Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
lundi 16 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
samedi 14 avril 2012
Nicolas Sarkozy aux abois… il s'humilie : "le massacre des Harkis, c'est la faute à la France"
Si comme le prétend Aristophane « là où l’on est bien, là est la Patrie »… cette Patrie n’est certainement pas la France… Si « ma Patrie est la terre de mes Aïeux »… cette Patrie n’est assurément pas la France…
Pauvre Nicolas Sarkozy, aux abois… qui à présent vient lécher le cul des Harkis et faire repentance… Belle humiliation… Une revanche qui certainement ne suffira pas… Imaginez : il a officiellement reconnu ce samedi à Perpignan la "responsabilité historique" de la France dans "l'abandon" des harkis après la fin des évènements d'Algérie en 1962 !!!
Chacun jugera que la sincérité du personnage… N'a-t-il pas affirmé et réaffirmé l'autre jour dans "Des Paroles et des Actes" : “faire campagne c’est dire la vérité” [sic !]. De qui se moque-t-il ? Mensonge et rouerie sont-ils à ce point ancrés dans le personnage ? … Comme chez tout fidèle gaulliste !
Nicolas Sarkozy oublie-t-il que pour tous les massacrés d'Algérie et leurs familles victimes de la lâcheté et de la compromission des séides du gaullisme, pour toute la diaspora des exilés d'Algérie, toutes origines et confessions confondues, tout gaulliste ne peut être qu'un banal adversaire politique mais restera à jamais un ennemi de sang… Ce que nous voulons c'est l'extinction définitive des gaullistes, de tout mouvement gaulliste, du souvenir du gaullisme… Que la Constitution française bannisse et criminalise toute référence à l'infâme criminel compulsif DeGaulle !
Pas de pardon !
Nicolas Sarkozy oublie-t-il que pour tous les massacrés d'Algérie et leurs familles victimes de la lâcheté et de la compromission des séides du gaullisme, pour toute la diaspora des exilés d'Algérie, toutes origines et confessions confondues, tout gaulliste ne peut être qu'un banal adversaire politique mais restera à jamais un ennemi de sang… Ce que nous voulons c'est l'extinction définitive des gaullistes, de tout mouvement gaulliste, du souvenir du gaullisme… Que la Constitution française bannisse et criminalise toute référence à l'infâme criminel compulsif DeGaulle !
Pas de pardon !
… Si comme le prétend Aristophane « là où l’on est bien, là est la Patrie »… cette Patrie n’est certainement pas la France… Si « ma Patrie est la terre de mes Aïeux »… cette Patrie n’est assurément pas la France… Qu'il est vain, dérisoire, humiliant, imbécile de quémander un quelconque oubli d'exilés obstinément orphelins… Pas de pardon !
Écouter : Roger Holeindre - Jean-Pax Méfret : Brahim… où es-tu mon vieux frère ? où es-tu vieux Brahim ?
Salim LAÏBI : Affaire Mohamed Merah, entre manipulation et subversion…
À la veille de l’élection présidentielle, la démystification de l’affaire Merah est un enjeu crucial…
Le docteur Salim LAÏBI, chirurgien dentiste en exercice libéral, conférencier et acteur actif dans la vie politique et associative marseillaise, candidat aux Législatives 2012 dans les Bouches du Rhône, organise mercredi 18 avril à 19 heures à Marseille, 130 avenue de Saint-Louis, une conférence-débat sur l’affaire Mohamed Merah, avec la participation de Pierre Dortiguier et Jean-Paul Vernochet…
À l’occasion de la campagne pour les Législatives 2012, nous organisons une conférence/débat sur l’affaire Merah. Nous parlerons des contradictions et bizarreries entourant cette sombre histoire. Il est de plus en plus évident que les autorités officielles mentent ouvertement au peuple. Depuis déjà quelques années, les statistiques, les sondages, les chiffres du chômage sont escamotés. Les affaires d’état camouflées et enterrées profondément quelles que soient leurs gravités. Il est question clairement de manipuler la réalité à des fins de propagande et de gestion des masses. La dernière affaire M. Merah est une nouvelle étape franchie dans cette volonté de subversion et de mensonge continu de l’exécutif qui utilise les médias comme vecteur docile. Malgré les chiffres clairement nuls concernant le risque islamiste européen délivrés par le rapport Europol 2011, la DCRI continue sa campagne de propagande et de terrorisme du peuple jouant parfaitement la partition américaine du choc des civilisations post 11 septembre 2001. Cette conférence est là pour explorer cette affaire dans ses moindres détails. Effectivement, les contradictions sont extrêmement nombreuses et troublantes. Le comportement aussi bien des unités de la police ou des politiques a été des plus atypiques, choquant bon nombre de professionnels de la police et de la gendarmerie aussi bien au plan local qu’international. Que s’est-il réellement passé à Montauban et Toulouse ?
À la veille de l’élection présidentielle, la démystification de l’affaire Merah est un enjeu crucial : Mohamed Merah, tueur d’enfants le matin et joyeux footballeur l’après-midi ?
La Dépêche du Midi - Jean Cohadon : Mohammed Merah, "signalé" puis oublié
vendredi 13 avril 2012
François Bayrou : seul candidat porteur d'un projet… un projet fort, cohérent, de paix civile
"Nous sommes la seule proposition politique qui pourra former une majorité stable pour relever le pays"
François Bayrou a rappelé l'opiniâtreté et la constance de ses propositions, alors qu'il propose depuis dix ans déjà l'impérieuse unité nationale: "De plus en plus de gens se rendent compte de la nécessité d'une force du centre". Interrogé sur les œillades et les appels du pied des deux principaux candidats à son endroit, François Bayrou a esquissé un sourire, sans se départir de ses convictions initiales : "Mettez-vous bien en tête que nous sommes l'unique proposition politique qui sera en mesure de former une majorité stable afin de redresser le pays".
Enfin, le candidat a déploré l'absence des préoccupations quotidiennes des Français dans cette campagne : "Cette campagne est une campagne cruciale qui ne s'est malheureusement pas formée autour des questions cruciales. Dans dix jours, les Français devront se poser les bonnes questions. Qui voit juste et qui est vraiment courageux dans cette campagne ? Voilà les vraies questions que les Français vont se poser dans l'isoloir".
jeudi 12 avril 2012
François Bayrou dresse un portrait sans complaisance de l'agité Nicolas Sarkozy, sur la RTS
François Bayrou "homme du terroir, pas trop arrogant parisien" fait l'éloge du système démocratique suisse, dans lequel "il serait incontournable"… Darius Rochebin de la RTS s'entretient avec François Bayrou, candidat à la présidentielle française.
Allain Jules : Nicolas Sarkozy :”Des Paroles et des Actes” et la gêne sur l’affaire Bettencourt : À mourir de rage et à mourir de rire ! Nicolas Sarkozy m’a scié. J’ai ri de bon cœur et j’ai même eu pitié de lui. Je viens donc de regarder “Des paroles et des Actes” avec Nicolas Sarkozy… Le voltigeur hongrois a dit que “faire campagne c’est dire la vérité” [sic ! de qui se moque-t-il ? Le mensonge est-il à ce point ancré dans le personnage ?]…
mercredi 11 avril 2012
Dernier hommage à la princesse Bejaratana Rajasuda, fille unique du roi Rama VI
La Thaïlande rend un dernier hommage à la princesse Bejaratana Rajasuda, fille unique du roi Vajiravudh, Rama VI (1910-1925) et cousine du roi Bhumibol Adulyadej.
Les funérailles de la princesse Bejaratana Rajasuda s’étalent sur cinq jours depuis dimanche dernier 8 avril jusqu'à ce jeudi 12 avril. La cérémonie de crémation s'est déroulée lundi 9 avril à Sanam Luang.
La princesse est décédée le 27 juillet 2011 à l’âge de 85 ans. Près de neuf mois après sa disparition, la cérémonie de crémation a été organisée le 9 avril dans le plus pur respect des traditions royales thaïlandaises. Plusieurs processions, retransmises en direct à la télévision, ont débuté dès 7 heures du matin. Des centaines de personnes en tenue d’apparat ont été mobilisées. L’urne royale en bois de santal contenant les restes de la princesse a été transportée sur le chariot royal de la Grande Victoire (Phra Maha Phichai Ratcharot) construit en 1795 sous Rama I tiré par 216 hommes.
Le roi Bhumibol lui-même, hospitalisé depuis plus de deux ans, a fait l’effort de se rendre sur l’esplanade de Sanam Luang, dans le cœur historique de Bangkok, où avait été dressé un crématorium. Jusque tard dans la nuit, sur cette même esplanade se sont enchaînés des spectacles de danse et de musique traditionnels. L’organisation de l’ensemble des cérémonies a été confiée au ministère de la Culture et des Beaux-arts.
Dimanche 8 avril, était prévue une cérémonie de mérite dans la salle du trône Dusit Maha Prasat du Grand Palais, où l’urne royale a été placée. Celle-ci a été transférée lundi matin à partir de 7 heures au cours d’une procession à laquelle ont participé des soldats, les membres de la famille royale, les membres du gouvernement et autres fonctionnaires. Les deux principaux chariots royaux qui ont défilé sont le chariot royal de la Grande Victoire (Phra Maha Phichai Ratcharot) et le Petit chariot (Ratcharot Nor). Le 9 avril, journée la plus importante, une crémation symbolique destinée au public a eu lieu à 16h30, puis la crémation réelle dans l’intimité de la famille royale s'est tenue à 22h.
Le mardi 10 avril, a eu lieu la collecte de reliques à Sanam Luang, suivie ce mercredi par une nouvelle cérémonie de mérite dans la salle du trône Dusit Maha Prasat du Grand Palais. Les funérailles s’achèveront demain jeudi 12 avril avec les dons faits aux moines et la consécration des cendres royales qui seront déposées à 16 heures 30 au Wat Ratchabophit.
Les funérailles de la princesse Bejaratana Rajasuda s’étalent sur cinq jours depuis dimanche dernier 8 avril jusqu'à ce jeudi 12 avril. La cérémonie de crémation s'est déroulée lundi 9 avril à Sanam Luang.
La princesse est décédée le 27 juillet 2011 à l’âge de 85 ans. Près de neuf mois après sa disparition, la cérémonie de crémation a été organisée le 9 avril dans le plus pur respect des traditions royales thaïlandaises. Plusieurs processions, retransmises en direct à la télévision, ont débuté dès 7 heures du matin. Des centaines de personnes en tenue d’apparat ont été mobilisées. L’urne royale en bois de santal contenant les restes de la princesse a été transportée sur le chariot royal de la Grande Victoire (Phra Maha Phichai Ratcharot) construit en 1795 sous Rama I tiré par 216 hommes.
Le roi Bhumibol lui-même, hospitalisé depuis plus de deux ans, a fait l’effort de se rendre sur l’esplanade de Sanam Luang, dans le cœur historique de Bangkok, où avait été dressé un crématorium. Jusque tard dans la nuit, sur cette même esplanade se sont enchaînés des spectacles de danse et de musique traditionnels. L’organisation de l’ensemble des cérémonies a été confiée au ministère de la Culture et des Beaux-arts.
Dimanche 8 avril, était prévue une cérémonie de mérite dans la salle du trône Dusit Maha Prasat du Grand Palais, où l’urne royale a été placée. Celle-ci a été transférée lundi matin à partir de 7 heures au cours d’une procession à laquelle ont participé des soldats, les membres de la famille royale, les membres du gouvernement et autres fonctionnaires. Les deux principaux chariots royaux qui ont défilé sont le chariot royal de la Grande Victoire (Phra Maha Phichai Ratcharot) et le Petit chariot (Ratcharot Nor). Le 9 avril, journée la plus importante, une crémation symbolique destinée au public a eu lieu à 16h30, puis la crémation réelle dans l’intimité de la famille royale s'est tenue à 22h.
Le mardi 10 avril, a eu lieu la collecte de reliques à Sanam Luang, suivie ce mercredi par une nouvelle cérémonie de mérite dans la salle du trône Dusit Maha Prasat du Grand Palais. Les funérailles s’achèveront demain jeudi 12 avril avec les dons faits aux moines et la consécration des cendres royales qui seront déposées à 16 heures 30 au Wat Ratchabophit.
Vidéos très complètes des différentes phases des funérailles : Royal Cremation of Her Royal Highness Princess Bejaratana
Voir photos des funérailles de la princesse Bejaratana
lundi 9 avril 2012
Tariq Ramadan dénonce avec brio et ironie les manœuvres provocatrices de Nicolas Sarkozy
Devant 40.000 fidèles réunis par l'UOIF au Bourget, l'intellectuel n'a pas ménagé ses critiques contre le gouvernement et a appelé les musulmans « à ne pas répondre aux attaques » mais à cultiver leur identité « française et musulmane ».
Il demande à ne pas être applaudi. Orateur brillant, Tariq Ramadan, a tenu en haleine et sans note, samedi soir au Bourget, plusieurs dizaines de milliers de musulmans venus assister au 29° congrès de l'Union des Organisation islamiques de France (UOIF). Il en était l'invité vedette depuis que le gouvernement avait interdit la venue de six prédicateurs pour leurs propos explicitement antisémites. Il en était aussi l'invité controversé car le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a publiquement regretté, vendredi, qu'il soit maintenu à l'affiche, lui reprochant d'avoir défendu un « moratoire sur la lapidation des femmes ».
Les encourageant à ne pas céder à la « réaction », Tariq Ramadan, a plutôt appelé les musulmans qui l'écoutaient - hommes d'un côté, femmes, toutes voilées, de l'autre - et des milliers de fidèles debout au fond, à une forme subtile de « résistance ». « Je vous remercie d'avoir tenu bon, a-t-il lancé, malgré les pressions et les accusations ». Car « c'est aussi l'honneur de la France d'accueillir cette rencontre ». Décochant cette première critique : « On ne peut pas se prévaloir de Voltaire pendant quatre ans et l'oublier à deux semaines de l'élection » invitant à « ne pas confondre la France avec ceux qui la représentent ».
L'intellectuel suisse, petit fils de Hassan al Banna, fondateur en 1928 des Frères musulmans en Égypte, a alors accusé le gouvernement de faire de la « surenchère » et de la « diversion » vis-à-vis de la « vraie crise économique », en misant, selon un « stratagème », sur les questions « de sécurité » qui sont pourtant « trop sérieuses pour être mises en scène ». Posant en particulier la question du bilan pour les banlieues : « Qu'est ce qui a été fait depuis les émeutes de la banlieue en 2005 pour répondre au mal être, pas de travail, pas d'habitat ? ». Ou critiquant, sur le plan européen cette fois, le traitement « comme des animaux » des « charters de clandestins ».
Citant l'exemple du « Prophète » qui a plusieurs fois connu l'adversité, il a recommandé aux 40 000 musulmans présents, de se placer « toujours avec élégance » dans une sorte « d'exil » intérieur : « Éloigne-toi d'eux, dans un bel exil ». Et de lier, par conséquent « la foi et la résistance », la foi qui a « une vue longue ». Une résistance calquée sur la stratégie du fondateur de l'islam: « Pourquoi le Prophète a-t-il été si efficace à la Mecque? » a demandé Tariq Ramadan à l'auditoire. Réponse: « Parce qu'il connaissait bien la société » de cette ville. Et « qu'en France, vous avez à connaître votre société ».
Appelant donc à la connaissance de l'islam pour en connaître « la lumière », à son étude approfondie, il a demandé aux musulmans présents de prendre « conscience de leur responsabilité » : « En France, il faut comprendre cela. Nous portons un dépôt, un message » : « l'islam est un et accepte toute les cultures ». Mais « il va falloir résister » a-t-il prévenu. D'abord contre soi-même, son « ego », fustigeant alors « l'arrogance » mais recommandant la « dignité » : « Je reste moi-même ». Mais aussi résistance contre l'adversité car « ils vont t'attaquer ». Pour en déjouer les pièges : « Si vous répondez aux attaques, vous devenez l'objet de leur histoire ». Résistance, enfin, pour un projet plus large : « Soyez à la fois ambitieux pour changer le monde et humble ».
Savoir « acquérir les instruments des Occidentaux »
Développant toujours la comparaison avec la stratégie du Prophète, il a alors déconseillé la voie de la négociation avec les gouvernements. « Tu veux protéger ta communauté en parlant avec le pouvoir et avec les riches ». Une fausse piste selon lui: « Soyez toujours du côté des opprimés, c'est le seul pouvoir qui compte ». Il a donc invité à « ne pas perdre de temps » et à ne pas compter « avec ceux qui ont un pouvoir de cinq ans », qui manient « le mensonge » et « l'hypocrisie » mais à devenir des « citoyens libres et indépendants ». Car, « c'est fini le temps où l'on vous parle comme à des enfants et où on vous regarde comme si vous étiez en voie de maturation ».
Tariq Ramadan a alors appelé les musulmans à apporter « leur contribution pour tous les droits ». « Il faut un discours musulman sur les libertés, sur l'égalité homme femme - il faut plus de femmes à l'UOIF - sur le respect des jeunes ». Mais aussi développer « l'esprit critique » car il faut « poser des questions » et savoir « acquérir les instruments des Occidentaux ». Évoquant alors le moment « historique », de la « présence des musulmans en Occident », il a lancé un appel à « l'unité de la diversité musulmane » pour ne surtout pas importer le « conflit chiite-sunnite » en Europe.
Affirmant, en conclusion, un « non, sans condition à l'antisémitisme », il a critiqué une nouvelle fois « l'oppression » du peuple palestinien, « ce qui n'a rien à voir avec l'antisémitisme », a-t-il pris soin de préciser. Avant sa prière finale, il s'est moqué des « services de renseignements généraux » présents dans la salle, déclenchant cette fois, des applaudissements : « Rapportez bien au gouvernement ce que l'on a dit, vraiment, pas ce que l'on aurait pu dire ».
Source "Le Figaro" : Tariq Ramadan appelle les musulmans à la «résistance»
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