conscients que l’on ne peut pas recevoir la communion sacrée et, au même moment, agir en actes et en paroles contre les commandements, en particulier quand on soutient l’avortement, l’euthanasie et d’autres délits graves contre la vie et la famille. Cette responsabilité pèse de manière particulière sur les législateurs, les gouvernants et les professionnels de santé » (n. 436). Il ne s’agit pas de partir en guerre contre quiconque, mais d’appeler les catholiques engagés en politique et dans les professions de santé, à la cohérence et à la responsabilité.Aux jeunes de tous les pays, rassemblés à Rio pour la 28ème JMJ, le Pape François a lancé : « Je suis les nouvelles du monde et je vois que de nombreux jeunes, en tant de parties du monde, sont descendus dans la rue pour exprimer le désir d’une civilisation plus juste et fraternelle […] Continuez à vaincre l’apathie, en donnant une réponse chrétienne aux inquiétudes sociales et politiques, présentes dans diverses parties du monde » (Veillée du samedi 27 juillet 2013). Il en va de l’engagement politique des catholiques dans la société, de leur propre initiative, selon les principes de la Doctrine sociale de l’Église et avec l’encouragement de leurs pasteurs.La prière demeure toutefois notre première arme dans un combat qui est celui de Dieu avant d’être le nôtre. Je vous propose donc de vous joindre à tant d’autres initiatives de prière qui auront lieu en cette solennité du 15 août 2013. Pour ma part, je présiderai à la Cathédrale de Bayonne, une procession mariale le mercredi 14 août à 21 h et m’unirai ainsi à la grande « prière pour la France » qui sera présidée au même moment par le Cardinal Paul Poupard, à l’invitation de Mgr Henri Brincard, au Puy en Velay, devant la grande statue de Notre-Dame de France. Je vous invite à vous y associer. La Vierge Marie, signe dans son Assomption de la victoire définitive du Christ sur les puissances du Mal, est notre rempart, spécialement en France où elle nous a gratifiés de tant de visites et de messages.
Dansons la carmagnole… Ça ira… la guillotine… maudit 14-Juillet… maudite République…
Assomption : au moins un supermarché respecte notre Fête nationale…
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