Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 2 août 2013

Jeanne Smits fait l'éloge de Jean Madiran, fondateur de Présent


Jean Madiran n’est plus. Ou plutôt, il est ailleurs. Dieu a rappelé à lui son fidèle serviteur le mercredi 31 juillet, dans l’après-midi, en la fête de saint Ignace de Loyola, lui qui était oblat bénédictin et qui, jusqu’au dernier jour, aura prié et travaillé. Ora et labora… Dans la tristesse qui nous envahit, il est pourtant difficile de ne pas s’arrêter un instant sur ce clin d’œil du ciel : alors que les interrogations s’accumulent à propos des paroles et des actions futures du pape François, c’est en une fête jésuite que Madiran nous quitte. Et veille sur nous, sur le journal qu’il a fondé, sur notre fidélité à ce qu’il a transmis et que nous devons tenter de transmettre à notre tour.

Lui qui a aimé l’Église avec ce que l’on pourrait appeler une filiale bienveillance, une filiale vigilance, est bien devenu, en rejoignant l’éternité, un Veilleur à sa manière. Non point debout, ni non plus assis, ni traîné vers quelque garde à vue pour être resté fidèle à la vérité immuable de Dieu et celle sur l’homme, mais en entrant dans la Vie.

Les pensées se bousculent et les souvenirs affluent, mais vient d’abord la gratitude.

Gratitude pour cet homme debout, qui fut d’abord ennemi du mensonge – c’était pour lui, je crois pouvoir le dire, le péché haïssable entre tous – et ennemi de la médiocrité liturgique, de la trahison des clercs, des fossoyeurs de la France et des destructeurs de l’héritage catholique à transmettre aux enfants.

Gratitude pour les œuvres qu’il laisse : l’immense trésor d’Itinéraires, il le créa, à 36 ans, en 1956 et les plus belles plumes du mouvement national et des défenseurs de la liturgie traditionnelle y eurent leur place, de Louis Salleron à Dom Gérard, de Bernard Bouts à Michel de Saint-Pierre, de Jacques Perret à Gustave Corção. L’aventure devait durer quarante ans. Et c’était une école de pensée qui n’a pas fini de porter ses fruits.

Nous lui devons, à lui le défenseur tenace de positions que le monde (et Le Monde !) donnaient alors pour totalement dépassées, cette résistance française, typiquement et spécifiquement française, contre des innovations et des ouvertures au monde qui envahissaient en ces années-là l’Église comme un vent glacial. Elle a connu son aboutissement et son couronnement, cette résistance des laïques pour conserver le beau dépôt sacré de l’Écriture et de la messe, avec le Motu proprio Summorum Pontificum du 7 juillet 2007. Jean Madiran l’avait vécu comme tel, avec un bonheur immense. C’était un peu, c’était beaucoup grâce à lui : au poste qui était le sien, d’écrivain laïque, il a donné à beaucoup des raisons de se battre et d’y croire, d’oser suivre les prêtres et des prélats – de l’abbé Berto à Mgr Lefebvre – qui sauvegardèrent la messe qui, avant tout, honore Dieu.

Mais c’est toute la réforme intellectuelle et morale que servait Itinéraires, une réforme qui semblait tarder, un sursaut qui se faisait attendre. Aujourd’hui que fleurissent toutes sortes de communautés traditionnelles, aujourd’hui que les écoles se multiplient afin que les enfants apprennent encore et toujours à penser, aujourd’hui qu’une France jeune se lève étonnamment pour dire « non » aux pires aberrations qu’elle est pourtant sommée de croire par l’Éducation nationale, j’ose le dire : l’œuvre de Jean Madiran n’y est pas pour rien. Tout cela, c’est la même famille. Ceux qui se sont levés avec lui pour réclamer qu’« on nous rende l’Écriture, le catéchisme et la messe » sont de la même eau que ceux qui aujourd’hui promettent de ne rien lâcher, jamais, jamais, jamais, alors que des menteurs prétendent construire la société sur les sables mouvants de la famille déconstruite et détruite.

Au tout début des années 1980, dans le cadre d’une université d’été du Centre Charlier dont il était l’un des trois parrains – et il faudra reparler de Madiran et des Charlier ! – Jean Madiran lança, avec Bernard Antony, le pari fou de refaire un quotidien. Le mouvement national n’en avait plus depuis L’Action française qui, déjà, ne paraissait plus tous les jours : trop coûteux, trop difficile. Présent commença à paraître en 1982 et nous sommes toujours là ; seul des cinq co-fondateurs, Jean Madiran est resté à la barre ; il resta directeur de la rédaction jusqu’en 2007 et, depuis lors, il était directeur émérite et collaborateur fréquent à travers des éditoriaux qui ont cessé de paraître il y a quelques mois seulement.

Un incident de santé l’obligea à interrompre cette course.

Nous avions bon espoir, pourtant, de le voir revenir, comme toujours, un peu moins souvent peut-être mais toujours vers 5 heures du matin, pour écrire sur un sujet d’éternité ou d’actualité, c’était selon, et il y a quinze jours à peine, je recevais un SMS annonçant un papier pour la rentrée, réagissant à un texte publié quelques jours plus tôt dans Présent.

Ce texte, nous ne le lirons jamais.

Et ce fut le dernier message que je reçus de Jean Madiran, l’expression de son vœu le plus cher : continuer d’écrire parce qu’il était fait pour cela comme la mère est faite pour cajoler son enfant ou le vigneron pour faire du bon vin.

Oui, il était de Libourne et aimait le bon vin et je lui demandai un jour – il y a bien dix ans – s’il ne rêvait pas de quitter un jour Paris pour couler une retraite heureuse en Provence ou dans quelque autre coin de France – écrasé de soleil et ruisselant de bonheur de vivre.

Il y avait de la nostalgie dans sa voix et dans sa réponse, la nostalgie de ce que l’on sait ne pas pouvoir obtenir et qu’on désire sans le vouloir dans les faits : il travaillerait jusqu’au bout, me dit-il en substance, il ne quitterait pas Paris, parce que c’était son devoir et que ses raisons d’écrire étaient toujours là.

L’aventure de Présent aura été avant tout la sienne, et il nous laisse un état d’esprit. Il avait ses certitudes et ses combats, et il préférait être fidèle à ce qu’il croyait juste et vrai plutôt que de jouer des compromissions et des ambiguïtés qui auraient parfois pu permettre de ne pas froisser tel public, de ne pas déplaire à tel autre. C’est le fait d’un homme d’honneur.

Non, il ne pensait pas que ses combats fussent terminés. Il prévoyait au contraire une époque plus rude, plus dure que la sienne pour ceux qui resteront fidèles et qui, au nom de la foi, diront non au démantèlement de la raison et de la société, non au refus de Dieu et de sa loi.

J’ai eu la chance de côtoyer ce géant, cette intelligence brillante qui ne dédaignait pas d’apprendre à la « petite classe » de Présent comment l’on devient journaliste, et qui respectait si scrupuleusement notre liberté. Changeait-il un mot dans un de nos articles pour y mettre une expression plus juste ou plus adroite ? Il nous demandait toujours : « Maintenez-vous votre signature ? »

J’ai eu la chance de l’entendre confier sa manière de comprendre l’inspiration, celle qui préside aux bons textes (et Dieu sait qu’il en publia beaucoup – plus de trente livres, d’innombrables articles dans Présent et dans Itinéraires), un mystère qui semblait le dépasser : les pensées, disait-il, lui venaient comme d’ailleurs et de plus haut, sans qu’il puisse s’en glorifier comme émanant de lui-même.

Nous gardons et chérirons de lui cette œuvre qui demeurera et qui est assurément indispensable pour comprendre le triste XXe siècle ; avec son Sac de Rome et son Hérésie spécifique, sa Vieillesse du Monde que fut le communisme et son « soi-disant anti-racisme » qui le continua.

Jean Madiran pouvait irriter avec ses argumentations pointues, ses mots choisis avec une précision d’orfèvre, ses déductions implacables et ses conclusions assassines pour telle tromperie ou telle imprécision. Ce microchirurgien du verbe relevait implacablement les erreurs de logique et les faiblesses de pensée comme les fautes de style, mais c’était le bien de sa patrie et de l’Église qui le mouvait.

Quel homme sérieux et savant, pourrait-on penser. Mais il n’y avait pas de lourdeur chez Jean Madiran. Il se méfiait de ceux qui ne plaisantent ni ne chantent, il avait cet esprit espiègle que l’on trouve dans les monastères – comme le Barroux – chez des moines de soixante ou quatre-vingts ans, et ses yeux bleus pétillaient toujours de malice… Il n’avait pas envie de mourir.

Il attendait le Ciel, sans doute. Ce Ciel qui inquiète les moins confiants, les moins croyants d’entre nous : « Imaginez tout ce que vous aimez sur cette terre, tout ce qu’il y a de plus chouette – eh bien ! au Ciel, c’est pareil, mais en infiniment mieux ! » Mais il aimait cette terre et cette France, au point de ne plus vouloir, depuis quelques années, la quitter pour être sûr de ne pas mourir loin d’elle. Et il aimait sa femme, Michèle, à qui nous pouvons seulement dire aujourd’hui notre immense peine et notre profonde affection, partagée par tous ceux qui doivent tant à Jean Madiran.

Que Dieu l’accueille en son paradis et que, là-haut, il ne nous oublie pas.

JEANNE SMITS

Article extrait de Présent n° 7908 du vendredi 2 août 2013

Bernard Antony : Lourdes, 31 juillet 2013, 20 heures

Présent : L’esprit français

L’hommage de Jean-Marie Le Pen

Caroline Parmentier : L’école Madiran

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Jeanne Smits : Jean Madiran, RIP : l’hommage de “Présent”


Les obsèques de Jean Madiran seront célébrées, ce lundi 5 août à 10 h en la chapelle Notre-Dame des Armées (impasse des Gendarmes) à Versailles, par Dom Louis-Marie, père abbé du Barroux.

jeudi 1 août 2013

Le Roi et la Reine ont quitté l'hôpital Siriraj…



Au large de Hua Hin, le destroyer d'escorte HTMS Pinklao salue d'une salve de 21 coups de canon
Leurs Majestés le Roi et la Reine, présents au palais Klai Kangwon











"ในหลวง-พระราชินี" เสด็จฯ จาก รพ.ศิริราชประทับวังไกลกังวล



"ในหลวง-ราชินี" เสด็จฯ ออกจาก รพ.ศิริราช ประทับวังไกลกังวล [ช่วงที่1]


Le roi Bhumibol Adulyadej et la reine Sirikit quittent Siriraj pour Klaï Kangwon à Hua Hin


Le roi Bhumibol Adulyadej, la reine Sirikit et le prince héritier Maha Vajiralongkorn

L'hôpital Siriraj, en bordure du Chao Phraya à Bangkok

Leurs Majestés le Roi Bhumibol Adulyadej et la Reine Sirikit quittent cet après-midi à 16 heures l'hôpital Siriraj pour leur palais préféré, Klaï Kangwon à Hua Hin… Depuis septembre 2009 en raison d'une santé fragile le Roi résidait à l'hôpital Siriraj, où l'a rejoint la Reine Sirikit depuis août 2012… Toutefois ce séjour à Hua Hin ne serait que temporaire…

Cette sortie annoncée du roi Bhumibol Adulyadej de Siriraj pour son palais de Hua Hin a déclenché une immense vague d'enthousiasme chez les Thaïlandais. Des centaines de milliers d’entre eux se préparent à acclamer le passage du cortège royal tout au long du trajet de Bangkok à Hua Hin. Le roi Bhumibol reste extraordinairement vénéré, authentique héritier des pères de la Nation thaïlandaise… Une fois de plus sera réaffirmé le prestige d’une dynastie issue du XVIIIème siècle consacrant la résurrection du Royaume de Siam après l'effroyable sac d'Ayutthaya par les Birmans. Une fois de plus sera réaffirmée à la face du monde la supériorité de la monarchie sur tout autre régime politique…






Hua Hin se prépare à accueillir Leurs Majestés…


Un aspect du palais Klai Kangwon situé entre Hua Hin et Cha-am


Thai king to leave hospital after four years

Their Majesties to visit Hua Hin on Aug 1

Lire aussi :

Combustões : Entrevista sobre os Portugueses do Sião

lundi 29 juillet 2013

La Voix de la Russie : "Pour le 126e RI la guerre n'est plus en Afghanistan ou au Mali… mais dans les rues de sa ville, Brive"


La France est-elle devenue une nouvelle Tchétchénie ? À quand une intervention de la Sainte Russie ?


Au sommaire de cette édition du 29 juillet 2013 :

- En Hollandie, le 26 juillet est le jour de la libération fiscale des contribuables français
- Comme l'affaire Cahuzac traîne en longueur, reprenez donc un peu de l'affaire Balladur
- Rentré du Mali et d'Afghanistan, le 126e RI doit se battre dans les rues de sa ville, Brive
- 1025e anniversaire de la consécration de la Russie au christianisme
- Manœuvres Russo-Chinoises dans la mer du Japon : un monde multipolaire est plus sûr
- Bulgarie : les médias ne veulent pas parler du socialisme européen qui pourrit tout, alors ils attaquent le patriote Orban en Hongrie
- Le Hezbollah placé sur la liste des organisations terroristes, car il empêche Israël de raser le Liban après la Palestine
- 33 ans après sa mort,le chanteur Vyssotski est toujours le chantre de la liberté pour les Russes
- Sur son plateau moscovite, l'émission "à bâton rompu" reçoit Jérôme Clausen, de l'Agence Française pour les investissements étrangers.


La Voix de la Russie : Contre-enquête interdite


La Voix de la Russie : "Xavier Kemlin : l'homme qui fait trembler le Flanbyland"…





Grand chasseur, qui côtoie président de l'Assemblée nationale, ministres, chefs d'entreprise comme Dassault et tout le beau linge de la Ve République, il n'en manque pas un quand ils franchissent la ligne jaune ou quand il s'agit de défendre les plus petits, les salariés.

Il s'est ainsi fait notamment connaître des medias, en 2011, en entamant une grève de la faim, dans son Audi, devant le siège du groupe Casino, afin de défendre les salariés et obtenir la démission du conseil d'administration de l'époque. Défenseur de la majorité silencieuse contre une minorité financière. Le Pdg Lars Olofson avait dû céder devant sa détermination. Son successeur, Jean-Charles Naouri, avait dû lui-même composer avec cet empêcheur d'enterrer en rond, tant sa force de persuasion et sa détermination avaient impressionné les membres du conseil d'administration.

C'est aussi lui qui avait obtenu la comparution de Daniel Bouton, ex-Pdg de la Société Générale lors du procès de Jérôme Kerviel, dénonçant tout au long du procès l'absence des vrais responsables que furent l'AMF, l'autorité de régulation des marchés, ou encore la direction de la Société Générale, véritables responsables des pertes colossales, supportées par les petits actionnaires et les clients de la Banque.

  Plus largement, c'est à tous les dirigeants d'entreprise qui ont dévoyé le système capitaliste qu'il s'en prend. Des grandes sociétés ou le capitalisme managérial a remplacé l'entrepreneuriat d'hier et où les cooptations dans les conseils d'administration sont faites pour caser les amis plus que dans l'intérêt de l'entreprise. Une pratique largement héritée du secteur public en France, où la consanguinité avec l'administration continue à faire des dégâts réguliers.

  Il est peu connu en France, ses actions étant boycottées par les médias qui appartiennent peu ou prou à tous ceux qu'il dénonce ou égratigne. Et ce n'est pas cette dernière action qui va lui ouvrir les portes des rédactions. Il a tout simplement décidé de porter plainte contre Valérie Trierveiller.

Ceux qui pouvaient rire de son initiative, sont maintenant moins rassurés quant aux fins possibles de l'aventure. Ou Mme Trierveiller est mise en examen pour recel de détournement de fonds publics, ou François Hollande, en concubinage notoire depuis six ans, a fait une fausse déclaration de patrimoine, ce qui le rend inéligible. Vu les succès remportés ces dernières années, dans des actions pourtant jugées perdues d'avance par tous, Xavier Kemlin est peut être l'homme qui va abréger le mandat de François Hollande et venger les 78% de Français qui ne se reconnaissent pas en lui.

D'ailleurs, à force de rencontrer la majorité silencieuse dans ces fameuses "manifs pour tous", Xavier Kemlin a décidé de se présenter à la prochaine élection présidentielle, là encore pour être le porte-parole de la masse silencieuse contre cette caste qu'il connaît si bien.

Indépendant des partis, qui divisent au lieu de rassembler,  il entend mener une campagne fondée sur la réduction des dépenses de l'État de 30%, pour réduire la pression fiscale, afin de relancer l'économie. Au passage, 2/3 des sénateurs et députés passeront à la trappe, ainsi que la moitié des strates administratives françaises.

    Étonnante société civile française qui lasse de voir les politiciens la ruiner, lui mentir, la compromettre, la trahir, trouve en son sein des candidats prêts à remettre un peu d'ordre dans un foutoir bien gaulois, alors qu'ils pourraient vivre tranquillement sur les pentes ensoleillée des bords du lac Léman. Nous ne manquerons pas de suivre la campagne de Xavier Kemlin… … …

La vidéo où Flanby se vante d'avoir été payé à ne rien faire…




La Voix de la Russie : "Contre-enquête interdite"


dimanche 28 juillet 2013

Le prince héritier Maha Vajiralongkorn de Thaïlande fête son 61ème anniversaire




Le Royaume de Thaïlande fête aujourd'hui, 28 juillet, le 61ème anniversaire de Son Altesse Royale le prince héritier Maha Vajiralongkorn… Qu'en cette occasion Son Altesse Royale reçoive nos vœux les plus sincères de bonheur et de santé…

Son Altesse Royale le prince héritier Maha Vajiralongkorn, fils unique du Roi Bhumibol Adulyadej et de la Reine Sirikit Kitiyakorn, est né le 28 juillet 1952 au palais Dusit de Bangkok.

Le Roi Bhumibol et la Reine Sirikit ont quatre enfants, outre leur fils le prince héritier Maha Vajiralongkorn, trois filles nées à Bangkok : Leurs Altesses Royales, l'aînée, la princesse Ubol Ratana née le 5 avril 1951 ; deux cadettes, la princesse Sirindhorn née le 2 avril 1955 et la princesse Chulabhorn née le 4 juillet 1957.

Le prince Maha Vajiralongkorn s'est marié en février 2001 à la princesse Srirasmi Akharaphongpreecha. Le couple princier a un fils, le prince Dipangkorn Rasmijoti né le 29 avril 2005.

Diplômé du Collège Royal Militaire de Duntroon en Australie, le Prince s’est brillamment illustré dans l’Armée royale de Thaïlande avant de connaître rapidement une vaste promotion par son mérite et ses aptitudes à commander.

Le Prince héritier a ainsi été lieutenant-colonel puis Officier commandeur du bataillon des propres gardes du corps du Roi Bhumidol Adulyadej. Le Prince Maha Vajiralogkorn a aussi été enseignant à l’Armée de Commandement et dans les collèges de tous les corps d’armée. On dit de lui que lorsqu’il ne reste pas officier dans l’infanterie, il est un homme plein d’énergie, pilote d’hélicoptère accompli, pilote de jet.

Les nombreux entraînements militaires accomplis en ont fait un expert pour toutes les opérations d’urgence, les exercices tactiques, les stratégies de guérilla, le parachutisme et les vols militaires sur hélicoptère d’attaque.

On le sait protecteur et prévenant envers les hommes qu’il commande, autant que l'exigent plus hautes responsabilités auxquelles son père le Roi Bhumibol le destine pour l'avenir de la Thaïlande.


samedi 27 juillet 2013

La théorie du genre en pratique : le député de la clique à Flanby, Malek Boutih nouvelle Marianne ?


Malek Boutih, ex-président de SOS Racisme et député socialiste de l'Essonne soutient la Femen tunisienne Amina… La réalité c'est que Malek Boutih est vraiment outré du choix de l'Ukrainienne Inna Shevchenko comme nouvelle Marianne sur les timbres de la république… N'est-il pas, lui Malek Boutih, plus représentatif de la république d'aujourd'hui ? Ce en quoi nous serions tout à fait d'accord avec lui… Merci Malek pour cette courageuse et noble revendication ! Une démonstration qui t'honore et signe magnifiquement ton adhésion sans faille aux squatters de la république à Flanby !

Une question se pose - essentielle. Quels sont les benêts qui ont pu élire un con pareil ?




jeudi 25 juillet 2013

La France invertie : la parole à l'innocent converti Mickael "agressé" par la police à Trappes…


Une fois n'est pas coutume : laissons s'exprimer les électeurs à Flanby et lecteurs de Libé… Rires interdits, c'est pas un sketch… Moqueries indécentes, on est en république !