« Les écoles fonctionnent dans ce but, ce sont les lieux de torture pour la parfaite innocence, la joie spontanée, l’étranglement des oiseaux, la fabrication d’un deuil qui suinte déjà de tous les murs, la poisse sociale primitive, l’enduit qui pénètre tout, suffoque, estourbit pour toujours toute gaîté de vivre. » Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux draps (1941)
Heureuses générations qui n’avaient à subir une imbécilisation que le temps de l’école… la télé puis l’internet et ses réseaux sociaux ont aujourd’hui aboli ces frontières temporelles et spatiales de crétinisation…
Arborant son Mérite scolaire, le jeune Louis Ferdinand Destouches en habit d'élève studieux suite à son inscription à l'école communale du square Louvois, située dans le deuxième arrondissement parisien et à deux pas de la boutique de sa mère Marguerite au passage Choiseul, des Bérésinas, le 1er octobre 1900.
Alors que se tenait le sommet annuel du groupe inter-gouvernemental de Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC) au Quenn Sirikit Convention National Center un point fort du séjour à Bangkok de Macron aura été cette visite au stade de Muay Thaï de Rajadamnern accompagné d’un chœur l’élèves du Lycée français – qui entonnera la Marseillaise – et où l’attendaient deux anciens boxeurs français, les frères Victor et Antoine Pinto…
Plus qu’un sport national, en Thaïlande le muay-thaï est un état d’esprit, des valeurs fondées sur le respect. Au mythique stade Rajadamnern, avec deux phénomènes, les frères Pinto : pic.twitter.com/3TBJkhRMEZ