Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
mardi 9 juillet 2013
dimanche 7 juillet 2013
Les 50 ans de sacerdoce du Père Daniel Taillez, missionnaire des Hmong
« Je rêve du jour où le Laos ne suivra plus une idéologie communiste et redeviendra un pays démocratique.
J‘y retournerai travailler… Je crois que je rêve en couleurs ! »
Daniel Taillez
Le Père Daniel Taillez (OMI), ordonné Prêtre en mars 1963, vous invite à participer ou à vous unir par la prière à la messe d'actions de grâces qu'il célèbrera pour le cinquantième anniversaire de son ordination le Dimanche 7 juillet 2013 à 10h30 en l'église Saint Barthélémy à Lesquin près de Lille.
Ce 7 juillet, à 10 h 30, le père Daniel Taillez va célébrer cinquante ans d’ordination sacerdotale à l’église Saint-Barthélemy de Lesquin. Une parenthèse amicale et familiale pour ce missionnaire de 77 ans qui a accepté de poser sa valise quelques jours, avant de reprendre sa longue route aux côtés des Hmong. Un sacerdoce qui l’a entraîné un peu partout dans le monde en un demi-siècle, jusqu’en Thaïlande où il sera de retour début août.
C’est pratiquement sous son aube blanche de communiant que Daniel a senti sa vie basculer. Ou tout au moins, qu’il se passait quelque chose en lui. Quelques jours plus tard, le vicaire de Lesquin lui a confirmé ce qu’il pressentait déjà : « Il m’a dit que ce serait bien de commencer des études pour me préparer à être prêtre », se souvient le père Taillez dont la mémoire ne comporte aucune faille. Ces mots ont raisonné comme une évidence dans l’esprit de ce jeune garçon de onze ans, ravi d’annoncer la nouvelle à ses parents. « Mon père était aux champs, j’ai trouvé maman seule. Quand je lui ai demandé ce qu’elle en pensait, elle a fondu en larmes et m’a embrassé. C’était un honneur pour notre famille très croyante, car on ne choisit pas de devenir prêtre, on est appelé. »
Heureux d’avoir trouvé sa voie, Daniel a vécu sa scolarité comme une formalité : le collège à Notre-Dame des Anges de Saint-Amand, le bac philo chez les Oblats de Marie immaculée et enfin, le noviciat avant six années de grand séminaire. Après avoir également bouclé ses 28 mois de service militaire, il a été ordonné prêtre le 17 mars 1963 à l’église de Lesquin qui l’avait vu naître à la foi et s’y épanouir. Quelques mois plus tard, le missionnaire était envoyé au Laos, où, après 28 jours de bateau, il a entamé une aventure qui allait à jamais marquer sa vie. Car c’est en arrivant là-bas qu’il a découvert le peuple Hmong, auprès de qui il travaille encore aujourd’hui à travers le monde. « J’ai tout de suite aimé leur accueil, leur sympathie. Et leur bienveillance. La simplicité appelle la simplicité dans les rapports humains… »
Jusqu’en 1975, le prêtre s’est chargé de former des catéchistes dans la capitale laotienne, Ventiane. Et puis il a dû plier bagages pour fuir une situation politique délicate. Après un bref retour en France, il s’est envolé pour deux années en Haïti d’où lui reviennent encore des paroles de cantiques chaleureux. Rappelé dans l’Hexagone pour accompagner des réfugiés hmongs, il a ensuite répondu à l’appel d’un catéchiste du même groupe ethnique implanté à Saint-Paul, dans le Minnesota. « J’y suis resté vingt ans pendant lesquels j’ai visité de nombreuses communautés à travers tous les États-Unis, confie l’homme d’église lesquinois. À Saint-Paul, j’ai beaucoup travaillé à l’instruction des familles. Lors du week-end pascal de 1983, nous avons baptisé 145 personnes. C’est l’un des grands moments de ma vie. »
Désormais, ce guidage se fait également par radio. Le père Taillez est un homme de son temps qui maîtrise les nouvelles technologies : depuis 2001, il prépare des programmes radiophoniques en langue hmong, d’abord aux Philippines, puis en Thaïlande où il est arrivé en décembre 2011 pour se rapprocher des communautés. « Je vis à 350 km au nord de Bangkok. Du lundi au vendredi, je suis à l’office et j’envoie mes émissions par internet. Et du vendredi au dimanche midi, je rejoins le village de Houaï Saï où j’évolue chaque jour un peu plus, confie-t-il, perdu dans ses pensées. Après tout ce temps, toutes ces rencontres, je ne suis plus le même chrétien que lors de mon ordination en 1963. Les choses se sont simplifiées dans mon esprit, je vis un continuel renouvellement. Je suis très reconnaissant à Dieu de cet apostolat missionnaire parce que la première personne à en avoir bénéficié, à avoir été aidé spirituellement, c’est moi. »
Et si la cérémonie organisée aujourd’hui lui rappelle que le temps passe, le prêtre n’a pas l’intention de raccrocher le micro et la soutane de sitôt. À 77 ans, il lui reste encore des choses à accomplir. « J’ai reçu récemment une proposition de retraite aux États-Unis, j’ai failli avoir une attaque quand je l’ai lue. Ce n’est pas envisageable pour le moment. » D’autant que Daniel Taillez aimerait profiter d’une ultime mission, pour boucler la boucle. « Je rêve du jour où le Laos ne suivra plus une idéologie communiste et redeviendra un pays démocratique. J‘y retournerai travailler, murmure-t-il, avant de soupirer. Je crois que je rêve en couleurs ! »
Aumônerie Catholique des Hmong de France - Hmoob Kav Tos Liv Fab Kis Teb - www.aumoneriehmong.fr
Radio Veritas Asia : Voice of Asian Christianity
Soutien au peuple Hmong
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Les Hmong sont des immigrés laotiens, évangélisés par des missionnaires européens dans les années 50 puis réfugiés en Guyane en 1977. Dans quelles conditions s'est faite leur conversion ? Comment les nouvelles générations concilient-elles la foi catholique aux valeurs traditionnelles de leur peuple ?
samedi 6 juillet 2013
De qui se moque Flanby, fossoyeur des valeurs ancestrales françaises ?
Bien sûr que ce sont les institutions qui sont en cause… Bien sûr que le Conseil constitutionnel n'est qu'un organe politique dont les membres sont désignés exclusivement selon les affinités des présidents du sénat, de l'assemblée nationale, de la république… Bien sûr que le Conseil constitutionnel ne dit pas objectivement le droit mais fait des choix politiques… Bien sûr que Flanby est dans son rôle partisan lorsque qu'il défend une institution dont les décisions le servent… Souvenons-nous de cette déplorable approbation, le 16 mai dernier, par un Conseil constitutionnel en l'occurrence bien peu "sage" d'un "mariage" pour paires pédés ou gouines et ses conséquences irresponsables quant aux enfants abandonnés aux plaisirs d'homosexuels…
Dominique Jamet : Oui, Sarkozy est victime d’une décision politicienne
vendredi 5 juillet 2013
Guillaume Zeller : "Oran 5 juillet 1962, un massacre oublié"… une nouvelle Saint-Barthélémy
Petit-fils d'André Zeller, l'un des quatre valeureux généraux organisateurs du putsch contre DeGaulle pour la sauvegarde de l'Algérie française en 1961, Guillaume Zeller a servi en 1996 aux archives orales du Service historique où il s’est initié à la recherche de sources bibliographiques et de témoins éminents. Il se réfère en particulier à Monneret, Jordi, Paya, Faivre , Ducos-Ader, Herly, Jeanneney.
Il rappelle d’abord l’origine d’Oran la radieuse, après les implantations phéniciennes et romaine. Fondée en 903 par des marins musulmans aux ordres des califes de Cordoue, elle recueille l’émigration de juifs espagnols, jusqu’à ce qu’en 1509 Isabelle la catholique ne prenne la ville. Occupée en janvier 1831 par le colonel de Damrémont, la ville connaît un développement prodigieux, passant de 2 750 à 433 000 habitants (dont 220 000 musulmans) en 1950 ; c’est alors un mélange d’ethnies qui pratiquent le vivre ensemble comme l’a montré J.-P. Lledo.
Troublée en 1949 par le hold-up de la poste, la ville n’est pas un des points forts de la rébellion, jusqu’aux exactions exercées par Boussouf, chef de la wilaya 5 agissant du Maroc ; le 14° RCP, les harkis, les autodéfenses et les unités territoriales préservent la ville de la violence ; Oran participe au sursaut du 13 mai, puis bénéficie des succès du plan Challe sous la direction du général Gambiez ; les katibas d’Oranie sont éliminées, et le colonel Lotfi est tué en mars 1960.
Le changement de la politique gaulliste provoque la révolte des ultras, à Mostaganem puis à Oran en mars 1961. Des militants de l’OAS très actifs mettent la ville en état de siège, sous la direction nominale du général Jouhaud, concurrencé à l’occasion par Gardy et Argoud. Le général de Pouilly refuse de participer au putsch. La volonté de Jouhaud d’éviter les ratonnades n’est pas respectée. 1.100 attentats par explosifs, 109 attaques, des voitures piégées et des tirs au mortier font 137 morts dont 32 des forces de l’ordre. Prenant le commandement du Corps d’armée après l’assassinat du général Ginestet, le général Katz engage les gendarmes mobiles contre la population ; il collabore avec Si Bakhti, représentant le FLN, qui riposte en faisant enlever des Européens (74 disparus d’avril à juin 1962). La violence redouble après le cessez-le-feu, les citernes BP sont incendiées. Enfin le colonel Dufour impose la fin des combats le 26 juin, et le retrait des commandos. Une cérémonie de réconciliation réunit Si Bakhti, l’évêque Lacaste et de nombreux notables le 30 juin.
Guillaume Zeller décrit dans le détail la chasse à l’homme qui se déroule le 5 juillet à partir de 11h15. Des coups de feu non localisés entraînent des meurtres en masse ; raflés dans leurs appartements, des dizaines d’hommes et de femmes sont emmenés au « petit lac » et lynchés par la populace ; certains sont vidés de leur sang dans des cliniques improvisées. Quelques musulmans sauvent la vie de leurs connaissances.
L’auteur énonce plusieurs hypothèses explicatives : - une opération montée par une bande de délinquants (Mouedenne Attou) - une manoeuvre du camp Boumediene-Ben Bella visant à déstabiliser le GPRA – un phénomène d’hystérie collective.
L’inertie du légaliste Katz, qui dispose de 6 000 gendarmes et policiers, et 18 000 militaires, est incompréhensible, il consigne les troupes et attend 14h20 pour faire intervenir les gendarmes mobiles. Certains officiers ont sauvé l’honneur, comme les capitaines Kheliff et Croguenec. Mais il n’y a pas eu d’assistance à personnes en danger de mort. Le bilan reste lourd et difficile à préciser, allant de 365 à 679 morts sans sépulture, selon les auteurs.
Ce remarquable travail d’historien met en évidence les carences de l’administration, qui a demandé des enquêtes sans user de rétorsion, et n’a pas mis en place les outils juridiques nécessaires pour apaiser le deuil des familles.
Préface de Philippe Labro, éditions Tallandier, 2012, 224 pages, 16,90€.
Listes des disparus en Algérie mises à jour à la date du 24 mai 2013
ASSEMBLÉE NATIONALE XIV LÉGISLATURE
PROPOSITION DE LOI
visant à reconnaitre le massacre de la population française à Oran le 5 juillet 1962
présentée par MM LUCA, ABOUD, MARIANI, MEUNIER, VITEL, CHRETIEN, BROCHAND, FURST, GUIBAL, POISSON
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Le 5 juillet 1962, restera la date d’une tragédie pour les Européens installés en Algérie lorsqu’elle était Française.
Le journaliste Georges-Marc Benamou a écrit à juste titre, « le massacre du 5 juillet d’Oran semble être un évènement clandestin, discutable, fantasmé, et dont les seuls survivants se repassent le souvenir. Aucune étude historique définitive. Pas de véritable investigation. Peu de livres. Pas une plaque, nul hommage officiel de la République ».
La reconnaissance, en octobre dernier par François Hollande, de la responsabilité de la France dans la tuerie d’Algériens à Paris en octobre 1961, semble être une pierre de plus dans cette volonté d’ignorer celles et ceux qui ont payé de leur vie le fait d’être Français durant cette période.
Le 5 juillet 1962 il reste à Oran, environ 100 000 européens.
Les accords d’Évian du 18 mars 1962 ont fixé la date du cessez-le-feu au 19 mars entre le FLN et la France et le principe d’indépendance de l’Algérie.
À compter de cette date, massacres de harkis, enlèvements d’Européens contraints de traverser des quartiers musulmans pour se rendre à leur travail, se multiplient faute de patrouilles militaires.
Dès lors, la population civile française terrorisée comprend la fragilité de son statut défini par les accords d’Évian, son manque de protection, dont la seule issue est l’exode massif en métropole.
Si l’exode s’organise, celui-ci est très vite ralenti, faute de moyens suffisants, terrestres et aériens, pour assurer le retour sur le continent de toutes les familles, qui, effrayées par les exactions, tentent de fuir un territoire qu’elles ont aimé.
Le 3 juillet 1962, après le référendum organisé en Algérie, le général DeGaulle reconnait officiellement l’indépendance de l’Algérie et le transfert de la souveraineté à l’Exécutif provisoire algérien.
La proclamation de cette indépendance est prévue pour le 5 juillet, date du 132ème anniversaire de la prise d’Alger par les Français en 1830.
Cette journée sera une journée dont l’histoire restera à jamais écrite avec le sang d’innocents, lynchés sur la place d’Armes d’Oran, tués à coup de fusils ou de couteaux.
Les témoignages recueillis sont accablants ; les chiffres varient de quelques centaines à quelques milliers de victimes.
À la douleur des souffrances vécues, s’est ajoutée au fils des ans, la douleur de l’inacceptable oubli de ce massacre.
Certains, pourtant, se sont élevé pour que les Français d’Algérie, sacrifiés à des dessins politiques, ne le soient pas par l’indifférence qui confine à la négation des faits.
Le Révérend Père Michel de Laparre, présent lors des massacres, fut l’un des premiers à publier en 1964 « Le Journal d’un prêtre en Algérie », relatant les heures durant lesquelles les Français furent massacrés dans les rues du centre-ville, sans qu’intervienne ni l’armée, ni les gardes mobiles, pourtant encasernés en grand nombre dans les différents bâtiments militaires, lycées ou collèges, et qualifiant cette journée de « journée de honte ».
Jean-Jacques Jordi, dans son livre « Un Silence d’État : disparus civils et européens de la guerre d’Algérie » retrace les évènements de ce 5 juillet 1962, où hommes, femmes, enfants furent lapidés, égorgés, torturés, sur la place publique, sans que l’armée française n’intervienne pour les sauver.
Plus récemment, Guillaume Zeller, dans son livre publié en 2012 « Oran, 5 juillet 1962, un massacre oublié » pointe du doigt cette ignorance voulue jusqu’au plus haut sommet de l’État.
Qualifiée par l’auteur de « nouvelle Saint-Barthélémy », le massacre d’Oran, grâce à sa position de journaliste, sort peu à peu de l’ombre, touche le grand public, et fait reculer le déni historique.
Reste l’État français, qui a fait sienne une théorie fort connue en psychanalyse : « ce qui n’est pas dit, n’existe pas ».
Ce massacre collectif, rendu possible par une passivité coupable au plus haut niveau de l’État, a volontairement été occulté par les protagonistes qui n’avaient aucun intérêt à la vérité.
Ce massacre collectif, rendu possible par une passivité coupable au plus haut niveau de l’État, a volontairement été occulté par les protagonistes qui n’avaient aucun intérêt à la vérité.
Mais, comme le souligne Jean-Pierre Pister, agrégé d’Université, professeur de chaire honoraire à l’université de Nancy, « l’Histoire, la vraie, celle qui n’est pas falsifiée, ni par les idéologies, ni par les raisons d’État, finit toujours par s’imposer ».
Ce massacre qui a blessé dans leurs chairs les Français d’Algérie, mais qui blesse aussi aujourd’hui les Français qui n’ont pas vécu ces évènements, doit être enfin reconnu par l’État français qui ne peut plus s’extraire d’une mémoire collective, dont il doit être le gardien, et qui est aujourd’hui partagée par des historiens, des journalistes, des écrivains…
Il n’est que temps que la République française honore les victimes innocentes dont le seul tort fut d’être françaises, ou d’avoir servi la France le 5 juillet 1962 à Oran.
Il vous est ainsi soumis la proposition de loi suivante :
PROPOSITION DE LOI
Article unique :
La République française reconnaît le massacre de la population française du 5 juillet 1962 à Oran.
Oran 5-Juillet-1962… Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD
Voici encore, une fois de plus, le si tragique anniversaire du 5 juillet 62 à Oran qui arrive…
Dans le calendrier de l'ADIMAD (cliquez sur le texte pour l'agrandir) vous pourrez constater que si le temps passe, les Français d'Algérie n'oublient pas le génocide commis par les alliés du plus grand traître de l'histoire de France l'infâme criminel compulsif DeGaulle, et son valet Katz… Ce sont plus de trente commémorations dans toute la Métropole qui se tiendront…
Dans le calendrier de l'ADIMAD (cliquez sur le texte pour l'agrandir) vous pourrez constater que si le temps passe, les Français d'Algérie n'oublient pas le génocide commis par les alliés du plus grand traître de l'histoire de France l'infâme criminel compulsif DeGaulle, et son valet Katz… Ce sont plus de trente commémorations dans toute la Métropole qui se tiendront…
Soyons nombreux à montrer que nous sommes toujours là !
(cliquez sur le texte pour l'agrandir) |
Stand de l’ADIMAD à Uzès lors de la journée des Algérois le 9 juin 2013 |
Pour soutenir l'ADIMAD… sa boutique de la mémoire ! (cliquez sur le texte pour l'agrandir) |
Pour découvrir les dessins humoristiques de notre Camarade de combat, Pinatel : http://www.dessins-de-pinatel.fr/
http://www.dessins-de-pinatel.fr/ |
jeudi 4 juillet 2013
Quand Morsi dégage, Flanby bafouille, merdouille, déconnouille encore et toujours…
Flanby valet des USA : conséquence arrestation rocambolesque du président de Bolivie Evo Morales en Autriche après que la France et ses complices du jour Portugal et Italie aient fermé leur espace aérien à la demande pressante des USA. Evo Morales était soupçonné par les USA et par la France d'exfiltrer Edward Snowden activement recherché par les USA pour avoir mis au jour leur espionnage universel, et notamment de l'Europe… Flanby, un jour fâché très fâché, le lendemain copain soumis très imbécilement soumis des USA…
© Martirena, Cuba |
Avion de Morales : embarrassée, la France exprime ses regrets !
Página Siete : Una ofensiva decisión contra Bolivia
La Prensa : Un atentado inaceptable contra el país
El Telégrafo : Cuidado, caen las máscaras, aparecen los dientes
Diario La República : Es la hora de la dignidad continental
Página 12 : “Vestigios de colonialismo que genera humillación” : CONMOCION MUNDIAL POR LA DETENCION ILEGAL DEL AVION DE EVO MORALES EN EUROPA. LA UNASUR REALIZARA HOY UNA CUMBRE DE PRESIDENTES.
La Nacion : La UE, del fastidio al papelón
Los Tiempos : Evo fustiga a países de la UE
Morsi destitué, l'Égypte en liesse… Et vive les vacances sur les routes de France !
Quand les jeux seront faits, le vainqueur sera… le président Bachar al-Assad ! |
"On ne peut tromper tout le monde tout le temps. Alors, comment peut-on tenter de le faire avec le peuple égyptien dont la civilisation remonte à des milliers d’années et qui est porteur d’une pensée nationale arabe claire ?"Président Bachar al-Assad
Morsi destitué, le Caire en liesse… C'est le 14-Juillet !
L'armée a provisoirement suspendu la constitution. Le pays va être dirigé par un gouvernement d'experts dans l'attente de nouvelles élections.
L'armée égyptienne a renversé l'islamiste Mohamed Morsi, mercredi, après une année tumultueuse. La constitution égyptienne a été provisoirement suspendue et le président Mohamed Morsi va être remplacé à la tête de l'État par le président de la Cour constitutionnelle, a annoncé le chef de l'état-major de l'armée égyptienne. Dans une déclaration à la télévision, le général Abdel Fattah al Sisi a annoncé que l'Égypte allait être dirigée par un gouvernement d'experts et qu'une commission serait chargée de réviser la constitution.
Et vive les vacances sur les routes de France… Au pays des donneurs de leçons, la Révolution et les ronchonneries ça peut attendre !
Pendant tout l'été
Sur les routes on a roulé
C'est papa qui conduisait
C'est maman qui rouspétait
Prends garde au camion
Y a les p'tits, fais attention
Pas question d'accélérer
Et tout le monde nous doublait
Oui vraiment la vie est dure
Il fait chaud dans leur voiture
On s'en va à l'aventure
On n'sait même pas
À quelle heure on mangera
Vive les vacances
Vive l'insouciance
Les jours d'affluence
Sur les routes de France
Les embouteillages
D'péage en péage
Une panne d'allumage
Arrêt au garage
À peine arrivés
Y a les sacs à décharger
Comme les grands sont fatigués
C'est nous qui d'vons les porter
L'hôtel est tout p'tit
Une chambre pour toute la famille
Et pour les enfants
Désolé, y a plus d'lits d'camp
Y a papa qui ronfle la nuit
La p'tite sœur qui fait pipi
On est tous dans le même lit
C'est pas une vie
Vite, rentrons à Paris
Vive les vacances
Vive l'insouciance
Les jours d'affluence
Sur les routes de France
Les embouteillages
Dans les ptits villages
Une panne dembraillage
Arrêt au garage
Sur la plage ensoleillée
Partout où on met les pieds
On s'retrouve tout englué
C'est à cause des pétroliers
Quand on trouve un endroit sec
Vite, on étale sa serviette
En faisant bien attention
D'pas la mettre sur les tessons
Les pieds dans l'eau on s'amuse
En employant mille ruses
Pour éviter les méduses
C'est amusant
Ça fait passer le temps
Vive les vacances
Vive l'insouciance
Les jours d'affluence
sur les routes de France
retour de la plage
Les embouteillages
une panne de frénage
Arrêt au garage
Arrêt au garage
Morsi, les frères musulmans - Flanby, les francs-maçons… Rébellion ! تمرد Tamarod !
mercredi 3 juillet 2013
Les "Antifas", apprentis miliciens de Flanby, des francs-maçons et des activistes homosexuels provoquent une assemblée de Veilleurs…
Une bande d'Antifa, apprentis miliciens de Flanby des francs-maçons et des activistes homosexuels, provoque les Veilleurs…
Alors que les Veilleurs s’étaient installés bien sagement devant la mairie de Paris, ce mercredi 3 juillet, un groupe d’Antifas est arrivé avec drapeaux pédés-gouines et pancartes pour brailler leurs slogans éculés : « Homophobes ! Assassins », « Fachos, natios, cathos : hors de nos vies ! »
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