Un vœu demandant à ce que les trois membres des Pussy Riot, Nadejda Tolokonnikova, Ekaterina Samoutsevitch et Maria Alekhina, soient nommées « citoyennes d’honneur de la Ville de Paris » sera déposé ce lundi 11 février au conseil de la Ville de Paris par les élus EELV.
C'est sans doute pour donner plus de poids à ce dossier urgent que des fervents de ces hooliganes en haine de la religion fondatrice l'Europe ont barbouillé aux couleurs de leurs héroïnes punks le monument érigé en mémoire du corps expéditionnaire russe venu soutenir les alliés en France lors de la guerre de 1914-1918. Ce monument situé place du Canada dans le 8e arrondissement de Paris avait été inauguré par Vladimir Poutine, alors Premier ministre, en juin 2011.
Le monument est un hommage aux soldats de l’Empire russe venus soutenir la France lors de la Première Guerre mondiale. Ce corps expéditionnaire russe comprenait 45 000 soldats et officiers organisés en quatre brigades, dont deux, fortes de 20 000 militaires, ont lutté sur le front franco-allemand en Champagne, coûtant la vie à plus de 5 000 d’entre eux. En 1917, année de la révolution russe, les brigades ont été dissoutes mais plus de 1 000 volontaires se sont engagés dans les troupes des Alliés pour continuer le combat au côté des Français.
Un acte en parfaite harmonie avec le climat de haine et destructeur des bases de notre civilisation instauré par les néo-sans-culottes portés au pouvoir autour de Flanby… Gageons que cet acte imbécile aura largement contribué à sensibiliser les élus de la ville de Paris et que Nadejda Tolokonnikova, Ekaterina Samoutsevitch et Maria Alekhina qui avaient escaladé l'autel de la cathédrale orthodoxe du Christ-Sauveur à Moscou pour une « prière punk » invitant la Vierge Marie à « chasser » du pouvoir le président Vladimir Poutine verront leur bravoure sacrilège reconnue… "Dis-moi avec qui tu fricottes, je te dirai qui tu es !" Et pourquoi pas ne pas remplacer le monument souillé par les statues de ces rebelles ? …
La culture selon les Pussy Riot et leurs fans en France
Au goulag ou au bordel, les Pussy Riot rien à branler !
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