Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 21 février 2012

Réception à la gendarmerie de Lille de DSK, l'ex-futur président qui aimait trop les femmes


La France d'aujourd'hui… Réception triomphale à la gendarmerie de Lille de DSK, cet ex-futur président qui aimait trop les femmes… Pauvre France, qu'il est pâlot et peu folichon son suppléant !

Bousculade monstre : Dominique Strauss-Kahn, l'ex-futur président qui aimait trop les femmes arrive à la gendarmerie de Lille !

Les temps changent… Depuis quelques décennies il est devenu tout à fait banal que les acteurs de la vie politique française, droite et gauche confondues,  fréquentent les geôles de la République, ses commissariats, ses tribunaux, fassent scandale dans les médias pour des coquineries financières ou de mœurs… Détournement de fonds publics ou privés, abus de faiblesse auprès de vieilles personnes, pour le propre profit du coquin ou celui de son parti politique… Corruption active et passive… Complicité de proxénétisme… Coït express par abus d’autorité auprès de subordonnés, de soubrettes… Massages "réflexologiques" autant que fureteurs de pied… Cynisme allant jusqu’à de faux aveux publics en prétendant se faire mettre par des "boxeurs de quarante ans", contrairement à ce qui a été écrit par ailleurs dans de mauvaises confessions sur une vie… La liste serait longue, sans cesse allongée réalimentée, de ces actes délictueux ou provocateurs de ceux qui sont sensés avoir en charge le bien public, le rayonnement de la culture française… Feuilleton inépuisable… auquel sournoisement les médias complices de ces coquins ont accoutumé le bon peuple qui en redemanderait… Sinon de quoi causer au bistrot ou au boulot…

N’est-il pas hautement significatif que les derniers des hommes politiques, soldats ou simples citoyens qui, pour l’honneur de la défense de convictions et d’un idéal, ont connu la prison, l’exil, voire la peine de mort sont précisément ceux qui se sont insurgés contre le pouvoir gaulliste… Contre le pouvoir hérité par ceux qui à présent prétendent toujours gouverner la France… et demander une prorogation…

dimanche 19 février 2012

Jean-Marie Le Pen sert le livre de Thierry Légier : "Mission Le Pen : le garde du corps parle"




Jean-Marie Le Pen vu par son garde du corps…  À l'occasion de la sortie ce 22 février 2012 du livre  "Mission Le Pen : le garde du corps parle" de Thierry Légier, son ancien garde du corps durant 20 ans, témoignage rédigé grâce à la collaboration de Raphaël Stainville, Jean-Marie Le Pen assure la promotion de l'ouvrage et confirme certains instants des relations du Front National et de la politique française qui y sont dévoilés.

Syrie : Alain Juppé & Hillary Clinton, même combat, même imbécillité



Que Dieu protège la Syrie de cette ingérence barbare
Que Dieu protège le peuple syrien et leur Président
Vive la Syrie, vive le peuple syrien, vive ce magnifique pays

vendredi 17 février 2012

Une drôle de famille de caméléons, les Brookesia : confidens, tristis, desperata… micra !!!



Le dernier petit de la famille Brookesia : micra


Le dernier petit de la famille Brookesia : micra… Ses découvreurs l'ont baptisé Brookesia micra… Il est à ce jour le plus petit caméléon du monde. À l'âge adulte, il atteint tout juste 20 millimètres de long, sans compter sa queue. Une équipe d’herpétologues allemands l’a débusqué au nord de Madagascar en même temps que trois autres minuscules espèces de la même famille Brookesia : confidens, tristis et desperata !!!

Brookesia micra vit sur l'îlot de Nosy Hara, un îlot minuscule… et sa taille résulterait d'une adaptation à son habitat. La nuit, il vit assoupi accroché aux branches basses des arbres. Dans la journée, Brookesia micra se déplace au sol sur le lit des feuilles mortes…

Selon Franck Glaw, herpétologue allemand du Museum d'histoire naturelle de Munich, ces animaux miniaturisés seraient le fruit d'un phénomène évolutif, dit nanisme insulaire, qui résulterait d’une l'adaptation à un habitat réduit, aux ressources plutôt rares… Dans ce contexte, une petite taille procure un avantage certain : l'animal a moins besoin d'énergie pour survivre. Brookesia micra serait proche de "la limite de miniaturisation" pour un reptile, car le rapport volume/surface de la peau d'un animal à sang froid doit être suffisant pour lui permettre de réguler correctement sa température. 

Thème de réflexion, par analogie : nos sociétés à l’espace culturel atrophié par la pensée unique, le correctement correct, la démocratie ne tendent-elles pas, elles aussi, à engendrer des hommes politiques à la dimension de cette pauvreté intellectuelle. Un nanisme démocratique ? Esprit petit bourgeois ?


Brookesia micra x simplet desperata


Brookesia micra x joyeux confidens

Nanisme démocratique, vraiment pas loin de cette définition, publiée dans le n° 3034 de Rivarol de ce 17 février 2012, qu’Hermann Hesse donne, dans Le Loup des Steppes, de l’esprit bourgeois. On pourra retrouver cette définition dans Le Petit Lexique du partisan européen, modeste mais intéressante brochure à laquelle avait contribué Guillaume Faye en 1985, qui vient d’être rééditée, et disponible sur Librad : 

« L’homme a la possibilité de s’abandonner entièrement à l’esprit, à la tentative de pénétration du divin, à l’idéal de la sainteté. Il a également la possibilité inverse de s’abandonner entièrement à la vie de l’instinct, aux convoitises de ses sens, et de concentrer tout son désir sur le gain de la jouissance immédiate. La première voie mène à la sainteté, au martyre de l’esprit [...]. La seconde mène à la débauche, au martyre des sens [...]. Le bourgeois, lui, cherche à garder le milieu modéré entre ces extrêmes [...]. Il n’aspire ni à la sainteté, ni à son contraire, il ne supporte pas l’absolu, il veut bien servir Dieu, mais aussi le plaisir [...]. Le bourgeois, de par sa nature, est un être doué d’une faible vitalité, craintif, effrayé de tout abandon, facile à gouverner. C’est pourquoi, à la place de la puissance, il a mis la majorité. À la place de la force, la loi. À la place de la responsabilité, le droit de vote [...]. Il est clair que cet être pusillanime, en quelque grande quantité qu’il existe, est incapable de se maintenir, qu’en raison de ces facultés il ne peut jouer dans le monde un autre rôle que celui d’un troupeau de brebis entre des loups errants. »

Brebis ou caméléons ? Brebis et caméléons ? À méditer...