Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 6 juillet 2012

Hommage à Roger Degueldre : "Pour un Delta, le maquis est son foyer…"


Roger Degueldre, lieutenant au 1er Régiment Étranger de Parachutistes, fondateur des commandos Delta en 1961, par DeGaulle assassiné le 6 juillet 1962... au sixième coup de grâce... 





Messes pour le repos de l'âme du lieutenant Roger Degueldre : 

- vendredi 6 juillet à 9 heures 30 - Le Barroux (84330), Abbaye Sainte-Madeleine, Le Devez - (contact : ADIMAD, tél. 06 11 28 55 90).

- vendredi 6 juillet à 18 heures 30  à Nancy, Église Saint-Pierre, 49 avenue de Lattre de Tassigny (contact : François Ferrier,  tél. 06 70 22 40 17) .

- samedi 7 juillet à 10 heures, Versailles, Chapelle Notre-Dame des Armées, 4, impasse Gendarmes (près Hôtel de Ville) - (contact : Yves Rossignol, tél. 06 14 40 55 70).  


Cérémonies en hommage au lieutenant Roger Degueldre, le samedi 7 juillet 2012  :

- Hommage au lieutenant Roger Degueldre sur sa tombe à 11 heures, cimetière des Gonnards, 19 rue Porte de Buc, à Versailles - (contact : Yves Rossignol, tél. 06 14 40 55 70).

- Hommage au lieutenant Roger Degueldre et aux Morts d'Oran à 11 heures, Stèle Français d'Algérie, La Parata - Les Sanguinaires, à Ajaccio - (contact : andrebianchi@hotmail.fr).




Le cinquantenaire de l'Indépendance vu par les jeunes : un juillet 2012 orageux à Alger



En ce cinquantenaire de l'Indépendance algérienne, nous ne devions pas manquer l'aller voir l'ambiance  là-bas… Voici un article d'El-Watan, paru en ce début de semaine, particulièrement significatif… Significatif aussi le français quasi parfait dans lequel s'exprime cinquante ans après ce journal algérien… Nous sommes bien loin du laxisme de Libération, ses fautes de français, ses fautes d'orthographe, ses fautes d'orthotypographie… et aussi du Monde, voire du Figaro qui a aujourd'hui perdu ses correcteurs de jadis, leur qualité… Et ne parlons surtout pas de cette horde de blogueurs blagueurs français-de-souche-pur-cochon qui n'hésitent pas à nous abreuver de leurs messages et commentaires incohérents…

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Alger, 2 juillet. Nous sommes à j-3 du grand évènement de l’été : le cinquantenaire de l’Indépendance. Quel regard portent les Algérois – les jeunes surtout – sur cette kermesse patriotique ? Quelle trace aura imprimée dans l’imaginaire collectif ce fameux chiffre « 50 » ? Quel bilan le peuple en tire-t-il ?


Alger la blanche… toujours aussi belle ?


Première image : les drapeaux. Évidemment. Ils pavoisent à profusion les artères principales de la capitale. Mais nettement moins que la forêt d’emblèmes déployés massivement et spontanément au lendemain de la campagne d’Oum-Dourmane. Des affiches au logo officiel du cinquantenaire sont placardées un peu partout sur de grands panneaux. Les annonceurs y vont eux aussi de leur attirail de célébration. À l’image du légendaire Hamoud Boualem. « Kounna h’na ou mazalna » (On était et on sera toujours là) scande le limonadier historique à la marque de gazouz 100% DZ. La ville se pare de ses plus beaux atours pour faire honneur à l’évènement. Spectacles et réjouissances au menu. Aux abords de la Grande-Poste, une scène est apprêtée pour accueillir une série de concerts. Idem à l’Esplanade de Riadh El Feth. Sur fond de polémique autour de la venue de la star libanaise Elyssa (à l’invitation de la ville de Annaba) pour un cachet de 950 millions de centimes. Les plus hostiles crient au gaspillage.

Disons-le tout de go : les Algériens n’ont pas tellement le cœur à la fête. Et c’est un euphémisme. Au demeurant, en ce 2 juillet, c’est plus le dernier match de l’Euro, la finale Espagne-Italie, que le match France-FLN, qui alimente les palabres. 

Virée dans les boyaux de La Casbah. Dans un atelier de couture, une femme, dans la cinquantaine, ne cache pas son amertume. Trônant derrière sa machine à coudre, elle confie: « Je suis une fille de moudjahida. Ma mère a même fait la prison de Berrouaghia. Mais vous savez, par les temps qui courent, on a presque honte de dire qu’on est fils de chahid ou fille de moudjahed. On vous criera aussitôt à la figure : tout le monde a fait la révolution. Du coup, on se fait tout petit. Moi, ma mère, à part sa petite pension, elle n’a rien eu. Et moi, je suis toujours célibataire et je vis dans un taudis au bidonville de Bousmaha, à Bouzaréah. J’ai dû construire ma baraque toute seule. Nous n’avons ni eau potable, ni électricité, ni route, ni rien. J’ai le sentiment que nous n’avons pas accédé à l’indépendance. lebled rahi fawdha ».

Une mémoire qui s’effrite

Quelques venelles plus loin, nous rencontrons Mohamed. Il tient une petite épicerie à l’ombre d’une treille. Mohamed avait 6 ans en 1962. Pour lui, le cinquantenaire, c’est surtout la plaie béante d’une Casbah qui s’effrite : « El Qasba meddat erdjal (la Casbah a donné des hommes), et regardez dans quel état elle se trouve ! », se désole ce natif de la vieille médina. Mohamed se voue à la restauration de sa douira avec les moyens du bord. C’est son combat. « Ana eddoula ma âtatni oualou, l’État ne m’a rien donné. J’ai fait un dossier pour obtenir une aide afin de pouvoir restaurer mon bien, mais j’attends toujours. Ils ont fait mille et un recensements. On nous a promis monts et merveilles, mais on n’a rien vu. Les familles de La Casbah sont en danger de mort !» fulmine-t-il. Entre les ruines et les détritus, La Casbah n’est plus qu’une citadelle avachie. Symbole vivant d’un pays qui a maille à partir avec son patrimoine mémoriel.

La vieille cité ottomane soutient mal la comparaison avec les médinas tunisiennes ou marocaines, savamment entretenues. Pourtant, et comme nous le rappelle à juste titre Mohamed, la mémoire passe aussi par la sauvegarde de ces murs qui accueillirent Abane, Ben M’hidi, Krim Belkacem et autres dirigeants du premier CCE (Comité de coordination et d’exécution), et qui sont maculés du sang de Ali La Pointe et de Hassiba Ben Bouali froidement exécutés par les paras du général Massu dans le feu de la Bataille d’Alger (1957).

Nous traversons la rue Larbi Ben M’hidi. Halte à la Cinémathèque qui propose une programmation spéciale pour la circonstance (dont Chroniques des années de braise de M.L.Hamina). Au Mama, une expo de Ben Bella. Pas le défunt président. Plutôt l’artiste peintre Mahjoub Ben Bella. A la Librairie du Tiers-Monde, les ouvrages historiques sont à l’honneur comme chez tous les bons libraires de la capitale.

Dans une rue parallèle à l’avenue Pasteur, brève discussion avec un jeune gardien de parking à propos du cinquantenaire. Sa réponse est lourde de sens : «Ya kho hada sujet saîb âliya. Loukan sakssitni âla el parking, kifache t’gari, n’jawbek. Hadja kh’ra khatini. (C’est un sujet trop compliqué pour moi. Si vous m’interrogiez sur l’organisation du parking, je vous répondrais volontiers. Le reste ne me regarde pas) ».

« On est indépendants mais pas libres »

Nous empruntons le métro pour nous rendre au Jardin d’essais. Le métro : objet urbain le plus emblématique de l’Alger 2012. La fierté de Bouteflika. Inauguré en grande pompe le 1er novembre 2011, il cartonne. Les rames sont climatisées, au bonheur des passagers. À la station Jardin d’essais, nous prenons le téléphérique pour gagner Riadh El Feth. Le téléphérique ne désemplit pas.

Des flots de visiteurs se déversent sans discontinuer sur le « Maqam ». Nous souhaitions visiter le musée du Moudjahid, mais l’on apprend qu’il est fermé au public pour cause de festivités officielles. Les gens se rabattent sur le musée de l’Armée situé à l’autre bout.

Loin d’être un temple de l’ANP, sa collection est un joyeux patchwork historique, de l’Antiquité à la Guerre de Libération nationale. Un jeune lycéen s’attarde sur les vestiges de la Révolution : « Moi, quand je vois ces héros qui ont pris le maquis si jeunes pour libérer le pays, je me dis simplement que nous n’avons pas le droit de les décevoir », dit-il, un brin ému.

Près de la salle Ibn Zeydoun, nous croisons le jeune comédien Mehdi Ramdani dont on a pu apprécier la prestation dans le court-métrage de Sofia Djama, Mollement, un samedi matin et dans Demain, Alger ? de Amine Sidi Boumediène. Mehdi plaide pour l’indépendance culturelle : « Il y a des artistes qui font des choses extraordinaires avec très peu de moyens. Il faut les laisser travailler. Il faut les affranchir du carcan bureaucratique et envisager une vraie politique culturelle pour libérer tous ces talents et leur permettre de s’exprimer. »  Anis Saïdoune, 20 printemps, étudiant en pharmacie, un manuscrit sous le bras, celui de son premier roman intitulé La rivière de l’amour et des illuminations (avis aux éditeurs), est l’incarnation même de cette jeunesse bourrée de talent, pétillant d’intelligence, et qui ne demande qu’à s’épanouir et s’exprimer justement. Anis soulève la question ô combien sensible de la transmission : « L’histoire a été instrumentalisée par le régime. Chaque jeune Algérien doit faire sa ‘‘private investigation’’ pour s’imprégner de notre histoire, la vraie. Il faut développer un esprit de doute méthodique. Moi, je lis tout, la version officielle aussi bien que les récits occultés. Il est navrant de constater que notre histoire s’écrit par des étrangers. C’est aberrant qu’on soit obligés de voir un documentaire sur Arte fait par des Français ou des Américains pour connaître notre propre histoire. »

Atika, 23 ans, étudiante en critique et histoire de l’art, plaide, quant à elle, pour l’indépendance citoyenne des femmes : « on est indépendants mais pas libres », regrette-t-elle. « 50 ans après, où sont les droits des femmes ? C’est la tache noire de l’indépendance. La moitié de la société est encore sous-citoyenne. C’est grave. Il va falloir lutter davantage pour changer le statut des femmes, pour changer le code de la famille, pour arracher le droit à l’avortement, le droit à l’héritage, l’accès au logement. C’est un grand chantier qui attend notre pays, à croire qu’on vient seulement d’accéder à l’indépendance ».

Belcourt. Marché Laâqiba. Sofiane, 30 ans, tient une table de cigarettes. Il ronge son frein en ruminant sa peine : « je suis agent d’entretien et de nettoyage au ministère de l’Énergie et des Mines et je viens de me retrouver au chômage. Mon contrat qui vient d’arriver à son terme n’a pas été reconduit. Ils vont certainement placer des gens de leurs connaissances comme d’habitude. Plusieurs de mes collègues sont dans la même situation. Nous sommes dans la précarité la plus totale. Moi, tout ce que je demande, c’est un travail stable, dans une institution étatique. Je fais ce métier depuis sept ans. J’ai travaillé chez le privé et c’est pire que le colonialisme français. Le privé te suce ton sang. Ce n’est pas vrai que les jeunes Algériens sont des fainéants. Ils ne demandent qu’à travailler mais dans des conditions dignes. J’étais dans un ministère et voilà que je me retrouve vendeur de cigarettes au marché. C’est injuste. »

« Cérémonies indépendante »

Place Audin. Effervescence militante au café Le Podium. Tahar Belabès, figure de proue du Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC), est venu spécialement de Ouargla pour diriger une grosse manif à Alger le 5 juillet. C’est l’autre face des commémorations. « Nous allons organiser un rassemblement des chômeurs en brandissant des drapeaux noirs. Nous décrétons ce cinquantenaire journée de deuil national », martèle le leader du Comité des chômeurs. Tahar Belabès qui estime le taux « réel » de chômage autour de 25% poursuit : « Aujourd’hui, les Algériens subissent un colonialisme interne. Nous vivons sous le joug de la hogra, de la corruption, du népotisme et de la répression. Nous nous battons pour notre dignité. Ce régime devrait avoir honte de célébrer le cinquantenaire de l’indépendance au moment où le pays enregistre des cohortes de harraga et d’immolés. Le peuple algérien n’a pas encore recouvré son indépendance. Vous n’avez qu’à aller voir ce qui se passe à Hassi Messaoud, où les multinationales américaines et autres font la pluie et le beau temps. Nous, citoyens du Sud, nous vivons une situation de marginalisation et de mépris épouvantables. Mais nous sommes déterminés à faire valoir nos droits. Et nous ne céderons pas ! Qu’ils disent qu’on est ‘‘Al Qaïda’’, qu’on est ‘‘irhab’’, nous ne cèderons pas ! »

Parallèlement aux festivités officielles, plusieurs cérémonies « indépendantes », convient-il de le souligner, seront organisées jeudi prochain 5 juillet (sauf intervention de la police). Comme cette initiative du collectif RDLD (Réseau de défense des libertés et de la dignité). « Nous allons organiser une manifestation symbolique durant laquelle nous allons allumer des bougies, et nous allons réaliser une fresque en collaboration avec des artistes en faisant contribuer tous les citoyens qui désirent s’exprimer sur cet événement », explique Kader Farès Affak, militant protéiforme, membre fondateur du RDLD. « C’est notre manière de nous réapproprier cette date si chère à nos cœurs et de lui redonner du sens. Le 5 juillet est avant tout la fête du peuple algérien. Il est grand temps de sortir de la légitimité historique pour entrer dans la légitimité populaire. »


Colloque El-Watan : 50 ans après l'Indépendance, quel destin pour quelle Algérie?

Un site d'Al-Watan particulièrement intéressant qui permet de trouver des documents les plus divers concernant les évènements d'Algérie, une quête pleine de surprises, chacun peut enrichir le site en faisant parvenir ses propres documents : Mémoires d'Algérie

jeudi 5 juillet 2012

Jean-Pax Méfret : "Le Pain de la misère"… des déracinés dans une France marâtre

Jean-Pax Méfret : “Sur l’autre rive… en 1962” - Des déracinés dans une France marâtre

Dans un précédent livre de « souvenirs » – et quels souvenirs, mon Dieu… –, 1962, l’été du malheur, Jean-Pax Méfret avait dit « la tragédie des pieds-noirs », certes, mais aussi, car son exemple est emblématique, son histoire. Celle d’un gamin d’Alger emprisonné, pour cause d’Algérie française, dans les geôles gaullistes. Il n’avait alors que 17 ans……

… par-delà l’Histoire, comme dans 1962, l’été du malheur, il y a aussi, dans Sur l’autre rive… en 1962, l’histoire de Jean-Pax Méfret et de sa famille. Sa mère et son frère qui, dans l’hiver 1962 (cette année-là le thermomètre oscilla de moins dix à moins vingt-cinq), débarquent à Rouen. Pourquoi Rouen où ils ne connaissent personne, où ils n’ont pas de toit, sans bagages, sans argent ? Parce que c’est là que Jean-Pax a été emprisonné [À la prison… Bonne Nouvelle…]. Et là que, « libéré », il sera assigné à résidence avec interdiction de sortir du taudis où sa famille a trouvé refuge.

La vie des pauvres. « On a mangé ensemble / Le pain de la misère / On a souffert ensemble / En traversant la mer. » (chanson de Jean-Pax, Le Pain de la misère). La soupe populaire. Le vestiaire de la Croix-Rouge pour récupérer des vêtements chauds. Un duffle-coat hors d’âge, « trop large, trop long, trop grand ». On s’écrase quand on vous fait la charité. Et en plus, on dit merci… « Le manteau qu’j’ai / Sur les épôles / Même pas je savais / C’que c’était » (chanson de Jean-Pax, Un Noël à Alger). France, qu’as-tu fait de notre jeunesse…



Jean-Jacques Jordi : Un silence d'État - Les disparus civils européens de la guerre d'Algérie





L'historien Jean-Jacques Jordi s'entretient avec Vincent Roux dans le cadre de la programmation spéciale "Évènements d'Algérie" diffusée par Histoire du dimanche 27 mai 2012 au vendredi 1er juin 2012. 


Jean-Jacques Jordi :
Un silence d'État - Les disparus civils européens de la guerre d'Algérie














mercredi 4 juillet 2012

Entretien avec Jeannette Bougrab, fille de Harkis… soldats de France

"Soyons fiers que la France, dans toutes ses turpitudes, ait produit des femmes comme Jeannette Bougrab.
Une grande dame !
"


Jeannette Bougrab, conseillère d'État et fille de Harkis, s'entretient avec Vincent Roux dans le cadre de la programmation spéciale "Évènements d'Algérie" qui a été diffusée par Histoire du dimanche 27 mai au vendredi 1er juin 2012.


Harkis, histoire d'un abandon


"Combien les autorités françaises, de par la volonté de l'infâme criminel compulsif DeGaulle, ont été lâches en cette circonstance ! Combien paraissent disproportionnées les récentes opérations de communication pour un journaliste ou un technicien enlevé comparées au silence abominable lors de l'abandon et le massacre des Harkis... et de tous les enlevés et disparus d'après le 19 mars..."






Un documentaire inédit diffusé le 1er juin 2012, dans le cadre de la programmation spéciale "Évènements d'Algérie" proposée par la chaîne Histoire du dimanche 27 mai au vendredi 1er juin 2012.

Calendrier des manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD


Projections du film : "La Valise ou le Cercueil" 
Pour toute information concernant tout le programme de projections, dates et lieux :
reportage34@yahoo.fr ou tél. + 33 4 67 27 87 26



Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par L'ADIMAD
- cliquez sur le texte pour agrandir -


Messes pour le repos de l'âme du lieutenant Roger Degueldre : 

- vendredi 6 juillet à 9 heures 30 - Le Barroux (84330), Abbaye Sainte-Madeleine, Le Devez - (contact : ADIMAD, tél. 06 11 28 55 90).

- vendredi 6 juillet à 18 heures 30  à Nancy, Église Saint-Pierre, 49 avenue de Lattre de Tassigny (contact : François Ferrier,  tél. 06 70 22 40 17) .

- samedi 7 juillet à 10 heures, Versailles, Chapelle Notre-Dame des Armées, 4, impasse Gendarmes (près Hôtel de Ville) - (contact : Yves Rossignol, tél. 06 14 40 55 70).  


Samedi 7 juillet 2012, cérémonies en hommage au lieutenant Roger Degueldre, assassiné le 6 juillet 1962... au sixième coup de grâce...

- Hommage au lieutenant Roger Degueldre sur sa tombe à 11 heures, cimetière des Gonnards, 19 rue Porte de Buc, à Versailles - (contact : Yves Rossignol, tél. 06 14 40 55 70).

- Hommage au lieutenant Roger Degueldre et aux Morts d'Oran à 11 heures, Stèle Français d'Algérie, La Parata - Les Sanguinaires, à Ajaccio - (contact : andrebianchi@hotmail.fr).


Pour toute information concernant prochaines projections, dates et lieux :
reportage34@yahoo.fr ou tél. + 33 4 67 27 87 26




mardi 3 juillet 2012

Les Pieds-noirs… Les Français d’Algérie ou d'AFN se sont-ils toujours appelés ainsi ?




Vincent Roux s'entretient avec l'historien Jean-Jacques Jordi, dans le cadre de la programmation spéciale Évènements d'Algérie qui a été proposée par la chaîne Histoire du dimanche 27 mai au vendredi 1er juin 2012.


Depuis quand les Français d’Algérie ou d’Afrique du Nord sont-ils généralement connus sous le nom de Pieds-noirs ?

Voir l'article de Guy PervilléPour en finir avec les "Pieds-noirs" ! (2004) 

[Exposé présenté pour la première fois au colloque "Les mots de la colonisation", tenu à l’Université de Bordeaux III les 22, 23 et 24 janvier 2004, dont les actes n’ont malheureusement pas été publiés.]

Qu’on se rassure, mon intention n’est pas de prêcher une guerre d’extermination contre ceux de nos compatriotes qu’on appelle les « Pieds-noirs », mais seulement de combattre l’accréditation générale et sans examen d’une idée fausse, suivant laquelle les Français d’Algérie se seraient toujours appelés ainsi… Lire la suite


lundi 2 juillet 2012

Comité de Liaison du Mémorial de l’Honneur Français





Comité de Liaison du Mémorial de l’Honneur Français
77, rue Pigalle – 75009 Paris (correspondance uniquement)




Le Cercle National des Combattants et Roger Holeindre
qui ont rallié le Comité de Liaison du Mémorial de l’Honneur Français, vous invitent :

le 30 juin 2012 à 14 heures
à un Grand Rassemblement
suivi d’un défilé et de plusieurs interventions patriotiques

- Rassemblement à 14 heures – place de l’Étoile (angle avenue Kléber – avenue d’Iena)

- Défilé jusqu’à la place du Trocadéro, devant la statue du Maréchal Foch

- Intervention des personnalités :

- Honneur à l’armée française qui a gagné la guerre.
- Hommage aux soldats d’Algérie, toutes races confondues, 
et aux civils Chrétiens, Juifs, Musulmans… assassinés.
- Halte aux mensonges et à la désinformation.


NON À LA REPENTANCE !




Lire dans Présent n° 7634 du mardi 3 juillet 2012 le compte-rendu de la manifestation : De l’Arc de Triomphe au Trocadéro - Non à la repentance !

Combien étions-nous ? Un petit millier. Heureusement que nous n’avons pas la religion du nombre… Il n’empêche que le pari de Pierre Descaves et Roger Holeindre – manifester de l’Arc de Triomphe au Trocadéro, un samedi après-midi, un 30 juin – à savoir un formidable défi, a été relevé. Et tenu.

Au hasard de la foule, parmi tant de visages amis, on a pu reconnaître (et pardon à ceux que je vais fatalement oublier) Jean-Claude Martinez, Martine Lehideux, Carl Lang, Jean-François Collin, Louis de Condé, Claudine Dupont-Tingaud, Norbert Multeau, Hervé Cuesta, Michel Dor, Philippe Varlet, l’abbé Guépin, etc.

C’est le noyau dur. Ceux qui, pour rien au monde, ne se mettraient aux abonnés absents quand il s’agit de défendre l’honneur français… lire la suite