Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 17 juin 2014

L'Algérie aime le foot… ce soir ce sera la fête… en Belgique et partout en France…




Le tirage au sort n'a pas fait que la France et l'Algérie se rencontrent en match de poule lors de cette Coupe du monde… Cet avantage échoit à la Belgique… Effet de proximité, population de supporters nombreuse tant en Belgique qu'en France… Gageons qu'ils sauront se faire entendre… Pour manifester partout leur joie… ou leur désespoir…




À Roubaix, son maire Guillaume Delbar (UMP-UDI) ne semble pas décidé à prendre part à la fête, ni même à l'autoriser en sa bonne ville… Aussi aurait-il décidé d'interdire à partir de 18 heures ce mardi 17 juin le stationnement sur la Grand'place ainsi que la circulation dans plusieurs rues de l'hypercentre, en prévision de ce match Belgique-Algérie… Les commerçants du centre de Roubaix auraient ainsi reçu une lettre de la Mairie les informant de l'arrêté municipal.

En dépit de cet arrêté et face à la crainte d'expressions trop chaudes en marge de ce match de football, des CRS auraient même été appelés en renfort dans la ville. La police nationale aurait pour mission d'empêcher la circulation Grand'Place, Grand'Rue (jusqu'à la rue du Collège), rue Jean-Monnet, Place de la Liberté et sur le boulevard Leclerc, de l'Eurotéléport au rond-point de l'Europe…

Et ailleurs, en Belgique ou en France, de quelles démonstrations de joie ou de déception, les aficionados algériens gratifieront leur espace urbain ? À Marseille, Jean-Claude Gaudin pour égayer les cortèges a déjà fait distribuer de jolis ticheurtes aux joyeux fêtards… À Paris, ce n'est certainement pas Anne Hidalgo qui aura pris la moindre mesure d'empêchement à la fête algérienne…

La fête algérienne… La fête du football algérien… Et Bouteflika de son fauteuil roulant d’applaudir : Bravo, le foot algérien… que l’Algérie soit magnifiquement représentée à Rio…




Mais ce football algérien n’est-il pas aussi et certainement davantage un football français ? Une délégation officiellement algérienne, mais estampillée made in France Une sélection de 23 joueurs, avec parmi eux pas moins de 16 joueurs formés en France… De quoi aligner une équipe entière avec ses remplaçants pour l’un des matchs officiels de ce Mondial… Et pas sûr que les sept autres aient vraiment été formés en Algérie…

Jadis les clubs algériens ont eu de très grands joueurs… dont le plus grand joueur algérien du 20e siècle : Hacène Lalmas… Hacène Lalmas formé à l’OM Ruisseau de 1960 à 1962, alors que l’Algérie était encore province française… Si Hacène Lalmas n’a jamais été autorisé à quitter l’Algérie et reste relativement méconnu en France, d’autres sont entrés dans la mémoire de tous les Français et leur prouesses ont sans doute été contées aux plus jeunes… Citons Mustapha Zitouni, Rachid Mekhloufi, Kader Firoud, puis Rabah Madjer, Lakhdar Belloumi, Mustapha Dahleb, Salah Assad sans oublier Ahmed Oudjani, Mahi Khennane et Abderrahmane Boubekeur, les héros du match contre l'Allemagne en 1982 au Mondial d’Espagne… …


Le seul Français contemporain universellement connu, au même titre que Zinedine Zidane, le prestige de la 1ère League anglaise oblige…
Samir Nasri, incontestablement le meilleur joueur français du moment,

et bien sûr le meilleur joueur d’origine algérienne de sa génération…


Mais au fil des années, l’éducation reçue du temps de la France s’estompant, le football algérien connaît un profond déclin… Cette terre d’Algérie qui jadis a exporté des joueurs parmi les meilleurs de leurs générations est contrainte d’importer de France des joueurs d’origine algérienne, nécessairement pas du meilleur niveau, les championnats étrangers étant bien plus attractifs que le championnat algérien devenu bien modeste… Ainsi l’équipe officielle d’Algérie elle-même est contrainte d’importer ses joueurs… Peut-être pas toujours les meilleurs… Les meilleurs ont choisi une autre nationalité ou sont nés sous une autre nationalité, le plus souvent française… Tel Samir Nasri, sans aucun doute le meilleur joueur français actuel et bien sûr le meilleur joueur d’origine algérienne de sa génération…

L'équipe d'Algérie serait-elle donc comme une seconde équipe de France ?… Sans ambigüité, cela est une réalité pour nombre de Français… Et l’on comprend du même coup les manifestations enthousiastes des aficionados algériens sur les Champs Élysées, comme partout ailleurs en France, Toulouse, Marseille, Roubaix…

Et durant tout ce Mondial, chaque lendemain de match, toute la droite inféodée et manipulée par le sionisme, la Marine et ses acolytes en proue, pètera son ramdam… pour la plus grande joie d'Israël…


L'Algérie à Rio !… À Paris et dans toute la France ce sera chaud en juin 2014…

Islamophobie : le piège sioniste…




lundi 16 juin 2014

"Un Pèlerin d'Angkor"… Retour vers 1901, laissons Pierre Loti nous guider…


Pierre Loti : Un Pèlerin d'Angkor,
Henri Cyral, éditeur à Paris - images signées de F. de Marliave - 1929


… Et puis, habitués comme nous l’étions à la laideur des filles de l’Annam, qui n’y voient qu’entre des paupières bridées, par deux petits trous obliques, combien cela nous change et nous repose d’arriver au milieu d’une population qui ouvre ses yeux à peu près comme les nôtres !
Et nous mettons pied à terre – au Siam. … …

… Voici où furent des palais, voici où vécurent des rois prodigieusement fastueux, - de qui l'on ne sait plus rien, qui ont passé à l'oubli sans laisser même un nom gravé sur une pierre ou dans une mémoire. Ce sont des constructions humaines, ces hauts rochers qui, maintenant, font corps avec la forêt et que des milliers de racines enveloppent, étreignent comme des pieuvres.
Car il y a un entêtement de destruction même chez les plantes. Le Prince de la Mort, que les Brahmes appellent Shiva, celui qui a suscité à chaque bête l'ennemi spécial qui la mange, à chaque créature ses microbes rongeurs, semble avoir prévu, depuis la nuit des origines, que les hommes tenteraient de se prolonger un peu en construisant des choses durables ; alors, pour anéantir leur œuvre, il a imaginé, entre mille autres agents destructeurs, les pariétaires, et surtout ce "figuier de ruines" auquel rien ne résiste.
C'est le "figuier de ruines" qui règne aujourd'hui en maître sur Angkor. Au-dessus du palais, au-dessus des temples qu'il a patiemment désagrégés, partout il déploie en triomphe son pâle branchage lisse, aux mouchetures de serpent, et son large dôme de feuilles. Il n'était d'abord qu'une petite graine, semée par le vent sur une frise ou au sommet d'une tour. Mais, dès qu'il a pu germer, ses racines, comme des filaments ténus, se sont insinuées entre les pierres pour descendre, guidées par un instinct sûr, vers le sol, et, quand enfin elles l'ont rencontré, vite elles se sont gonflées de suc nourricier, jusqu'à devenir énormes, disjoignant, déséquilibrant tout, ouvrant de haut en bas les épaisses murailles ; alors, sans recours, l'édifice a été perdu.
La forêt, toujours la forêt, et toujours son ombre, son oppression souveraine. On la sent hostile, meurtrière… …
… … … …
… … … …
Déjà l’ombre envahit au-dessous de moi la masse architecturale, que je regarde comme à vol d’oiseau, et aussi toute l’étendue de la forêt enveloppante où bientôt vont s’ouvrir, innombrables, les yeux des bêtes nocturnes. Seules, deux tours, qui se dressent là dans mon voisinage, resplendissent encore comme des braises vives ; les rayons rouges éclairent en apothéose leur architecture inconnue, qui n’est ni hindoue ni chinoise, qui ne ressemble à celle d’aucun autre pays de la terre ; si les ornements des murailles, les rinceaux et les feuillages rappelaient notre Renaissance européenne, ces tours, au contraire, sont d’une étrangeté frappante : conception d’une race à part qui a jeté un vif éclat dans ce coin du monde, et puis qui a disparu sans retour. On dirait un peu des gerbes de tuyaux d’orgue au-dessus desquels on aurait posé, par rangs de taille, des couronnes à fleurons ; il s’y mêle aussi des Apsâras, des dieux très bizarrement nimbés, des groupes de monstres. Dans le ciel, qui déjà change et tourne aux grisailles crépusculaires, tout cela reste éclatant pour quelques secondes encore : c’est du métal rougi au feu, ce sont les tours brûlantes d’on ne sait quel palais magique…

Jadis, à la place de cette mer de verdure, silencieuse à mes pieds, la ville d’Angkor-Thôm (Angkor-la-Grande) s’étendait au loin dans la plaine ; il suffirait d’élaguer les branches touffues pour voir encore là-dessous reparaître des murailles, des terrasses, des temples, et se développer les longues avenues dallées que bordaient tant de divinités, de serpents à sept têtes, de clochetons, de balustres, effondrés aujourd’hui dans la brousse. La forêt profonde, la voilà redevenue ce qu’elle avait été depuis le commencement des âges, pendant des siècles incalculables ; on n’y reconnaît plus l’œuvre de ces aventuriers hindous qui, environ trois cents ans avant notre ère, étaient venus y jeter la cognée, y déblayer l’espace d’une ville de près d’un million d’âmes ; non, cela n’a duré qu’un millénaire et demi, cet épisode de l’empire des Khmers, autant dire une bien négligeable période, en comparaison des longévités du règne végétal ; et c’est fini, la cicatrice s’est refermée, il n’y paraît rien ; le figuier des ruines étale partout ses dômes de feuilles vertes.

De nos jours, il est vrai, d’autres aventuriers, venus d’un pays plus à l’Occident (le pays de France), troublent quelque peu la forêt éternelle, car ils ont fondé non loin d’ici un semblant de petit empire. Mais ce nouvel épisode manquera de grandeur, et surtout manquera de durée ; bientôt, lorsque ces pâles conquérants auront laissé encore, dans la terre indo-chinoise, beaucoup des leurs – hélas ! beaucoup de pauvres jeunes soldats irresponsables de l’absurde équipée – ils devront plier bagage et fuir ; alors on ne verra plus guère dans cette région errer, comme je le fais, ces hommes de race blanche qui convoitent si follement de régir l’immémoriale Asie et d’y déranger toutes choses… … …



Pierre Loti, de l'Académie Française : Un Pèlerin d'Angkor, 1913

Pierre Loti : « Un pèlerin d'Angkor »  [L'ouvrage de Pierre Loti est ici reproduit dans son intégralité (navigation chapitre par chapitre)]

Biographie de Pierre Loti

Conférence présentée par Christophe Pottier à l'EFEO, Paris (23 juin 2014) : Cartographie, télédétection et Lidar

Chercheurs d'Asie : répertoire biographique des membres scientifiques de l'École française d'Extrême-Orient

René Guychard, témoin et acteur de la mise en scène coloniale

Chronologie de l'expédition de Malraux au Cambodge

Angkor - Banteay Srei :  "L’affaire Malraux″



dimanche 15 juin 2014

Les Petits Chanteurs à la Croix de Bois iront à Autun…
















La rentrée prochaine, les établissements scolaires catholiques de la ville d'Autun accueilleront en internat les Petits Chanteurs à la Croix de Bois.


De Briennon-sur-Armançon à Autun…


Le tribunal de grande instance de Sens et sa présidente Anne-Laure Ménestrier a tranché : la gestion de la manécanterie des Petits Chanteurs à la Croix de Bois, en redressement judiciaire depuis septembre 2013, est cédée à compter du 1er août 2014 à la Maîtrise de la cathédrale d’Autun. Le délibéré a été rendu hier à 16 h, suite à l’audience du 13 juin dernier entre les différents projets de reprise.

La pérennité du montage du projet autunois a fait la différence. Le tribunal a en effet estimé que la Maîtrise de la cathédrale d’Autun « présente toutes les garanties tant au niveau pédagogique et artistique qu’au niveau financier ».

3 points positifs sur 4

Le tribunal a en effet comparé les offres de reprises sur quatre volets.

Sur l’aspect pédagogique et artistique, le tribunal a jugé que le projet porté par l’école Saint-Sulpice de Paris n’offrait « pas de véritable projet pédagogique et artistique » et plaçait le dossier autunois sur le même plan que le 3e projet de reprise, celui du Renouveau des Petits Chanteurs, une solution s’appuyant sur une volonté locale de maintenir la manécanterie dans le château de Briennon-sur-Armançon, dans l’Yonne où sa gestion est devenue déficiente.

Sur le volet social, le tribunal écartait là-aussi le projet de l’école Saint-Sulpice, le moins favorable quant aux engagements de reprise du personnel de la manécanterie, le projet autunois étant même un peu plus favorable à celui du Renouveau (13 reprises de postes sur 14 contre 9).

Un projet moins gourmand en charges

Le montage financier du projet du Renouveau a par contre dissuadé très fortement le tribunal ; basé essentiellement sur l’emprunt, il est, en l’absence de fonds propres, fragile car extrêmement dépendant des aléas économiques. Le tribunal a souligné « la solidité financière » des deux autres projets, et leurs structures d’accueil non génératrices de charges car déjà existantes depuis longtemps.

Enfin, sur le prix de cession, le tribunal expose que l’offre de l’école Saint-Sulpice était la plus intéressante, avec ses 350 000 euros, contre 220 000 à la Maîtrise de la cathédrale d’Autun et les 30 000 euros du projet du Renouveau. Mais ce critère était compensé dans le projet autunois par le fort engagement sur le volet social.

Désormais le plus célèbre chœur d’enfants au monde, qui a un contrat en cours d’une tournée en Corée jusqu’en 2015, va apporter une notoriété particulière à la ville d’Autun.

Une journée d’accueil est déjà prévue pour les parents des petits chanteurs, ainsi qu’une journée de recrutement avec audition, le samedi 28 juin. Inscription : maitrise.autun. secretariat@gmail.co

NOSTALGIE



samedi 14 juin 2014

Architecture traditionnelle laotienne à Roubaix… le wat Lao Bouddha Viharn a été inauguré…






Bienvenue à la première pagode bouddhiste d'architecture traditionnelle de Roubaix…


Ayant fui en 1975 les horreurs du communisme, la communauté laotienne nombreuse à Roubaix a enfin un temple pour exercer son culte. Le wat Lao Bouddha Viharn a été construit selon l'architecture traditionnelle des temples du Laos. Elle a ouvert officiellement ses portes ce 14 juin.

Une ouverture saluée il y a quelques jours par Mgr Ulrich. L'archevêque avait le 28 mai dernier honoré la comunauté laotienne de sa présence, tout en choisissant volontairement de s’effacer pour mieux découvrir, écouter, et partager avec l’association bouddhiste Lao et le vénérable de la communauté Phra Upali Methijarn Chanthy Chanthavangso, arrivé il y a quelques mois à Roubaix.

Ainsi Roubaix compte aujourd'hui cinq temples bouddhistes, un pour chaque communauté - laotienne, thaïlandaise, cambodgienne, vietnamienne et lao-thaï. Elles rassemblent 1 200 fidèles. Le nouveau temple laotien est le seul construit selon une architecture traditionnelle.

Association pour le développement Artistique et Culturel Lao
Association Bouddhiste Lao du Nord de la France


WAT LAO BOUDDHA VIHARN

Le blog photo de la Pagode Lao de Roubaix

Dans les pas d’un moine bouddhiste à Roubaix

LES PAGODES DE ROUBAIX : le site Web des 4 Nations

Roubaix: La pagode laotienne honorée par la visite de l’archevêque de Lille





jeudi 12 juin 2014

Innocences nord-coréennes…








Музыка КНДР - Musique de la République démocratique populaire de Corée

ANStasyuk

Louis-Alexander : un garçon rebelle, un formidable exemple…


mercredi 11 juin 2014

Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front national, rappelle ses devoirs à une Marine dévoyée


Au delà de ses faiblesses passées de père et de sa douleur présente, Jean-Marie Le Pen s’engage avec courage et détermination dans le sauvetage d’un Front national envahi par les rats : Aliot, Collard, Philippot… viles complices des sycophantes de la bienpensance…
Honneur à Jean-Marie Le Pen !!!




Lettre ouverte de Jean-Marie LE PEN,
président d’honneur du Front national
à
Marine LE PEN,
présidente du Front National


            
       Le Président d’honneur
Madame Marine LE PEN
Présidente du Front National
8 parc de Montretout
92210 Saint-Cloud

Si tu peux supporter d’entendre des paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles...
Tu seras un homme mon fils !
C’estla vérité qui vous rendra libres !
               Saint-Cloud, le 11 juin 2014
Madame la Présidente,
Après m’avoir accusé, sans m’entendre, d’avoir commis une « faute politique », vous faites supprimer, sans m’en avertir, du site officiel du Front National, le « Journal de bord » que je publie depuis 366 semaines sans incident notable.
Je ne peux accepter cette injustice supplémentaire qui suit d’ailleurs la campagne médiatique diffamatoire déclenchée par les sycophantes, chiens de chasse de l’antisémitisme, pour l’emploi du mot « fournée ».
Cette dénonciation de mes propos est, hélas, banale et n’aurait pas pris d’ampleur, en cette fête de la Pentecôte où l’Esprit-Saint descendait sur la tête des apôtres, sous la forme de langues de feu, si cette calomnie odieuse n’avait été accréditée par les commentaires maladroits d’un responsable FN et celui d’un Député, qui n’est pas membre du Front National, tout en lui devant son élection, mais surtout par votre condamnation d’une « faute politique ».
Je suis victime d’une interprétation malveillante et diffamatoire qui a été faite par des ennemis politiques ou des « idiots utiles ».
S’il y a eu « faute politique », ce n’est pas de mon fait, mais celui de « responsables » du Front National qui l’ont accréditée par leurs déclarations.
Vous me faites grief de n’avoir pas anticipé les éventuelles attaques dont je pouvais être l’objet, autrement dit, de ne pas m’être appliqué, une censure préalable volontaire comme dans les pays totalitaires.
Mais vous-même, n’avez-vous pas été mise en cause par votre déclaration sur « l’occupation » de rues par des fidèles musulmans  ou encore par votre présence à Vienne, à un bal, réputé « nazi » par nos ennemis ?
Vous estimez-vous donc fondée à sanctionner le fondateur et Président d’honneur du Front National, en outre, Député européen depuis 30 ans et brillamment réélu avec quatre colistiers ?
Cependant, tout ceci est insignifiant par rapport à l’avenir de notre mouvement, de ses dizaines de milliers d’adhérents et de ses millions d’électeurs.
Insignifiant aussi par rapport à l’avenir de notre France gravement menacée par une décadence générale, par une immigration massive qui va s’aggraver dans les mois qui viennent, par l’insécurité, le chômage, les déficits budgétaires et sociaux, la crise de l’éducation…
Seul le Front National est capable d’enrayer cette marche aux abîmes et de redresser la situation. C’est sa mission sacrée et c’est elle qui doit vous préoccuper essentiellement.
Cela dit, je ne puis accepter une sanction injuste qui prive, de surcroît, des milliers de Français, ici et dans le monde, du message politique de mon Journal de bord.
Au reste, accepter en silence d’être victime d’une injustice, c’est s’en rendre complice.
Je ne fais que demander justice, en appelant à votre autorité, la simple réparation d’un dommage injustifié.
Dès lors, je considérerai dans l’intérêt commun que l’incident est clos.
Je vous prie, Madame la Présidente, d’accepter les devoirs que je vous présente.
Jean-Marie LE PEN

mardi 10 juin 2014

Barbecue chez les bleu-marine… La Marine allume une fournée : ouste papa Le Pen !


La faute politique c'est de hurler de concert avec  le totalitarisme de la pensée unique.



« Un Front national gentil, ça n'intéresse personne »
Jean-Marie Le Pen,
président d'honneur (inamovible) du Front national

Pourquoi vouloir dupliquer UMP, PS, UDI… si ce n'est que pour servir les intérêts strictement électoraux d'ectoplasmes aussi ambitieux que sans racines historiques ?…


Jean-Marie Le Pen : « Je considère que la faute politique, c’est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c’est le vœu d’un certain nombre de dirigeants du FN, ils ont réussi. C’est eux qui ont fait une faute politique, pas moi »


Fournée/Le Pen : dérapage ou débat de fond – par Raoul Fougax

4 Vérités : Sortie de Jean-Marie Le Pen : deux remarques…
La soumission au « système » et aux « médias », pourtant tant décriés par les frontistes, est totale. Pas sûr que, quand on veut refonder la France, la soumission soit la meilleure méthode…
Que va-t-il rester de cette belle « fournée dédiabolisée » du Front National ?


Présent - Nous ne pouvons plus nous taire :


Le marin Le Pen…
Jacques Trémolet de Villers

… Jean-Marie Le Pen est le doyen de la vie politique française. Il est le seul, aujourd’hui, chargé d’un mandat public, à avoir connu, comme député, la IVe République et, avant elle, la Seconde Guerre mondiale, la défaite, l’Occupation, la Résistance, la Libération, les guerres d’Indochine et d’Algérie… … « Cette stature d’ancien inspire plus que le respect. Elle donne la confiance »… … Le sauveur ? L’homme providentiel ? le général ? le maréchal ? … personne ne répond à l’appel de ce nom… Alors, peut-être, le doyen ! L’ancien ! Celui qui a vécu, a lutté, a tenu…




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"La dénonciation médiatique des prétendus dérapages de Jean-Marie Le Pen fait partie de l’arsenal de combat des ennemis du Front National.
Le mot “fournée” que j’ai employé dans mon journal de bord hebdomadaire n’a évidemment aucune connotation antisémite, sauf pour des ennemis politiques ou des imbéciles." Jean-Marie Le Pen, président d'honneur [inamovible] du Front national

Le Blog de Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national : www.jeanmarielepen.com


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L’attaque contre Jean-Marie Le Pen n’est qu’une agit’prop grossière


Si on en croit Louis Aliot et quelques autres Jean-Marie Le P. (écrire en sa totalité un tel patronyme, ne serait-il pas déjà se rendre coupable de crime contre l’humanité ?), n’aurait pas le droit de prononcer le mot four, sans être aussitôt jeté au... feu. Et pas seulement. Tous ceux qui sont composés de ces quatre lettres, au début, à la fin ou quelque part au milieu, sont dans sa bouche (dans sa gueule devrait-on dire) anathèmes. Comme fournée. Pour avoir plaisanté sur des propos acerbes de Bruel-Benguigui dirigés contre le FN et avoir annoncé pour l’intermittent du spectacle l’éventualité d’une « prochaine fournée », aussitôt assimilée à la déportation des heures les plus sombres de notre histoire, Jean-Marie Le P., ainsi que le chantait jadis Guy Béart (Béhar), sera pendu.

En français en somme, ce sont plusieurs centaines de termes dont les vigilants de l’antisémitisme se sont désormais autorisés à vérifier l’utilisation qu’il en fait. Dans mon petit dictionnaire de poche j’en compte ainsi 41 qui commencent par ces lettres désormais infâmes. De fourbe à fourmi. Et de fourrage à fourvoyer. En passant par fourgon, fournaise, fournil, fourrure qui tous il est vrai sentent leur holocauste et leur antisémitisme caché ou codé. Mais Internet est beaucoup plus généreux qui en a trouvé 641 commençant par les lettres F.O.U.R. Et, comme il faut se méfier des petits sournois qui sévissent en ces lieux, on doit tenir compte des termes qui comprennent ces quatre lettres dans le désordre : 838 mots. Jean-Marie Le P., chacun le sait, étant particulièrement machiavélique, pourrait brouiller les cartes en même temps que les voyelles et les consonnes. Derrière le “troufion” ne se cacherait-il pas un autre four ? Et dire que tel auteur juif écrirait des textes qui sentent le soufre n’est-ce pas déjà verser dans l’antisémitisme le plus abject ?

Ou bien le président d’honneur du Front national a-t-il le devoir de se faire insulter par des histrions, des saltimbanques et des humoristes ratés — Monsieur Bedos est-il meilleur amuseur que Monsieur Dieudonné ? Est-ce la famille Bedos qui doit en décider ? — par des chanteurs inaudibles, des tennismen reggae, des joueurs de poker juifs. En même temps qu’il aurait l’interdiction, sous peine de faire intervenir la loi Gayssot, de riposter, fût-ce avec humour, au risque d’être traité de fasciste et d’antisémite ? Il est vrai, et on le sait depuis longtemps, que dans ce pays l’humour juif et l’humour caucasien sont deux choses bien différentes. Il suffit à ceux qui en doutent d’écouter Alexandre Astier et son sketch désopilant sur la Physique Quantique ou Gaspard Proust — bon, d’accord, il s’appelle Gasper Pust, Suisse, d’origine slovène et la mère de son grand-père paternel aurait été juive — puis Michel Boujenah ou Élie Semoun. À eux de juger.

Mais le problème qui se pose est de savoir si désormais la codification de la langue française a cessé d’être réservée à l’Académie Française. Si elle revient de droit à Louis Aliot et à sa concubine Marine Le Pen qui a condamné dans Le Figaro du 9 juin la « faute politique » (sic, pas moins !) de son père et au CRIF, à la XVIIe Chambre Correctionnelle, à Yahoo, aux media en général et aux “people” de toutes sortes et de toutes espèces, allant de Ribéry aux analphabètes des Grandes Gueules de RMC et aux bafouilleuses de dépêches de France Info ?

Il n’est pas inintéressant de s’interroger. Même Gilbert Collard en a esquissé vaguement une tentative, tout en exigeant, scandalisé, la démission de Jean-Marie Le Pen. Le mot fournée est banalement français. Il a un sens bien précis et, pour être direct, n’a jamais désigné sous quelque forme que ce soit ni la déportation au cours de la Seconde Guerre mondiale, ni comme le prétend Monsieur Bruel-Benguigui, quelque extermination de six millions de Juifs.

ALIOT ET COLLARD, ALLEZ VOUS-EN !

Le site spécialisé « La définition. Fr » en donne quatre interprétations.

Celle de l’Académie Française de 1798. Elle désigne très strictement la cuisson du pain, de la chaux ou des tuiles dans un four. D’une manière anecdotique on dit d’un homme « qu’il a pris un pain sur la fournée » lorsque, et c’est joliment exprimé, « il a eu commerce par avance avec sa future épouse ». La deuxième définition alors acceptée concernait « les charretées d’individus condamnés par le tribunal révolutionnaire à la guillotine ». Ceux qui jettent des tombereaux d’infamie sur Jean-Marie Le Pen sont-ils disposés à débattre justement de ce point précis ? De la Terreur, de la guillotine et de la belle Révolution ?

La seconde interprétation du mot “fournée” a été donnée par l’Académie Française en 1835. Elle reprend la première partie de la précédente mais “guillotine” et « charretées d’individus » ont pudiquement disparu. En revanche, elle désigne très familièrement un certain nombre de personnes nommées à la fois aux mêmes fonctions. Elle ne s’emploie guère, est-il précisé, que par plaisanterie au sens suivant : « Il ne sera pas de cette fournée. On annonce une nouvelle fournée pour le mois prochain ». Il est évident que tel est le sens de la plaisanterie de Jean-Marie Le Pen. Mais si toute “plaisanterie” dirigée contre le Front National, quelle qu’en soit la forme, est acceptable, venant de lui elle devient détestable.

La troisième formule a été énoncée par l’Académie Française en 1932. Et on notera tout ce que cette date a de sinistre et de prémonitoire ! L’essentiel de la définition n’a pas changé, sauf qu’on y a ajouté des « fournées de faïence ». Toutefois un dernier paragraphe, compte tenu justement de la date, mérite l’attention : « (La fournée) se dit d’un certain nombre de personnes qui accomplissent ensemble les mêmes actes ou subissent le même sort ». Deux exemples sont donnés : « Les visiteurs étaient admis par fournées. Les suspects étaient jugés par fournées ». Et, désolé pour les Bedos, Benguigui et compagnie, cette définition pouvait alors englober toutes sortes de circonstances mais certainement pas la Shoah… en 1932. Enfin, la plus intéressante des définitions est celle, toujours en vigueur, énoncée en 1986 par l’Académie Française. Rien ne change concernant les “fournées” de pain, de faïence, de chaux et de tuiles. Mais le dernier paragraphe a, lui, été singulièrement remanié. Et que dit-il ?

« (La fournée) est un groupe de personnes qui accomplissent ensemble les mêmes actes ou subissent le même sort ». Ah, Ah ! Sauf que voici les exemples que donne, en 1986 donc, l’Académie Française : « Les visiteurs étaient admis par fournées. Sous la terreur les suspects étaient jugés par fournées ». Fam. « Une fournée de promotions, de nominations. Il ne sera pas encore de cette fournée ».

Comment par conséquent ne pas remarquer que dans aucune définition officielle il n’est possible de trouver un lien entre le mot “fournée” et la Shoah. Il s’agit d’une pure annexion d’un terme de la langue française, usuel et sans aucune connotation avec la Seconde Guerre mondiale, qui par une odieuse récupération politique a été escamotée par les associations juives d’extrême gauche et par l’extrême gauche elle-même. Une récupération qui tend à se multiplier depuis les élections européennes — on l’a vu lors de la récente manifestation visant le Front National au prétexte d’une agression de skinheads par des anti-fascistes et qui tourna mal pour ces derniers —.  C’est devenu la tactique habituelle de la Gauche lorsqu’elle est battue dans les urnes de chercher à conserver le pouvoir par la force de la rue et la distorsion de la loi.

Aussi est-il pitoyable que de l’intérieur même du Front National en ses échelons les plus élevés, certains se mêlent de soutenir et de donner sens à cette campagne d’agit’prop qui n’est rien d’autre qu’une campagne d’agit’prop à laquelle nous sommes, nous, habitués depuis des décennies. Malheureusement la direction du Front National est passée entre les mains de personnes qui n’ont aucune culture nationaliste et traditionaliste et qui ne savent, ne peuvent ou ne veulent résister à la pression médiatique et à la pensée unique. Plus que tout autre monsieur Collard devrait connaître le sens des mots et être capable de déchiffrer les sémantiques élémentaires. Louis Aliot, étant aussi avocat et professeur de Droit Public et de Droit Constitutionnel, ne peut ignorer qu’il n’y avait rien de condamnable dans la boutade de Jean-Marie Le Pen et que toute cette affaire n’est qu’une manipulation de plus visant à fractionner le Front National. Manipulation à laquelle l’un et l’autre ont apporté un concours tellement stupide et flagrant qu’il laisse largement planer le doute sur la sincérité de leur engagement dans le combat national. Il est temps que l’un et l’autre se retirent.

René BLANC pour Rivarol


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Dernière fournée pour Jean-Marie Le Pen

Une fournée pour les artistes dégénérés

Dans une anodine vidéo publiée dimanche sur le site du Front national (FN) – retirée depuis – Jean-Marie Le Pen est interrogé sur le cas de plusieurs artistes "dégénérés" ayant attaqué et insulté le parti qu’il dirigeait. Sont évoqués Guy Bedos, Madonna, Yannick Noah et Patrick Benguigui dit Bruel, ces deux derniers ayant affirmé qu’ils quitteraient la France en cas de victoire du FN pour retourner dans leur habitat naturel. Mais ni Patrick Benguigui ni Yannick Noah ne sont retournés à la case départ.

« On fera une fournée la prochaine fois », déclarait dans la vidéo pour clore ce sujet Jean-Marie Le Pen.




L’utilisation dans deux phrases proches du terme « fournée » et du nom d’un Juif a suffi pour que l’establishment fabrique une polémique. Elle se serait sans doute éteinte d’elle-même rapidement si les principaux cadres du néo-FN, mis en place par Jean-Marie Le Pen, n’avaient repris, amplifié et relancé les accusations contre Jean-Marie Le Pen.

Condamnation unanime des "hauts dirigeants" du néo-Front national

« C’est une mauvaise phrase de plus. C’est stupide politiquement et consternant », s’est lamenté le franc-maçon Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen et numéro 2 du néo-Front national.

Les "Hauts Dirigeants" du néo-Front national

« Sur la forme, c’est inacceptable et intolérable, ça fait du mal à ceux qui les entendent et se sentent concernés, ça fait du mal au Rassemblement bleu marine et au Front national. […] Je suis fatigué de ces cabrioles avec les mots qui font vraiment des bleus à l’âme. […] Il y a peut-être un moment où l’heure sonne de prendre sa retraite », a lâché le député franc-maçon Gilbert Collard.

Dès hier soir, Marine Le Pen, abandonnant toute autre préoccupation – comme la constitution de plus en plus hypothétique d’un groupe au Parlement européen –, a tenu à rejoindre SOS Racisme, la LICRA, l’UEJF et d’autres associations communautaristes anti-françaises, dans la condamnation de son père.

« Je suis convaincue que le sens donné à ses propos relève d’une interprétation malveillante. Il n’en demeure pas moins que, avec la très longue expérience qu’est celle de Jean-Marie Le Pen, ne pas avoir anticipé l’interprétation qui serait faite de cette formulation est une faute politique dont le Front national subit les conséquences. Si cette polémique peut avoir une retombée positive, c’est celle de me permettre de rappeler que le Front national condamne de la manière la plus ferme, toute forme d’antisémitisme, de quelque nature que ce soit », a attaqué sa fille.

Le “Menhir” en guerre ouverte contre la direction du néo-FN

« À quel moment quelqu’un a utilisé le mot de fournée dans le sens que semblent avoir voulu croire un certain nombre ? C’est dingue ça ! […] Je vois une réaction de M. Aliot : s’il y a des gens de mon camp qui l’interprètent de cette manière, c’est que ce sont des imbéciles ! Je n’ai pas à m’expliquer avec lui, il ne m’a pas demandé mon avis, par conséquent je n’ai pas de raison de lui donner une explication, je n’ai pas à d’explication à lui donner d’ailleurs. […] La sottise est quelque fois une excuse absolutoire », a répondu Jean-Marie Le Pen à Louis Aliot. La réponse à l’inutile Gilbert “Connard” – avec lequel Jean-Marie Le Pen a une longue histoire, l’avocat maçon ayant été à l’origine de la publication de photos dénudées de sa première épouse dans Playboy – a été plus expéditive et plus cinglante :
« Ce n’est pas un membre du FN. [...] Je lui réponds qu’il devrait changer les consonnes de son nom »

Enfin, c’est contre sa fille Marine que Jean-Marie Le Pen a lancé ses plus dures attaques :

« Je considère que la faute politique, c’est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c’est le vœu d’un certain nombre de dirigeants du FN, ils ont réussi. C’est eux qui ont fait une faute politique, pas moi […], les gens et quelques dirigeants du FN qui ont donné de la consistance à ce qui était de la fantasmagorie soulevée par nos adversaires. »


Source : Jean Dupont pour Jeune Nation : Dernière fournée pour Jean-Marie Le Pen




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