Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 18 novembre 2015

Général Didier Tauzin : " En temps de guerre, il faut un vrai chef"





Le général Didier Tauzin, ancien commandant du 1er RPima et membre des forces spéciales, poursuit son engagement politique et répond, point par point, aux annonces du président de la République à Versailles. Pour lui, il faut désigner l'ennemi qu'est le wahhabisme. Il convient aussi de privilégier une alliance en Syrie avec la Russie. Mais plus que tout, il faut tourner le dos à François Hollande car "en tant de guerre, il faut à la France un vrai chef" ayant pour simplement devise : " Courage, confiance et calme".


Retour de voyage en Syrie avec Damien Viguier…



Comme nous-même, Damien Viguier revient de Syrie…
C'est avec bonheur que nous découvrons que ses impressions d'un voyage -toujours trop court- concordent parfaitement avec ce que nous y avons ressenti, et cela encore plus intensément après chaque séjour… Damien Viguier nous dit, comme moi-même et chacun de tous ceux -nombreux- qui ont déjà pu voyager avec le Rassemblement de la Communauté Syrienne de France pourraient en témoigner, qu'il y a vécu dans une ambiance extraordinaire, devenue aujourd'hui inconcevable pour tout Français… Il y a découvert un peuple jeune… animé partout d'une immense envie de vivre, d'un élan vital qui malheureusement s'est éteint en France… Un pays dont le président est derrière son peuple… Un pays dont la France ne peut que prendre exemple… cette France dont nous savons les dirigeants cyniquement capables des pires atrocités…




Dans sa chronique pour MPI-TV, Maître Damien Viguier nous raconte ce qu’il a vu lors de son dernier voyage en Syrie et ne manque pas de parler des responsabilités des gouvernants français. Des propos qui viennent à point dans le contexte tragique que nous connaissons avec les attentats de Paris.



La stratégie de guerre masquée… démasquée par le professeur Daniele Ganser





Pr Daniele Ganser : … "Dans la stratégie de guerre masquée, vous devez étudier le mensonge et la violence, ce qui est une combinaison déplaisante, mais elle existe. Et je me suis dit : Je vais examiner cela. Et pendant un bout de temps on m’a laissé faire tout seul et on a trouvé super ce que j’étudiais et ça n’a fait que monter à l’université. Mais à partir d’une certaine altitude, les problèmes ont commencé. Et on a seulement dit : « Nous ne souhaitons pas que vous vous exprimiez de cette manière, nous ne souhaitons pas que vous étudiiez ces choses de cette manière et que vous en parliez en public. » Et parce qu’on n’a pas pu me dire que j’ai fait des fautes par rapport aux faits, on a simplement dit que je suis un théoricien de conspiration…"

mardi 17 novembre 2015

Mgr Arbach, évêque de Homs, rencontre à Toulon les réfugiés syriens…






Les réfugiés sont amers envers le gouvernement français, sa volonté de détruire la Syrie, sa connivence avec le terrorisme.





TV Libertés : Il est manifeste que rien n'a été fait pour prévenir ce carnage…






Trois jours après les attentats, la France est toujours en état de choc. Plus de 130 personnes ont péri dans les attaques terroristes et près de 300 victimes luttent encore contre la mort. François Hollande a déclaré que notre pays était en guerre… mais les mesures pour assurer la sécurité des citoyens se font attendre. Alors que rien n’a été fait pour empêcher ce carnage, les contrôles aux frontières ne sont toujours pas appliqués !



lundi 16 novembre 2015

Thierry Meyssan : La République française prise en otage





La guerre qui s’étend à Paris est incompréhensible pour les Français qui ignorent presque tout des activités secrètes de leur gouvernement dans le monde arabe, de ses alliances contre nature avec les dictatures du Golfe, et de sa participation active au terrorisme international. Jamais cette politique n’a été discutée au Parlement et les grands médias ont rarement osé s’y intéresser.

Depuis cinq ans ans, les Français entendent parler de guerres lointaines, sans comprendre ce dont il s’agit. La presse les a informés de l’engagement de leur armée en Libye, mais jamais de la présence de soldats français en mission au Levant. Mes articles à ce sujet sont largement lus, mais perçus comme des bizarreries orientales. Malgré mon histoire personnelle, il est de bon ton de me qualifier d’« extrémiste » ou de « complotiste » et de relever que mes articles sont reproduits par des sites internet de toutes obédiences, y compris par d’authentiques extrémistes ou complotistes. Pourtant personne ne trouve rien à redire à ce je j’écris. Mais personne non plus n’écoute mes alertes à propos des alliances que la France a conclues.
Soudain, la vérité ignorée fait surface.
La France a été attaqué dans la nuit du vendredi 13 novembre 2015 par plusieurs commandos qui ont assassiné au moins 130 personnes dans cinq lieux différents de Paris. L’état d’urgence a été décrété pour 12 jours sur l’ensemble du territoire et pourrait être reconduit par le Parlement.

Pas de lien direct avec l’affaire Charlie Hebdo

La presse française interprète cet acte de guerre en le liant à l’attentat survenu à Charlie Hebdo, bien que les modes opératoires soient totalement différents. En janvier, il s’agissait de tuer des personnes précises, tandis qu’ici il s’agit d’une attaque coordonnée contre un grand nombre de personnes au hasard.
On sait aujourd’hui que le rédacteur en chef de Charlie Hebdo venait de recevoir un « don » de 200 000 euros du Proche-Orient pour poursuivre sa campagne anti-musulmane [1] ; que les tueurs étaient liés aux services de renseignement français [2] ; que l’origine de leurs armes est couverte par le Secret-Défense [3]. J’ai déjà montré que cet attentat n’était pas une opération islamiste [4], qu’il avait fait l’objet d’une récupération étatique immédiate [5], et que cette récupération avait rencontré un écho dans la population hostile à la République [6] —une idée qui a été brillamment développée quelques mois plus tard par le démographe Emmanuel Todd [7]—.
Si nous revenons à la guerre qui vient de s’étendre à Paris, elle surprend en Europe occidentale. On ne peut la comparer aux attentats de Madrid de 2004. En Espagne, il n’y avait ni tireur, ni kamikaze, mais 10 bombes placées en 4 lieux distincts [8]. Le type de scène qui vient d’avoir lieu en France est le lot quotidien de nombreuses populations du « Moyen-Orient élargi » depuis 2001. Et l’on trouve des événements comparables au-delà, comme les trois jours d’attaques en six lieux distincts, à Bombay en 2008 [9].
Même si les assaillants étaient des musulmans et si certains d’entre eux ont crié « Allah Akbar ! » en tuant des passants, il n’y a aucun lien entre ces attaques, l’islam et une éventuelle « guerre des civilisations ». Ainsi, ces commandos avaient instruction de tuer au hasard, sans s’enquérir préalablement de la religion de leurs victimes.
Identiquement, il est absurde de prendre au premier degré le mobile évoqué par Daesh contre la France —même s’il n’y a pas de doute sur son implication dans cette attaque—. En effet, si l’organisation terroriste devait se « venger », c’est à Moscou qu’elle aurait frappé.

La France est un État terroriste depuis au moins 2011

La lecture de ces événements est brouillée parce que derrière des groupes non-étatiques se cachent toujours des États qui les sponsorisent. Dans les années 70, le Vénézuélien Ilich Ramírez Sánchez dit « Carlos » ou « Le Chacal » s’était mis par conviction au service de la cause palestinienne et de la Révolution avec le discret soutient de l’Urss. Dans les années 80, l’exemple de Carlos a été repris par des mercenaires, travaillant pour le plus offrant, tel Sabri al Banna dit « Abou Nidal », qui effectua des attentats aussi bien pour le compte de la Libye et de la Syrie que d’Israël. Aujourd’hui, il existe une nébuleuse du terrorisme et de l’action secrète impliquant quantité d’États.
En principe, les États dénient toujours leur participation à des groupes terroristes. Toutefois, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré en décembre 2012, lors de la conférence des « Amis de la Syrie » à Marrakech, qu’Al-Nosa, la branche syrienne d’Al-Qaïda, « fait du bon boulot » [10].
Compte tenu de ses fonctions, M. Fabius savait qu’il ne serait pas traduit en justice pour son soutien à une organisation classée comme terroriste par le Conseil de sécurité des Nations unies, mais il prenait un risque grave pour son pays qu’il plongeait ainsi dans le chaudron du terrorisme.
En réalité, la France était impliquée depuis au moins le début 2011 aux côtés d’Al-Qaïda. À l’époque, le Royaume-Uni et la France s’étaient joints au projet US de « Printemps arabe ». Il s’agissait de renverser tous les régimes arabes laïques et de les remplacer par des dictatures des Frères musulmans. Alors que Londres et Paris avaient découvert cette opération en cours de réalisation en Tunisie et en Égypte, ils avaient été préalablement sollicités pour la Libye et la Syrie [11]. En Libye, ils organisèrent avec l’aide des Forces spéciales italiennes les massacres de Benghazi, puis avec l’aide d’Al-Qaïda la prise des arsenaux. Je peux attester qu’en août 2011, alors que j’étais protégé par Khamis el-Kadhafi lorsque l’Otan donnait l’assaut de la capitale, l’hôtel Rixos où nous nous trouvions fut assiégé par une unité d’Al-Qaïda, la Brigade de Tripoli, commandée par Mahdi al-Harati au cri d’« Allah Akbar ! » et encadrée par des officiers français en mission. Le même Mahdi al-Harati fut avec son chef, Abdelhakim Belhaj, le fondateur de la prétendue Armée syrienne libre, en réalité un groupe d’Al-Qaïda portant le drapeau de la colonisation française.
En Syrie, la présence d’officiers français encadrant des groupes armés lorsqu’ils perpétraient des crimes contre l’humanité est largement attestée.
La France a par la suite joué un jeu extrêmement complexe et dangereux. Ainsi, en janvier 2013, c’est-à-dire un mois après le soutien public de Laurent Fabius à Al-Qaïda en Syrie, elle se lançait dans une opération au Mali contre le même Al-Qaïda, provoquant un premier retour de bâton contre ses agents infiltrés en Syrie.
De tout cela, vous n’avez jamais entendu parler. Parce que, bien que la France ait des institutions démocratiques, sa politique actuelle dans le monde arabe n’a jamais été discutée publiquement. Tout au plus s’est-on contenté —en violation de l’article 35 de la Constitution— d’entrer en guerre contre la Libye et contre la Syrie après quelques heures de débats parlementaires superficiels, sans vote. Les parlementaires français ont renoncé à exercer leur mandat de contrôle de l’Exécutif en matière de politique étrangère, pensant qu’il s’agit d’un domaine réservé du président, sans conséquence dans la vie quotidienne. Chacun peut constater au contraire aujourd’hui que la paix et la sécurité, un des quatre « Droits de l’homme et du citoyen » de 1789 (article 2), en dépendent directement. Le pire est à venir.
Au début 2014, lorsque les faucons libéraux US mettaient au point leur plan de transformation de l’Émirat islamique en Irak et au Cham en ce qui allait devenir Daesh, la France et la Turquie acheminèrent des munitions à Al-Qaïda pour qu’il combatte l’ÉI —ce point est attesté par un document présenté au Conseil de sécurité le 14 juillet 2014 [12]—. Pourtant, la France se joignit ultérieurement à cette opération secrète et participa à la Coalition internationale anti-Daesh, dont chacun sait maintenant que contrairement à son nom elle ne bombarda pas Daesh, mais lui largua des armes durant un an [13]. Les choses évoluèrent encore après la signature de l’accord 5+1 avec l’Iran. Les États-Unis se retournèrent subitement sur le terrain contre l’organisation terroriste et la repoussa à Hassaké (Syrie) [14]. Mais ce n’est qu’à la mi-octobre 2015, il y a un mois, que la France recommença à combattre Daesh. Non pas pour stopper ses massacres, mais pour conquérir une partie du territoire qu’il occupe en Syrie et en Irak et y installer un nouvel État colonial qui serait appelé « Kurdistan » même si sa population kurde y sera au départ largement minoritaire [15].
Dans cette perspective, la France a envoyé son porte-avions —qui n’est pas encore sur zone— pour soutenir les Marxistes-Léninistes du parti kurde YPG —mais que signifie cette référence politique lorsque l’on projette de créer un État colonial ?— contre son ancien allié Daesh.
Nous assistons désormais au second retour de bâton. Non pas de la part d’al-Qaïda en Syrie, mais de la part de Daesh en France, sur instructions des alliés inavouables de la France.

Qui dirige Daesh

Daesh est une création artificielle. Ce n’est que l’instrument de la politique de plusieurs États et multinationales.
Ses principales ressources financières sont le pétrole, les drogues afghanes —dont les Français n’ont toujours pas saisi les implications sur leur sol—, et les antiquités levantines. Tout le monde s’accorde à noter que le pétrole volé transite librement par la Turquie avant d’être vendu en Europe occidentale. Compte tenu des quantités, il n’y a pas de doute possible sur le soutien de l’État turc à Daesh [16].
Il y a trois semaines, le porte-parole de l’Armée arabe syrienne révélait que 3 avions, respectivement affrétés par la Turquie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis venaient d’exfiltrer des combattants de Daesh hors de Syrie et de les transporter au Yémen. Là encore, il n’y a donc pas doute possible sur les liens de ces trois États avec Daesh en violation des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité.
J’ai longuement expliqué, depuis la première conférence de Genève en juin 2012, qu’une faction au sein de l’appareil d’État US menait sa propre politique contre celle de la Maison-Blanche. Au départ, ce complot était dirigé par le directeur de la CIA et co-fondateur de Daesh en 2007 (« The Surge ») [17], le général David Petraeus, jusqu’à son arrestation menottes au poignet le lendemain de la réélection de Barack Obama. Puis, ce fut au tour de la secrétaire d’État Hillary Clinton, empêchée de terminer son mandat durant la période de transition présidentielle par un fâcheux « accident ». Enfin, ce combat fut poursuivi par l’ambassadeur Jeffrey Feltman depuis les bureaux de l’Onu et par le général John Allen à la tête de la prétendue Coalition anti-Desh. Ce groupe, partie de l’« État profond » US, qui n’a cessé de s’opposer à l’accord 5+1 avec l’Iran et de combattre la République arabe syrienne, conserve des membres au sein de l’administration Obama. Surtout, il peut compter sur l’aide de sociétés multinationales, dont les budgets sont plus importants que ceux des États, et qui peuvent financer leurs opérations secrètes. C’est le cas notamment du pétrolier Exxon-Mobil (le véritable propriétaire du Qatar), du fonds de placement KKR, et de l’armée privée Academi (ex-Blackwater).
C’est pour le compte de ces États et de ces multinationales que la France est devenue un pays mercenaire.

La France objet de chantage

Le 11 novembre 2015, le Premier ministre, Manuel Valls, assurait que la France était engagée contre le terrorisme [18].
Le 12 novembre, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales —rattaché au ministère de l’Intérieur— publiait un rapport selon lequel le terrorisme était devenu la seconde préoccupation des Français après le chômage [19].
Le matin même du 13 novembre, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, présentait à Nanterre un plan en vingt mesures pour lutter contre le trafic d’armes [20].
À l’évidence, le gouvernement s’attendait au pire, ce qui implique qu’il était en négociation avec ceux qui l’ont attaqué. La France a pris des engagements qu’elle n’a pas tenus et est certainement victime d’un chantage de la part des maîtres qu’elle vient de trahir.
Un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers [21]. Une coïncidence que l’on avait déjà relevé lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres.

Conclusion provisoire

Les gouvernements français successifs ont noué des alliances avec des États dont les valeurs sont à l’opposé de celles de la République. Ils se sont progressivement engagés à livrer des guerres secrètes pour eux, avant de se rétracter. Le président Hollande, son chef d’état-major particulier le général Benoit Puga, son ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et son prédécesseur Alain Juppé font aujourd’hui l’objet d’un chantage dont ils ne pourront sortir qu’en révélant dans quoi ils ont fourvoyé le pays, même si cela les expose à la Haute Cour de Justice.
Le 28 septembre, à la tribune des Nations unies, le président Poutine s’adressant aux États-Unis et à la France s’exclamait : « J’aimerais demander aux responsables de cette situation : "Avez-vous au moins conscience de ce que vous avez fait ?" Mais je crains que cette question ne reste en suspens, parce que ces gens n’ont pas renoncé à leur politique basée sur une confiance exagérée en soi et la conviction de son exceptionnalité et de son impunité » [22]. Ni les États-uniens, ni les Français ne l’ont écouté. Il est maintenant trop tard.
À retenir :
- Le gouvernement français s’est progressivement éloigné de la légalité internationale. Il perpètre des assassinats politiques et encadre des actions terroristes depuis au moins 2011.
- Le gouvernement français a noué des alliances contre nature avec les dictatures pétrolières du Golfe persique. Il travaille avec un groupe de personnalités états-uniennes et de compagnies multinationales pour saboter la politique d’apaisement des présidents Obama et Poutine.
- Le gouvernement français est entré en conflit avec ces alliés peu recommandables. L’un d’entre eux a sponsorisé les attaques de Paris.

[1] « Charlie Hebdo : les révélations de la dernière compagne de Charb », Thibault Raisse, Le Parisien, 18 octobre 2015.
[2] « Selon McClatchy, Mohammed Mehra et les frères Kouachi seraient liés aux services secrets français », Réseau Voltaire, 9 janvier 2015.
[3] « Les armes de Charlie-Hebdo couvertes par le Secret-Défense », Réseau Voltaire, 17 septembre 2015. [4] « Qui a commandité l’attentat contre Charlie Hebdo ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 janvier 2015.
[5] « Charlie Hebdo a bon dos », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 janvier 2015.
[6] « De quoi ont peur les politiques et les journalistes français ? », par Réseau Voltaire, 25 janvier 2015.
[7] Qui est Charlie ? : Sociologie d’une crise religieuse, Emmanuel Todd, Seuil,‎ 5 mai 2015, 252 p.
[8] « 11 mars 2004 à Madrid : était-ce vraiment un attentat islamiste ? », « Attentats de Madrid : l’hypothèse atlantiste », par Mathieu Miquel, Réseau Voltaire, 11 octobre et 6 novembre 2009.
[9] The Siege, Adrian Levy & Cathy Scott-Clark, Penguin, 2013.
[10] « Pression militaire et succès diplomatique pour les rebelles syriens », par Isabelle Maudraud, Le Monde, 13 décembre 2012.
[11] Voir le témoignage de l’ancien président du Conseil constitutionnel Roland Dumas sur LCP.
[12] Lire l’intervention du représentant syrien « Résolution 2165 et débats (aide humanitaire en Syrie) », Réseau Voltaire, 14 juillet 2014.
[13] Ce point est ignoré de la presse occidentale, mais a été largement discuté un an durant par la presse arabe et perse. La vérité a éclaté au grand jour lorsque cinquante analystes du CentCom ont dénoncé les mensonges des rapports sur la Coalition, qu’une enquête interne a été déclenchée et que, finalement, le général John Allen a été contraint à la démission. Voir notamment : « Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone » et « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 12 et 23 septembre 2015.
[14] « La France tente d’entraver le déploiement militaire russe en Syrie », Réseau Voltaire, 6 septembre 2015.
[15] « Les États-Unis et Israël débutent la colonisation du Nord de la Syrie », Réseau Voltaire, 1er novembre 2015.
[16] Pour en savoir plus : « Le rôle de la famille Erdoğan au sein de Daesh », Réseau Voltaire, 26 juillet 2015.
[17] Daesh a été initialement constitué en Irak dans le cadre d’un plan visant à mettre fin à la Résistance à l’occupation états-unienne. Pour ce faire, les USA ont créé des milices anti-chiites —dont l’Émirat islamique en Irak, futur « Daesh »—, puis des milices anti-sunnites. En définitive, les deux groupes de population ont oublié l’armée d’occupation et se sont battus entre eux.
[18] « Valls : la France engagée contre le terrorisme », AFP et Le Figaro, 11 novembre 2015.
[19] « La grande peur du terrorisme », Timothée Boutry, Le Parisien-Aujourd’hui en France, 13 novembre 2015.
[20] « Bernard Cazeneuve présente un plan contre le trafic d’armes », AFP, 13 novembre 2015.
[21] Cf. Intervention du Dr Patrice Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France, sur France Info à 10h26 et au journal du soir de France2, le 14 novembre 2015.
[22] « Discours de Vladimir Poutine à la 70ème Assemblée générale de l’Onu », par Vladimir Poutine, Réseau Voltaire, 28 septembre 2015.
Source : « La République française prise en otage », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 novembre 2015, www.voltairenet.org/article189275.html



"Le management de la terreur" ou la commensalité entre les États et le terrorisme…


Comment les dirigeants des États de l'OTAN cajolent le terrorisme et s'en servent dans leurs situations difficiles… Un art dans lequel Hollande et les socialistes français sont passés maîtres…



Un entretien où est établie l'incontestable responsabilité de l'État socialiste dans les attentats perpétrés ce 13 novembre à Paris et revendiqués par son homologue l'État islamique…

Un entretien avec un spécialiste incontesté de l'observation du "Management qui explique comment dans la pratique, en France "terroristes se revendiquant de l'État islamiste" et "dirigeants politiques d'un l'État socialiste" sont commensaux… Autrement dit, ce qui profite à l'un profite à l'autre.

De ce point de vue-là tout attentat commis en France est infiniment plus "productif" que n'importe quelle action visant directement la Syrie et son peuple… Ainsi immanquablement de nouveaux attentats seront commis en France. Le terrorisme y gagnera toujours un retentissement médiatique sans pareil. Un pouvoir socialiste discrédité et aux abois en saisira l'occasion unique d'un tapage médiatique démagogique pour un appel pervers à une union sacrée contre un prétendu ennemi de la Nation mais hypocritement chéri du pouvoir.

Face à ce constat, la seule problématique est de savoir comment dissocier les intérêts des uns et des autres… La réponse est claire : seul un changement radical de la nature du pouvoir en France permettra la rupture de cette commensalité.



Roger Holeindre : "Mes amis de la France profonde… Compagnons d'armes"










Notre patrie est en danger de mort… parce que des salauds ne cessent depuis des décennies d’empêcher les plaies de notre histoire nationale de se refermer.

Mettant le racisme à toutes les sauces, des bonimenteurs de foire stipendiés, l’accusent à longueur de mois… et d’années… de tout… et de rien… mais surtout du PIRE.

Non contents d’avoir supprimé le service militaire, outil indispensable à l’assimilation et à la cohésion nationale, ils ont… obéissant à l’on ne sait quels lobbies… ouvert les frontières… permis l’immigration-invasion… pour aujourd’hui décréter que nous serions obligés d’accueillir toute la misère de la terre.

Le fait, pour un grand nombre de citoyens, de prôner la préférence nationale a permis à des individus… qui ont confisqué les médias au seul profit de leurs idéologies fumeuses et destructrices… d’abrutir notre peuple par une propagande antifrançaise… anti-blancs et antichrétienne… et ce, 24 heures sur 24, tout au long de l’année.

Du jour au lendemain, cette revendication légitime est devenue “raciste”… puis un “véritable crime”, punie d’une peine de prison grâce à une loi, “dite Gayssot”, mise en place par un… communiste stalinien. On croit rêver !

Au nom des soi-disant “droits de l’homme”… ils truquent… ils façonnent… ils charcutent à leur manière nos lois… nos coutumes… nos traditions… nos croyances religieuses… oubliant tout simplement que “ces droits”… sont… non pas de l’Homme… mais de l’Homme et du Citoyen”, c’est-à-dire que les individus ont droit, d’après l’ONU, à un certain nombre de garanties… travail… logement… soins… sécurité… mais, pour un Français en France… pour un Anglais en Angleterre… pour un Papou en Papouasie… pour un Syrien en Syrie. C’est-à-dire, pour un “non citoyen” RIEN, à part chez lui, dans son pays. Sinon… peut-être… la charité chrétienne, qui est estimable, mais qui ne donne pas de droits civiques.

Ce qui m’intéresse, moi… ce sont les étrangers entrés en France légalement… qui aiment la France, et qui, devenus Français, ont également droit à la préférence nationale.

Quand j’ai été élu député dans la 11e circonscription de Seine-Saint-Denis (Sevran, Villepinte, Tremblay), ces villes comptaient déjà un très important nombre d’immigrés… Et que disait mon programme électoral ? Ceci…

— Je ne suis ni raciste ni xénophobe,

— Je suis pour la France et les Français d’abord !

— Je suis le candidat de la France française pour tous les Français !

— Pour moi peu importe la race ou la religion.

Ma France à moi, c’est un pays où l’on est :

Français avant d’être catholique !

Français avant d’être juif !

Français avant d’être musulman ! etc… etc.

Ma France à moi, c’est un pays où la priorité pour l’emploi, le logement, les soins, les aides sociales, les crèches doivent être réservés en priorité absolue aux Français !

Ma France à moi, c’est un pays où la jeunesse doit apprendre dès l’école ce qu’est notre pays, d’où il vient, pourquoi il faut le défendre, le préserver, car la France est, et doit rester NOTRE PATRIE, dans laquelle nous avons, en priorité, des DEVOIRS pour en mériter les DROITS.

Ma France à moi, c’est un pays où les jeunes, garçons ou filles, qui désirent acquérir un bon métier entreront en apprentissage à 14 ans.

Ma France à moi, c’est un pays où la police pourra faire son travail en paix dans le respect et l’application stricte de la loi qui doit être la même pour tous !

Ma France à moi, c’est un pays où n’existeront plus des enclaves étrangères interdites à la police… aux impôts… à la loi républicaine… peuplées bien souvent de gens ayant la double nationalité, et qui ne font rien pour s’assimiler.

Ma France à moi, c’est un pays où les anciens seront respectés, protégés, soignés et assurés d’une vieillesse heureuse et digne.

Ma France à moi, c’est un pays où la télévision et tous les médias exalteront l’amour du travail bien fait… le respect de la patrie… et non pas le vice… la violence… le dénigrement continu et systématique… et la falsification de notre Histoire !

Tout cela était clair ! net ! précis ! Et m’avait amené à la Chambre des députés, où je me suis battu, bec et ongles, avec tout notre groupe, pour le respect des valeurs de la France… et non pas de… leurs valeurs républicaines qui ne signifient absolument RIEN… car il n’y a qu’une France… alors qu’il y a déjà eu … cinq Républiques.

J’ACCUSE tous les gouvernements, de droite comme de gauche, d’avoir amené au pouvoir… des voyous… dont les socialistes actuels sont l’apothéose dans le reniement, la déloyauté et le non respect de NOTRE NATION DEUX FOIS MILLENAIRE.

J’ACCUSE… l’Armée Rouge de l’Éducation nationale (même si elle se pose des questions aujourd’hui)… d’avoir fait des gosses de France des apatrides, dont certains en arrivent même à se convertir à l’Islam… pour partir faire le Djihad, et combattre la France… à qui ils doivent tout.

J’ACCUSE les syndicats ouvriers de ne jamais avoir compris que, dans la “guerre économique mondiale” à laquelle nous sommes confrontés… il y a le mot “guerre”, et que cette dernière, comme la classique, on ne risque pas de la gagner si l’on ne la fait pas avec un grand patriotisme et un sens aigu de la NATION, donc obligatoirement… un nationalisme… non belliqueux… mais ardent.

J’ACCUSE ces mêmes meneurs syndicaux, dont les “boutiques” tournent davantage avec l’argent des contribuables, qu’avec celui des cotisations des adhérents, de moins en moins nombreux.

Je les invite aussi à réfléchir à l’excellent proverbe chinois disant… « Quand les gros sont maigres, les maigres sont morts ! »

Nous en sommes arrivés aujourd’hui à l’heure du bourrage de crâne institutionnalisé… à la falsification totale de notre Histoire… où le mouchardage… la dénonciation de ses voisins… ou de ses adversaires politiques… sont prônés… et présentés comme nécessaires pour sauvegarder les valeurs républicaines. QUELLE HONTE !

M. Goebbels et la Propagandastaffel ont fait des émules chez nous et ces fourriers de guerre civile se servent des médias en deux temps…

Le premier, consiste à charger la barque en annonçant “tels des moulins à prières lancinants”…

— Que tout va mal en France.

— Que nous ne sommes que des racistes, des exploiteurs ne rêvant toujours que de rapines et d’exploitation des gens de couleur.

— Que chez nous la vie est impossible à vivre… pour les noirs… les jaunes… les musulmans… les juifs… les homos… les handicapés, etc…

Mais surtout, que nous comptons…

— Plus de cinq millions de chômeurs.

— Des milliers d’étudiants à la recherche d’un studio simplement décent.

— Des centaines de milliers d’affamés (sic)… faisant la queue devant les Restaurants du cœur.

— Des milliers de SDF qui dorment dans la rue ou dans leur voiture.

— Des milliers de paysans, à deux doigts de la faillite, ne disposant pour les plus vieux, et surtout leur épouse, que d’une retraite dérisoire et même insultante.

Cette litanie, je le répète… quotidienne… n’est en fait… que l‘abrutissement voulu d’un peuple que l’on veut déposséder… de ses droits… de son sol… de sa culture… de sa religion… de son passé… pour en arriver à la deuxième partie du programme… celle du “grand changement de peuple”…. Dont ces messieurs… qui l’organisent… osent se gausser des patriotes qui, avec juste raison, le dénoncent et appellent à le combattre.

Les Français, dont le maréchal Pétain disait…“qu’ils avaient la mémoire courte”… oublient que ce sont les hommes appartenant à la même chienlit antinationale… qui prônaient… qui exigeaient… la décolonisation ultra rapide des pays de l’Empire, faisant toujours exprès, pour les besoins de leur cause, (à l’exemple des bolchéviques de Russie ou d’ailleurs) de toujours confondre colonisation et colonialisme, alors que c’est la COLONISATION qui a stoppé net… l’ESCLAVAGE.

On sait ce que sont devenus ces nouveaux États que nous étions en train de bâtir, mais qui, pour la grande majorité, n’étaient pas prêts pour l’indépendance totale.

M. Césaire, le chantre de la négritude, si souvent cité par les ennemis de la France (quand cela les arrange), expliqua lui-même… De Gaulle a donné l’indépendance à des pays qui, pour la plupart, ne l’attendaient pas si rapidement, et étaient prêts à rester encore quelques années aux côtés de la France pour terminer de construire des pays viables, capables de savoir et de comprendre la bonne marche des États modernes, sortant difficilement… très difficilement… du carcan tribal qui les engluait et les englue toujours.

Rapidement, bien sûr, les élites, les bourgeois, les instruits, devant la gabegie, la terreur, la corruption, les dictatures, n’eurent qu’une idée en tête, rejoindre le sol de l’infâme France “raciste”… “exploiteuse”… “marâtre, etc.

Pour la même clique anti-française de métropole… c’était normal qu’ils viennent alors chez nous… puisque, si rien n’allait plus normalement dans ces pays enfin libres… tout ne pouvait être que de notre faute, car comme le disait encore récemment un cinéaste franco-Algérien… « En Algérie et dans les colonies… les Français se sont goinfrés » (sic).

Personne n’a demandé à ce monsieur… pourquoi, si au temps de la présence française… des gens pouvaient se “goinfrer”… il n’en était plus de même, après qu’ils aient été “libérés”… “débarrassés des crapules colonialistes” qui les exploitaient ?

Tout ceci est un grand mystère qu’il faudra bien tenter d’expliquer un jour.

Résultat, c’est que notre prétendue conduite… infâme, exploiteuse et esclavagiste… ne nous donnait qu’un seul droit notoire… Expier nos fautes… et nous repentir… avec, bien sûr,… une obligation à titre de réparation… Accueillir chez nous (les infâmes exploiteurs)… toute la misère qui s’installa après notre départ… tout cela, grâce à l’arrivée au pouvoir d’individus aux idéaux folkloriques, dont le socialisme scientifique (sic) glanés à Moscou ou dans les républiques populaires… instaurant de simili États qui… presque tous… sombrèrent dans des dictatures sanglantes… une gabegie délirante… un pillage des ressources… minières… agricoles… forestières… toujours dans un bain de sang. Cette époque vit aussi la destruction de la faune que les Européens avaient protégée du temps de la colonisation.

Faut-il donc répéter… une fois encore… une fois de plus… qu’au départ de tous les colonisateurs blancs… il restait en Afrique… un million cinq cent mille éléphants… Bagatelle… n’est-ce-pas ?

Puis, arriva le deuxième temps. Celui de la destruction des Nations d’Occident et de la chrétienté…et, sous la houlette dictatoriale des USA, le grand charcutage du monde arabo-musulman.

Mais pourtant, derrière de belles promesses suscitées par l’arrivée au pouvoir de M. Obama… les choses empirèrent… car ce premier président noir des USA, n’avait en fait que les mêmes possibilités d’actions que ses prédécesseurs. Ces lobbies, dirigeant en fait le pays de l’Oncle Sam (le juif… et le militaro-industriel)… étant toujours en place, alignaient presque en totalité la politique étrangère US sur celle de Tel Aviv… (même si les choses semblent bouger un peu actuellement).

Deux guerres, basées uniquement sur des mensonges, furent faites à Saddam Hussein qui pourtant, avec Afez el-Assad en Syrie, était affilié au parti Baass, qui prônait une certaine laïcité… et le respect des autres minorités religieuses.

C’est à travers les “printemps arabes” que les meneurs du jeu, à la puissance financière colossale… et aux moyens de propagande d’une exceptionnelle ampleur … réussirent à imposer au monde l’idée que… la paix… la joie… le bien-être… le mieux vivre… et la liberté… à travers la démocratie… allaient enfin régner sur le monde arabe.

Il suffisait d’oublier, pour commencer, que les USA avaient tout fait pour faciliter la tache des musulmans dans les pays de l’Europe centrale.

Il fallait aussi ne pas tenir compte du fait, aberrant, que les deux pays arabes les plus proches des occidentaux, et disposant d’un incommensurable stock de pétrodollars… l’Arabie saoudite et le Qatar n’avaient pas les mêmes alliés dans toute la région, et que la haine ancestrale entre Sunnites et Chiites… était… depuis toujours… et resterait à jamais… la ligne politique dont devait tenir compte les “charcuteurs” du Proche et Moyen Orient.

Ce fut en fait le non respect de ces réalités et la politique des “gros sabots US” toujourstrop alignée sur celle de Tel Aviv… qui amenèrent pour le monde arabe et l’Occident dans sa totalité, la situation actuelle qui n’est en rien une guerre civile… mais déjà les prémices d’une… troisième guerre mondiale !

Et cette guerre, il faudrait quand même que ceux qui prétendent diriger la France, sachent qu’elle sera… pour la première fois au monde, totale !

En effet, la dernière décennie a vu se mettre en place…

— des états terroristes très puissants, disposant d’un pactole financier incalculable, de tous les attributs diplomatiques et les facilités afférentes,

— des armements sophistiqués que plus personne ne contrôle.

— Dans tous les pays du monde, des masses humaines inassimilées… endoctrinées… et prêtes à passer à l’action contre leur pays d’accueil.

— Des armées dites “nationales” ou les “islamistes” sont un danger permanent de désobéissance et d’attentats.

Il ne s’agit donc pas que M. Hollande, après avoir revêtu sa tenue de Commandant en chef des armées… dans laquelle… il n’a jamais paru si grand ! (sic les médias), envoie en mission le Charles de Gaulle.

Il ne s’agit pas que M. Valls se déguise lui… en Républicain espagnol bon teint, alors que son père était, à l’époque, le directeur du plus grand journal catholique espagnol… qu’il “gueule” des accusations soi-disant républicaines, en, prenant des allures de Benito.

Un seul fait existe, ces messieurs ont déclaré la guerre à l’État Islamique !

Alors, cette guerre… il faut la faire !

Pour cela, il faut tout d’abord fermer les frontières et les contrôler avec la plus grande rigueur.

Stopper immédiatement l’invasion actuelle qui dissimule l’arrivée d’islamistes

Il faut définir, une fois pour toute, ce qu’est et ce que doit faire un citoyen français. Et, je le répète, la race et la couleur n’ont rien à voir dans cette affaire.

Il faut immédiatement mettre en place un service civique militarisé, de six mois minimum, pour apprendre aux jeunes de notre pays ce que l’Éducation nationale ne leur a pas enseigné.

Il faut en fait, faire l’exact contraire de ce que prônent cette gauche vérolée, et son avant-garde écologique… C'est-à-dire, le contraire de ce que prône Charlie et les dégénérés survivants de Mai 68, qui, n’écoutant que leur courage (qui ne leur disait pas grand-chose)… se sont empressés de fuir et de se prosterner devant les tueurs depuis les attentats sanglants… se contentant aujourd’hui, en guise de “culture”, de ne plus attaquer que la religion catholique, Jésus, la Sainte Vierge… et notre pape… infâme scatologie.

Oui… mes frères d’armes… il est temps que tout cela cesse… Il est temps que la France se mobilise et chasse cette chienlit maléfique.

Que Dieu nous aide !

Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants


Source - « Être et Durer », organe du CNC : « Notre patrie est en danger de mort… »



Adresse à la jeunesse : Roger Holeindre dénonce les mensonges de l'histoire officielle