Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 21 décembre 2012

Le gaullisme n'est pas mort : Flanby digne héritier de l'infâme criminel compulsif DeGaulle


Décidément tous les ingrédients du gaullisme se retrouvent chez Flanby, ostensiblement exhibés… Mensonge, lâcheté, démission, abandon, trahison, collusion avec l'ennemi… Et par dessus tout l’incitation à la division et à la haine entre Français, entre Français et Algériens… Ce voyage en Algérie était une occasion unique pour rétablir la vérité pour un apaisement et une franche réconciliation entre Algériens et Français… Une occasion unique de panser les blessures… Que nenni… Flanby campé dans la falsification de l'Histoire et l’humiliation de ses compatriotes s’est ingénié à attiser les haines, flatter les instincts les plus bas… Propagation par le mensonge éhonté d'un désir de revanche voire de vengeance auprès des Algériens… Frustration des Français toujours davantage déconsidérés dans leurs œuvres, méprisés, insultés…


Flanby devant le Parlement algérien : une traître humiliation infligée aux Français


Flanby et Ben Bella : ils furent copains comme cochons !

Le mot de « repentance » n’aura donc pas été prononcé. Mais c’est tout comme. François Hollande, avec l’autorité que lui confère sa charge de président de la République française, est allé devant le Parlement algérien, devant ceux qui ont combattu la France, devant cette Algérie qui, « il y a cinquante ans, (…) s’arrachait à la France », devant des protagonistes ou des approbateurs d’une guerre menée à coups d’attentats, de massacres, d’atrocités commises sur la population civile – d’origine française ou algérienne – pour y dire son admiration pour ce combat. Pour le justifier. Pour le bénir comme une insurrection face à une tyrannie insoutenable : celle de la « colonisation ».

On comprend que chacun de ces mots sur cette histoire où la « vérité » officielle règne toujours ait été reçu par les applaudissements nourris du Parlement algérien.

François Hollande a voulu faire le parallèle avec l’issue de la Seconde Guerre mondiale. « De même que la France et l’Allemagne avaient été capables après une guerre tragique qui les avait opposées d’être les moteurs de la construction européenne, eh bien l’Algérie et la France peuvent construire aussi l’union, l’unité méditerranéenne de demain. »

Mais la France en position de vaincue, la France comme l’agresseur qui se serait débarrassée des responsables de son odieuse tyrannie, et la bonne Algérie conduite par ses combattants de la liberté…

Oui, François Hollande, parlant comme chef de l’État, s’est exprimé devant ceux qui assument pleinement l’héritage de huit ans d’horreurs, a glorifié cette Algérie « fière, consciente de ses forces », riche de sa jeune population, « dynamique », « en développement », « un pays courageux », qui grandit dans « la dignité et l’unité », « tous ces Algériens venus à travers plusieurs générations donner leur force de travail pour permettre à la France d’être ce qu’elle est aujourd’hui ».

Et la France ?

« La vérité je vais la dire ici, devant vous. Pendant 132 ans, l’Algérie a été soumise à un système profondément injuste et brutal, ce système a un nom, c’est la colonisation, et je reconnais ici les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien. » Voilà comment François Hollande écrit l’histoire. En tous points comme si les 132 années de présence française en Algérie étaient une sorte de parenthèse d’occupation nazie dans la vie d’un peuple « libre et souverain » (mais qu’était « l’Algérie » d’avant la présence française sinon un conglomérat de territoires sous domination ottomane, livrée à la violence des Barbaresques ?).

Le parallèle est insupportable. Il est un affront. Il tente d’accabler la France de « crimes contre l’humanité ». Il grossit les erreurs, les fautes, les malheurs qui ont accompagné la présence française en Algérie – il y en eut comme dans toute entreprise humaine – pour les ériger en « système » qu’il est donc possible et juste de combattre à n’importe quel prix. Il oublie la force de pacification, de civilisation, de secours aux populations, d’enrichissement qu’aura été la France en Afrique du Nord, parce que ce sont là des tabous. Tout au plus François Hollande a-t-il salué les « Français d’Algérie », « instituteurs, médecins, architectes, professeurs, artistes, commerçants, agriculteurs qui, avec le peuple algérien, avaient su nouer, dans des conditions difficiles, intolérables parfois, des relations tellement humaines ». Ce sont les gentils qui ont su le rester contre « système », alors ? Laissez-nous rire !

Et l’inestimable richesse de la langue française enseignée, offerte et laissée comme un cadeau et une assurance d’existence sur la scène internationale ? Avec Léopold Senghor, Hollande voit une Algérie qui a « su se l’approprier comme un butin de guerre ».

Et les Pieds-noirs ? « Tous ces Français nés en Algérie et qui sont partis dans les conditions que chacun connaît et avec le déchirement dont ils ne se sont jamais remis mais qui portent toujours je vous l’assure, l’Algérie dans leur cœur. » Les voilà presque complices de l’indépendance. Compréhensifs. Aidant la France à renforcer « cette passion d’être ce qu’elle est aujourd’hui ».

Et les Harkis ? Mot absent, mot tabou. Et absent de cette phrase du Président : « La vérité, elle doit être dite aussi sur les circonstances dans lesquelles l’Algérie s’est délivrée du système colonial, sur cette guerre qui, longtemps, n’a pas dit son nom en France, la guerre d’Algérie. Voilà, nous avons le respect de la mémoire, de toutes les mémoires. Nous avons ce devoir de vérité sur la violence, sur les injustices, sur les massacres, sur la torture. » Ne rêvez pas. Si Hollande a pensé aux « massacres » des harkis, c’est uniquement pour les taire. Et la « torture », on sait de quel côté il la voit.

Si c’est ainsi qu’il veut ouvrir une « nouvelle page » des relations franco-algériennes, faites de circulation facilitée et de relations économiques beaucoup plus étroites, qu’il ne parle pas de « vérité ».

JEANNE SMITS (article extrait de Présent n° 7756 du samedi 22 décembre 2012)


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[Communiqué de l'Action Française] - La honteuse repentance de Flanby :

Monsieur "Reconnaissance Lucide" — telle est l’expression hollandaise pour « repentance »…  Il est venu aussi, en guise de "réparation", ouvrir grandes les portes de la France à une Algérie pressée de se débarrasser de sa jeunesse à laquelle un État indépendant et corrompu est devenu incapable d’assurer un avenir…  Le Chef de l’État français vient de porter, délibérément, un mauvais coup à la France.

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Flanby en Algérie : repentance et feu vert à l’afflux d’Algériens en France :

Bien entendu, Hollande n’a pas eu un mot jeudi pour la défense des « mémoires blessées » suite aux massacres de Français et d’Européens par le FLN lors de la guerre d’Algérie.
Bien entendu aussi, pas plus que son prédécesseur Nicolas Sarkozy, il n’a pas demandé une repentance de l’Algérie pour la mise en esclavage particulièrement dur et meurtrier d’Européens, esclavage qui a duré des siècles et n’a été interrompu qu’en 1830 par… la colonisation de l’Algérie.


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Pour Fabrice Robert, de Paris à Alger, avec Flanby, c’est toujours la France qu’on veut “niquer” :

Dans un communiqué, ce Fabrice Robert fustige les déclarations sidérantes du "président de la République" :
« incapable de se faire respecter par les Algériens présents en France, mais allant faire repentance et reconnaître notre pseudo culpabilité chez eux, François Hollande n’est définitivement pas notre président. »
Dans ce communiqué, Fabrice Robert rappelle que « le Bloc Identitaire avait déjà réagi à la pétition des Inrocks, en lançant sa propre pétition “Niquons les Inrocks“ ».


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Drôle de coïncidence ! - Grande Poste : les lignes téléphoniques et l'internet seront toutes rétablies, « au plus tard vendredi » [ie après le départ de Flanby !]


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D'un Français de Saint-Petersbourg : Lettre ouverte à notre (pseudo)président-pseudo-historien :
Oui, vous avez été un bien piètre historien en ce jeudi 20 décembre. Et un président indigne, car un vrai chef d'Etat ne salit pas son pays surtout devant d'anciens ennemis. Votre visite d'hommage à la plaque commémorative du traitre Maurice Audin en dit long sur votre attachement à la France. J'aurais préféré vous voir à la récente cérémonie d'inhumation du Général Bigeard à Fréjus. Il ne fallait pas y compter. Vous avez préféré salir sa mémoire et celle de tous ses compagnons d'armes lors de votre visite en Algérie. Quand un chef d'Etat célèbre les traitres à leur patrie et crache sur la mémoire de ceux qui se sont battus pour elle, il n'y a plus aucun espoir.

...  Pour faire bref, disons en toute simplicité que ce Flanby-là est un vrai gaulliste, un digne successeur de son homologue l'infâme criminel compulsif DeGaulle.

Une semaine d'images au Royaume de Thaïlande



From a diving Santa Claus to Miss Tourism World 2012
enjoy these interesting images from around the Kingdom captured by Post Photographers.


jeudi 20 décembre 2012

Magnifique Saint-Nicolas pour Gérard Depardieu : un passeport russe !





Pour Gérard Depardieu, un passeport russe ? Il suffit qu’il le demande !

Vladimir Poutine pendant sa conférence de presse à Moscou, aujourd’hui 20 décembre a déclaré « Si Gérard veut avoir un permis de séjour ou un passeport russe, c’est une affaire réglée, et de manière positive ».

Le président russe, Vladimir Poutine, répondait à une question sur des propos prêtés à Gérard Depardieu par des amis et cités dans Le Monde : « Poutine m’a déjà envoyé un passeport » aurait-il dit en plaisantant.

Après l’exil en Belgique de Gérard Depardieu, le Premier-valet de France Ayrault avait déclaré que ce départ était “assez minable”. Cela avait profondément choqué Gérard Depardieu car « tous ceux qui ont quitté la France n’ont pas été injuriés comme je le suis » avait-il dit. Des noms ? Par exemple, Yannick Noah, soutien à Flanby ! Gérard Depardieu avait alors précisé qu’il rendait son passeport français.

Fabrice Luchini, répondant dans sa verve cinglante au quasi inconnu Torreton, a pris la défense de Gérard Depardieu : « Quand on attaque Depardieu, il faut avoir une filmographie solide. Moi je ne fais pas des leçons de morale, chacun dit ce qu'il veut. C'est suicidaire de se confronter à un monument du cinéma ».


mercredi 19 décembre 2012

Le père-noël est une ordure ! Célébrons Saint Nicolas en attendant l'Enfant Jésus…


NOUS D'UN CERTAIN ÂGE, ET CATHOLIQUES DU SUD… AYANT REÇU UNE BONNE ÉDUCATION NE CONNAISSONS QUE LE PETIT JÉSUS… RIEN NE NOUS EMPÊCHE CEPENDANT D'HONORER SAINT NICOLAS, COMME NOS FRÈRES DU NORD ET LES ORTHODOXES…
Ce mercredi 19 décembre, la chrétienté orthodoxe fête Saint Nicolas… Les enfants de Russie et d'ailleurs se réveilleront avec plein de petits cadeaux en l’honneur de la fête de Saint Nicolas, évêque martyr et protecteur des enfants ! Dans leur bonheur, ces enfants russes auront aussi certainement une pensée de compassion envers ces enfants de Newtown assassinés dans cette Amérique autiste qui méprise le reste du monde.  Cette fête a déjà eu lieu le 6 décembre pour les enfants catholiques du Nord et de l’Est de la France, de Suisse, de Belgique, du Luxembourg, d'Allemagne, d'Autriche, de Croatie, de Pologne, de Hongrie, de Tchéquie, de Lituanie…

Évidemment, Saint Nicolas a été dénaturé par l’Occident mécréant qui l’a remplacé par l’immonde idole païenne dénommée "père-noël", qui vient salir notre belle fête de la Nativité, Noël, en se substituant à la Naissance de l'Enfant Jésus…

1931 : la naissance d'une idole marchande, une publicité de Coca-cola

Tout récemment nous avons appris qu’une école de Montargis avait annulé la visite du père-noël aux enfants sous l'emprise hystérique du fondamentalisme laïcard ! À crever de rires ou de pleurs quand on sait que le père-noël est une création commerciale américaine d’inspiration païenne ! S’il y a bien une idole laïque qui viserait les enfants, c’est précisément le père noël ! Il est ahurissant de constater à quel point cette idole est banalisée en Occident pour qu’à présent des laïcards aussi stupides, malveillants qu'ignorants s'imaginent qu’elle est le fruit d’une croyance « religieuse » ! Bref, en toute logique et au nom des valeurs chrétiennes, nous ne nous plaindrons pas de l'annulation de cette visite par cette cette jeune directrice à qui il reste tout à apprendre…  Et que l'an prochain, elle remplace cette sale ordure de père-noël par Saint Nicolas !

Comme des images valent parfois mieux qu’un long discours, nous avons retrouvé l’excellente vidéo ci-après éditée par Gloria.tv où des frères catholiques brûlent le père-noël ! Bravo les gars ! À chacun de nous d'en suivre le bel exemple et à le faire savoir !

Et pourquoi, en France, ne pas saisir le CSA pour publicité déguisée en faveur de Coca Cola  chaque fois qu'une chaîne du service public fera mention ou présentera un "père-noël"… Simplement en lançant cette idée, l'association s'ancrera dans l'esprit du public que le "père-noël" c'est Coca Cola… Et il faudra bien que le service public se décide à réagir contre cette idole…

Vivement le jour où toutes les idoles païennes, anciennes comme nouvelles (le lapin de « Pâques », Marianne, la statue de la Liberté, etc.), seront fracassées pour la plus grande gloire de Dieu !

Bonne fête de Saint Nicolas à tous les petits enfants orthodoxes… en attendant que viennent Noël et l'Enfant Jésus… 


La résurrection des trois enfants mis au saloir
 

Cet épisode ne figure pas dans la Légende dorée, ni dans la compilation de Siméon de Métaphraste (premier légendaire en grec du Xe siècle), mais dans les octosyllabes de l'auteur du Roman de Brut, le normand Wace, dans sa Vie de saint Nicolas (v 1150), ou dans un sermon attribué à Bonaventure, ou dans un Mystère latin (Secundum miraculum sancti Nicholai ), avant que Gérard de Nerval n'en popularise la chanson dans La Sylphide de 1842 après l'avoir recueillie dans le Valois.

Il s'agit de la complainte de Saint Nicolas :

Il était trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs.
S'en vont au soir chez un boucher.
"Boucher, voudrais-tu nous loger ?
Entrez, entrez, petits enfants,
Il y a de la place assurément."
Ils n'étaient pas sitôt entrés
Que le boucher les a tués,
Les a coupés en petits morceaux,
Mis au saloir comme pourceaux.

Saint Nicolas au bout d'sept ans
Saint Nicolas vint dans ce champ.
"Boucher, voudrais-tu me loger ?"
Entrez, entrez, saint Nicolas,
Il y a d'la place, il n'en manque pas."
Il n'était pas sitôt entré,
Qu'il a demandé à souper.
Voulez-vous un morceau d'jambon ?
Je n'en veux pas il n'est pas bon.
Voulez-vous un morceau de veau ?
Je n'en veux pas il n'est pas beau !
Du p'tit salé je veux avoir
Qu'il y a sept ans qu'est dans l'saloir.
Quand le boucher entendit cela,
Hors de sa porte il s'enfuya.
"Boucher, boucher, ne t'enfuis pas,
Repens-toi, Dieu te pardonn'ra."
Saint Nicolas posa trois doigts
Dessus le bord de ce saloir.
Le premier dit : "j'ai bien dormi !"
Le second dit "et moi aussi!"
Et le troisième répondit :
"Je me croyais en paradis !"


Montargis : faut-il interdire le père Noël ?

La chapelle Saint-Nicolas en Priziac

Jeudi 6 décembre : fête de Saint Nicolas

À bas le Père Noël !

La polémique Polony - Le Père Noël interdit d’école à Montargis : défense ordinaire, style "On n'est pas couché", du père-noël franc-maçon !

Belle et Rebelle : Aliénor remet notre foyer à l’honneur pour Noël

Le "Mariage pour tous" à Flanby vire au dévergondage flagrant et éhonté de l'enfance…


Affligeant dimanche de l'Avent… désolant avant Noël, fête des enfants…


L'image emblématique
de la manifestation en faveur du "mariage pour tous" à Flanby ce dimanche 16 décembre :
une invitation flagrante et éhontée au dévergondage de l'enfance…
observons deux pas en arrière les prédateurs à l'affût…
Un bon signal pour l'adoption ?
Saint Nicolas, priez pour lui…

Sur Twitter : Donner ce genre de pancarte à un enfant, CHAPEAU BAS les gars !

Jeanne Smits : J'étais à la manif des pro-« mariage » homo… les photos :
"Toutes les pancartes, tous les slogans sont permis. Personne ne s'en offusque. Personne ne les vire pour mauvais goût. Personne n'y voit une insulte aux chrétiens. Ni même aux mulsulmans. Au fait, c'était une marche PS-Gauche-NPA-CGT très peu métissée…"
Les pancartes montrent que le mauvais goût, la vulgarité, l’insulte, voire la haine sont bien ancrés (et permis !) au sein des militants LGBT. Aucun élu soutenant cette manifestation ne s’est désolidarisé de ces attaques et professions de foi.

Altermédia France : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

Le Salon Beige : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

Nouvelles de France : Incitation à la pédophilie dans le cortège de la manifestation pour la dénaturation du mariage ?

À toi l'honneur : La bite, le cul, l'enfant !

Le Blog de Thomas Joly : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT de dimanche

NovoPress.info : Manifestations homosexualistes : mobilisation moindre que les manifestations pour les droits de l’enfant

Forum - Communauté - PSG.fr : Finalement y'a pas que du mauvais dans la fin du monde, espérons que les tarés qui on pris en otage ce môme y passent les premiers

FN92 : Manifestation pro mariage homo: L'Indécence c'est Maintenant!

LE BLOGUE DE YANN REDEKKER : Manifestations homosexualistes : mobilisation moindre que les manifestations pour les droits de l’enfant

Égalité et Réconciliation : Incitation à la pédophilie dans le cortège de la manifestation pro-mariage gay ? Cette photo prise dimanche à Paris et trouvée sur Twitter le laisse malheureusement penser

GAELLE MANN : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

France Jeunesse Civitas : Comment le lobby homosexuel manifeste et dévergonde les enfants… Des obsédés sexuels... Et cela revendique le droit d'adopter des enfants

PaSiDupes : La manif pour le "mariage entre personnes du même sexe" a viré au délire dimanche - "Mariage pour tous" : les slogans affichent une grande misère intellectuelle




mardi 18 décembre 2012

13 janvier : "La Manif pour Tous" - communiqué de Civitas pour l'honneur des catholiques…


L'hystérie fondamentaliste laïciste n'appartient pas qu'à Flanby et ses séides…

Pour les fondamentalistes de la laïcité, l'ennemi c'est le christianisme.
Il est essentiel que chaque catholique en prenne conscience.




Le 13 janvier n’appartient à personne
La rue appartient à tout le monde

À l’évidence, l’ampleur de la mobilisation contre le projet de loi dénaturant le mariage et la parenté grandit chaque jour et s’étend à toutes les strates de la société française. Il ne fait plus aucun doute qu’une véritable marée humaine se répandra dans les rues de Paris le 13 janvier prochain pour exiger une seule chose : le retrait immédiat de ce projet de loi. Cette mobilisation populaire, il faut le répéter, n’appartient à personne et ne doit en aucune façon être transformée en troupeau anonyme, encore moins être détournée de ses objectifs.

C’est avec inquiétude que nous avons vu un comité s’autoproclamer organisateur de cette contestation populaire pour immédiatement chercher à la brider, à la formater, à l’uniformiser, à l’aseptiser. Trois personnes prétendent ainsi s’accaparer la direction de cette foule qui gronde : Xavier Bongibault, président de Plus Gay sans Mariage, Laurence Tcheng, présentée comme de gauche, et « Frigide Barjot » qui se revendique « déjantée ». Ce triumvirat [sic !] peut bien être de bonne volonté mais quelle est donc sa légitimité pour vouloir diriger la manœuvre le 13 janvier prochain ? Si on n’est ni gay, ni de gauche, ni déjanté, comment peut-on se reconnaître en ces trois meneurs de revue ? Ce comité cherche manifestement à confisquer la mobilisation populaire à laquelle nous assistons au profit d'un discours ambigu (normalisation de l'homosexualité, obsession de demander aux catholiques de se "camoufler" en citoyens lambdas de la République, consignes vulgaires,...).

Une imposture

L’émotion est grande chez beaucoup de participants aux manifestations du 17 novembre ou du 8 décembre, qu’ils soient catholiques ou non, qui se sentent trompés après avoir observé des situations surprenantes. Que Mme Barjot et ses acolytes demandent d’applaudir des duos homosexuels s’embrassant, cela laisse pantois. Que Xavier Bongibault et ses comparses fassent une fixation sur la lutte contre l’homophobie, concept inventé par le lobby homosexuel pour intimider et disqualifier les opposants à ses revendications, c’est pour le moins troublant. Que Mme Barjot se flatte devant tous les micros d’avoir participé à toutes les « gay pride » et que, lors des conférences de presse qu’elle organise, elle pousse le souci du détail jusqu’à régulièrement porter une veste marquée du logo du « Banana Café », bar gay de Paris, cela souligne des connivences étranges.

La liste devient trop longue des errements que ce trio veut imposer à tous. Petit florilège des propos tenus ces jours-ci par Mme Barjot :
- ceux qui viennent manifester le 13 janvier « seront obligés de défiler contre l’homophobie » ;
- ceux qui arrivent avec leur chapelet, « ce sera gentiment : dehors ! » ;
- si des militantes de FEMEN se déshabillent, que les mères de famille en fassent autant « pour être en situation d’entamer un dialogue équitable » ;
- « La Manif pour Tous (…) rappelle qu’elle comprend les revendications d’homo-éducation (…) » (communiqué de F. Barjot du 13 décembre) ;
- « Le 13 janvier, il y aura un char des homos… et j’appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay ».
  
J’en arrête là tant c’est insupportable. Non, les Français qui viendront manifester le 13 janvier ne veulent pas d’une « homo-éducation » dans les écoles de leurs enfants ! Non, ils ne veulent pas d’un « PACS+ » ! Non, ils ne viennent pas pour danser sur un char gay !

Laisser passer ces erreurs graves, sous prétexte d’éviter les controverses, c’est permettre qu’elles se transforment en une gangrène qui corrompra tous les combats futurs.

Savez-vous ce qu’est le scandale ? C’est d’induire le prochain en erreur par des paroles ambiguës, équivoques. Que personne ne vienne tenter de relativiser ces paroles de Mme Barjot au nom de la « com » qui permettrait toutes les inepties. Vous pensez que les mots n’ont pas d’importance ? Ils en ont bien plus que vous ne vous l’imaginez. Les mots sont la physionomie extérieure des idées.

Le nombre n’est pas tout

Bien sûr, nous souhaitons tous que nos manifestations rassemblent de nombreux participants. Mais méfions-nous de faire du nombre un objectif essentiel et un critère prépondérant au prix de tous les sacrifices. C'est la vérité du message porté par les manifestants qui est essentielle.

Si un défenseur de la Famille et du mariage, sous prétexte d'être efficace et de faire nombre, commence par mutiler la vérité ou l'atténuer à sa fantaisie, il ne défend plus la vérité. Il peut bien être de bonne foi mais à force d'accommoder le message à ses vues étroites et à son faible courage pour le rendre, imagine-t-il, plus acceptable à l'adversaire, il ne défend plus la vérité mais une illusion.

Personne ne demande que le 13 janvier soit exclusivement réservé aux catholiques
Que nul ne se méprenne sur les raisons de ce communiqué

Je l’ai déjà dit et écrit souvent : il n’est pas besoin d’être catholique, chrétien, croyant, pour comprendre la nocivité de ce projet de loi. Et il faut se réjouir que des Français de tous milieux viennent jusque dans la rue crier leur indignation devant un projet gouvernemental qui souhaite défigurer l’institution du mariage et ouvrir la voie à la marchandisation de l’enfant.

Mais si personne n’imagine demander que cette manifestation soit réservée aux seuls catholiques, il serait plus absurde encore de tomber dans l’excès inverse et d’exiger d’eux de manifester dans un anonymat honteux. Ce serait absurde parce qu’aucun journaliste, malgré tous les efforts « déjantés » de Mme Barjot, n’est dupe : tous constatent bien que les catholiques constituent le gros des bataillons des manifestants contre ce projet de loi. Ce serait aussi absurde parce que, de la même façon que personne n’imaginerait arracher ni la kippa que porterait un manifestant juif sur la tête ni le voile que porterait une manifestante musulmane, il est impensable, inacceptable, inadmissible que le trio qui prétend cornaquer cette manifestation se permette de déclarer que la personne qui aurait son chapelet à la main, « ce sera gentiment : dehors ! ».

Les catholiques ne sont pas des citoyens de seconde zone

Par ailleurs, je dois dire mon exaspération d’entendre des catholiques déboussolés succomber aux recommandations tactiques douteuses de ceux qui sont avant tout très gênés à l’idée d’un réveil catholique. Comme si le message serait affaibli parce que porté en grande partie par un sursaut des catholiques. Qu’est-ce donc que ce raisonnement qui fait fi de toute espérance chrétienne alors qu’il est dit : « Par ce signe, tu vaincras ».

Quoi, les parlementaires et les maires nous écouteraient moins parce que la foule serait identifiée comme catholique pour une très large proportion ? Mensonge entretenu par ceux qui ne veulent surtout pas d’un réveil catholique. Qu’au contraire les catholiques s’affichent avec détermination, qu’il apparaisse un réveil catholique particulièrement perceptible chez la jeunesse, et le monde politique toujours volatile ne manquera pas d’estimer qu’il faut tenir compte de cet électorat redevenu militant. Recommander aux catholiques de faire profil bas et de participer à la manifestation du 13 janvier comme s’il s’agissait d’un bal masqué, c’est se rendre complice des intégristes de la laïcité qui sont par ailleurs les rédacteurs du texte de loi que l’on prétend combattre. Réclamer la non-intervention de la religion dans le débat politique, c’est contribuer au développement d’un véritable athéisme social. Celui qui nie l’autorité de Dieu sur la société et sur les individus ne peut se prétendre catholique. On ne peut se dire catholique lorsqu’on pénètre dans une église et être simple citoyen républicain et a-confessionnel le reste du temps. On ne peut reconnaître au pied du tabernacle l’obligation de se soumettre à la volonté de Dieu, et s’y soustraire lorsqu’on est dans la vie publique. On ne peut être catholique durant la messe du dimanche matin et cacher sa foi durant la manifestation d’un dimanche après-midi !

Oui, nous manifesterons ce 13 janvier

À tous les catholiques, mais aussi à tous les Français de bon sens épris d’un discours porteur de vérité et sans concession pour le mensonge, je fixe solennellement rendez-vous le dimanche 13 janvier à partir de 13h place Pinel (métro Nationale) dans le XIIIème arrondissement.

La rue appartient à tout le monde et nous n’avons pas besoin de l’assentiment d’un comité « gay friendly » pour manifester ! Dès à présent, préparons les transports groupés pour faciliter la participation du plus grand nombre.

Comme le 18 novembre dernier, CIVITAS organisera l’encadrement logistique de ce rassemblement et y accueillera sans aucun esprit de chapelle tous ceux qui veulent le retrait de ce projet de loi. Banderoles, bannières, drapeaux et pancartes y seront les bienvenus (pour autant que les textes se rapportent directement à l’objet de la manifestation et respectent la législation française). Chacun y viendra coiffé et habillé comme il le veut. Les catholiques n’y auront pas honte de leur foi, sans que cela soit signe d’exclusion pour les autres.

Alain Escada,
Président de CIVITAS


Homofolie d'étrons géants nauséabonds apatrides et haineux…

Jeanne Smits : « Manif pour tous » ? Là, ça va trop loin !

http://www.riposte-catholique.fr

lundi 17 décembre 2012

Les "anciens combattants français-musulmans" attendent Flanby en Algérie… Que ce voyage sonne enfin le glas du gaullisme ! Et enfin une vraie et très humble repentance…

Repentance… Que oui, nous attendons que Flanby présente très humblement des excuses au Peuple algérien… Squatteur du même palais que l’infâme criminel compulsif DeGaulle, et à ce titre son homologue, pour présenter des excuses au Peuple algérien qui serait à présent plus qualifié que Flanby ? Des excuses au nom du Peuple français qui par référendum a lâchement entériné la capitulation de DeGaulle livrant l’Algérie et son Peuple à la dictature du FLN et à ses crimes, crimes d’autant plus odieux qu’il fut vainqueur sans gloire.


Flanby se rend en Algérie… Saura-t-il se départir d'une posture démagogique au goût de la propagande gaullo-marxiste droit-de-l’hommiste et d’une prétendue bien-pensance… Se souviendra-t-il que son papa le docteur Georges Gustave Hollande, proche de l’OAS, militait en 1965 auprès de Jean-Louis Tixier-Vignancour… Un atout incontestable si Flanby vient en Algérie avec le cran de vouloir une réconciliation franche avec l’Algérie… Une réconciliation franche : ce qu’attendent tous ceux qui aiment sincèrement ce pays, ceux qui y sont attachés malgré tous les malentendus, malgré les actes d’horreurs dans lesquels certains se sont laissés entraînés, encouragés en premier lieu par l’infâme criminel compulsif DeGaulle. Au-delà de la propagande, des discours convenus, Flanby saura-t-il retrouver la réalité du contexte algérien des années 50 et encore de 1961 et 1962… Se souviendra-t-il de l’immense élan d’enthousiasme qui a accompagné le putsch des généraux en avril 1961… Une vraie réconciliation n’est possible qu’en se faisant le porte-parole du pays que l’on prétend représenter et non en abondant dans le sens d’un interlocuteur prêt à jouer de toutes les faiblesses, voire des bassesses, des humiliations auxquelles dans le sillage du traître DeGaulle se sont vautrés tous les hommes politiques français… Que ce voyage sonne enfin le glas du gaullisme !

Un geste fort… À accomplir en plein accord avec les autorités qui gouvernent présentement l’Algérie : reconnaître la qualité d’anciens combattants à tous les Algériens qui ont combattu auprès de la France… Qu'ils soient à présent 30 000, peut-être 100 000 survivants… voilà des fonds qui seront sagement placés et dont le bénéfice à long terme reviendra autant à l’Algérie qu’à la France…

Une occasion unique pour Flanby de se donner une stature présidentielle… d’être enfin reconnu comme le Président François Hollande !

Jean-Dominique Merchet - Secret défense :
"Des milliers d'Algériens demandent à la France leur retraite du combattant... d'Algérie"

Ils ont servi dans l'armée française contre le FLN et résident toujours en Algérie


À quelques jours de la visite de François Hollande en Algérie, les 19 et 20 décembre, c'est un dossier bien embarrassant que les autorités algériennes éviteront d'aborder avec les Français. En effet, près de 30 000 citoyens et résidents algériens ont déjà demandé à la France leur "carte du combattant" qui ouvre droit à la "retraite du combattant". Pour cela, il faut qu'ils aient servi dans l'armée française et pris part à des opérations de guerre... en l'occurrence d'Algérie ! Car la génération de la Seconde Guerre mondiale , voire de l'Indochine a aujourd'hui presque disparue. Et les milliers d'Algériens qui demandent aujourd'hui leur retraite ont été du côté français, c'est-à-dire contre le FLN... Les plus jeunes ont 68 ans.

Pendant longtemps, cette question était taboue en Algérie. Il y avait d'un côté les moudjahidines, couverts d'honneurs et d'avantages sociaux, et de l'autre les harkis, c'est-à-dire les traîtres aux yeux du pouvoir algérien. Et l'on découvre (sic) que la réalité était beaucoup plus compliquée que cela, que des milliers d'anciens soldats de l'armée française qui ont combattu le FLN en Algérie y vivaient toujours... Ils réclament aujourd'hui leur droit à la France, dont l'administration est un peu dépassée par l'ampleur de l'affaire.

Une certaine libéralisation du régime algérien a permis à ces vétérans de sortir de la clandestinité. D'autant que le jeu en vaut la chandelle. Deux mesures administratives ont rendu cette démarche plus attractive : en 2004, les critères d'attribution de la carte du combattant ont été assouplis puisqu'il suffit de 120 jours de présence dans l'armée sur le territoire algérien pour en bénéficier. Surtout, en 2007, l'alignement des retraites versées à l'étranger sur celles versées en France (la "décristallisation") en a fait sérieusement augmenter leur montant. Elle est aujourd'hui de 665 euros par an, soit 68000 dinars algériens. C'est-à dire l'équivalent de trois mois et demi de salaire minimum local ! En France, cela correspondrait à plus de 5000 euros.

Entre 2007 et 2010, 16.564 cartes du combattants ont ainsi été attribuées par la France à des Algériens, puis 6821 en 2011 et sans doute autant cette année. Soit environ 30.000. Une fois ce document obtenu, le vétéran peut demander à toucher sa retraite du combattant. On estime actuellement à 10 000 le nombre de dossiers traités ou en cours de traitement. À terme tous les titulaires de la carte y auront droit, de manière rétroactive depuis la date de délivrance de la carte.

Au final, combien de personnes seront-elles concernées ? Difficile de le savoir, mais certains avancent des chiffres supérieurs à 100 000. En tout cas, plusieurs dizaines de milliers.

À Alger, les bureaux de l'ONAC français (Office national des anciens combattants) sont débordés et Bercy sort sa calculette... 30 000 retraites du combattants, c'est 20 millions d'euros par an.

De l'argent bienvenu de l'autre côté de la Méditerranée, même si, aux yeux des autorités, il n'est vraiment pas politiquement correct...


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Après ses agressions contre les catholiques, Flanby tente de piller le Musée de l'Armée…


Clés de la ville d’Alger remises aux Français
par le dey Hussein lors de la reddition de la ville le 5 juillet 1830
Photo : Musée de l’Armée

Les clés d’Alger, que Flanby voulait offrir à Abdelaziz Bouteflika lors de son prochain séjour en Algérie les 19 et 20 décembre 2012 resteront fort heureusement dans leur musée. Le squatteur de l'Élysée a renoncé à son projet illégal qui rencontrait d’ailleurs une forte résistance au sein du ministère de la Culture. Des militaires et des hauts fonctionnaires du ministère de la Défense y étaient également très opposés, et avaient pris l’initiative de faire déposer une requête devant le juge des référés du tribunal administratif de Paris (par l’intermédiaire d’un particulier, en tant qu’« usager [...] du Musée de l’Armée »). Son exposé des faits rappelle les bases juridiques de l’inaliénabilité des collections publiques, qui ne peut être contournée qu’à la suite d’une procédure très précise, et si la commission spécifique donne un avis conforme.

"La Consulaire" fut ainsi baptisée en souvenir du supplice, en même temps que vingt autres catholiques français,
le 29 juillet 1683 du consul de France, le père Jean Levacher, vieux missionnaire envoyé à Tunis
pour assister les esclaves chrétiens détenus par l'occupant turc et vivant au Maghreb depuis plus de 25 ans

Flanby ne remettra pas davantage à l’Algérie le canon dit Baba Merzoug (érigé en colonne, "la Consulaire" à Brest) dont la subtilisation avait été semble-t-il aussi envisagée. Contrairement aux clés, cette pièce d’artillerie qui gardait la citadelle d’Alger et qui est aujourd’hui conservée à l’Arsenal de Brest, est réclamée depuis longtemps par l’Algérie, de manière plus ou moins officielle.

En revanche, Flanby ne devrait pas arriver les mains vides. Il rendra en effet au Musée Zabana (autrefois appelé Musée Demaeght) d’Oran un petit tableau de Gustave Courbet (une Vierge à l’enfant) qui lui avait été dérobé en 1985 et qui a été retrouvé en France.

Lors de la récente exposition consacrée à l’Algérie, "Algérie 1830-1962 avec Jacques Ferrandez", Paris, Musée de l’Armée, du 16 mai au 29 juillet 2012,  les clés d’honneur d’Alger remises par le dey Hussein à l’armée française après la capitulation de la ville le 5 juillet 1830, et qui appartiennent au Musée de l’Armée à Paris, étaient présentées et se voyaient d’ailleurs reproduites dans le dossier de presse.

Ces objets, aux réelles qualités artistiques et à la forte symbolique, restèrent en dépôt dans les musées d’Alger jusqu’à l’Indépendance, date à laquelle ils furent rapatriés avec une partie des collections en métropole et inscrits sur l’inventaire du Musée de l’Armée. Ils s’agit donc de trésors nationaux, inaliénables.

Le 17 novembre 2002 pourtant, était passé en vente chez Osenat à Fontainebleau un ensemble de souvenirs provenant du Maréchal de Bourmont qui, alors général, avait pris la Casbah d’Alger. On y trouvait notamment le sceau du dey mais également deux autres clés, considérées comme des clés de la Casbah.

Sceau du dey d’Alger conservées chez les descendants du Maréchal de Bourmont
et acheté chez Osenat Fontainebleau par l’Elysée en novembre 2002
Offert par Chirac à l’Algérie en 2003
Photo : Osenat

Clés de la Casbah d’Alger conservées chez les descendants du Maréchal de Bourmont
et achetées chez Osenat Fontainebleau par l’Élysée en novembre 2002
Photo : Osenat


Ces objets furent achetés par l’Élysée et l’année suivante Jacques Chirac, lors d'un séjour en Algérie, offrit le sceau à Abdelaziz Bouteflika. Il ne s’agissait pas d’objets appartenant à un musée et il n’y avait donc en principe rien de contestable. Que sont devenues les clés acquises en 2002 par l'Élysée ?  Peut-être considère-t-on que leur qualité artistique inexistante n’en font pas un bon cadeau diplomatique et est-ce pour cette raison que Flanby aurait jeté son dévolu sur les très belles clés d’apparat conservées par le Musée de l’Armée ?

On imagine ce qu’il adviendrait de ses collections s’il fallait désormais restituer - au mépris d’ailleurs des lois françaises et des conventions internationales - les prises de guerre historiques à leur nation d’origine. Imagine-t-on la nef des Invalides privée de ses drapeaux ?


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