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jeudi 16 octobre 2014

Hommage à Marie-Antoinette, Reine de France, lâchement assassinée…




La souveraine qui répond à ses juges en déclinant son identité et en parlant d'elle-même déjà à l'imparfait – « Je m'appelais Marie-Antoinette Lorraine d'Autriche » – a sans doute elle aussi conscience du simulacre de justice.

Une fin d' après-midi nuageuse tombe sur Paris en ce 16 octobre… Dans le cimetière de la Madeleine, abandonné, à demi dénudé et gisant dans l'herbe, la tête placée entre les jambes, le corps d'une femme : celui de la fille des Césars !

Après l'acharnement dans les privations, dans les supplices et les tourments, pareille vexation était-elle encore nécessaire pour abattre la ci-devant reine de France ?

« Pire que le régicide », jugera Napoléon !

À plus de deux siècles de distance, le procès des 14, 15 et 16 octobre 1793, condamnant Marie-Antoinette à la peine de mort, n'est pas clos. On attend toujours le verdict de la justice et de l'équité.
De nombreuses messes à la mémoire de la Reine Marie-Antoinette seront célébrées dans toute la France, à la Basilique Royale de Saint-Denis, à Lyon, Nîmes, Grenoble et dans de nombreuses autres villes.


Hommage à Marie-Antoinette, Reine de France

Messes à la Mémoire de la famille royale

Maurice Talmeyr : La Franc-maçonnerie et la Révolution française



En 1770, à 14 ans à peine, l'archiduchesse d'Autriche, Maria Antonia Anna Josepha Joana de Habsbourg-Lorraine, devient Dauphine de France, après son mariage par procuration avec Louis XVI. Le 16 octobre 1793, le tribunal révolutionnaire reconnaît Marie-Antoinette coupable de coopération avec les puissances étrangères : elle est condamnée à la peine de mort. Qu'est-ce qui l'a conduite à l'échafaud ? Marie-Antoinette était-elle réellement coupable des crimes dont on l'accusait ? Qui était réellement Marie-Antoinette, condamnée sans preuve pour intelligence avec l'ennemi ? Et comment les mensonges de la franc-maçonnerie en ont fait la femme la plus détestée du Royaume de France. [Une émission du service public français à interpréter avec toutes les réserves qui s'imposent.]

L'ombre d'un doute : Fallait-il condamner Marie-Antoinette ?

Quand l’anti-France reconnaît les vertus de la Monarchie

Marie-Antoinette, reine et mère

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