Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 14 septembre 2012

Benghazi : Trahison et ingratitude des islamistes et du Qatar envers les États-Unis… en riposte à la provocation d'un Israëlo-américain…

L'ambassadeur des États-Unis en Libye tué à Benghazi : quatre Américains, dont l'ambassadeur, ont été tués dans l'attaque du consulat des États-Unis à Benghazi, en Libye en riposte à la provocation du film d'un Israëlo-américain diffusé sur Internet …
Le malheureux Christopher Stevens en déplacement à Benghazi victime de l'ingratitude de ses amis islamistes soutenus par le Qatar



L'Afrique Réelle : "Derrière l’assassinat de l’ambassadeur américain à Benghazi"

Acteur plus qu’actif du renversement de Mouammar Kadhafi, Christopher Stevens, en déplacement à Benghazi, a été pris au piège dans les locaux du consulat de son pays. Au-delà de ce meurtre et de son prétexte pseudo religieux, quelle analyse pouvons-nous faire de la situation en Libye ?

C. Stevens lève un pouce victorieux sur le corps torturé de Kadhafi…
Il y a exactement 320 jours… Proverbe libyen du jour :
Qui n'a encore traversé l'oued ne doit se moquer de celui qui se noie.
Jusqu’à aujourd’hui, et à en croire les médias, la Libye était sur la voie de la normalisation : l’économie redémarrait avec la reprise des exportations de pétrole et de gaz et des institutions démocratiques se mettaient en place à la suite des élections législatives du 7 juillet 2012. Aveugles et sourds, les observateurs bêlèrent de bonheur quand ces dernières virent la défaite des fondamentalistes et la victoire de l’ Alliance des forces nationales (AFN) vite baptisée « libérale ». Or, comme il fallait s’y attendre, ce calendrier démocratique très « européocentré » n’a évidemment pas permis de remettre le pays sur ses pieds et cela pour une simple raison qui est que la Libye n’existe plus.

Le colonel Kadhafi avait réussi, au prix d’une dictature sévère, à imposer la stabilité intérieure dans un pays aujourd’hui menacé d’une fragmentation régionale (Tripolitaine-Cyrénaïque-Fezzan) doublée de fractures interrégionales et religieuses.

En Tripolitaine deux grandes coalitions régionales s’opposent :

1) À l’Ouest, l’AFN de Mahmoud Jibril a pour cœur la fraction tripolitaine des Warfalla, sa tribu qui, à elle seule, totalise 30% de la population. Ses alliés et partenaires se recrutent à Zenten [1] et parmi les tribus de l’ouest, dont les Berbères du jebel Néfusa et de Gahryan.

2) À l’Est, la coalition islamo-Misrata est quant à elle puissamment soutenue par le Qatar. Le port de Misrata est aujourd’hui aux mains de ces milices gangsgtéro-fondamentalistes qui lynchèrent le colonel Kadhafi, tranchèrent les mains de son fils cadet avant de lui crever les yeux et de l’égorger. Ce furent ces « combattants de la liberté », ces « démocrates » chers à BHL, que le président Sarkozy ordonna aux commandos français de sauver quand les forces du colonel Kadhafi étaient sur le point de prendre la ville… Joli coup !

En Cyrénaïque, où le 6 mars 2012, Ahmed Zubaïr al-Senoussi a été élu émir par les chefs des tribus, deux grandes forces s’opposent, les fédéralistes et les islamistes.

L’irrédentisme de la Cyrénaïque est une donnée historique. Dans les années 1945-1950, quand l’ONU força la Grande-Bretagne, l’Italie et la France à accélérer le processus d’indépendance de la Libye, les tribus de Cyrénaïque, réticentes à l’idée de la création d’un Etat libyen, n’acceptèrent l’union qu’à deux conditions :

1) Que le chef de la confrérie sénoussiste, Idriss en devienne le chef. Il régna sous le nom d’Idriss I° de 1951 à 1969.
2) Qu’une large autonomie soit reconnue à la Cyrénaïque.

En 1969, dès sa prise de pouvoir, Mouammar Kadhafi abolit la monarchie et imposa la domination de la Tripolitaine, ce que la Cyrénaïque n’accepta jamais. C’est pourquoi la guerre civile qui allait le renverser y commença.

Les islamistes qui ont soutenu la rébellion de la Cyrénaïque veulent maintenant « coiffer » les fédéralistes, mais ils ont en face d’eux d’autres musulmans. Un féroce combat oppose en effet les fondamentalistes qui n’ont pas de tradition locale aux membres des confréries soufies dont le poids régional est important. Le fief des islamistes radicaux est Derna où ils ont constitué un Emirat. Depuis plusieurs semaines, ils tentent de prendre le contrôle de Benghazi. L’attaque contre le consulat américain fait partie de leur stratégie.

Qui va l’emporter ? Il est impossible de le dire. Actuellement les fondamentalistes de Cyrénaïque cherchent à s’appuyer sur les milices de Misrata lesquelles recherchent leur soutien contre celles de l’Ouest. Furieux de la défaite de ses protégés à Tripoli, le Qatar semble particulièrement actif dans cette opération.

La question qui se pose désormais est de savoir si la Libye peut survivre comme Etat. Peu à peu y apparaît en effet une situation de guerres régionales, tribales, claniques, religieuses ; comme en Somalie. Elles pourraient être suivies d’un éclatement territorial, le pays étant alors découpé en « touches de piano » avec un port dans le prolongement des gisements d’hydrocarbures de l’intérieur. Désormais, l’alternative est simple : soit les nouvelles autorités mettent un terme au chaos - mais comment ? - et reconstruisent l’Etat sous une forme ou sous une autre, soit la Libye demeure ingouvernable. Dans ce cas, les islamistes pourraient alors jouer une carte maîtresse, celle du modèle religieux transcendant les divisions afin de les coaguler dans un tout commun, l’Oumma.

Ceux qui ont permis ce désastre avec ses prolongements dans toute la bande sahélienne (voir les numéros de l’Afrique Réelle consacrés à cette question), sont ceux qui ont décidé de s’immiscer dans la guerre civile libyenne, au premier rang desquels l’ancien président de la République française. Quant au malheureux ambassadeur américain, le moins que l’on puisse dire est que ses anciens protégés se sont montrés bien ingrats envers lui…



Telefe Noticias : "Bengasi : Matan al embajador de EEUU en Libia en atentado"

RIA Novosti : "Libye - Mort tragique de l'ambassadeur US : Lavrov présente ses condoléances"

RIA Novosti - Fedor Loukianov : "Comment le printemps arabe a embrouillé la géopolitique de l’après 11-Septembre"

Les Intransigeants : "Violences en Orient : l’Innocence des Chrétiens"

jeudi 13 septembre 2012

Avec "Les Intransigeants" et les catholiques de France fêtons le Nouvel An judaïque…


Initiative des "évêques" de France pour le Nouvel An judaïque

L'enracinement de la foi chrétienne dans l'élection du peuple juif

ROME, vendredi 7 septembre 2012 (ZENIT.org) – À l'occasion du « Nouvel An juif - Roch Hachana 5773 » (17-18 septembre), le dimanche 23 septembre 2012 est choisi par l'Église de France pour « sensibiliser l'assemblée dominicale à l'enracinement de la foi chrétienne dans l'élection du peuple juif et à l'importance des liens personnels de connaissance et d'estime mutuelles ».

Cette initiative est organisée conjointement par le Service national des évêques de France pour les Relations avec le Judaïsme et la Commission Chrétiens et Juifs de la Fédération Protestante de France. Initialement proposée dans l'Île-de-France, elle s'étend maintenant à bon nombre de régions de France.

« La carte de vœux est un moyen simple et très apprécié par nos amis juifs. Chaque chrétien est invité à envoyer aux personnes juives qu'il connaît une carte de vœux afin de lui exprimer son amitié ou sa sympathie », explique le site du diocèse de Paris.

Et de préciser : « Les communautés chrétiennes peuvent envoyer une affiche à la communauté juive (synagogue, centre communautaire, école) de son quartier avec laquelle elle tisse déjà des liens ou bien en vue simplement de manifester notre sympathie à l'égard de ceux que Jean-Paul II appelait nos frères aînés ».

Pour 2012 (année juive 5773), les dates des quatre « fêtes juives d'automne » sont : 
 Roch Hachanah (Jour de l'An) : 17-18 septembre 2012 
 Yom Kippour (Grand pardon) : 26 septembre 2012 
 Soukkot (Fête des Cabanes/Tentes) : du 1er au 7 octobre 2012 
 Simhat Torah (Joie de la Torah) : 9 octobre 2012 .
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"Les Intransigeants" s'insurgent contre le relativisme religieux et la soumission à la pieuvre sioniste internationale que proposent ces « apostats modernistes ». La soumission à tout ce qui rejette Dieu et à tout ce qui le Crucifie, tout cela justifié par l’ « ouverture humaniste »

Aussi, pas de soucis… "Les Intransigeants" font également leurs petites cartes … Voici ce que "Les Intransigeants" proposent à leurs lecteurs : des autocollants à fabriquer chez soi… À coller à des endroits adéquats…

Cliquez pour obtenir le lien de téléchargement de l'autocollant sur le site "Les Intransigeants"

Cliquez pour obtenir le lien de téléchargement de l'autocollant sur le site "Les Intransigeants"



mercredi 12 septembre 2012

Frère Nathanael et le sacrilège de Moscou




Frère Nathanael, juif devenu orthodoxe, nous décrit les enjeux entourant un fait divers d'une ampleur internationale, à savoir le soutien de l'Empire occidental au groupe punk "Pussy Riot", soutenu par la National Endowment for Democracy, paravent de la CIA, pour déstabiliser le pouvoir politique russe, aujourd'hui allié du pouvoir spirituel Chrétien Orthodoxe.

mardi 11 septembre 2012

Terrible 11-Septembre-2012 : La République s'effondre… "Les Intransigeants" de retour !





Retour du site catholique d'information "Les Intransigeants",  après plus d'un an d'absence…

"Les Intransigeants" est un journal en ligne, site d'information catholique, créé en janvier 2008 et tenu par des étudiants catholiques traditionalistes…

Le combat des "Intransigeants" est principalement tourné vers la défense du catholicisme, de la Tradition et contre le modernisme et le sionisme. Il a notamment pris la défense de Monseigneur Williamson et du révisionniste Vincent Reynouard.

Après avoir été fermé lorsqu'il était hébergé sur la plate-forme américaine Wordpress, puis ré-ouvert et hébergé une courte période en Iran, avant d'être contraint de fermer en mars 2011, suite à de nouveaux problèmes d'hébergement.

Forts d'un lectorat de près de 190 000 lecteurs par mois en octobre 2010, les rédacteurs du journal "Les Intransigeants" affirment que de nombreuses plaintes ont déjà été déposées contre eux par des associations ou des particuliers pour des faits d'"antisémitisme", de "révisionnisme" ou encore d'"homophobie" ...

Le retour du blog des "Intransigeants" est effectif depuis ce terrible 11 septembre 2012… grincements de dents attendus en raie-publique…

"Les Intransigeants", ils sont tous là : Koopa Troopa, Vent Couvert, Mr T, l’Organiste, Pelerine, Benj, l’Apostat, Walktsin, le bon Tcheknik, Gravatar hideux…



Source : Forum Stormfront en français

lundi 10 septembre 2012

Au top de la gastronomie khmère : les tarentules !

Parmi les meilleures, celles que je ne manque jamais de déguster à la pause casse-croûte de Kompong Thom sur le trajet du bus de Phnom Penh à Siem Reap… Mais les tarentules (Haplopelma albostriatum) de Skuon plus près de Kampong Cham seraient, paraît-il, les plus appréciées des connaisseurs…

dimanche 9 septembre 2012

Le Diable se fait moine… C’était mon Père : André de Brousse de Montpeyroux…


Patrick de Brousse de Montpeyroux : Le Diable se fait moine…
C’était mon Père !

Le diable se fait moine

Saga familiale, nouvelle, témoignages, roman ?

Ce livre se veut être une succession d’aventures et de faits attachés à la personnalisé d’un homme hors du commun qui voulait construire une civilisation née du fruit de l’amour.

Syrie, Allemagne, Belgique, France, Algérie, Espagne, Congo sont les théâtres de ses héroïques actions et de ses engagements couvrant une période allant de 1939 à 1974, dans laquelle, il n’a jamais cessé de combattre pour la liberté.

Contre le scepticisme et l’incertitude de nos destinées, il est bon de réveiller quelques vieilles histoires, afin de ne pas s’endormir…

Devant le sacrifice de cet homme et de ses camarades, où bonheurs et déceptions associent joies et souffrances dans un air d’espérance, il me semble essentiel d’exhumer des mémoires les paroles d’un passé trop facilement oubliées.

Un écrit dur et tendre à la fois romanesque, chevaleresque où comédie et tragédie sont à leur apogée.

Du « Diable » nous gardons l’image du démon insaisissable et du « moine » nous conservons l’homme de Foi.

En découvrant jour après jour la prière qu’il m’a léguée, il est de mon devoir de la transmettre aux autres comme il l’avait souhaité.

Cet homme d’exception s’appelait :


Disponible chez l’auteur :

Patrick de Brousse de Montpeyroux
La Buissonnière – 2 rue des Écoles
54250 Champigneulles

téléphone :  +333 83 35 27 74 - télécopie : +333 83 45 20 59




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André Brousse de Montpeyroux, mort en proscrit
(Jacques Villard, L'Algérianiste n° 37,  mars 1987, page 70)

Les grands journaux d'information de la presse écrite nationale et internationale, les bulletins nationaux, nationalistes et patriotiques, ont rendu hommage à celui qui refusa en 1967, la loi d'amnistie pour rester fidèle à ses engagements. Il avait abandonné toutes ses charges et les honneurs attachés pour voler au secours de l'Algérie française. André Brousse de Montpeyroux, publiciste, musicien, grand voyageur, sociologue et archéologue, quitta l'armée après la campagne de Syrie pour s'engager, dans la guerre d'Espagne, aux côtés de la Tradition. Mobilisé en 1939, il fut fait prisonnier par les Allemands après avoir opposé une résistance farouche et avoir été très grièvement blessé. Rapatrié comme incurable à Orléans, il continua son combat comme agent de liaison du réseau « Ceux de la Résistance Lecomte-Boinet ». Peu de temps après, il se distingue dans l'armée de Lattre de Tassigny aux côtés du (futur) maréchal Raoul Salan. À nouveau hospitalisé lors de la campagne d'Allemagne, il fut réformé à 100 %, et se trouva dans l'obligation de rejoindre Saint-Benoit-du-Sault où il fut élu maire.

Membre influent du Comité de l'Association des maires de France et d'Outre-mer, chargé de la Commission de la jeunesse et des sports, membre du comité directeur du Conseil des communes d'Europe, il s'engagea en 1956 dans la guerre d'Algérie et devint chef de la SAS de Masséna. Opposé à la politique algérienne de la France, il fut l'animateur des premiers maquis "Algérie française", dans les territoires du Mostaganémois, avec pour compagnons le cheikh Si El Hadj Tekouk Ben Tekouk Senousssi, le capitaine Souètre, des commandos de l'air, et René Villard, chef civil algérois de France-Résurrection. Arrêté, mis au secret, il s'évada et s'exila. Ses troupes, civiles et militaires, de nationalistes fervents, furent choisies, avec le groupe jeune Nation, pour participer à la préparation et au déclenchement du putsch des généraux en avril 1961. Après l'échec du coup d'état militaire, France-Résurrection s'organisa dans la clandestinité et devint l'un des fers de lance de la résistance française en Algérie contre la politique d'abandon du gouvernement français. Avant même qu'André Brousse de Montpeyroux ne rejoigne le maréchal Salan dans la clandestinité à Alger, ses principaux adjoints, civils et militaires, dont René Villard, furent brutalement abattus. L'arrestation du général Salan sonna le glas pour l'OAS, André Brousse de Montpeyroux reprit alors les durs chemins de l'exil, se partageant entre l'Europe et l'Afrique Noire. Entre 1963 et 1965, on le verra encore à la tête de troupes berbères dans les montagnes de Kabylie. Traqué, recherché par toutes les polices de France, il refusa la loi d'amnistie de 1967, vivifiant sa foi au sein d'un monastère espagnol de la vallée de Los Caïdos. Quelques apnées plus tard, il rentra en France, compte tenu de son état de santé, mais continua plus que jamais, à battre la campagne et à asséner ses vérités par la plume, après l'avoir fait par l'épée. Celui que ses adversaires arabes avaient appelé El Choul (le démon) avait fait de sa vie un défi et de sa mort un simple passage à l'Éternité. De son vivant, son courage avait été salué par le colonel Rémy, Georges Bousquet et le maréchal Salan. Aujourd'hui il demeure un exemple.





Mohammed Morsi affiche la collusion des Frères musulmans et des États-Unis…


Les Frères musulmans promulguent une fetwa pour protéger Israël

Complicité affichée entre l'islamiste Mohammed Morsi et Hillary Clinton

Les espoirs suscités en Palestine par l’élection de Mohamed Morsi à la tête de l’État égyptien s’amenuisent au fur et à mesure que le nouveau président dévoile sa feuille de route. S’il y a une chose que le président Morsi ne compte pas changer, c’est bien les relations « amicales » et diplomatiques qu’entretient l’Égypte avec l’État hébreu.

La confirmation vient d’une instruction donnée par le ministère égyptien des Affaires religieuses d’enseigner le « bon voisinage » aux imams en formation et son appel lancés aux mosquées de faire des fetwas sur l’importance de faire preuve de bon voisinage, notamment avec Israël. Cette information a été reprise par quelques médias arabes sans pour autant faire beaucoup de bruit en Égypte. Le ministère égyptien des Affaires religieuses justifie son appel à la normalisation avec Israël par l’islam qui appelle les croyants à entretenir de bonnes relations avec leurs voisins qu’ils soient des personnes ou des États. Un module a été consacré pour l’enseignement du bon voisinage.

Il est ainsi fait mention que « l’islam est une religion de la tolérance, de la paix et du pardon. De ce fait, quoi qu’a commis Israël, il reste un pays voisin et le Prophète a bien appelé à bien traiter ses voisins. Quant à la question de la libération d’Al-Qods, elle est inévitable ». Cet appel corrobore le contenu de la lettre du président Mohamed Morsi adressée à son homologue israélien Shimon Peres, l’assurant de la continuité des relations de bon voisinage entre les deux pays. « J'espère que nous déploierons nos meilleurs efforts pour remettre le processus de paix au Proche-Orient sur les bons rails afin de parvenir à la sécurité et à la stabilité pour l'ensemble des peuples de la région, y compris le peuple israélien », a écrit M. Morsi dans la lettre dont le texte a été rendu public par la chancellerie de la présidence israélienne. La présidence égyptienne avait démenti formellement cette lettre. Mais l’instruction donnée aux imams renforce la thèse selon laquelle les Frères musulmans auraient déjà signé un pacte tacite de non-agression avec l’État israélien conformément à un agenda qui leur a été dicté par Washington.

Sonia B. - Algérie patriotique