Carnets de Voyages en Syrie avec la Communauté syrienne de France

Pages spéciales…

samedi 28 juin 2014

Le temps des loisirs… le temps de bonnes lectures… avec Saint Rémi






On entend souvent dire que la démocratie – le meilleur régime politique possible – est malade. On déplore son déficit représentatif, sa corruption endémique, son irresponsabilité, son opacité, son oligarchie et son incapacité de servir le bien commun. On s’évertue à lui trouver des remèdes. Mais la démocratie, fondée sur des principes erronés et en opposition avec la nature humaine, se porte en fait très bien. Les « déviances » dont se plaignent ses administrés ne sont en réalité que le développement naturel et logique d’un régime qui a été conçu pour ne servir que les intérêts d’une minorité organisée, tout en bernant des peuples prétendus souverains. Une démonstration limpide et solidement argumentée de la véritable nature d’un régime dont l’imposture apparaît de plus en plus clairement. Christophe Buffin de Chosal est historien, correspondant de presse et directeur de programme universitaire.






L’auteur a voyagé en terre d’islam, en Europe, en Afrique ainsi qu’aux Proche et Moyen-Orient ; il nous plonge dans La Sixième Heure qui sonne, là, au IX° siècle, quand les forces arabo-musulmanes avaient, déjà à cette époque, mis à feu et à sang le pourtour méditerranéen et toute l’Europe occidentale. Il y dénonce les prescriptions extrêmes du Coran en nous contant l’action d’une poignée de ces hommes, dont la foi et le courage ont été, en 844, à l’origine de la Reconquête de leur liberté tourmentée. Dans ce livre écrit avec une passion retenue, il y a de la tendresse pour ce qui lui paraît juste et une lourde interrogation pour ce qui ressemble tant à des versets sataniques. Cet étrange silence qui, aujourd’hui, entoure le Coran, se fissure au fil du roman et la logique cruelle de l’islam apparaît dans son implacable simplicité. La conquête fut musulmane, la reconquête fut chrétienne. Ces deux cultures antinomiques s’affrontèrent pendant cette guerre d’occupation de l’Europe, qui allait durer presque huit siècles (711 à 1492). Quelle sera la conclusion de cet écrit ? Quelle part d’espoir l’auteur retiendra-t-il des événements qui se déroulent, aujourd’hui, chez nous au cœur même de notre cité ? Sur quelles ressources la France pourra-t-elle s’appuyer pour éviter ce piège mortel qui l’enferme ?






Carnet de chants traditionnels très complet (plus de 300 chants). Combien de nos contemporains, face à la douleur, qui s’effondrent en pleurs, en gémissements ou en cris ! Nos anciens, eux, l’affrontaient en chantant… pour mieux l’offrir à Dieu. Ils chantaient dans la souffrance, mais aussi dans la joie. Ils chantaient pour se donner du coeur à l’ouvrage comme pour réjouir toute la famille, le soir, au coin du feu. Ils chantaient, et ils étaient heureux, et ils étaient forts. Aujourd’hui, nous avons le confort moderne, et nous ne chantons plus ; et la joie et la force ont disparu du caractère français. Le chant façonne l’âme. Il véhicule aussi toute une tradition, une histoire, un esprit, bref un héritage. Les ennemis du Christ le savent bien, qui nous inondent de rock depuis des dizaines d’années… C’est pour ne pas perdre cette richesse, chers cadets, que nous sommes heureux de vous offrir cette sélection de chants, votre carnet.






L’auteur d’origine bretonne nous raconte ici une histoire vraie, l’histoire de sa famille qui a traversé les deux grandes guerres mondiales. Combien d’innocentes victimes vont être fauchées dans ces tragiques événements ? Une hécatombe que les siècles passés n’auraient pu imaginer. Cependant, à travers tout ces malheurs, l’auteur nous transmet sa note d’optimisme, fondé sur la vertu d’Espérance. Dans la misère, les plus belles vertus se sont exprimées ; les uns les autres étaient plus unis pour se soutenir. La nature si belle que Dieu a créée, se moquait des bombardement qui n’empêchaient pas le bouton d’éclore en étalant voluptueusement ses magnifiques pétales. Après ces deux guerres horribles, Marie-Viviane savait à jamais que la vie, les sentiments, résistent à la barrière de ce qu'on appelle ici « la mort », et qu'ils fleurissent comme de belles roses dont le bouton éclot, là-bas, tout près, presque ici, à deux pas, AU-DELÀ DES COLLINES...


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