Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 20 avril 2012

samedi 14 avril 2012

Nicolas Sarkozy aux abois… il s'humilie : "le massacre des Harkis, c'est la faute à la France"


Si comme le prétend Aristophane « là où l’on est bien, là est la Patrie »… cette Patrie n’est certainement pas la France… Si « ma Patrie est la terre de mes Aïeux »… cette Patrie n’est assurément pas la France…



Pauvre Nicolas Sarkozy, aux abois… qui à présent vient lécher le cul des Harkis et faire repentance… Belle humiliation… Une revanche qui certainement ne suffira pas… Imaginez : il a officiellement reconnu ce samedi à Perpignan la "responsabilité historique" de la France dans "l'abandon" des harkis après la fin des évènements  d'Algérie en 1962 !!!

Chacun jugera que la sincérité du personnage… N'a-t-il pas affirmé et réaffirmé l'autre jour dans  "Des Paroles et des Actes" : “faire campagne c’est dire la vérité” [sic !]. De qui se moque-t-il ? Mensonge et rouerie sont-ils à ce point ancrés dans le personnage ? … Comme chez tout fidèle gaulliste !

Nicolas Sarkozy oublie-t-il que pour tous les massacrés d'Algérie et leurs familles victimes de la lâcheté et de la compromission des séides du gaullisme, pour toute la diaspora des exilés d'Algérie, toutes origines et confessions confondues, tout gaulliste ne peut être qu'un banal adversaire politique mais restera à jamais un ennemi de sang… Ce que nous voulons c'est l'extinction définitive des gaullistes, de tout mouvement gaulliste, du souvenir du gaullisme… Que la Constitution française bannisse et criminalise toute référence à l'infâme criminel compulsif DeGaulle ! 

Pas de pardon !

… Si comme le prétend Aristophane « là où l’on est bien, là est la Patrie »… cette Patrie n’est certainement pas la France… Si « ma Patrie est la terre de mes Aïeux »… cette Patrie n’est assurément pas la France… Qu'il est vain, dérisoire, humiliant, imbécile de quémander un quelconque oubli d'exilés obstinément orphelins… Pas de pardon !

Écouter : Roger Holeindre - Jean-Pax Méfret : Brahim… où es-tu mon vieux frère ? où es-tu vieux Brahim ?