Carnets de Voyages en Syrie avec la Communauté syrienne de France

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dimanche 29 avril 2012

Jappe, Juppé !… Alain Juppé, chiot de malheur… il fera que Nicolas Sarkozy perde…


Après une collaboration désastreuse avec Jacques Chirac, Alain Juppé colle aux basques de Nicolas Sarkozy… Chacune de ses interventions c'est, par ses jappements, toujours pour nuire davantage à une politique… En politique étrangère… Japper en chiot immature dans les traces malodorantes du Bazar-Henri Lévy… Japper pour encourager l'assassinat de Mouammar Kadhafi… Mordillements, comme pour se faire les dents, sans souci des conséquences, de son os devenu préféré, la Syrie… En politique intérieure, il se serait fait passer pour un prochain Premier ministre… jouant à suggérer François Bayrou, comme un chiot jouerait avec une souris… Et le voilà qui se met sauter entre les pattes de Nicolas… pour lui barrer le chemin d'un nouveau mandat… On oublie trop souvent que beaucoup voteront contre Nicolas Sarkozy avant tout contre son entourage… Contre Alain Juppé d'abord… Et aussi… contre son préposé "ministre" à la Culture sur fumier pisse et merde, Frédéric Mitterrand… Et aussi… Claude Guéant qui supervise l'exécution  d'un prétendu terroriste et délibérément exacerbe la propagande islamiste… Et aussi… Henri Guaino qui insulte la mémoire du Maréchal Philippe Pétain

À quand son prochain méfait ?


NovoPress relate les agissements du chiot le plus stupide jamais engendré… Et jappe… et jappe, Juppé !  Il fera que Nicolas Sarkozy perde…

Ce n’est un secret pour personne, le maire de Bordeaux est hostile au positionnement du président de la République. Hostile à la place prise par le conseiller Patrick Buisson, hostile à la campagne de droite menée depuis plusieurs semaines, et enfin hostile à la main tendue aux électeurs de Marine Le Pen.

Dernier exemple en date sur RTL, Alain Juppé, qui se prépare à la défaite de son camp, déclarait « si Nicolas Sarkozy perdait, nous serions un certain nombre à tout faire pour que l’UMP garde sa cohésion », provoquant la fureur de ce dernier : « il ferait mieux de se concentrer sur le second tour, on est exactement dans ce qui n’intéresse nullement les Français ». Conformément à ses convictions proches du centre-gauche, le ministre des affaires étrangères avait déjà provoqué une polémique interne en suggérant il y a quelques jours, lors d’un entretien au Figaro Magazine, la nomination de François Bayrou au poste de premier ministre !

Pour les conseillers de l’UMP, la réserve de voix est à droite. Il faut donc notamment tenir un discours ferme (à défaut d’actes) sur l’immigration, les valeurs et le protectionnisme. Ces valeurs révulsent pourtant Alain Juppé, qui avait déjà fortement critiqué le débat sur l’identité nationale. Lors du premier tour, Bruno Dive, journaliste au Sud-Ouest, rapportait qu’au siège du PS, « tous les leaders de l’UMP sont hués quand ils parlent à la télé. Sauf Juppé, écouté dans un silence respectueux » !

Alain Juppé avait lui-même confirmé se sentir plus proche du Parti socialiste que du Front national. En mars dernier, lors du second tour des élections cantonales, le maire de Bordeaux appelait à voter pour le candidat de gauche dans les duels avec le FN : « le Front national ne doit bénéficier d’aucune de nos voix ».

« Le meilleur d’entre nous », faute d’avoir un sens politique aigu, (un positionnement de Nicolas Sarközy sur une ligne centriste l’aurait à coup sûr éliminé du premier tour) risque pourtant de connaitre une fin de carrière proche. Ses jours au ministère des affaires étrangères sont comptés, et dans une ville où la gauche est maintenant majoritaire, sa reconquête du poste de député au mois de mai, ainsi que les municipales de 2014, risquent de sonner le glas de sa carrière.

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L'imbécile criminel Alain Juppé continuera à japper, mais désormais dans le désert. Quant à son maître, le Bazar-Henri Lévy, ça fait un moment qu'il l'a abandonné en pleine campagne, chien perdu sans collier…

Dès le mardi 31 janvier dernier, Bazar-Henri Lévy déjeunait avec Flanby… Et pas du flan au menu ! C'était chez "Laurent", un restaurant gastronomique haut lieu de la gastronomie parisienne… premier prix, pour les tapas, 140 €… Le "Fouquet’s" comparé au "Laurent" ne serait qu'une "brasserie populaire des Champs"…

Pauvre Syrie… Faut pas attendre de grands changements dans la politique française… Ça risque même d'être pire… avec un probable ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius… Seules interrogations, comment s'entendront un Ashkénaze et un Séfarade débarqué de Béni-Saf, même pour une cause commune : Israël. Plus simplement, Laurent Fabius n'est pas Alain Juppé, le Bazar-Henri Lévy devra trouver un autre pantin à sa mesure pour ses exercices de dressage…

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