Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 22 avril 2013

Quand la presse de France se déchaîne contre la Grande et Sainte Russie et occulte ce qui se passe sous son nez…



Slogan subversif tchétchène
[pour ceux qui ne liraient pas cette langue barbare : "Un couple marié = un homme et une femme"]


Le pouvoir russe réprime brutalement les adversaires d’une loi sur le mariage

(du correspondant permanent à Moscou de l’AFP pour Le Monde, Le Figaro, Le Parisien, Libération et aussi France 2, TF1, M6, Direct 8…)

Le 24 mars c’est une immense manifestation qui s’est déroulée dans les rues de Moscou. Plus d’un million et demi de personnes selon les observateurs étrangers, 300.000 selon le régime et la presse aux ordres. La réaction du pouvoir a été violente. Rappelées de Sibérie et de Tchétchénie, les forces spéciales ont dispersé brutalement les manifestants. Les robocops n’ont pas hésité à gazer des enfants avec des « aérosols » (sic) dont l’usage est condamné par l’Union européenne, aérosols, qui plus est, périmés selon une ONG de défense des droits de l’homme.

Depuis, les manifestations se multiplient. Le pouvoir y répond par des arrestations de plus en plus arbitraires. Des pères de famille ont été interpellés pour port de « tee-shirt interdit ». Soixante-sept jeune gens ont été gardés à vue à la Loubianka pour avoir tenté d’organiser un pique-nique près de la Place Rouge. Des jeunes filles qui faisaient un sit-in pacifique ont été violemment précipitées dans la bouche de métro Pushkinskaya par les sbires du pouvoir : des méthodes qui évoquent, pour un Français, celles du sinistre Papon réprimant les patriotes algériens, en 1961, au métro Charonne.

Les conditions du vote de la loi à la Douma ont été dignes d’une république bananière : moins de cinquante élus étaient présents mais la loi est réputée avoir été adoptée par plus de 300 députés ! Impensable pour qui est un habitué des procédures parlementaires des démocraties occidentales. Des parlementaires ont même été empêchés par la police de rejoindre la Douma.

Une vague de manifestations a alors déferlé sur tout le pays. Les ministres et les gouverneurs sont partout accueillis par des broncas. Le harcèlement démocratique bat son plein. En visite dans son propre fief de Saint-Pétersbourg, le président Poutine a dû accéder à la mairie par la porte de service…

Manslov Gazov, le ministre de l’Intérieur, a tonné contre les « provocateurs fascisants » et dénoncé des « houligans » : le mot même employé par Leonid Brejnev pour condamner les dissidents à l’époque de Soljenitsyne. Pour les ONG occidentales il est clair que Manslov Gazov (un ancien de SOS Communisme) a mobilisé la section manipulation du FSB (héritière du KGB) pour multiplier les actions de provocation. Les médias du régime ont d’ailleurs complaisamment relayé le saccage commandité d’un bar pro-Poutine dans l’Oural et la prétendue agression de deux partisans de la loi Poutine à Moscou (une simple querelle de sacs à main en fin de soirée).

Derrière le rideau de fumée des médias du régime, le nombre des prisonniers politiques s’accroît. Le régime aux abois multiplie les rafles pour mettre à jour ses fichiers. Les geôles de Manslov Gazov sont pleines. Le 18 avril des dizaines d’inoffensives babouchkas ont été embarquées sans ménagements, alors qu’elles papotaient près du monument aux morts à la grande guerre patriotique ; et dans la nuit des dizaines de jeunes veilleurs silencieux, à la Gandhi, ont fait l’objet de très violentes interpellations.

Le Parlement européen s’est ému et a sommé le pouvoir russe de ne pas paralyser les réseaux internet comme on en prête l’intention à Manslov Gazov. Et les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne vont convoquer les ambassadeurs russes pour leur faire des remontrances et leur rappeler les droits de l’opposition démocratique. Le Printemps russe, c’est maintenant !



samedi 13 avril 2013

L’Action française dénonce le coup de force de Flanby…


Le chef de l’État devient illégitime : il doit partir

L’ACTION FRANÇAISE DÉNONCE LE COUP DE FORCE DE FRANÇOIS HOLLANDE qui, après l’adoption précipitée du projet de loi Taubira vendredi matin au Sénat dans un hémicycle à moitié vide, a décidé, contre tous les usages, d’avancer la deuxième lecture du texte à l’Assemblée nationale dès mercredi prochain, 17 avril, alors qu’elle était initialement prévue à compter du 27 mai.

Cette précipitation traduit la panique d’un exécutif discrédité, sur lequel se resserre chaque jour davantage l’étau du mécontentement populaire. La profonde coupure du pouvoir avec le pays réel éclate ainsi au grand jour.

Comme l’a déclaré le député Philippe Gosselin, défenseur du mariage et de la filiation, devant le Sénat ce vendredi 11 avril au soir : "En accélérant la procédure législative pour échapper à la manifestation prévue par les opposants au ’mariage pour tous’ le 26 mai prochain, le chef de l’Etat et sa majorité sont prêts au pire : c’est une incitation à la guerre civile".

La panique étant mauvaise conseillère, l’exécutif ne fait ainsi que cristalliser la légitime colère des Français à l’encontre de son imposture et de son incompétence. En incitant à la guerre civile, le chef de l’État devient illégitime. Il doit partir.

C’EST POURQUOI L’ACTION FRANÇAISE APPELLE TOUS SES MILITANTS ET SYMPATHISANTS À PARTICIPER À LA LÉGITIME COLÈRE DU PAYS RÉEL ET À PRENDRE TOUTE LEUR PART DANS LE SURGISSEMENT D’UN PRINTEMPS FRANÇAIS.



mardi 9 avril 2013

Pour l'Europe, un seul espoir que Margaret Thatcher soit réincarnée…


Margaret Thatcher portant le deuil de Ronald Reagan, juin 2004


Margaret Thatcher portant le deuil de Ronald Reagan, tout un symbole… Le deuil d’un monde englouti… Notre deuil aujourd’hui avec l'appel dans l'Au-delà de Margaret Thatcher… Pour nous Européens, le deuil d’un rêve. Le deuil d’une Europe qui aurait été fondée sur ses valeurs ancestrales, sur les valeurs immémoriales de ces peuples… Notre deuil, c’est aujourd’hui le dégoût d’une Europe et de ses prétendus dirigeants fantomatiques girouettes agitées au gré de sondages manipulés, soumises à la technocratie décivilisatrice de la ploutocratie maçonnique et apatride… Le courage, la détermination, la fidélité à des grands principes justes, le sens du Bien commun ont fait la force de Margaret Thatcher… c’est ce que nous attendons désespérément de nos dirigeants actuels… Que ne soit pas dilapidé l’héritage commun de Margaret Thatcher, Ronald Reagan, Jean-Paul II, Lech Walesa, Vaclav Havel, Mikhaïl Gorbatchev sans lesquels l’Europe et la Sainte Russie n’auraient été libérées de la dictature communiste… Et, maintenant reste encore, tâche immense, à libérer une grande partie de cette Europe de la sociale-démocratie qui toujours appauvrit, génère le chômage, clochardise la jeunesse par sa fallacieuse politique égalitariste de redistribution et de prétendue justice sociale… Abattre la social-démocratie ! Un seul espoir que Margaret Thatcher soit réincarnée…


Sans Margaret Thatcher, Ronald Reagan n'aurait pas été Reagan


lundi 8 avril 2013

La Voix de la Russie : En Flanbyland, comme un doux parfum de 6 février 34…





Journal hebdomadaire de Voix de la Russie – 8 avril 2013

- Flanbyland : il règne comme un parfum de 6 février 34
- Corruption : une valeur mondialiste bien partagée
- Interview de Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia sur la tyrannie médiatique
- Retour de la spiritualité : le père Tikhon à Paris pour l'édition de son livre en français
- Dialogue Franco Russe : une association au service d'un rapprochement entre les nations 
- 400ème anniversaire de la dynastie des Romanov : soirée exceptionnelle à l'ambassade de Russie à Paris


Flanby, plus con que jamais, a encore bien fait marrer Angela Merkel… Toujours plus fort !



De quoi se marrent-ils ainsi, ces deux-là ? S’en content-ils de bien bonnes sur leur dernière rencontre avec Flanby ?

Chacun se souvient d'un plouc se prenant les pieds dans le tapis chez Angela Merkel, c'était sa première sortie après cette néfaste élection de mai 2012…

Flanby : "Quand on est le président de la France, on doit être impressionné par rien !"

Mais toujours plus fort, il fait le Flanby ! Là c'était aux funérailles de Stéphane Hessel, le 7 mars dernier… Une scène aussi affligeante qu'à mourir de rire… Flanby rendant hommage à une plaque d'égout, figé au bord du trou, loin du cercueil indigné du vieillard trépassé.

Quelle mouche est tombée dans le pot à Flanby pour qu'il s'oublie ainsi ? Vraiment con le mec ou a-t-il délibérément voulu rendre à Hessel l'hommage qui lui était dû… celui que l'on rend à une ordure… Alors chapeau, mec ! Malheureusement ce n'est très probablement pas le cas… Les hypothèses fusent… La meilleure synthèse (oui, une synthèse !), je l'ai trouvée sur un blog bien sympa, celui de Pensetouseul :

1 - Flanby est un con tout simplement (ce que tout le monde pense).
2 - Flanby voit la plaque d’égout et se pose la question : « Comment je vais passer ? »
3 - Flanby cherche des pièces jaunes pour Bernadette ou pour rembourser la dette.
4 - Flanby a entendu "1, 2, 3, Soleil", du coup il ne veut pas perdre et s’arrête.
5 - Flanby obéit au protocole « Vous devez vous arrêter devant la plaque d’égout à 30 m du cercueil ».
6 - Flanby comprend qu’il risque de finir là, à cause de sa politique.
7 - Flanby est un fan de Tortue Ninja.
8 - Flanby se demande comment le cercueil va pouvoir passer dans ce trou d'égout (hypothèse fort logique, sachant qui est dans la caisse).

Pensetouseul après moult recherches croit avoir résolu l'énigme… Un travail considérable, toutes les hypothèses se défendant bien que la première et la huitième semblent occulter toutes les autres, quoique avec la huitième ce serait gratifier Flanby d'une malice en contradiction flagrante avec la première hypothèse… Bref… Langue au chat ? La réponse Pensetouseul tout seul pense l'avoir trouvée… cliquez ici pour découvrir l'inattendue révélation.



dimanche 7 avril 2013

Pour sauver la France, il faut abattre d’urgence la République


« La question institutionnelle n'a jamais été plus actuelle. Elle constitue un enjeu politique de première importance et tous les Français doivent souhaiter qu'elle soit publiquement débattue, pour ne pas laisser à d'illégitimes oligarchies le soin de trancher pour nous la question de notre avenir national.

Il n'appartient évidemment pas à l'aîné des Capétiens de résoudre seul cette difficile question institutionnelle. Mais il ne m'est pas interdit de regarder avec sympathie et intérêt le développement de ces discussions au sein de la société française. Et il est de mon devoir de rappeler à tous les Français de bonne volonté, après tous mes prédécesseurs, ce que mon regretté père appelait les « vieilles recettes » de la royauté capétienne.

Pas plus que vous, je ne sais ce qui viendra « après la Ve République ». Ce que je sais, en revanche, c’est qu'aucun régime ne pourra durablement s'implanter en France s'il cherche à dresser une France contre l'autre ; à occulter le glorieux passé de notre patrie ; ou à conférer, plus ou moins discrètement, le pouvoir à une petite caste de privilégiés.

En réfléchissant à notre avenir commun, il est sage d’écouter les leçons de notre passé. »


Décret de l'Assemblée nationale qui supprime les ordres religieux et religieuses en 1790 (Bibliothèque nationale de France)

Lettre d'information du Centre royaliste d'Action française - 6 avril 2013

[Communiqué] : Une ambiance de fin de règne

L’affaire Cahuzac plongerait le monde médiatico-politique dans un grand émoi…

Si la réalité n’était pas aussi tragique, on rirait de ces assauts de moralisme outragé, de ces poses vertueuses des « régimistes payés ».

D’abord, précisons que le mensonge d’État, la corruption, les lois ineptes, ne sont pas l’apanage exclusif de la gauche libérale socialiste. La droite libérale démocratique (celle que la gauche, entre deux insultes, reconnaît comme républicaine) pratique le même sport à peu près au même rythme.

Ces deux faces d’une même médaille utilisent la règle convenue du jeu électoral qui, comme dans « Qui veut gagner des millions ? », fait tous les cinq ans un heureux gagnant.

Mensonge, corruption… Mais rappelons nous : Cela a commencé dès la révolution ! Tandis que Danton s’enrichissait, comme de nombreux « citoyens décideurs » avec la récupération des « fermes générales » et le pillage des biens de l’Église, que soixante départements sur quatre-vingt quatre, malencontreusement consultés, souhaitaient le maintien de la Monarchie et qu’on écrasait dans le sang les révoltes populaires qui éclataient partout en France, on fondait la République une et indivisible, déjà dans le mépris du peuple que l’on séduisait par le mensonge ou soumettait par la terreur.

Comment se pourrait-il que née ainsi, la République, produise de bons fruits ?

Les affaires ont émaillé la vie de celle que Maurras appelait la « femme sans tête », du scandale de Panama à l’affaire Stavisky, qui vit descendre les patriotes dans la rue.

Jusqu’alors, la République tenait au moins une relative légitimité de la défense de la Nation dont elle se faisait la championne, mission régalienne qu’elle eut l’intelligence d’hériter de la Monarchie capétienne, non sans la déformer et faire malheureusement du Nationalisme une caricature belliciste.

Mais, ses abandons successifs de souveraineté tendant à dissoudre la Patrie dans l’Union européenne, elle même antichambre du mondialisme anglo-saxon, est en train de lui retirer toute reconnaissance du Peuple, la rendant de plus en plus étrangère à la France réelle. La loi Taubira, qui s’inscrit dans ce planning mondialiste et vise à transformer nos peuples de France en une foule anonyme de clones asexués, complétant le projet de métissage obligatoire défendu par Sarkozy, devrait achever de convaincre les patriotes que non seulement la République n’est pas la France, mais encore qu’elle met en grave danger notre Patrie construite par huit siècles de Monarchie capétienne.

Pour sauver la France, il faut abattre d’urgence la République.

Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

Centre royaliste d'Action française
10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
communication@actionfrancaise.net
www.actionfrancaise.net



Louis XX prêt à se lancer en politique en France en 2013 ?

samedi 6 avril 2013

6 เมษายน : วันที่ระลึกมหาจักรีบรมราชวงศ์ - 6 avril : Jour de la Dynastie Chakri



Après la chute d’Ayutthaya et le règne très bref du roi Taksin à Thonburi s’ouvre l’ère Rattanakosin avec la Dynastie des Chakri… alors que Krung Thep (กรุงเทพมหานคร), la Cité des Anges, [Bangkok pour les étrangers européens] devient la capitale du Royaume de Siam…


- Le roi Phra Buddha Yodfa Chulaloke (Rama 1er, 1782-1809), fondateur de la Dynastie est couronné le 6 avril 1782.
- Le roi Phra Buddha Loetla Naphalai (Rama II, 1809-1824).
- Le roi Phra Nang Klao (Rama III, 1824-1851).
- Le roi Mongkut (Rama IV, 1851-1868) accède au trône après 26 années de vie monastique… instaure un bouddhisme plus pur tout en ouvrant le Royaume au monde extérieur…
- Le roi Chulalongkorn (Rama V, 1868-1910), durant un long règne de 42 années, promeut de nombreuses réformes (administration royale, éducation, justice, finances, abolition de l’esclavage), voyage et s'ouvre à l'Europe.
- Le roi Vajiravudh (Rama VI, 1910-1925), le roi poète, contribue à l’épanouissement de la langue et de la littérature siamoises…
- Le roi Prachadhipok (Rama VII, 1925-1935), dernier roi de Siam à régner sous le régime de la monarchie absolue, après une courte révolution accepte, le 24 juin 1932, un régime de Monarchie constitutionnelle ; il abdique le 2 mars 1934…
- Le roi Ananda Mahidol (Rama VIII, 1935-1946), neveu du roi Prachadhipok, accède au trône mais après 11 années de règne décède dans des circonstances non élucidées. Avec la prise du pouvoir par le général Plaek Phibunsongkhram en 1939, le Royaume de Siam se nommera désormais Royaume de Thaïlande.
- Le roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX), succède à son frère le 9 juin 1946… Après une période de régence pendant laquelle il termine ses études en Europe, il rentre en Thaïlande en 1950, se marie avec la princesse Sirikit Kitiyakorn et est couronné. Sa Majesté le roi Bhumibol Adulyadej a fêté le soixantième anniversaire de son accession au trône en juin 2006.