Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 26 avril 2013

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale




Audience Pontificale du Président Andry Rajoelina au Vatican

Le Président de la Transition à Madagascar, SEM Andry Rajoelina, a quitté la Grande Île, ce mercredi 24 avril, dans la soirée, pour honorer l’Audience Pontificale avec Sa Sainteté le Pape François, qui a eu lieu au Vatican, ce vendredi 26 avril à 11 heures (heure de Rome).

Après cette audience avec le Souverain Pontife, le Président Andry Rajoelina a eu un entretien avec Son Éminence le Cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’État de Sa Sainteté, à la Prima Loggia du Palais Apostolique.


Vatican : Andry Rajoelina se rend chez le pape François

Rajoelina doit rencontrer le pape François

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale


Le couple présidentiel, Mialy et Andry Rajoelina, reçu affectueusement par le Pape François



jeudi 25 avril 2013

Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers en Chine… ou la bravitude perdue…


Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers…

Aujourd'hui : Flanby ambassadeur des charcutiers en Chine

À défaut de "bravitude" on vendra des cochons… L’affaire est loin d’être "anecdotique", souligne-t-on anxieux à l’Élysée… Depuis trois ans, les marchands français de cochons négocient avec les autorités chinoises les termes d'un indispensable protocole sanitaire qui autoriserait l’importation de charcuteries françaises. Tout devait être bouclé avant l’arrivée de Flanby… mais un obstacle de dernière minute pourrait contrarier ces projets. Alertées par le scandale de la viande chevaline, les autorités chinoises s'inquiètent de n'avoir pas visité les établissements français susceptibles d’exporter.


C'était hier : Bravant les rafales de vent, Ségolène Royal salue un "symbole du temps qui demeure" et déclare solennellement devant les caméras du monde entier : "Comme le disent les Chinois, un Chinois qui ne vient pas sur la Grande muraille n’est pas un brave et un Chinois qui vient sur la Grande muraille conquiert la bravitude".

Flanby et sa concubine gagneront-ils cette bravitude ou se confineront-ils dans la vente de cochons ?


mercredi 24 avril 2013

Marianne


La République, on ne le dira jamais assez, n'est pas la France. Elle n'est pas l'aboutissement d'une longue tradition germée dans l'humus de l'âme et du sol français, développée au fil des nobles races successives qui la firent et dont le dernier rejeton péri, encore enfant, dans l'une de ses infâmes geôles, au nom de la Liberté, de l'Égalité et de la Fraternité. Ce n'est même pas le fruit, plus ou moins mûri, d'aspirations partagées au décours de son histoire. Ce n'est le fait que d'une faction de conjurés, de bêtes sauvages, cyniques et malfaisantes, d'anthropophages qui ne parvinrent à l'imposer que par le meurtre, l'assassinat juridique et le génocide.

La République n'est pas autre chose qu'un monstrueux parasite, un hideux greffon artificiel, pareil à un chancre purulent sur le corps valétudinaire d'une noble fille, qu'il va bien falloir finir par extraire avant qu'elle n'en crève.


Marianne dans tous ses états : 
La république en caricature de Daumier à Plantu par 
Guillaume Doizy, Jacky Houdré - Alternatives


Saynètes : "Les tanneries de peaux humaines" et "Lecture de la lettre aux soldats de la république"

Enregistrement de deux saynètes issues du spectacle "Terreur en Vendée":






Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…

Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…




À l'Élysée, à Matignon, à l'Assemblée nationale ainsi qu'au Sénat, l'essentiel de la clique politicienne s'obstine à rester sourde et aveugle au mécontentement croissant du pays réel mobilisé depuis des mois pour défendre la Famille, le mariage et la parenté.

. La France s'enfonce chaque jour un peu plus dans le totalitarisme organisé par une gauche omnipotente. Et cela se fait avec la complicité du centre mou et de la droite flasque, comme nous l'avons vu lors du vote au Sénat organisé à main levée et en catimini dans une assemblée quasi vide. Peu importe leur bord politique, la grande majorité d'entre-eux n'a pas eu la décence de se déplacer, préférant n'apparaître que devant les caméras ou lors de manifestations.

. Les médias se précipitent pour contribuer à la manipulation de l'opinion publique. Chaque homosexuel qui trébuche devient aussitôt la victime d'une agression "homophobe". Un Français de souche hétérosexuel victime d'une agression, c'est devenu tellement banal que cela n'intéresse quasi aucun journaliste. Mais qu'un homosexuel se fasse bousculer quelque part et cela devient une affaire d'Etat afin de culpabiliser les honnêtes Français qui continuent à affirmer que le mariage doit rester l'union d'un homme et d'une femme. Par contre, combien de journalistes s'émeuvent de la façon dont, depuis le 24 mars dernier, des milliers de personnes ont arbitrairement subi les gaz lacrymogènes et les coups de matraque de CRS et de gendarmes transformés en police politique ? Des enfants, des mères de famille, des vieillards, des prêtres, des étudiants, sont traités de façon scandaleuse mais pas un journal télévisé ne le dénonce. Vendredi dernier, un religieux a littéralement été tabassé puis mis en garde à vue par des CRS mais qui s'inquiète de cette dérive du régime ? Nous sommes la France bien élevée, celle des étudiants qui vont en cours, des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts et la police se comporte vis-à-vis de nous comme jamais elle n'oserait le faire ni face à la CGT ni dans les banlieues. Cela suffit !

. Le pouvoir croit s'en sortir en accélérant l'agenda. Mais il n'a pas compris que la sentence des parlementeurs ne signifie pas la fin de notre mobilisation. C'est au contraire l'effet inverse qui se constate. Et la Providence nous place dans cette situation inattendue : 45 ans après Mai 68 et son flot de subversion, c'est un Mai 2013 marqué par l'esprit contre-révolutionnaire qui pourrait bien surgir de ce printemps français en cours.

C'est dans cette perspective d'un mois de mai contre-révolutionnaire que CIVITAS vous convie à trois rendez-vous.

1° Le Congrès de la France Catholique, ce 27 et 28 avril (de 14h à 18h, 164 rue Javel dans le 15ème arrondissement). De nombreux intervenants se succèderont à la tribune pour analyser la situation alarmante et proposer des pistes concrètes pour résister, riposter et reconstruire.


2° Le défilé en hommage à Ste Jeanne d'Arc, le dimanche 12 mai à 14h30, de la place Saint-Augustin à la place des Pyramides. Attaquer la Famille, c'est également attaquer la Patrie et la Foi. Dans ce contexte, Sainte Jeanne d'Arc s'impose comme le modèle de chef dont la France a cruellement besoin. Soyons nombreux à le témoigner publiquement.

3° La manifestation du dimanche 26 mai. CIVITAS organisera ce jour-là une grande manifestation nationale dont le mot d'ordre sera "Du balai !". Oui, venons nombreux de toute la France pour que la clameur "Du balai !" se fasse entendre à tous les destructeurs de la Famille, de la Patrie et de la Foi.

Que ces trois rendez-vous soudent les rangs de tous les partisans d'un sursaut contre-révolutionnaire. Et bien sûr, n'oublions pas de huer chaque ministre en déplacement. On ne lâche rien !

Alain Escada,
président de CIVITAS

FRANCE-JEUNESSE-CIVITAS



lundi 22 avril 2013

Hé, les filles ! Qu'avez-vous dans la tête ? Écervelées, désintoxiquez-vous ! Consternant d'inculture historique et d’imbécillité !





Un  article aussi excellent qu'opportun signé Jean Sévillia sur Boulevard Voltaire :

Eh les filles, enlevez votre bonnet phrygien !

Un article qui rappelle fort opportunément la signification de ce sinistre bonnet phrygien… Un seul reproche à Jean Sévillia : sa gentillesse polie, sa courtoisie, une franche galanterie dont je me serais fort dispensé… Il ne s'agit pas bien sûr d'inviter ces filles à se mettre autre chose sur la tête mais DANS la tête…

Les bonnets phrygiens et le massacre des prêtres à la prison des Carmes
(Alain Decaux raconte la Révolution française aux enfants)

Les Noyades de Nantes en 1793 : les « mariages républicains »
huile sur toile de Joseph Aubert, 1882

"… être opposé à la légalisation du mariage homosexuel ne m’a pas fait perdre la mémoire.

Or, je trouve bien curieux que, dans toutes ces manifs si sympathiques, des kyrielles de jeunes filles s’affublent d’un bonnet phrygien. J’ai bien compris l’idée que les organisateurs veulent traduire en les déguisant ainsi : l’heure est à la défense de la liberté contre la dictature. Mais précisément, parce que je sais un peu d’histoire de France, je m’autorise à souligner que le symbole est mal choisi. Car pour ce qui est du combat de la liberté contre la dictature, ce n’est vraiment pas du côté de la Révolution française qu’il faut chercher.

Le bonnet phrygien, devenu l’emblème du mouvement révolutionnaire en 1790, s’impose fin 1792, son usage culminant jusqu’à la réaction thermidorienne de 1794. C’est-à-dire que ce couvre-chef incarne peu ou prou la Terreur et même la Grande Terreur, qui est sans doute un des moments les plus tragiques de notre histoire.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense donc à la princesse de Lamballe, assassinée pour crime d’amitié avec Marie-Antoinette, et dont le corps nu, décapité au couteau de boucher, a été promené dans Paris, la vue de son intimité soigneusement exposée suscitant des propos égrillards de la part de délicats militants de la Liberté.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ces prêtres et à ces religieuses que Carrier, à Nantes, déshabillait et liait nus, l’un à l’autre, l’un face contre l’autre pour être précis, sexe contre sexe, avant de les noyer dans la Loire. Ce charmant adepte de l’Égalité appelait cela un « mariage républicain ». Parenthèse : détourner la symbolique du mariage n’est donc pas nouveau…

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ce curé vendéen à qui des soldats, sans doute partisans de la Fraternité, avaient tranché les deux mains avant de répandre dans l’auge à cochons le contenu du tabernacle de son église. Ce martyr a été retrouvé accroupi devant l’auge, les deux avant-bras collés contre terre afin de tenter d’arrêter l’hémorragie, et lapant dans l’auge, s’efforçant de disputer aux cochons les hosties consacrées.

Je ne cherche pas ici à ranimer de vieilles querelles idéologiques, et je sais que le succès de la Manif pour tous repose sur sa diversité et l’acceptation de cette diversité. Mais quand même. Jolies jeunes filles de 2013 qui vous promenez avec un bonnet phrygien, pensez aux crimes de 1793 : mettez-vous autre chose sur la tête. Je vous assure que vous n’en serez que plus belles."


Démocratie Royale : 81% des victimes du Tribunal Révolutionnaire sont issues du peuple




Quand la presse de France se déchaîne contre la Grande et Sainte Russie et occulte ce qui se passe sous son nez…



Slogan subversif tchétchène
[pour ceux qui ne liraient pas cette langue barbare : "Un couple marié = un homme et une femme"]


Le pouvoir russe réprime brutalement les adversaires d’une loi sur le mariage

(du correspondant permanent à Moscou de l’AFP pour Le Monde, Le Figaro, Le Parisien, Libération et aussi France 2, TF1, M6, Direct 8…)

Le 24 mars c’est une immense manifestation qui s’est déroulée dans les rues de Moscou. Plus d’un million et demi de personnes selon les observateurs étrangers, 300.000 selon le régime et la presse aux ordres. La réaction du pouvoir a été violente. Rappelées de Sibérie et de Tchétchénie, les forces spéciales ont dispersé brutalement les manifestants. Les robocops n’ont pas hésité à gazer des enfants avec des « aérosols » (sic) dont l’usage est condamné par l’Union européenne, aérosols, qui plus est, périmés selon une ONG de défense des droits de l’homme.

Depuis, les manifestations se multiplient. Le pouvoir y répond par des arrestations de plus en plus arbitraires. Des pères de famille ont été interpellés pour port de « tee-shirt interdit ». Soixante-sept jeune gens ont été gardés à vue à la Loubianka pour avoir tenté d’organiser un pique-nique près de la Place Rouge. Des jeunes filles qui faisaient un sit-in pacifique ont été violemment précipitées dans la bouche de métro Pushkinskaya par les sbires du pouvoir : des méthodes qui évoquent, pour un Français, celles du sinistre Papon réprimant les patriotes algériens, en 1961, au métro Charonne.

Les conditions du vote de la loi à la Douma ont été dignes d’une république bananière : moins de cinquante élus étaient présents mais la loi est réputée avoir été adoptée par plus de 300 députés ! Impensable pour qui est un habitué des procédures parlementaires des démocraties occidentales. Des parlementaires ont même été empêchés par la police de rejoindre la Douma.

Une vague de manifestations a alors déferlé sur tout le pays. Les ministres et les gouverneurs sont partout accueillis par des broncas. Le harcèlement démocratique bat son plein. En visite dans son propre fief de Saint-Pétersbourg, le président Poutine a dû accéder à la mairie par la porte de service…

Manslov Gazov, le ministre de l’Intérieur, a tonné contre les « provocateurs fascisants » et dénoncé des « houligans » : le mot même employé par Leonid Brejnev pour condamner les dissidents à l’époque de Soljenitsyne. Pour les ONG occidentales il est clair que Manslov Gazov (un ancien de SOS Communisme) a mobilisé la section manipulation du FSB (héritière du KGB) pour multiplier les actions de provocation. Les médias du régime ont d’ailleurs complaisamment relayé le saccage commandité d’un bar pro-Poutine dans l’Oural et la prétendue agression de deux partisans de la loi Poutine à Moscou (une simple querelle de sacs à main en fin de soirée).

Derrière le rideau de fumée des médias du régime, le nombre des prisonniers politiques s’accroît. Le régime aux abois multiplie les rafles pour mettre à jour ses fichiers. Les geôles de Manslov Gazov sont pleines. Le 18 avril des dizaines d’inoffensives babouchkas ont été embarquées sans ménagements, alors qu’elles papotaient près du monument aux morts à la grande guerre patriotique ; et dans la nuit des dizaines de jeunes veilleurs silencieux, à la Gandhi, ont fait l’objet de très violentes interpellations.

Le Parlement européen s’est ému et a sommé le pouvoir russe de ne pas paralyser les réseaux internet comme on en prête l’intention à Manslov Gazov. Et les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne vont convoquer les ambassadeurs russes pour leur faire des remontrances et leur rappeler les droits de l’opposition démocratique. Le Printemps russe, c’est maintenant !