Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 2 août 2012

วันอาสาฬหบูชา - Asalha Puja




Asalha Puja (วันอาสาฬหบูชา) est célébré le jour de la pleine lune du 8ème mois du calendrier lunaire, en commémoration du premier sermon de Bouddha prononcé à Sarnath en Inde devant ses cinq premiers disciples, qui constituent aussi le premier Sangha ou corps des fidèles bouddhistes. Cette année Asalha Puja est célébré le jeudi 2 août…

Le lendemain, vendredi sera le premier jour d'une retraite de trois mois pour des moines bouddhistes ou Khao Phansa (วันเข้าพรรษา), longue retraite qui correspond au plus fort de la saison des pluies pendant laquelle tout déplacement devient plus difficile… Il s'agira bien d'une retraite… et non d'un carême comme il est malheureusement trop souvent écrit. Les moines bouddhistes s'imposent une discipline alimentaire stricte tout au long de l'année.

lundi 16 juillet 2012

Skoll : Yukio Mishima




Yukio Mishima

La notte era nera e piena di stelle,
Ma l´orizzonte si cinse di nuvole
Che a sprazzi di luce lampeggiavano libere.

Le lanterne di carta bianca di riso
Si dimenavano al vento come vespe nervose
E l´orchesta suonava, c´eravamo solo noi.

Ed il vento si alzó le prime gocce che caddero,
L´orchestra fuggí, noi guardammo in su
Continuando la danza nel silenzio del buio.

Le gocce eran piume che solleticavano il volto,
Ci pulirono gli occhi che scopriron lo specchio,
Ci guardammo da fuori abbracciati cosí.

I nostri corpi riflessi i pochi vestiti già fradici,
Le lanterne si spensero ma vedemmo piú chiaro,
Allora capimmo di piu: Yukio Mishima!

I grandi uomini non parlano,
Come fiori di ciliegio si disperdono,
Prima delle discendenze che si ostinano a sopravvivere agli eroi.

Ma come il fiore reciso che io scelsi tra mille per te
Il piú bello è il più giovane che prima cade sul prato.
Per dimostrare che vivere non ha senso senza il morire.
Ripercorrendo il sostanziale sacrificio degli eroi!


dimanche 15 juillet 2012

Redouanne Harjane - Marrakech 2012 : une schizophrénie délirante…


"Tu te dis que ça n'arrive qu'aux autres, mais pourtant ça n'arrive qu'à toi."




" Hey, hier soir j'ai mis tellement de crème anti-vieillissement que ce matin jme suis réveillé hier "…

"On dirait des hiboux empaillés, quelle idée d'empailler des hiboux sa bouge déjà pas le truc… comment… ils sont cons les riches !"…

"Coucher avec une femme enceinte, premier pas vers la pédophilie"…


Redouanne Harjane : La vie c'est dingue, la vie c'est fou !

vendredi 13 juillet 2012

Bangkok : suicide, mode d'emploi… faire-part sur Facebook… mais information tronquée…




Aimer la vie c'est aussi ne pas en être prisonnier


Une information qui tombe à pic pour un billet d'un vendredi 13… Est-ce une première sur Facebook ? En tout cas l'information est largement répercutée… Pour une nouvelle convivialité ? Un Espagnol de 37 ans résidant à Bangkok s’est suicidé tôt ce jeudi matin, informant en direct ses amis du réseau social Facebook de sa décision…

Juan Andres Medin Pineiro a été retrouvé mort devant l’écran de son ordinateur qui affichait sa page Facebook, avec près de lui un verre de bière agrémentée de poison. D’après le lieutenant-colonel de police Apichan Swasdibutra, l’homme avait posté un message sur le réseau social, disant qu’il souhaitait mourir, et qu’il s’excusait auprès de ses collègues de travail de ne plus pouvoir les aider. Certains de ses amis, mis en direct au courant du suicide, se sont précipités vers l’appartement de l’Espagnol qui ne répondait pas. Ils ont alors appelé la police, puis enfoncé la porte de la chambre où ils ont trouvé le corps sans vie de Juan Andres Medin Pineiro. Juan Andres travaillait dans une société de téléphonie mobile et habitait à un 10ème étage sur l’avenue Ratchadaphisek à Bangkok. Une enquête de police est en cours pour connaître les raisons du suicide.

L'information est certes intéressante… Mais, hormis le mauvais goût, au propre comme au figuré, de finir devant un verre de bière, un choix d'alcools tellement plus savoureux pouvant s'offrir pour cette ultime occasion - même aux condamnés à la guillotine, on n'a jamais proposé de la bière -,  l'information la plus intéressante, la seule qui mériterait attention n'a pas filtré : quel était ce poison si efficace ? Quand donc les journaleux se décideront-ils à faire un vrai travail sérieux d'information ?

Spaniard kills self while on Facebook