Reconnaissons à Ségolène Royal un immense mérite : sa contribution à un formidable enrichissement de la langue française… Sa « bravitude » proclamée du haut de la Grande Muraille de Chine et alors tant moquée a généré un puissant flot d’expressions calquées sur ce modèle, jusqu’à définir, suprême consécration, l’état dans lequel est tombée la France avec l’élection de son ancien compagnon : la « médiocritude », phase aboutie de la « normalitude »…
Agressée par les tweetages de la pie-grièche désormais installée auprès du père de ses enfants, voilà qu’elle assène à l’oiseau de ses tourments une magistrale réplique qualifiant son ramage de « propos vitupérins »…
Une invention sans doute mûrement concoctée, alliant le verbe « vitupérer » et l’adjectif « vipérin »… et s’appliquant à merveille au cas d’espèce de la mégère aux invectives vipérines… Encore une bien jolie invention langagière promise à un bel avenir tant populaire que littéraire… la marque du génie.
À défaut de perchoir, c'est bien un fauteuil à l'Académie française qui ouvre tout grands ses bras à notre Ségolène Royal adorée.
À défaut de perchoir, c'est bien un fauteuil à l'Académie française qui ouvre tout grands ses bras à notre Ségolène Royal adorée.
Principales œuvres de Ségolène Royal :
Lettre à tous les résignés et indignés qui veulent des solutions (septembre 2011)
Ma plus belle histoire, c'est vous (décembre 2007)
Femme Debout (février 2009)
En route pour le vrai changement (juin 2011)