Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 19 décembre 2012

Le père-noël est une ordure ! Célébrons Saint Nicolas en attendant l'Enfant Jésus…


NOUS D'UN CERTAIN ÂGE, ET CATHOLIQUES DU SUD… AYANT REÇU UNE BONNE ÉDUCATION NE CONNAISSONS QUE LE PETIT JÉSUS… RIEN NE NOUS EMPÊCHE CEPENDANT D'HONORER SAINT NICOLAS, COMME NOS FRÈRES DU NORD ET LES ORTHODOXES…
Ce mercredi 19 décembre, la chrétienté orthodoxe fête Saint Nicolas… Les enfants de Russie et d'ailleurs se réveilleront avec plein de petits cadeaux en l’honneur de la fête de Saint Nicolas, évêque martyr et protecteur des enfants ! Dans leur bonheur, ces enfants russes auront aussi certainement une pensée de compassion envers ces enfants de Newtown assassinés dans cette Amérique autiste qui méprise le reste du monde.  Cette fête a déjà eu lieu le 6 décembre pour les enfants catholiques du Nord et de l’Est de la France, de Suisse, de Belgique, du Luxembourg, d'Allemagne, d'Autriche, de Croatie, de Pologne, de Hongrie, de Tchéquie, de Lituanie…

Évidemment, Saint Nicolas a été dénaturé par l’Occident mécréant qui l’a remplacé par l’immonde idole païenne dénommée "père-noël", qui vient salir notre belle fête de la Nativité, Noël, en se substituant à la Naissance de l'Enfant Jésus…

1931 : la naissance d'une idole marchande, une publicité de Coca-cola

Tout récemment nous avons appris qu’une école de Montargis avait annulé la visite du père-noël aux enfants sous l'emprise hystérique du fondamentalisme laïcard ! À crever de rires ou de pleurs quand on sait que le père-noël est une création commerciale américaine d’inspiration païenne ! S’il y a bien une idole laïque qui viserait les enfants, c’est précisément le père noël ! Il est ahurissant de constater à quel point cette idole est banalisée en Occident pour qu’à présent des laïcards aussi stupides, malveillants qu'ignorants s'imaginent qu’elle est le fruit d’une croyance « religieuse » ! Bref, en toute logique et au nom des valeurs chrétiennes, nous ne nous plaindrons pas de l'annulation de cette visite par cette cette jeune directrice à qui il reste tout à apprendre…  Et que l'an prochain, elle remplace cette sale ordure de père-noël par Saint Nicolas !

Comme des images valent parfois mieux qu’un long discours, nous avons retrouvé l’excellente vidéo ci-après éditée par Gloria.tv où des frères catholiques brûlent le père-noël ! Bravo les gars ! À chacun de nous d'en suivre le bel exemple et à le faire savoir !

Et pourquoi, en France, ne pas saisir le CSA pour publicité déguisée en faveur de Coca Cola  chaque fois qu'une chaîne du service public fera mention ou présentera un "père-noël"… Simplement en lançant cette idée, l'association s'ancrera dans l'esprit du public que le "père-noël" c'est Coca Cola… Et il faudra bien que le service public se décide à réagir contre cette idole…

Vivement le jour où toutes les idoles païennes, anciennes comme nouvelles (le lapin de « Pâques », Marianne, la statue de la Liberté, etc.), seront fracassées pour la plus grande gloire de Dieu !

Bonne fête de Saint Nicolas à tous les petits enfants orthodoxes… en attendant que viennent Noël et l'Enfant Jésus… 


La résurrection des trois enfants mis au saloir
 

Cet épisode ne figure pas dans la Légende dorée, ni dans la compilation de Siméon de Métaphraste (premier légendaire en grec du Xe siècle), mais dans les octosyllabes de l'auteur du Roman de Brut, le normand Wace, dans sa Vie de saint Nicolas (v 1150), ou dans un sermon attribué à Bonaventure, ou dans un Mystère latin (Secundum miraculum sancti Nicholai ), avant que Gérard de Nerval n'en popularise la chanson dans La Sylphide de 1842 après l'avoir recueillie dans le Valois.

Il s'agit de la complainte de Saint Nicolas :

Il était trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs.
S'en vont au soir chez un boucher.
"Boucher, voudrais-tu nous loger ?
Entrez, entrez, petits enfants,
Il y a de la place assurément."
Ils n'étaient pas sitôt entrés
Que le boucher les a tués,
Les a coupés en petits morceaux,
Mis au saloir comme pourceaux.

Saint Nicolas au bout d'sept ans
Saint Nicolas vint dans ce champ.
"Boucher, voudrais-tu me loger ?"
Entrez, entrez, saint Nicolas,
Il y a d'la place, il n'en manque pas."
Il n'était pas sitôt entré,
Qu'il a demandé à souper.
Voulez-vous un morceau d'jambon ?
Je n'en veux pas il n'est pas bon.
Voulez-vous un morceau de veau ?
Je n'en veux pas il n'est pas beau !
Du p'tit salé je veux avoir
Qu'il y a sept ans qu'est dans l'saloir.
Quand le boucher entendit cela,
Hors de sa porte il s'enfuya.
"Boucher, boucher, ne t'enfuis pas,
Repens-toi, Dieu te pardonn'ra."
Saint Nicolas posa trois doigts
Dessus le bord de ce saloir.
Le premier dit : "j'ai bien dormi !"
Le second dit "et moi aussi!"
Et le troisième répondit :
"Je me croyais en paradis !"


Montargis : faut-il interdire le père Noël ?

La chapelle Saint-Nicolas en Priziac

Jeudi 6 décembre : fête de Saint Nicolas

À bas le Père Noël !

La polémique Polony - Le Père Noël interdit d’école à Montargis : défense ordinaire, style "On n'est pas couché", du père-noël franc-maçon !

Belle et Rebelle : Aliénor remet notre foyer à l’honneur pour Noël

Le "Mariage pour tous" à Flanby vire au dévergondage flagrant et éhonté de l'enfance…


Affligeant dimanche de l'Avent… désolant avant Noël, fête des enfants…


L'image emblématique
de la manifestation en faveur du "mariage pour tous" à Flanby ce dimanche 16 décembre :
une invitation flagrante et éhontée au dévergondage de l'enfance…
observons deux pas en arrière les prédateurs à l'affût…
Un bon signal pour l'adoption ?
Saint Nicolas, priez pour lui…

Sur Twitter : Donner ce genre de pancarte à un enfant, CHAPEAU BAS les gars !

Jeanne Smits : J'étais à la manif des pro-« mariage » homo… les photos :
"Toutes les pancartes, tous les slogans sont permis. Personne ne s'en offusque. Personne ne les vire pour mauvais goût. Personne n'y voit une insulte aux chrétiens. Ni même aux mulsulmans. Au fait, c'était une marche PS-Gauche-NPA-CGT très peu métissée…"
Les pancartes montrent que le mauvais goût, la vulgarité, l’insulte, voire la haine sont bien ancrés (et permis !) au sein des militants LGBT. Aucun élu soutenant cette manifestation ne s’est désolidarisé de ces attaques et professions de foi.

Altermédia France : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

Le Salon Beige : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

Nouvelles de France : Incitation à la pédophilie dans le cortège de la manifestation pour la dénaturation du mariage ?

À toi l'honneur : La bite, le cul, l'enfant !

Le Blog de Thomas Joly : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT de dimanche

NovoPress.info : Manifestations homosexualistes : mobilisation moindre que les manifestations pour les droits de l’enfant

Forum - Communauté - PSG.fr : Finalement y'a pas que du mauvais dans la fin du monde, espérons que les tarés qui on pris en otage ce môme y passent les premiers

FN92 : Manifestation pro mariage homo: L'Indécence c'est Maintenant!

LE BLOGUE DE YANN REDEKKER : Manifestations homosexualistes : mobilisation moindre que les manifestations pour les droits de l’enfant

Égalité et Réconciliation : Incitation à la pédophilie dans le cortège de la manifestation pro-mariage gay ? Cette photo prise dimanche à Paris et trouvée sur Twitter le laisse malheureusement penser

GAELLE MANN : Incitation à la pédophilie dans la manifestation LGBT

France Jeunesse Civitas : Comment le lobby homosexuel manifeste et dévergonde les enfants… Des obsédés sexuels... Et cela revendique le droit d'adopter des enfants

PaSiDupes : La manif pour le "mariage entre personnes du même sexe" a viré au délire dimanche - "Mariage pour tous" : les slogans affichent une grande misère intellectuelle




mardi 18 décembre 2012

13 janvier : "La Manif pour Tous" - communiqué de Civitas pour l'honneur des catholiques…


L'hystérie fondamentaliste laïciste n'appartient pas qu'à Flanby et ses séides…

Pour les fondamentalistes de la laïcité, l'ennemi c'est le christianisme.
Il est essentiel que chaque catholique en prenne conscience.




Le 13 janvier n’appartient à personne
La rue appartient à tout le monde

À l’évidence, l’ampleur de la mobilisation contre le projet de loi dénaturant le mariage et la parenté grandit chaque jour et s’étend à toutes les strates de la société française. Il ne fait plus aucun doute qu’une véritable marée humaine se répandra dans les rues de Paris le 13 janvier prochain pour exiger une seule chose : le retrait immédiat de ce projet de loi. Cette mobilisation populaire, il faut le répéter, n’appartient à personne et ne doit en aucune façon être transformée en troupeau anonyme, encore moins être détournée de ses objectifs.

C’est avec inquiétude que nous avons vu un comité s’autoproclamer organisateur de cette contestation populaire pour immédiatement chercher à la brider, à la formater, à l’uniformiser, à l’aseptiser. Trois personnes prétendent ainsi s’accaparer la direction de cette foule qui gronde : Xavier Bongibault, président de Plus Gay sans Mariage, Laurence Tcheng, présentée comme de gauche, et « Frigide Barjot » qui se revendique « déjantée ». Ce triumvirat [sic !] peut bien être de bonne volonté mais quelle est donc sa légitimité pour vouloir diriger la manœuvre le 13 janvier prochain ? Si on n’est ni gay, ni de gauche, ni déjanté, comment peut-on se reconnaître en ces trois meneurs de revue ? Ce comité cherche manifestement à confisquer la mobilisation populaire à laquelle nous assistons au profit d'un discours ambigu (normalisation de l'homosexualité, obsession de demander aux catholiques de se "camoufler" en citoyens lambdas de la République, consignes vulgaires,...).

Une imposture

L’émotion est grande chez beaucoup de participants aux manifestations du 17 novembre ou du 8 décembre, qu’ils soient catholiques ou non, qui se sentent trompés après avoir observé des situations surprenantes. Que Mme Barjot et ses acolytes demandent d’applaudir des duos homosexuels s’embrassant, cela laisse pantois. Que Xavier Bongibault et ses comparses fassent une fixation sur la lutte contre l’homophobie, concept inventé par le lobby homosexuel pour intimider et disqualifier les opposants à ses revendications, c’est pour le moins troublant. Que Mme Barjot se flatte devant tous les micros d’avoir participé à toutes les « gay pride » et que, lors des conférences de presse qu’elle organise, elle pousse le souci du détail jusqu’à régulièrement porter une veste marquée du logo du « Banana Café », bar gay de Paris, cela souligne des connivences étranges.

La liste devient trop longue des errements que ce trio veut imposer à tous. Petit florilège des propos tenus ces jours-ci par Mme Barjot :
- ceux qui viennent manifester le 13 janvier « seront obligés de défiler contre l’homophobie » ;
- ceux qui arrivent avec leur chapelet, « ce sera gentiment : dehors ! » ;
- si des militantes de FEMEN se déshabillent, que les mères de famille en fassent autant « pour être en situation d’entamer un dialogue équitable » ;
- « La Manif pour Tous (…) rappelle qu’elle comprend les revendications d’homo-éducation (…) » (communiqué de F. Barjot du 13 décembre) ;
- « Le 13 janvier, il y aura un char des homos… et j’appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay ».
  
J’en arrête là tant c’est insupportable. Non, les Français qui viendront manifester le 13 janvier ne veulent pas d’une « homo-éducation » dans les écoles de leurs enfants ! Non, ils ne veulent pas d’un « PACS+ » ! Non, ils ne viennent pas pour danser sur un char gay !

Laisser passer ces erreurs graves, sous prétexte d’éviter les controverses, c’est permettre qu’elles se transforment en une gangrène qui corrompra tous les combats futurs.

Savez-vous ce qu’est le scandale ? C’est d’induire le prochain en erreur par des paroles ambiguës, équivoques. Que personne ne vienne tenter de relativiser ces paroles de Mme Barjot au nom de la « com » qui permettrait toutes les inepties. Vous pensez que les mots n’ont pas d’importance ? Ils en ont bien plus que vous ne vous l’imaginez. Les mots sont la physionomie extérieure des idées.

Le nombre n’est pas tout

Bien sûr, nous souhaitons tous que nos manifestations rassemblent de nombreux participants. Mais méfions-nous de faire du nombre un objectif essentiel et un critère prépondérant au prix de tous les sacrifices. C'est la vérité du message porté par les manifestants qui est essentielle.

Si un défenseur de la Famille et du mariage, sous prétexte d'être efficace et de faire nombre, commence par mutiler la vérité ou l'atténuer à sa fantaisie, il ne défend plus la vérité. Il peut bien être de bonne foi mais à force d'accommoder le message à ses vues étroites et à son faible courage pour le rendre, imagine-t-il, plus acceptable à l'adversaire, il ne défend plus la vérité mais une illusion.

Personne ne demande que le 13 janvier soit exclusivement réservé aux catholiques
Que nul ne se méprenne sur les raisons de ce communiqué

Je l’ai déjà dit et écrit souvent : il n’est pas besoin d’être catholique, chrétien, croyant, pour comprendre la nocivité de ce projet de loi. Et il faut se réjouir que des Français de tous milieux viennent jusque dans la rue crier leur indignation devant un projet gouvernemental qui souhaite défigurer l’institution du mariage et ouvrir la voie à la marchandisation de l’enfant.

Mais si personne n’imagine demander que cette manifestation soit réservée aux seuls catholiques, il serait plus absurde encore de tomber dans l’excès inverse et d’exiger d’eux de manifester dans un anonymat honteux. Ce serait absurde parce qu’aucun journaliste, malgré tous les efforts « déjantés » de Mme Barjot, n’est dupe : tous constatent bien que les catholiques constituent le gros des bataillons des manifestants contre ce projet de loi. Ce serait aussi absurde parce que, de la même façon que personne n’imaginerait arracher ni la kippa que porterait un manifestant juif sur la tête ni le voile que porterait une manifestante musulmane, il est impensable, inacceptable, inadmissible que le trio qui prétend cornaquer cette manifestation se permette de déclarer que la personne qui aurait son chapelet à la main, « ce sera gentiment : dehors ! ».

Les catholiques ne sont pas des citoyens de seconde zone

Par ailleurs, je dois dire mon exaspération d’entendre des catholiques déboussolés succomber aux recommandations tactiques douteuses de ceux qui sont avant tout très gênés à l’idée d’un réveil catholique. Comme si le message serait affaibli parce que porté en grande partie par un sursaut des catholiques. Qu’est-ce donc que ce raisonnement qui fait fi de toute espérance chrétienne alors qu’il est dit : « Par ce signe, tu vaincras ».

Quoi, les parlementaires et les maires nous écouteraient moins parce que la foule serait identifiée comme catholique pour une très large proportion ? Mensonge entretenu par ceux qui ne veulent surtout pas d’un réveil catholique. Qu’au contraire les catholiques s’affichent avec détermination, qu’il apparaisse un réveil catholique particulièrement perceptible chez la jeunesse, et le monde politique toujours volatile ne manquera pas d’estimer qu’il faut tenir compte de cet électorat redevenu militant. Recommander aux catholiques de faire profil bas et de participer à la manifestation du 13 janvier comme s’il s’agissait d’un bal masqué, c’est se rendre complice des intégristes de la laïcité qui sont par ailleurs les rédacteurs du texte de loi que l’on prétend combattre. Réclamer la non-intervention de la religion dans le débat politique, c’est contribuer au développement d’un véritable athéisme social. Celui qui nie l’autorité de Dieu sur la société et sur les individus ne peut se prétendre catholique. On ne peut se dire catholique lorsqu’on pénètre dans une église et être simple citoyen républicain et a-confessionnel le reste du temps. On ne peut reconnaître au pied du tabernacle l’obligation de se soumettre à la volonté de Dieu, et s’y soustraire lorsqu’on est dans la vie publique. On ne peut être catholique durant la messe du dimanche matin et cacher sa foi durant la manifestation d’un dimanche après-midi !

Oui, nous manifesterons ce 13 janvier

À tous les catholiques, mais aussi à tous les Français de bon sens épris d’un discours porteur de vérité et sans concession pour le mensonge, je fixe solennellement rendez-vous le dimanche 13 janvier à partir de 13h place Pinel (métro Nationale) dans le XIIIème arrondissement.

La rue appartient à tout le monde et nous n’avons pas besoin de l’assentiment d’un comité « gay friendly » pour manifester ! Dès à présent, préparons les transports groupés pour faciliter la participation du plus grand nombre.

Comme le 18 novembre dernier, CIVITAS organisera l’encadrement logistique de ce rassemblement et y accueillera sans aucun esprit de chapelle tous ceux qui veulent le retrait de ce projet de loi. Banderoles, bannières, drapeaux et pancartes y seront les bienvenus (pour autant que les textes se rapportent directement à l’objet de la manifestation et respectent la législation française). Chacun y viendra coiffé et habillé comme il le veut. Les catholiques n’y auront pas honte de leur foi, sans que cela soit signe d’exclusion pour les autres.

Alain Escada,
Président de CIVITAS


Homofolie d'étrons géants nauséabonds apatrides et haineux…

Jeanne Smits : « Manif pour tous » ? Là, ça va trop loin !

http://www.riposte-catholique.fr

lundi 17 décembre 2012

Les "anciens combattants français-musulmans" attendent Flanby en Algérie… Que ce voyage sonne enfin le glas du gaullisme ! Et enfin une vraie et très humble repentance…

Repentance… Que oui, nous attendons que Flanby présente très humblement des excuses au Peuple algérien… Squatteur du même palais que l’infâme criminel compulsif DeGaulle, et à ce titre son homologue, pour présenter des excuses au Peuple algérien qui serait à présent plus qualifié que Flanby ? Des excuses au nom du Peuple français qui par référendum a lâchement entériné la capitulation de DeGaulle livrant l’Algérie et son Peuple à la dictature du FLN et à ses crimes, crimes d’autant plus odieux qu’il fut vainqueur sans gloire.


Flanby se rend en Algérie… Saura-t-il se départir d'une posture démagogique au goût de la propagande gaullo-marxiste droit-de-l’hommiste et d’une prétendue bien-pensance… Se souviendra-t-il que son papa le docteur Georges Gustave Hollande, proche de l’OAS, militait en 1965 auprès de Jean-Louis Tixier-Vignancour… Un atout incontestable si Flanby vient en Algérie avec le cran de vouloir une réconciliation franche avec l’Algérie… Une réconciliation franche : ce qu’attendent tous ceux qui aiment sincèrement ce pays, ceux qui y sont attachés malgré tous les malentendus, malgré les actes d’horreurs dans lesquels certains se sont laissés entraînés, encouragés en premier lieu par l’infâme criminel compulsif DeGaulle. Au-delà de la propagande, des discours convenus, Flanby saura-t-il retrouver la réalité du contexte algérien des années 50 et encore de 1961 et 1962… Se souviendra-t-il de l’immense élan d’enthousiasme qui a accompagné le putsch des généraux en avril 1961… Une vraie réconciliation n’est possible qu’en se faisant le porte-parole du pays que l’on prétend représenter et non en abondant dans le sens d’un interlocuteur prêt à jouer de toutes les faiblesses, voire des bassesses, des humiliations auxquelles dans le sillage du traître DeGaulle se sont vautrés tous les hommes politiques français… Que ce voyage sonne enfin le glas du gaullisme !

Un geste fort… À accomplir en plein accord avec les autorités qui gouvernent présentement l’Algérie : reconnaître la qualité d’anciens combattants à tous les Algériens qui ont combattu auprès de la France… Qu'ils soient à présent 30 000, peut-être 100 000 survivants… voilà des fonds qui seront sagement placés et dont le bénéfice à long terme reviendra autant à l’Algérie qu’à la France…

Une occasion unique pour Flanby de se donner une stature présidentielle… d’être enfin reconnu comme le Président François Hollande !

Jean-Dominique Merchet - Secret défense :
"Des milliers d'Algériens demandent à la France leur retraite du combattant... d'Algérie"

Ils ont servi dans l'armée française contre le FLN et résident toujours en Algérie


À quelques jours de la visite de François Hollande en Algérie, les 19 et 20 décembre, c'est un dossier bien embarrassant que les autorités algériennes éviteront d'aborder avec les Français. En effet, près de 30 000 citoyens et résidents algériens ont déjà demandé à la France leur "carte du combattant" qui ouvre droit à la "retraite du combattant". Pour cela, il faut qu'ils aient servi dans l'armée française et pris part à des opérations de guerre... en l'occurrence d'Algérie ! Car la génération de la Seconde Guerre mondiale , voire de l'Indochine a aujourd'hui presque disparue. Et les milliers d'Algériens qui demandent aujourd'hui leur retraite ont été du côté français, c'est-à-dire contre le FLN... Les plus jeunes ont 68 ans.

Pendant longtemps, cette question était taboue en Algérie. Il y avait d'un côté les moudjahidines, couverts d'honneurs et d'avantages sociaux, et de l'autre les harkis, c'est-à-dire les traîtres aux yeux du pouvoir algérien. Et l'on découvre (sic) que la réalité était beaucoup plus compliquée que cela, que des milliers d'anciens soldats de l'armée française qui ont combattu le FLN en Algérie y vivaient toujours... Ils réclament aujourd'hui leur droit à la France, dont l'administration est un peu dépassée par l'ampleur de l'affaire.

Une certaine libéralisation du régime algérien a permis à ces vétérans de sortir de la clandestinité. D'autant que le jeu en vaut la chandelle. Deux mesures administratives ont rendu cette démarche plus attractive : en 2004, les critères d'attribution de la carte du combattant ont été assouplis puisqu'il suffit de 120 jours de présence dans l'armée sur le territoire algérien pour en bénéficier. Surtout, en 2007, l'alignement des retraites versées à l'étranger sur celles versées en France (la "décristallisation") en a fait sérieusement augmenter leur montant. Elle est aujourd'hui de 665 euros par an, soit 68000 dinars algériens. C'est-à dire l'équivalent de trois mois et demi de salaire minimum local ! En France, cela correspondrait à plus de 5000 euros.

Entre 2007 et 2010, 16.564 cartes du combattants ont ainsi été attribuées par la France à des Algériens, puis 6821 en 2011 et sans doute autant cette année. Soit environ 30.000. Une fois ce document obtenu, le vétéran peut demander à toucher sa retraite du combattant. On estime actuellement à 10 000 le nombre de dossiers traités ou en cours de traitement. À terme tous les titulaires de la carte y auront droit, de manière rétroactive depuis la date de délivrance de la carte.

Au final, combien de personnes seront-elles concernées ? Difficile de le savoir, mais certains avancent des chiffres supérieurs à 100 000. En tout cas, plusieurs dizaines de milliers.

À Alger, les bureaux de l'ONAC français (Office national des anciens combattants) sont débordés et Bercy sort sa calculette... 30 000 retraites du combattants, c'est 20 millions d'euros par an.

De l'argent bienvenu de l'autre côté de la Méditerranée, même si, aux yeux des autorités, il n'est vraiment pas politiquement correct...


Un regard averti sur l'Algérie et le Monde : plus de 30 000 anciens combattants « français musulmans » en Algérie

François Hollande en visite en Algérie, pour le meilleur ou pour le pire ?

Kamel Daoud et le Quotidien d'Oran, un article sauce harissa et plutôt salé : "Décortication du bain de foule à Tlemcen ou Alger"

Après ses agressions contre les catholiques, Flanby tente de piller le Musée de l'Armée…


Clés de la ville d’Alger remises aux Français
par le dey Hussein lors de la reddition de la ville le 5 juillet 1830
Photo : Musée de l’Armée

Les clés d’Alger, que Flanby voulait offrir à Abdelaziz Bouteflika lors de son prochain séjour en Algérie les 19 et 20 décembre 2012 resteront fort heureusement dans leur musée. Le squatteur de l'Élysée a renoncé à son projet illégal qui rencontrait d’ailleurs une forte résistance au sein du ministère de la Culture. Des militaires et des hauts fonctionnaires du ministère de la Défense y étaient également très opposés, et avaient pris l’initiative de faire déposer une requête devant le juge des référés du tribunal administratif de Paris (par l’intermédiaire d’un particulier, en tant qu’« usager [...] du Musée de l’Armée »). Son exposé des faits rappelle les bases juridiques de l’inaliénabilité des collections publiques, qui ne peut être contournée qu’à la suite d’une procédure très précise, et si la commission spécifique donne un avis conforme.

"La Consulaire" fut ainsi baptisée en souvenir du supplice, en même temps que vingt autres catholiques français,
le 29 juillet 1683 du consul de France, le père Jean Levacher, vieux missionnaire envoyé à Tunis
pour assister les esclaves chrétiens détenus par l'occupant turc et vivant au Maghreb depuis plus de 25 ans

Flanby ne remettra pas davantage à l’Algérie le canon dit Baba Merzoug (érigé en colonne, "la Consulaire" à Brest) dont la subtilisation avait été semble-t-il aussi envisagée. Contrairement aux clés, cette pièce d’artillerie qui gardait la citadelle d’Alger et qui est aujourd’hui conservée à l’Arsenal de Brest, est réclamée depuis longtemps par l’Algérie, de manière plus ou moins officielle.

En revanche, Flanby ne devrait pas arriver les mains vides. Il rendra en effet au Musée Zabana (autrefois appelé Musée Demaeght) d’Oran un petit tableau de Gustave Courbet (une Vierge à l’enfant) qui lui avait été dérobé en 1985 et qui a été retrouvé en France.

Lors de la récente exposition consacrée à l’Algérie, "Algérie 1830-1962 avec Jacques Ferrandez", Paris, Musée de l’Armée, du 16 mai au 29 juillet 2012,  les clés d’honneur d’Alger remises par le dey Hussein à l’armée française après la capitulation de la ville le 5 juillet 1830, et qui appartiennent au Musée de l’Armée à Paris, étaient présentées et se voyaient d’ailleurs reproduites dans le dossier de presse.

Ces objets, aux réelles qualités artistiques et à la forte symbolique, restèrent en dépôt dans les musées d’Alger jusqu’à l’Indépendance, date à laquelle ils furent rapatriés avec une partie des collections en métropole et inscrits sur l’inventaire du Musée de l’Armée. Ils s’agit donc de trésors nationaux, inaliénables.

Le 17 novembre 2002 pourtant, était passé en vente chez Osenat à Fontainebleau un ensemble de souvenirs provenant du Maréchal de Bourmont qui, alors général, avait pris la Casbah d’Alger. On y trouvait notamment le sceau du dey mais également deux autres clés, considérées comme des clés de la Casbah.

Sceau du dey d’Alger conservées chez les descendants du Maréchal de Bourmont
et acheté chez Osenat Fontainebleau par l’Elysée en novembre 2002
Offert par Chirac à l’Algérie en 2003
Photo : Osenat

Clés de la Casbah d’Alger conservées chez les descendants du Maréchal de Bourmont
et achetées chez Osenat Fontainebleau par l’Élysée en novembre 2002
Photo : Osenat


Ces objets furent achetés par l’Élysée et l’année suivante Jacques Chirac, lors d'un séjour en Algérie, offrit le sceau à Abdelaziz Bouteflika. Il ne s’agissait pas d’objets appartenant à un musée et il n’y avait donc en principe rien de contestable. Que sont devenues les clés acquises en 2002 par l'Élysée ?  Peut-être considère-t-on que leur qualité artistique inexistante n’en font pas un bon cadeau diplomatique et est-ce pour cette raison que Flanby aurait jeté son dévolu sur les très belles clés d’apparat conservées par le Musée de l’Armée ?

On imagine ce qu’il adviendrait de ses collections s’il fallait désormais restituer - au mépris d’ailleurs des lois françaises et des conventions internationales - les prises de guerre historiques à leur nation d’origine. Imagine-t-on la nef des Invalides privée de ses drapeaux ?


Didier Rykner : Les clés d’Alger du Musée de l’Armée transformées en cadeau diplomatique par l’Élysée

Didier Rykner : Les clés d’Alger resteront au Musée de l’Armée

Baba Merzoug retrouvera-t-il le chemin d’Alger ?

Repentance : la Consulaire va t-elle retourner à Alger ?

L'immigration en France, vue d'Algérie sans langue de bois…


dimanche 16 décembre 2012

Spolié puis insulté par le premier-valet à Flanby, Gérard Depardieu rend son paseport français…



Gérard Depardieu, injurié après son exil en Belgique, annonce qu'il "rend son passeport" français, dans une lettre ouverte au minable premier-valet du squat à Flanby, lettre publiée par le Journal du Dimanche.

Minable,
Vous avez dit "minable" ? Comme c'est minable.

Je suis né en 1948, j'ai commencé à travailler à l'âge de 14 ans comme imprimeur, comme manutentionnaire puis comme artiste dramatique. J'ai toujours payé mes taxes et impôts quel qu'en soit le taux sous tous les gouvernements en place.

À aucun moment, je n'ai failli à mes devoirs. Les films historiques auxquels j'ai participé témoignent de mon amour de la France et de son histoire. Des personnages plus illustres que moi ont été expatriés ou ont quitté notre pays.

Je n'ai malheureusement plus rien à faire ici, mais je continuerai à aimer les Français et de public avec lequel j'ai partagé tant d'émotion ! Je pars parce que vous considérez que le succès, la création, le talent, en fait, la différence, doivent être sanctionnés.

Je ne demande pas à être approuvé, je pourrais au moins être respecté.

Tous ceux qui ont quitté la France n'ont pas été injuriés comme je le suis.

Je n'ai pas à justifier les raisons de mon choix, qui sont nombreuses et intimes. Je pars, après avoir payé en 2012, 85% d'impôt sur mes revenus. Mais je conserve l'esprit de cette France qui était belle et qui j'espère, le restera.

Je vous rends mon passeport et ma Sécurité Sociale, dont je ne me suis jamais servi. Nous n'avons plus la même patrie, je suis un vrai Européen, un citoyen du monde, comme mon père me l'a toujours inculqué.

Je trouve minable l'acharnement de la justice contre mon fils Guillaume jugé par des juges qui l'ont condamné tout gosse à 3 ans de prison ferme pour 2 grammes d'héroïne, quand tant d'autres échappaient à la prison pour des faits autrement plus graves.

Je ne jette pas la pierre à tous ceux qui ont du cholestérol, de l'hypertension, du diabète ou trop d'alcool ou ceux qui s'endorment sur leur scooter, je suis un des leurs, comme vos chers médias aiment tant à la répéter. Je n'ai jamais tué personne, je ne pense pas avoir démérité, j'ai payé 145 millions d'euros d'impôts en 45 ans, je fais travailler 80 personnes dans des entreprises qui ont été créées par elles et qui sont gérées par elles.

Je ne suis ni à plaindre ni à vanter mais je refuse le mot "minable".

Qui êtes-vous pour me juger ainsi, je vous le demande Mr Ayrault, Premier ministre de mr Hollande, je vous le demande, qui êtes-vous ?

Malgré mes excès, mon appétit et mon amour de la vie, je suis un être libre, Monsieur, et je vais rester poli.

Gérard Depardieu,
le 16 décembre 2012


Gérard Depardieu torche un poème à l'attention d'un "minable", Premier ministre en France…




   Monsieur,                                                                         

Vous êtes prof et bourge et je suis un titi,
Vous êtes un nantais et je suis un nanti !
N’êtes-vous pas heureux en tant qu’homme de gauche
Qu’un titi puisse avoir quelque argent dans sa poche ?
De plus je l’ai gagné en toute honnêteté
Sans voler, sans frauder ni même spéculer
J’ai reçu de par Dieu le talent de séduire
Et suis dès lors vendeur d’émotion et de rire,
Ce dont vous ne pouvez qu’assez peu vous vanter
Car lorsque je vous vois paraître à la télé
Jean ai Marc d’un Ayrault fatigué et sinistre
Dont on m’a assuré qu’il est 1er Ministre !
J’aime l’amour, la vie et le jus de la treille
Mon casier n’est en plus chargé que de bouteilles…
J’ai donc sans coup férir du jour au lendemain
Fait ma niche fiscale en mon nid de Néchain
J’aime mieux exporter les kilos que je pèse
Que de risquer en France une mauvaise Grèce !
Votre sécurité qu’on appelle sociale
Ne soigne pas encore les hernies fiscales,
Je vais donc me soigner, disons à moindre frais,
En buvant du pot belge au lieu d’impôts français
Je reviendrai en France un beau jour ; quand le fisc
Ne me dira plus simplement : je confisque
Mais qu’il respectera le travail que j’ai fait
Pour concourir un peu au bonheur des français.

Pour n’être point taxé… d’être un inter – « minable »
J’arrête ici les frais, car ils sont impayables !

                                                                                                            Gérard Depardieu                                                         

vendredi 14 décembre 2012

Une semaine d'images au Royaume de Thaïlande


L’ancien Premier ministre Abhisit Vejjajiva et son ancien vice Premier ministre Suthep Thaugsuban
se sont présentés au Département d'Enquêtes Spéciales ce jeudi 13 décembre
pour réfuter formellement toutes charges d'assassinat qui pourraient leur être imputées
pour avoir ordonné à l’armée de nettoyer en mai 2010 le quartier commercial de Bangkok
occupé depuis plusieurs mois et en définitive incendié par les insurgés Chemises rouges.

(photo de Tawatchai Kemgumnerd)



Democrat duo deny murder rap - Abhisit, Suthep promise they won't flee country



From a stray monkey on the loose in Bangkok to the Miss Tourism 2012 World Final,
enjoy these interesting images from around the kingdom, captured by Post Photographers over the past seven days.