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samedi 18 août 2012

Au goulag ou au bordel, les Pussy Riot rien à branler !




Pour exhibition déplacée, trois pétasses reçoivent la fessée…

Verdict bien clément après un réquisitoire tout aussi modéré alors que pour hystérie hooligane le tarif aurait pu être de sept petites années de réflexion… Les Pussy Riot ne prennent que deux ans de camp… et selon nos médias autant manipulateurs que malhonnêtes ce serait pour leur "Marie mère de Dieu, chasse Poutine !", ignorant délibérément la profanation d’un haut-lieu sacré de la Sainte Russie, la cathédrale du Christ-Sauveur. Propagande anti-Poutine, machination tendant à faire croire que c’est lui qui tire les ficelles. Encore et toujours de la méchante propagande… contre Poutine… contre l’Église orthodoxe.

Si l'Église catholique de France se complaît dans un effacement sacrilège, l’Église orthodoxe après des décennies de communisme se doit de rester ce pilier incontesté de l'identité russe. Une authentique liberté retrouvée, les Russes refusent cette prétendue liberté d'expression ferment de la décadence occidentale. Ils refusent cette soumission à n'importe quelle provocation qui ne peut qu’encourager à renchérir.

Spectacle accablant que celui de ces saboteurs de l’Occident déchaînés… Quelle est grande et noble la cause : même Madonna et sa culotte mouillent pour ces trois pétasses. Et le Bazar-Henry Lévy maître dans l’art de ne jamais perdre une occasion de fermer sa jactante qui en bafouille… Une ministre à Flanby, musulmane, qui en a fait son djihad… évidemment, cette profanation n’a pas eu lieu dans une mosquée. Imaginons un groupe rap qui se pointe dans une église, mieux - rêvons ! - une synagogue pour  faire la nique à Flanby, demander qu’il ne règne plus que sur sa pie-grièche… que de cris outrés scandalisés de gauchos ! Combien de procès contre ces rappeurs exigés par la bien-pensance unanime !

Après leurs daubes subversives, elle chanteront des comptines orthodoxes et feront de pieuses prières. Au goulag, elles apprendront à aimer la Grande et Éternelle Russie et chanteront l’hymne national russe. Au goulag ou au bordel, les Pussy Riot rien à branler !


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