Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 3 juin 2013

Kei Nishikori : superbe victoire contre un public français hostile… et un entraîneur tricheur !


Rafael Nadal : "J'ai beaucoup de respect pour Kei, c'est un joueur fantastique".

Roland-Garros, 31 mai : Magistrale victoire de Kei Nishikori, le Rafael Nadal du Japon, contre un public d'une extrême hostilité voire raciste et Lionel Zimbler, un entraîneur tricheur… Un superbe 6… 1 pour la dernière manche : un Japonais ne fait jamais perdre la face à l'adversaire !


À Roland-Garros, Rafa fête ce 3 juin ses 27 ans

Ce lundi 3 juin Rafael Nadal fête ses 27 ans, comme il en a pris l'habitude loin de Manacor à Roland-Garros… Il s'offre en ce jour-là - et nous offre - un superbe match avec Kei Nishikori… Deux joueurs parmi ceux qui s'estiment le plus sur le circuit de l'ATP. Un Rafael Nadal qui ne tarit pas d'éloges à l'égard de Kei… Un seul regret, ce n'est pas encore cette année que nous aurons la plus belle finale qui pour l'heure puisse s'imaginer à Roland-Garros : Rafael Nadal-Kei Nishikori ! Laissons Rafa s'exprimer à propos de Kei :
"C'est un joueur très talentueux. Je sais à quel point il est dur de revenir après une blessure. Il en a eu une importante dans le passé, et le voilà de retour à son classement le plus haut. Il joue bien, il a de bons résultats. Il a gagné un match compliqué contre Paire. Je joue toujours avec beaucoup de respect contre Kei. C'est un joueur fantastique. Il peut jouer avec beaucoup d'agressivité."








dimanche 2 juin 2013

L'Europe orthodoxe entre en croisade contre le terrorisme islamiste en Syrie



Plusieurs milliers de réservistes se sont inscrits dans le corps des volontaires russo-ukrainiennes qui se rendront en Syrie pour combattre les extrémistes islamiques, nous informe la revue Novii Region.

À l'origine de la création de ce corps de volontaires un vétéran du service du renseignement ukrainien, le lieutenant-colonel Sergei Razoumovski. Son appel pour rejoindre le détachement militaire et qui a été publié dans les médias, a eu un certain écho et a attiré beaucoup de bénévoles de la Fédération de Russie, de Biélorussie, de Moldavie et de l’Ukraine.

Cette initiative du Colonel Razoumovski est née avec le bombardement de l’Armée syrienne par l’aviation israélienne et a été enflammé par la levée de l’embargo de l’UE sur les livraisons d’armes à l’opposition syrienne, et le franchissement de la frontière entre la Turquie et la Syrie par le sénateur républicain John McCain pour rencontrer les terroristes d’Al-Qaïda qui sont sous le commandement de Salim Idris, le chef de l’armée de libération de la Syrie.

Selon Sergueï Razoumovski, les volontaires s’inscrivent pour se rendre en Syrie, comme en 1876-1877, où des volontaires et des personnes de la population orthodoxe faiblement armées se mirent aux côtés de l’armée russe pour se battre pour l’indépendance de la Roumanie, la libération de la Bulgarie, la Serbie et la Grèce du joug ottoman. "Quand la Bulgarie avait été noyée dans le sang par les Turcs, les volontaires étaient arrivés de toute la Russie. Ces gens ne viennent pas pour des rations, des médailles ou des récompenses, mais pour défendre la foi orthodoxe ", a déclaré Razoumovski.

Le corps des volontaires de la paix dirigés par le lieutenant-colonel Sergei Razoumovski pourraient jouer un rôle important dans les événements qui se déroulent au Moyen-Orient parce qu’il est déjà structuré en catégories comme une force armée, où prédominent des experts dans l’exploitation et la maintenance technique des systèmes d’armes les plus modernes. Parmi eux, il y a, en plus, les redoutés parachutistes et d’anciens combattants des forces spéciales OMON, (vétérans des combats de rue et de la lutte anti-insurrection en Tchétchénie et en Afghanistan), parmi lesquels on trouve des équipes d’élites qui ont opéré dans le passé au sein des systèmes de défense antiaérienne, russes S-200 et S-300, les systèmes de missiles de croisière supersonique 3M-54 Klub, P-700 Granit, P-800 Oniks, et subsonique Kh-555/Kh-101 (portée 3000 km), des batteries d’artillerie de haute précision avec des projectiles à guidage laser "Krasnopol" et "Kitolov-2M" et des missiles sol-sol OTR-23 Oka (portée 500 km). Une fois en Syrie, ils n’auront besoin d’aucun temps d’adaptation et seront d’emblée opérationnels sur les systèmes S-300 et autres armes modernes complexes, devenant dans le même temps des instructeurs pour les militaires syriens.

Selon l’instigateur de l’action, les autorités syriennes auraient offert aux volontaires la citoyenneté du pays, eux et leurs familles et leur auraient proposé de contribuer financièrement à l’achat de leur maison (après la guerre). L’auteur de l’appel affirme qu’il a l’intention d’adresser un message au responsable du gouvernement syrien et au commandant de la Flotte russe de la mer Noire pour aider aux déplacements des volontaires.

Il est possible que l’initiative de paix des volontaires s’étende et gagne des adeptes dans les anciens états communistes, qui sont maintenant membres de l’OTAN, en raison du cynisme exprimé par les États-Unis vis-à-vis des soldats de ces pays pendant la phase de pré-adhésion. Par exemple, les États-Unis ont imposé à la Roumanie, comme condition d’intégration à l’OTAN, de réduire sa structure défensive à 25% de ce qu’elle était en 1996. De 1997 jusqu’en 2004, lorsque la Roumanie a rejoint l’OTAN, 86 unités militaires ont été fermés, en particulier ceux équipés de la technologie la plus moderne à ce moment-là.

À la suite de cela, en 1998, les batteries S-125 (Neva / Petchora) 2A (portée 35 km, altitude maximale 18 km), entrées en dotation de l’armée roumaine en 1986, ont été « données » à Israël. Notez que le 27 mars 1999, un vieux missile S-125 a abattu un avion « furtif » américain F-117 dans la localité yougoslave Budjanovci et la version Pechora-2M a été extrêmement efficace dans la lutte contre les missiles de croisière. L’objectif des États-Unis était de disposer des armes produites à l’Est pour alimenter les guerres civiles sur le continent africain, en particulier en Angola En voici la preuve :



Les intermédiaires de telles transactions illégales d’armes qui violaient l’embargo sur les armes imposé par l’ONU, étaient des officiers de l’armée israélienne, originaires de Roumanie. L’un d’eux était le lieutenant-colonel Shimon Naor auquel les autorités roumaines ont émis, en plus, un passeport roumain au nom de Simon Herscovici. Né le 19 octobre 1949 à Galati, il a fait une brillante carrière militaire dans l’armée israélienne, en participant aux guerres israélo-arabes et formait un tandem avec le col. Oliver North (conseiller militaire du président Ronald Reagan) impliqué dans l’opération Iran Contra (Irangate) en 1986.


Cette aventure profitable uniquement pour les États-Unis et Israël au détriment de la Roumanie, a fait que, de 38 000 officiers roumains actifs il n’en restait plus que 19 000 et de 37 000 sous-officiers on est passé à 23 000. Plus de 30 000 officiers et sous-officiers roumains qui étaient en fait de véritables professionnels, furent limogés laissant l’armée sans opérateurs pour les systèmes des armes modernes. Des situations similaires se trouvent en Bulgarie, Hongrie, République tchèque, Slovaquie, Pologne, les ex-républiques yougoslaves de Slovénie et de Croatie, tous membres de l’OTAN mais aussi en Moldavie, Ukraine, Monténégro, Biélorussie, Géorgie et l’Azerbaïdjan, qui ne sont pas membres de l’OTAN. Notez que dans la plupart de ces pays les réservistes ont constitué leurs propres structures syndicales, reliées entre elles, ce qui leur donne une autonomie maximale de décision.

La Voix Arabe Libre : le journal de Syrie en français du 1er juin 2013…


Salut de paix et de confiance en la victoire finale du Président Bachar el-Assad



La victoire est proche… Sur tout le territoire de la République Arabe Syrienne, l’Armée arabe syrienne prend à la gorge les terroristes envoyés, armés, entretenus par l'axe Israël Qatar USA France Grande-Bretagne… À Qousseir, les renforts venus de l'étranger se sont avérés inefficaces… L’Armée arabe syrienne ne cesse d'extirper des tunnels des dizaines de terroristes blottis dans leurs trous à rats. Désormais les heures du terrorisme sont comptées en Syrie… Arroseur arrosé, voilà qu'en Turquie, c'est Erdogan qui ne trouve plus le sommeil


Alexandre Latsa : Guerre en Syrie : victoire de la realpolitik et défaite du mainstream médiatique ?

Сe 22 mai 2013, l’armée Syrienne semble en passe de remporter une bataille locale importante, en reprenant le contrôle d’un des principaux bastions de l’opposition, la ville de Qousseir. Cette victoire militaire, qui devrait être confirmée dans les jours qui viennent, arriverait alors que l’État Syrien a repris le contrôle de plusieurs dizaines de localités ces dernières semaines.

Cette chute de Qousseir, qui résiste au régime depuis plus d’un an, serait stratégique pour l’État Syrien et lui permettrait de couper la principale route d'approvisionnement des rebelles dans le centre de la Syrie. L’Armée Syrienne devrait ensuite vraisemblablement concentrer ses forces sur Homs, ville que près de 80 000 chrétiens ont fui depuis le début de la guerre et ainsi plausiblement reprendre le contrôle du centre du pays.

On peut imaginer qu'ensuite, le régime décide d’en finir avec Alep et lance un assaut décisif pour reprendre cette ville partiellement aux mains des rebelles, réduisant ainsi à néant toute possibilité pour ces derniers d’en faire un bastion du nord, pourquoi pas même la pré-capitale d’une région indépendante du nord. Le régime syrien avait du reste lui-même qualifié la bataille d’Alep, qui a commencé en juillet 2012, de mère des batailles.

Ce faisant, le régime resterait sur la tactique qui est la sienne depuis le début du conflit, c'est à dire garder le contrôle des villes et refouler les rebelles dans les campagnes, les empêchant ainsi d’exercer tout contrôle politique.

Il semble donc bien que le gouvernement syrien reprend lentement l'avantage, une situation que la presse occidentale n’arrive même plus à maquiller, après avoir proclamé et martelé pendant deux ans et demi, depuis le début de la guerre civile, que la défaite d’Assad était évidente, certaine et toujours très proche. Cette situation remet de nouveau sur la table le projet de négociations internationales sur la question syrienne.

Toutefois, c'est une équation totalement nouvelle qui apparait pour ces éventuelles négociations internationales. L'image médiatique de l'opposition en Syrie s'est beaucoup dégradée, sans doute au grand dam de ses sponsors. On parle moins d'opposition démocratique, on décrit maintenant des groupes djihadistes sans coordination, et les multiples vidéos de tortures et massacres commis par certains de ces groupes armés ont semble-t-il considérablement porté atteinte à la détermination de nombre de pays occidentaux d’armer ces mêmes groupes.

Peu à peu, une scission semble s’être en effet créée au sein des partisans du départ d’Assad, qui forment une étrange coalition entre des états occidentaux (Amérique, Israël et nations européennes) et des pays islamo-sunnites, Qatar en tête. Pour les premiers, l’absence d’une opposition politique modérée (laïque titrait même le New York Times) avec la rébellion qui n'arrive pas à contrôler le terrain, et ce malgré deux ans et demi de guerre, pose un réel problème de tactique diplomatique. Pour les seconds visiblement, la montée en puissance du Front Al-Nosra ne semble pas être un problème et l’organisation, qui a affirmé son rattachement à Al-Qaïda, vient d’ailleurs de faire des émules puisque l’opposition syrienne comprend désormais également une brigade Oussama-Ben-Laden.

Sur le terrain il est sans doute encore très prématuré de parler d’une potentielle victoire d’Assad, militaire ou politique, ou de dire que la Syrie ne se dirige pas vers une partition de fait. Mais sans intervention militaire étrangère, on imagine mal comment l’armée syrienne, qui a désormais elle aussi le soutien de milliers de combattants étrangers (notamment du Hezbollah) ainsi que directement de l’Iran pourrait perdre cette guerre.

Il y a même une hypothèse selon laquelle la guerre pourrait continuer, même en cas de départ ou d'élimination physique d’Assad, ce reportage d’un journaliste anglais tente de l’expliquer. Cette situation militaire redonne du poids à la position diplomatique russe qui depuis le début de la crise prône une solution politique. La plupart des états qui travaillent sur le dossier syrien sont sans doute convaincus qu’une défaire militaire totale d’Assad semble de moins en moins probable, malgré les certitudes récentes du MAE français Laurent Fabius qui n’en finit plus de ridiculiser la diplomatie française durant ce conflit.

Il reste l'idée d'une intervention militaire sur le scénario Libyen, mais visiblement ce n’est plus à l’ordre du jour et cette fois la diplomatie russe ne la laisserait pas se mettre en place. La solution diplomatique et politique semble prendre forme puisque des sources diplomatique affirment que Damas a désigné des représentants chargés de négocier avec l'opposition en vue d’une conférence sous égide russo-américaine devant faire suite à celle qui s'est tenue le 30 juin 2012 à Genève.

Finalement, le conflit syrien qui était présenté comme une lutte de démocrates contre une dictature a complètement changé de visage. Ce délire absolu du mainstream médiatique français, qui a lui par contre totalement perdu cette guerre, ne tient plus aujourd’hui et on voit désormais bien qu'il s'agit d'une guerre stratégique contre l’État syrien, soutenue de l’extérieur, pour que l’axe chiite (Liban-Syrie-Iran-Sud de l'Irak) perde son influence régionale.

La guerre en Syrie pourrait donc faire apparaitre des réalités inattendues : Marquer le point d’arrêt définitif du printemps islamiste que la région connaît ? Faire échouer la politique anti-chiite développée par les Occidentaux en collaboration avec leurs alliés sunnites ? Confirmer le statut de la Russie comme protectrice des chrétiens d’Orient et des minorités en Syrie, en lieu et place de l’Europe ?





Échos du Bhoutan… ce 31 mars les Bhoutanais votaient pour le seconde fois de leur histoire


13 octobre 2011 : Mariage royal à Punakha, dans l'intimité d'une Nation… Le roi Jigme Khesar Namgyel Wangchuck, 31 ans, épouse Jetsun Pema, 21 ans, nouvelle reine du Bhoutan… Aucun représentant officiel d'un pays étranger n'était invité…






Le 24 mars 2008, pour la première fois les Bhoutanais votent en masse pour l'élection de leur Assemblée nationale




31 mai 2013 : Les Bhoutanais sont appelés à voter pour le renouvellement de leur Assemblée nationaleL'enthousiasme est tombé ! Au Royaume du bonheur, les partis politiques n'ont pas vraiment convaincu…








Mariage royal dans l'intimité nationale au dzong de Punakha… "Tashi Delek" !

Visite au dzong de Punakha

Bhutan Royal Wedding: ‘Dragon King’ Marries Commoner

Élections au Bouthan, « royaume du bonheur »

Élections 2013 au Bhoutan : décryptage d’une démocratie en construction



samedi 1 juin 2013

Entretien Florian Rouanet et Yvan Benedetti : L’Œuvre française ou le Nationalisme face au Mondialisme


Entretien du 27 mai 2013 entre Yvan Benedetti, président de L’Œuvre française et Florian Rouanet, afin d’évoquer ce qu’incarne le mouvement en question et la doctrine nationaliste…




Une foison de thèmes abordés :

Parcours politique, Partie Nationalsite, l’Œuvre Française, Pierre Sidos, Marine Le Pen, Front National, affaire Gabriac, LDJ, 6 février, Maréchal Pétain, Napoléon Bonaparte, nationalisme, contre-révolution, extrême-France, helléno-catholicisme, croix celtique, passé et avenir, ordre nouveau, militantisme, étatisme, race, francophonie, études nationalistes, héritage et transmission,les 16 principes de la communauté, régime monarchique, Saint-Exupéry, Sainte Jeanne d’Arc, Hervé Ryssen, André Gandillon, Jérôme Bourbon, Jacques Ploncard d’Assac, Henry Coston, Maurice Bardèche, Jeunesses Nationalistes d’Alexandre Gabriac, mondialisme cosmopolite, judaïsme politique, loges maçonniques, révolution-subversion, démocratie, loi du nombre, marxisme et féminisme, ploutocratie, "mariage homosexuel" et "manif pour tous", identité nationale…


L’Œuvre française : Militer est un devoir sacré au service de notre idéal



vendredi 31 mai 2013

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD


[Cliquez sur le tableau pour l'agrandir]






Selon Kader Hamiche, l'ADIMAD aurait "tort d’appeler au boycott de « Au soleil des deux rives » du 2 juin à Nice"


Si je ne partage pas le point de vue de Kader Hamiche quant à cette réunion, je tiens à souligner que le blog de Kader Hamiche et certains des arguments développés dans l'article cité en référence restent pertinents, notamment cette invitation lancée aux Français d'Algérie et leurs enfants, toutes confessions confondues, à davantage participer à la vie politique française, je dirais même d'entrer dans une opposition radicale au régime en place et aux institutions de la république actuelle, déchet excrété par DeGaulle instaurant la dictature d'un parti unique - à l'origine le sien -, et dont la nocivité et l'obsolescence sont chaque jour de plus en plus manifestes… Sans le cloaque de cette 5ème république pourrie, il y a bien longtemps que Flanby aurait rejoint la poubelle des flans avariés et les francs-macs n'auraient point cette puissance de nuisance ainsi acquise dans des structures où quelque soit le vote des Français ils restent en permanence toujours les plus forts…


C'est plus un coq… c'est un cloaque !

Quant à la participation à cette réunion du 2 juin à Nice, pourquoi pas ? Mais un préalable : que cette saloperie de statue de l'infâme criminel compulsif DeGaulle soit déboulonnée… À moins que cette réunion ne devienne une joyeuse occasion de renverser cette merde qui reste une insulte permanente aux nombreux Français d'Algérie établis à Nice ou qui y sont de passage… Quant à renverser le degaulliste Estrosi, ça viendra en temps voulu…

Parmi les nombreuse réactions à l'article de Kader Hamiche, ici je n'en relèverai qu'une, celle qui me paraît la plus pertinente en soulignant mon adhésion totale aux mises au point faites en post-scriptum [quoique personnellement je ne dise jamais "réfugié" mais systématiquement "exilé"…  d'Algérie bien sûr] :


PAPADACCI Jean-Pierre dit : [28 mai 2013 à 12 h 32 min]

L’ADIMAD a raison d'appeler au boycott, les patriotes et les Français d’Algérie dignes de ce nom n’ont rien à faire dans « une kermesse » organisée, avec le soutien et les subventions du gaulliste Estrosi. Vous avez, comme beaucoup la mémoire courte, il n’y a rien à attendre des gaullards et vous vous faîtes le COMPLICE de leurs manœuvres de récupération électorale. Vos beaux discours et vos écrits ne les touchent pas ce qui les intéresse ce sont vos voix : vos bulletins de vote. C’est grâce à des gens comme vous que l’escroquerie gaulliste des Estrosi et consorts se perpétue, ils veulent bien dénoncer les crimes commis à l’encontre des Français d’Algérie mais ils ne prononcent jamais le nom du traître et du COUPABLE : DE GAULLE CHARLES.

Vous êtes libre d’accepter de côtoyer les héritiers et les admirateurs du gaullisme ne serait-ce que pour vendre quelques livres ! L’ADIMAD (qui refuse toute subvention) est libre d'appeler au BOYCOTT. Salutations françaises.

Jean-Pierre PAPADACCI.

PS : 1) Quand je dis "Français d’Algérie", j’y inclus naturellement les Harkis.

2) Je n’emploie jamais le mot "Pied-noir" terme péjoratif créé tardivement par nos ennemis.

3) Je n’emploie jamais le mot "rapatrié" mais le mot "réfugié". (Si vous acceptez le mot de rapatrié cela veut dire que vous n’étiez pas chez vous en Algérie !)


Guy Pervillé : Pour en finir avec les "Pieds-noirs" ! (2004)
Qu’on se rassure, mon intention n’est pas de prêcher une guerre d’extermination contre ceux de nos compatriotes qu’on appelle les « Pieds-noirs », mais seulement de combattre l’accréditation générale et sans examen d’une idée fausse, suivant laquelle les Français d’Algérie se seraient toujours appelés ainsi… [lire la suite de l'article]


Hommage public à Dominique Venner, ce vendredi 31 mai 2013



Dominique Venner n'était pas l'homme du désespoir ! Rendons lui cet hommage. Bien fol celui qui s'arroge le droit de le juger. Son acte, le haut lieu choisi, ses derniers écrits, peuvent nous choquer. Nous pouvons y voir un orgueil démesuré, un coup de folie ou que sais-je encore ? Dans un tel acte, l'homme garde tout son mystère et il est vain de vouloir comparer un tel acte à d'autres « similaires »... Nous dirons simplement que Yukio Mishima n'a pas réveillé la jeunesse japonaise.
Nous prions pour Dominique Venner et pensons fort aux siens.
Extrait d'un article de Portemont sur "Les Manants du Roi"

Pour lire la totalité de l'article :

Puisse-t-il reprendre sa grande quête…

http://www.lesmanantsduroi.com/index.php/quelle-societe/97-quelle-societe-8


On y trouvera inclus deux textes de l'abbé Guillaume de Tanoüarn, l'un écrit sur le choc de l'émotion le 21 mai, l'autre « Peur, quand tu nous tiens » - réponse à l'abbé Robinne et à quelques kozeurs...

http://ab2t.blogspot.fr/2013/05/peur-quand-tu-nous-tiens-reponse-labbe.html


Pierre Sidos : D. Venner, contempteur du nationalisme

jeudi 30 mai 2013

Les catholiques doivent entrer en Résistance !


Le 30 mai 1431 Jeanne d'Arc est brûlée vive à Rouen




Ni maçonnique, ni laïque, la France est catholique…





Le discours prononcé par Alain Escada, secrétaire général de Civitas devant plusieurs milliers de personnes rassemblées à Paris, Place des Pyramides, devant la statue de Ste Jeanne d'Arc, à la fin du défilé du dimanche 13 mai 2012.

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« Toute loi portée par les hommes n'a raison de loi que dans la mesure où elle découle de la loi naturelle.
Si elle dévie en quelque point de la loi naturelle, ce n'est alors plus une loi mais une corruption de la loi. »

Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique I, II, q 95, a 2

« Si donc il arrive aux dirigeants d'édicter des lois ou de prendre des mesures contraires à (l') ordre moral
et, par conséquent, à la volonté divine, ces dispositions ne peuvent obliger les consciences (…)
Bien plus, en pareil cas, l'autorité cesse d'être elle-même et dégénère en oppression. »

Notre Flanby national, ce mardi dans sa télé à ses ordres, nous a hoqueté une bien naïve explication… Entre moult spasmes, il aurait voulu nous faire entendre que le mot "résistance" est réservé à la Seconde Guerre mondiale et ne peut donc être utilisé par les défenseurs de la Famille… Et la Résistance de l’Europe asservie au communisme ? Nous ne pouvons point l'oublier. Et la Résistance des Français d’Algérie, toutes confessions confondues, unis dans l’OAS contre le FLN et le gaullisme ? Celle-là reste à jamais gravée dans nos chairs et nos mémoires… Et le Conseil national de la Résistance (CNR) fondé le 20 mai 1962 à Rome par Georges Bidault, Jacques Soustelle, Antoine Argoud, Pierre Sergent toujours pour lutter contre la lâcheté de la politique de renoncement de DeGaulle ? Ce CNR-là nous dit qu'un sursaut national viendra nécessairement… Une Résistance que nous écrirons désormais avec un "R" majuscule… Oui, entrons en Résistance… pour défendre la Famille et le droit des Enfants !

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L’abbé Blaïn du Poët écrit au Président Hollande…



Agressé par la police politique à Flanby pour délit de "bonne gueule"
Photo extraite du Portofolio de Louis Witter, reporter photographe :
26 MAI 2013 - "La Rue Qui Se Lêve"


Photo extraite du Portofolio de Louis Witter, reporter photographe : 26 MAI 2013 - "La Rue Qui Se Lêve"

Monsieur le Président, hier, comme de nombreux Français, je me suis rendu à Paris pour manifester, non contre des personnes, mais contre une loi inique que je combattrai autant que Dieu me prêtera vie. Je suis prêtre catholique et fier de l’être malgré mon indignité. Certains pensent que la place d’un prêtre n’est pas dans une manifestation. Dans ce cas, nous étions nombreux hier à n’être pas à notre place si j’en juge par les nombreux confrères croisés dans la foule, y compris certains évêques. Mais pourquoi ne serions-nous pas à notre place ? Ne vient-on pas chercher notre bulletin de vote quand il s’agit d’élection ? Sommes-nous devenus des citoyens de second rang ? La place du Pasteur est d’être avec son troupeau, surtout lorsque celui-ci est menacé par des lois qui visent à le détruire.

Il y a un mois, après une autre manifestation, j’ai écris à votre Ministre de l’Intérieur une lettre à laquelle il n’a pas daigné répondre. Dans cette lettre, je disais ceci : « En tant que prêtre catholique, je rencontre beaucoup de personnes, et notamment beaucoup de jeunes qui commencent à être à bout et qui pourtant sont très loin d’être des extrémistes. Je m’efforce, car c’est mon devoir, de les apaiser, mais je sens bien que cela ne va plus être possible très longtemps. Étant donné que vous êtes responsable de l’ordre intérieur du pays, je tiens à vous le signaler, afin que vous ne puissiez dire que vous n’étiez pas au courant. » Ces propos, je vous les adresse cette fois à vous, Monsieur le Président. Ces jeunes sont de plus en plus à bout, mais leur résistance n’est pas celle de ceux qui ont fait Mai 68 ! Ils ne sont pas violents, mais ils sont vigilants et ils veillent. Leur lutte est la défense de la vérité. Ma place est d’être parmi eux, de les former et de les soutenir dans la résistance qu’ils mènent pour préserver leur avenir.

« Les mots ont toujours un sens. Il faut leur donner leur signification. La Résistance, c’était par rapport au nazisme, à l’Occupation », avez-vous déclaré devant des journalistes à l’issue d’une visite au lycée Buffon. Depuis quand le terme “résistance” est-il réservé dans le dictionnaire à une époque de l’Histoire ? A-t-il un label 1939-1945 ? « Nul n’a le droit d’utiliser ces mots, dites-vous, pour défendre des idées –  si on peut appeler ça des idées – d’aujourd’hui. » Vous avez bien raison de souligner : « si on peut appeler ça des idées », car pour eux, à la différence de leurs aînés de Mai 68, il ne s’agit pas d’idéologie, mais de réalité, de vérité. Vous avez condamné ceux « qui utilisent les mots de la Seconde Guerre mondiale, la lutte contre le nazisme, à des fins qui n’ont plus rien à voir avec ce que ces mots, justement, ont signifié ». N’y a-t-il plus de dictature de nos jours ? Ou auriez-vous donc peur que ces jeunes vous accusent de dictature ? Trop tard, ils le font déjà, et ce n’est pas moi qui irai leur dire qu’ils ont tort.

Monsieur le Président, si les mots ont un sens, pourquoi le mot “mariage”, qui désigne l’union d’un homme et d’une femme, a-t-il perdu cette signification par votre seule volonté et celle d’un lobby ? Vous avez tout fait pour en pervertir le sens et ainsi permettre à une union qui n’a rien de naturelle d’en prendre le nom, et vous osez dire aujourd’hui à ces jeunes qu’ils n’ont pas le droit d’utiliser le mot de “résistance” ! Oui, Monsieur le Président, les mots ont un sens. Et si vous voulez me traiter d’homophobe parce que j’écris que cette union n’a rien de naturelle, je vous réplique tout de suite en vous disant que je ne m’attaque pas aux personnes (que je respecte), ce que signifie l’accusation d’homophobie, mais à des actes qui, que vous le vouliez ou non, sont intrinsèquement mauvais et ne peuvent en aucun cas être assimilés à l’union matrimoniale.

Monsieur le Président, ces jeunes je les aime et je suis prêt à mourir pour les défendre. Si je leur enseigne que le Christ a dit : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », je leur dit aussi que, par la voix du premier Pape, il a affirmé haut et clair : « Il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes ». Si vous vous attaquez aux jeunes et aux familles, alors il vous faudra d’abord passer sur mon corps et sur les corps de beaucoup de prêtres.

Recevez, Monsieur le Président, l’assurance de mon respect pour votre fonction
et de mes prières pour votre personne.

Abbé François-Marie Blaïn du Poët+


Diacre Keith Fournier : il est temps de rejoindre la nouvelle Résistance française…




mercredi 29 mai 2013

Flanby… Pol Pot… l'URSS… 1789 : rafles et élimination des élites, mêmes méthodes partout




Lettre ouverte d'un jeune officier au Président de la République après la rafle des Champs-Élysées du 25 mai 2013

Monsieur le Président de la République,

Jeune officier dans la Réserve Opérationnelle de l’Armée de Terre, arrêté arbitrairement lors de la Rafle des Champs-Élysées le 25 mai 2013 et détenu pendant 24 heures, je vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires. Le déshonneur que vous m’avez fait subir ne me permet plus de porter dignement le symbole de respect qui m’était consenti par la Nation.

Juriste dans le civil, diplômé de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr et d’un master 2 de relations internationales Sécurité Défense, je pensais être digne de la République en ayant su intégrer les valeurs et les vertus enseignées tout au long de mon éducation.

N’étant pas habitant de notre Capitale mais simple provincial, je me dirigeais vers la tombe du Soldat Inconnu afin de me recueillir auprès de nos aïeux tombés pour notre Liberté. Je remontais l’Avenue des Champs-Élysées lorsque des mouvements de foule m’ont interpellé. Je me suis naturellement rapproché de ce qui semblait être le centre d’une action de protestation. J’ai reconnu des drapeaux de « La Manif pour Tous ». Je ne voyais que des jeunes gens obstinés mais pacifistes.

Entrainé pour des missions de protection du territoire comme Vigipirate, je venais d’apprendre que l’un de mes camarades fut blessé sur le parvis de la Défense en effectuant sa mission quelques heures auparavant. Troublé par tant d’agitation parisienne, je restais spectateur et stupéfait de la violence avec laquelle nos forces de l’ordre agissaient contre ces jeunes. Les images parlent d’elles-mêmes. Je connais la difficulté de maîtriser une foule et je ne remets pas en cause les agissements individuels de notre Police qui exécute les ordres hiérarchiques.

Cependant, je suis indigné par les arrestations complètement arbitraires organisées à la veille d’une manifestation autorisée par la Préfecture.

J’ai été neutralisé alors que je n’étais que passant curieux et spectateur silencieux ! Un commandant me pointant du doigt et ordonnant à ses subordonnés de « m’embarquer » après un échange de regard… Était-il trop clair pour sembler innocent ? Ma coiffure d’officier leur semblait-elle trop courte pour incarner le simple badaud, pourtant chef de Piquet d’Honneur d’une commémoration quelques jours auparavant pour le 68ème anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945… les mots prononcés par le Préfet me résonnent encore à la lecture du message de Monsieur Kader Arif, Ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants qui a dénoncé les pratiques politiques des nazis sur les individus jugés indignes. La jeunesse française éduquée et instruite vous semble-t-elle indigne Monsieur le Président ?

Oui, nous pouvons parler d’une RAFLE. Organisée par vos services ce soir-là. Aucune de mes (nos) libertés n’ont été respectées. Arrêté sans aucune raison, je n’avais ni signe ostentatoire partisan, ni comportement agressif. J’ai été embarqué avec véhémence comme un vulgaire délinquant, sans aucune sommation, sans aucune explication, sans aucune considération. Je n’ose parler des conditions de détention. Vingt-quatre heures de garde à vue Monsieur le Président, permettez-moi de vous rappeler que « la force sans le droit rend la vérité abjecte ».

Je ne me permettrais pas de qualifier votre opération de rafle si des arrestations massives et improvisées n’avaient pas été constatées. Ces vingt-quatre heures de détention ont au moins eu le mérite de permettre l’échange avec mes codétenus… les nombreux cadres dirigeants et étudiants supérieurs qui m’entouraient me faisaient penser à ces élites que l’on enferme par crainte qu’ils deviennent des vecteurs de conscience.

Déshonoré par ces méthodes, je suis profondément blessé et vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires qui me rendaient fier d’incarner l’Amour profond de Notre Patrie et les devoirs qu’elles impliquent.

« On meurt pour une cathédrale non pour des pierres, pour un peuple non pour une foule. On meurt par amour de l’homme s’il est clé de voûte d’une communauté, on meurt pour cela seul dont on peut vivre », Antoine de Saint-Exupéry.

Afin de vous faciliter les démarches administratives, puisqu’ayant subi des retards répétitifs relatifs à ma solde, je prends bien naturellement des précautions d’usage en vous transmettant mon identifiant défense, communément appelé, le matricule : 0xxx020120.

Vous remerciant par avance pour votre Diligence,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de mon profond respect.



Massacre de Katyń

Au Grand-Bornand, sur les pentes du hameau haut-savoyard du Bouchet, au lieu-dit « La Peserettaz », depuis le 24 août 1944, trône une étrange nécropole…