Dominique Venner n'était pas l'homme du désespoir ! Rendons lui cet hommage. Bien fol celui qui s'arroge le droit de le juger. Son acte, le haut lieu choisi, ses derniers écrits, peuvent nous choquer. Nous pouvons y voir un orgueil démesuré, un coup de folie ou que sais-je encore ? Dans un tel acte, l'homme garde tout son mystère et il est vain de vouloir comparer un tel acte à d'autres « similaires »... Nous dirons simplement que Yukio Mishima n'a pas réveillé la jeunesse japonaise.Nous prions pour Dominique Venner et pensons fort aux siens.
Extrait d'un article de Portemont sur "Les Manants du Roi"
Pour lire la totalité de l'article :
Puisse-t-il reprendre sa grande quête…
http://www.lesmanantsduroi.com/index.php/quelle-societe/97-quelle-societe-8
On y trouvera inclus deux textes de l'abbé Guillaume de Tanoüarn, l'un écrit sur le choc de l'émotion le 21 mai, l'autre « Peur, quand tu nous tiens » - réponse à l'abbé Robinne et à quelques kozeurs...
http://ab2t.blogspot.fr/2013/05/peur-quand-tu-nous-tiens-reponse-labbe.html
http://ab2t.blogspot.fr/2013/05/peur-quand-tu-nous-tiens-reponse-labbe.html
Pierre Sidos : D. Venner, contempteur du nationalisme
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