Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 21 mai 2013

"Fils de France" appelle les Musulmans de France à la Grande Manifestation du 26 mai





Fils de France appelle les Musulmans de France à la Grande Manifestation du 26 mai

Yacine Zerkoun : 26 mai : nous, musulmans, descendons dans la rue !

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité : 1 quart (23%) des enfants abusés sexuellement :
« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés. »



L’impréparation doctrinale des catholiques face à une République bafouant la Loi de Dieu…


Vade-mecum du droit naturel : La doctrine sociale de l'Église
Seule la doctrine sociale de l'Église permet de respecter un droit naturel garant de la justice du droit et d'une véritable liberté


• Dans le numéro 1542 de L’Homme nouveau daté de ce samedi 11 mai, l’abbé Claude Barthe met fortement en lumière l’impréparation intellectuelle des catholiques face à une République qui radicalise les conséquences logiques d’un État « ne s’estimant lié à aucune obligation envers la loi de Dieu ». Alors, écrit-il, « les devoirs d’action et d’abstention, selon les cas, qui découlent pour les chrétiens de cette situation violente n’ont été, jusqu’à présent, qu’ébauchés [dans les enseignements épiscopaux]. C’est un immense chantier pastoral. »


Cette « conception » de la dignité humaine n’existe pas : la « philosophie des Lumières » n’est ni la suite ni le complément de la « révélation judéo-chrétienne », elle en est le contraire. Ne pas le voir est le signe majeur d’une impréparation générale.

• La « philosophie des Lumières » est, dans le monde occidental, la tendance presque toujours dominante de la vie culturelle, politique et religieuse depuis le XVIIIe siècle. N’allons pas nous perdre dans les nuances, divergences, contradictions des fondateurs, Voltaire, Rousseau, Diderot, d’Alembert, l’Encyclopédie (etc.) et bien sûr Emmanuel Kant. Leur œuvre commune est la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 (résumée par la devise : « Liberté-Égalité-Fraternité »). Elle est l’âme et la seule loi fixe de la démocratie moderne. Elle demeure la référence constitutionnelle de notre Ve République. Référence indirecte mais fondamentale : par le préambule de notre Constitution déclarant se fonder sur le préambule de la IVe, lequel la mentionne expressément comme la loi suprême. En somme, à la place du Décalogue.

• La Déclaration de 1789 énumère quantité de « droits » plus ou moins réels, mais dépourvus de toute valeur certaine par l’énoncé fulgurant et dévastateur des articles 3 et 6 : ceux-ci délégitiment et suppriment toute autorité n’émanant pas expressément de la volonté populaire et proclament que « la loi est l’expression de la [supposée] volonté générale ». La supposée volonté générale, c’est-à-dire l’État républicain, peut donc décréter n’importe quoi, n’importe quel caprice du moment, n’importe quelle injustice, et imposer une légitimité, une morale, une religion à lui, inventées par lui.

• La liberté est un beau mot, quand il veut signifier le contraire de l’esclavage. Mais, dans l’esprit de la Déclaration des Droits de l’Homme, il signifie être libéré de toute autorité et de toute loi supérieures à la conscience individuelle ou [supposée] collective.

L’égalité est un beau mot, quand il signifie l’égale nature humaine de chacun devant la justice (et la miséricorde) du Seigneur Dieu. Ou même l’égalité devant la loi. Dans l’esprit de la Déclaration, il s’agit de détruire toute hiérarchie. Or toutes les formes de vie en société sont forcément hiérarchiques et non pas égalitaires : la famille est hiérarchique, le métier est hiérarchique, l’État est hiérarchique, l’Église est hiérarchique. L’égalité républicaine, la démocratie moderne, c’est la culture de mort, c’est la mort.

La fraternité est un beau mot quand elle se fonde sur une commune paternité. Selon l’esprit de la Déclaration, la fraternité républicaine c’est la fraternité maçonnique, invoquée désormais sous le nom mystérieux de « pacte républicain ».

L’erreur a été de vouloir s’approprier ce langage, christianiser ces concepts, imaginer une origine évangélique aux droits de l’homme, inventer une démocratie chrétienne, – au lieu de s’affirmer dans son langage et selon ses propres concepts. La démocratie (moderne), les droits de l’homme, le pacte républicain appartiennent à ceux qui les ont inventés et gardent toujours leur tendance inévitablement subversive, qui est l’insurrection collective contre Dieu et sa loi.

Les élites officielles du catholicisme sont aujourd’hui intellectuellement mal préparées à comprendre que la Révolution française, sa Déclaration des Droits et sa devise ne sont pas principalement une fondation politique mais une permanente agression religieuse. On pouvait pourtant le comprendre dès le début : avant même d’appliquer les Droits de l’Homme par une Constitution politique (ce ne fut qu’en 1791 et elle était encore royale), l’esprit des Lumières et sa Révolution commencèrent prioritairement par imposer dès 1790 une Constitution civile du clergé, qui soumettait à la loi politique l’Église de Jésus-Christ. C’est à quoi, aujourd’hui plus que jamais, nous avons à faire face.

Article original signé Jean Madiran : Soumettre à l’État l’Église de Jésus ! [extrait de Présent n° 7851 du mardi 14 mai 2013]

lundi 20 mai 2013

La Voix de la Russie : "La solution à la crise syrienne se trouve à Moscou"…



Au sommaire de cette édition du 20 mai 2013 :

- L'Europe l'a décidé : ce sera les "allocs" pour tous
- En Flanbyland, il vaut mieux être émeutier au Trocadéro que Veilleur aux Invalides
- La France en récession : révélation d'un secret de Polichinel
- La solution à la crise syrienne se trouve à Moscou, mais pas à Washington, ni à Londres, ni à Tel-Aviv
- Le Sénateur Frassa, invité de l'émission "Paroles d'Elus"
- Le Centre de Russie pour la Science et la Culture accueille la "Palette russe" et "Les Rois guerriers de Sibérie"

En bref et en détail :

- Pour sa conférence semestrielle, M. Bricolage nous présente son ventilateur pour brasser de l'air
- Jason (grosse) Bourde arrêté en Russie, la CIA n'est plus à la hauteur de son cinéma
- Nouvelle projection sur le règne des Romanov, parrainée par l'association "Les Enfants de Beslan"


dimanche 19 mai 2013

Marine Le Pen plonge dans une piscine… vide ! Fracture douloureuse du sacrum…



"Pas de panique! Fracture du sacrum le week-end dernier, ce sera long, c'est douloureux, mais rien de dramatique"

"Pas de panique ! Fracture du sacrum le week-end dernier, ce sera long, c'est douloureux, mais rien de dramatique"
Rien de dramatique ? Vraiment ? Si nous sommes gravement inquiets, c'est pas seulement pour le sacrum à Mme Le Pen ! Pas de quoi applaudir !


Et un coccyx de cassé ! Un !


Le populisme d’apparat ou la neutralisation nationaliste :
… Le papier mâché est abondant, la peinture dégorge des cartons, les masques sont épais, les échasses ajustées, le maquillage apposé à la truelle. Mais malgré la publicité incessante orchestrée par le media unique (comme il existe une pensée unique), malgré le vedettariat institué par le Système, malgré l’officialisation conforme de son statut de rebelle « tout désigné », malgré les cris d’orfraie enregistrés en studio, malgré cette phénoménale mise en scène, le Premier mai du nouveau front national annoncé par l’ensemble de la canaille journalistique n’a rassemblé que quelque 3000 ou 5000 personnes devant l’égérie systémique du néo-populisme à la « française ». Une véritable dérision spectaculaire ! … …





samedi 18 mai 2013

L'Œuvre française et les Jeunesses Nationalistes honorent Jeanne d'Arc …




Le dimanche 12 mai dernier, comme le veut la tradition, les nationalistes de l'Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes ont rendu hommage à Sainte Jeanne d'Arc. Les nationalistes ont défilé rue de Rivoli, pour terminer leur marche au pied de la statue de Jeanne à Paris afin d'y déposer une gerbe. À Jeanne d'Arc, symbole de la France aux Français…

Qui vive ? France !



vendredi 17 mai 2013

Le conseil de révision pour tous…




Bangkok : conseil de révision, au wat Laksi… un(e) lady-boy attend son tour…





Éric Miné : Cette Thaïlande qui dérange en France



Les Rohingya de l'État d'Arakan face au cyclone Mahasen…


 









Le cyclone Mahasen menace de frapper de vastes zones côtières densément peuplées du Golfe du Bengale. La Birmanie annonce l'évacuation de centaines de milliers de personnes et la nécessité d'offrir un abri temporaire à plus de 166 000 personnes dans l'État d'Arakan, en majorité des musulmans rohingya déjà déplacés dans des camps insalubres l’an passé après des violences meurtrières. En 2008, le cyclone Nargis qui avait frappé plus au sud le vaste delta de l’Irrawaddy avait causé plus de 138 000 morts et disparitions.



jeudi 16 mai 2013

À Bang Kwang et toutes les prisons du Royaume les prisonniers seront libérés des chaînes…




Inmates are freed of their shackles after Prime Minister Yingluck Shinawatra
presided over a ceremony to unchain prisoners on death row at Bang Khwang Central Prison (15 May 2013).
Of 800 prisoners, 563 inmates with a record of good behaviour were unshackled at the event.
Photo Bangkok Post Tawatchaï Kemgumnerd









Libération des chaînes ce mercredi 15 mai…

C’est officiellement la fin des chaînes et des barres de fer aux pieds dans les prisons de Thaïlande. Cette décision a été célébrée ce mercredi 15 mai au cours d’une cérémonie présidée par le Premier ministre thaïlandais Yingluck Shinawatra…

La mesure ne s’applique pour le moment qu'au centre pénitentiaire de haute sécurité de Bang Kwang à Nonthaburi qui accueille la plupart des détenus condamnés à mort mais devrait s'étendre progressivement à toutes les autres prisons du Royaume. Ainsi, dans quelques temps, plus aucun prisonnier en Thaïlande ne portera de chaînes aux pieds.

Ces chaînes concernaient principalement les détenus reconnus coupables des crimes les plus graves et dont la peine prononcée était une condamnation à mort ou une détention à vie. Elles mesuraient entre 4,75 et 17 mm de diamètre et pouvaient peser jusqu’à 4 kilos.

« La taille des chaînes dépendait de la gravité de l’infraction du prisonnier », selon Kritapon Siripongpan, un gardien de la prison centrale de Klong Prem.

Selon les détenus, le moment le plus délicat était celui de la douche et les fers devaient être bichonnés. « Je devais prendre soin de mes fers. Il fallait constamment utiliser du savon et un tampon à récurer pour les nettoyer et prévenir la rouille. Quand la peau frottait contre le fer rouillé, on se coupait et on avait des plaies », confie en expert l’un des prisonniers de Klong Prem, le docteur Wisut, qui ajoute :
« Les chaînes ne vous emprisonnent pas seulement physiquement. Elles vous enchaînent aussi mentalement, profondément. Elles alourdissent la peine de mort que vous portez déjà. Les supprimer est une très bonne chose et améliorera sans aucun doute la santé mentale des détenus ».
Bien que très peu d’exécutions continuent à avoir lieu (moins de dix depuis huit ans), la condamnation à la peine capitale existe toujours en Thaïlande. Les condamnés patientent dans une aile spéciale de la prison centrale de Bang Kwang, isolés des autres détenus, et les chaînes aux pieds jusqu'à cette décision du présent gouvernement.




Shackles removed from Bang Kwang inmates

Thailand ends century-old practice of shackling inmates

Les visages de la méthamphétamine… "crystal", "ice", "tina"… "yaa baa" en Thaïlande…


"Bambat Phiset" - บำบัดพิเศษ


Söndag : möt Kim Eriksson Sirawan

Kim Eriksson Sirawan lors de son arrivée au tribunal pour être jugé.
Le bandeau rouge, avant même tout jugement, marque ceux susceptibles d'être condamnés à mort…
Chaque matin nombreux sont ceux qui  sont présentés au tribunal ainsi marqués…

"Bambat Phiset" (บำบัดพิเศษ) : Central Correction Institution for Drug Addicts (ทัณฑสถานบำบัดพิเศษกลาง - คลองเปรม)

Prisoner Handbook (téléchargeable en 11 langues)

Site gouvernemental officiel : Department of Corrections

Thai Prison Life – ชีวิตในเรือนจำไทย

Thai Prison Blogs by Richard Barrow


Thai Prison Blogs by Frank Lombard

Prison Stories

Thai Prison Museum

Amnesty for 35,000 prisoners on the occasion of Princess Sirindhorn’s birthday anniversary




La Thaïlande parmi les 10 pays au monde les plus répressifs

La prison en Thaïlande pour une histoire de cul ?

Local married gay couple arrested in Bangkok for exposing buttocks at a temple



lundi 13 mai 2013

Cérémonie du Labour Royal - วันพระราชพิธีพืชมงคลจรดพระนังคัลแรกนาขวัญ


Répétition avant la cérémonie sur l'esplanade de Sanam Luang (photo Bangkok Post)

Présidée par S.A.R. le Prince Maha Vajiralongkorn, la cérémonie du Labour Royal a eu lieu cette année ce lundi 13 mai sur l’esplanade Sanam Luang face au Palais Royal. Cette cérémonie marque le début de la saison du repiquage du riz… C’est un rite annuel, connu sous le nom thaï de Raek Na, qui a lieu en mai, la date étant fixée par les astrologues de la cour. Ce rite s'inscrit dans la continuité des préceptes fixés par Rama V pour l’activité royale :  « Le Roi en labourant le premier donne l’exemple à son peuple et l’incite à être assidu pour cultiver la terre… … Les rituels ont été ajoutés au simple acte de labourage car le peuple est anxieux des calamités comme les sécheresses, les inondations et les ravages des insectes, et souhaite assurer une récolte abondante. Il a également besoin de connaître le futur, ainsi il peut déterminer comment agir contre ce qu’il craint ».







พระราชพิธีพืชมงคลจรดพระนังคัลแรกนาขวัญ

La cérémonie du labour royal à Bangkok

La cérémonie du Labour Royal à Phnom Penh, le 9 mai 2012 (reportage photographique)