Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 20 janvier 2015

Quand Libération, "Je suis Charlie", chantait l'entrée des Khmers rouges à Phnom Penh…


Soumis au harcèlement médiatique de l'immédiat nous oublions l'Histoire, bien plus s'effacent de nos mémoires des évènements encore relativement tout récents… Il en va ainsi des crimes des Khmers rouges… Les Khmers rouges dont l'entrée dans Phnom Penh en avril 1975 était chantée par les journalistes de Libération, frères francs-maçons de ceux de Charlie Hebdo… Ceux-là mêmes que le pouvoir actuel en France sanctifie… Souligner cette parenté idéologique avec ceux qui gouvernent la France aujourd'hui ne peut qu'éclairer la formidable manœuvre subversive à laquelle est soumise le peuple français… Des foules conditionnées… incapables de toute réaction d'auto-défense… Un déficit immunitaire tel que Flanby a pu se permettre d'annoncer à la veille des opérations qui devaient frapper les journalistes provocateurs de Charlie Hebdo son intention de reprendre la maîtrise de l'opinion publique !… Une annonce qui dans une société apte à quelque réflexion eût été une erreur fatale… Que nenni… notre Flanby a pu oser l'outrecuidance d'annoncer son projet… annonce qui, plutôt que de provoquer une saine réaction d'incrédulité, a en réalité préparé l'embrigadement des foules…
Les Khmers rouges ne sont pas qu'à Pailin… Ils ne sont plus dans la jungle cambodgienne… Ils ne sont plus dans des chambres d'étudiants rue Saint-André des Arts… Désormais ils ont investi les palais d'État français…



15/10/2009




"Le Temps des aveux"… François Bizot, otage des Khmers rouges…

Les "Impunis", les maîtres à penser et à agir du pouvoir socialiste aujourd'hui en France…


Olivier WEBER
Un voyage dans la banalité du mal



Les Khmers rouges ont régné sur le Cambodge de 1975 à 1979. À cette date, une partie d'entre eux ont dénoncé leurs chefs et négocié financièrement leur liberté. En échange de quoi, ils ont créé dans le nord du pays la « zone de Pailin », l'état de non-droit des anciens Khmers rouges ; ils n'ont jamais été jugés ni inquiétés.
Olivier Weber, non sans risques, enquête dans ce sous-royaume dirigé par d'anciens Khmers rouges et leurs complices et dont le maître est un ex-garde du corps de Pol Pot. Casinos, bordels, trafic de rubis, ils ont construit un état mafieux ou une mafia-état ou chacun sait qui sont les anciens bourreaux qui ont su se reconvertir. Comme souvent dans les zones de « post-conflit » se mêlent les victimes et ceux qui les ont traquées. Ici comme naguère, les relations humaines s'établissent dans la terreur ; ici on boit des bières entouré d'hommes qui ont broyé, torturé, enfermé leurs compatriotes avant de terroriser leur descendance.
Dans cette enclave sans frontière, les tortionnaires d'hier ont acheté la paix en installant une des chambres de compensation des mafias d'Asie. Des millions de dollars gonflent ainsi la masse des deux mille milliards de dollars illicites qui circulent chaque année dans le monde. Recyclage des consciences, recyclage de l'argent sale.
La nouvelle banalité du mal, que n'ont pas atteint les récents procès politiques qui se sont déroulés au Cambodge, se situe aussi dans cette criminalité organisée sur laquelle le monde ferme les yeux.




par Jean-Claude Lauret,
sur Boulevard Voltaire le 6 avril 2013
Olivier Weber nous plonge dans la république du silence…
Nulle plaque en cette rue Saint-André-des-Arts, au numéro 28, n’attire l’attention des passants. On aurait pu apprendre qu’en cet immeuble du vieux Paris, trois étudiants cambodgiens allaient, quelques décennies plus tard, accéder à la notoriété internationale. Il est normal, quand on a vingt ans, de vouloir transformer le monde et désirer le refaire. C’est le temps du radicalisme. Saloth Sâr, qui sera connu plus tard sous le pseudonyme de Pol Pot, et ses deux autres compères abreuvés de Karl Marx rêvent de révolution.
Une fois encore, il s’agit de faire du passé table rase. Il faut suivre l’exemple du Grand Timonier Mao Tsé-Toung qui a lancé sa révolution culturelle. Ils concoctent donc une série de plans qui devraient permettre la naissance de l’homme nouveau enfin débarrassé des innombrables scories d’une modernité aliénante. Le retour à la campagne est la première étape vers le salut. L’agriculture collectiviste et la disparition de la monnaie complètent le programme. Enfin, on fera la rééducation du peuple.
Une fois rentrés au Cambodge, le mot d’ordre est d’éliminer les élites. Il faut se débarrasser de toute urgence de ceux qui ressemblent à des notables. Les juges, les avocats, les professeurs, les instituteurs, les bonzes, les prêtres de ces religions venues d’Occident, les étudiants et autres porteurs de lunettes sont les victimes désignées d’une première série de purges. Il importe de chasser les urbains afin qu’ils se défassent des miasmes mortifères de la ville. En trois jours, deux millions de personnes sont expulsées de la capitale.
Olivier Weber, lauréat du prix Albert-Londres, grand reporter au Point, a parcouru la planète. Poussé par une téméraire curiosité, il a crapahuté en Afghanistan, en Iran. Il a erré à travers les forêts d’Amazonie et s’est glissé en Afrique dans des zones de guerre où les maquis s’agitaient. Voilà des décennies, il a aussi parcouru le Cambodge. Il y est retourné et a rapporté de ce voyage cet ouvrage que l’on prend comme un coup de poing dans la gueule.
Accompagné d’un jeune Cambodgien dont toute la famille a été exterminée, il s’enfonce dans la région de Pailin, refuge, à la frontière de la Thaïlande, des Khmers rouges chassés du pouvoir par les Vietnamiens lassés de leur folie exterminatrice. En cette zone autonome, sorte de sous-royaume à l’intérieur du Cambodge, les Khmers rouges sont omniprésents et règnent en toute impunité. Olivier Weber – et là se trouve l’originalité de son ouvrage – rapporte le singulier retournement des auteurs et complices d’un génocide qui dépasse l’entendement. À Pailin, les bourreaux terrorisent leur entourage. Ils ont des armes, de l’argent. La peur est partout. C’est une maladie terriblement contagieuse. Coupables et innocents sont inextricablement liés. Les anciens miliciens se sont noyés dans la foule. Ils ont apparemment disparu mais sont terriblement présents. Le résultat de cet étonnant mélange fait que les coupables se perçoivent comme des innocents, même s’ils reconnaissent du bout des lèvres avoir commis dans le passé quelques « petites erreurs ». La république du silence s’est installée au pays de l’inquiétude perpétuelle.
Un deuxième retournement, beaucoup plus terre à terre, suscite la réflexion et l’interrogation. Les Khmers rouges, zélateurs de Mao, ont prétendu dans le passé être les grands prêtres de la pureté marxiste-léniniste. Eux qui voulaient la suppression de la plus-value, de la monnaie, eux qui considéraient que toute relation sexuelle hors du mariage était passible de la peine de mort, sont devenus aujourd’hui des patrons de bordels, des trafiquants multicartes, des exploitants des mines de rubis et des intermédiaires dans les trafics les plus louches où de jeunes femmes sont condamnées à devenir des putains.
Pailin est la région du mal absolu, mais aussi de l’oubli. Ici, on ne parle plus du génocide. Il n’y aura pas de procès de Nuremberg pour juger tous ces crimes. Il y aura bien, à Phnom Penh, le procès d’une petite poignée de dirigeants, éminences exterminatrices de Pol Pot comme Duch, l’ancien chef du camp S21, procès qui sera retransmis à la télévision cambodgienne dans la plus grande indifférence.
Le reproche que l’on peut faire à l’auteur est de ne pas avoir rapporté, ne serait-ce qu’en quelques pages, ce procès tenu au début de janvier 2009 à Phnom Penh. Il aurait pu raconter qu’il fallut des années de tractations entre l’ONU et le gouvernement cambodgien pour que celui-ci puisse s’ouvrir. Une saga judiciaire de plus de trente ans de dérobades prenait fin. On peut aussi regretter qu’il n’ait pas, par une préface ou un prologue, raconté l’histoire de cet auto-génocide qui se déroula de 1975 à 1979. Il faut rafraîchir la mémoire des lecteurs et ne pas oublier que nombreux sont ceux qui n’étaient pas nés lorsque débuta cette tragédie. Il aurait dû aussi en rappeler le bilan, stade ultime du mal quand Saturne dévore ses propres enfants.
La machine à broyer le peuple fut en marche durant trois ans, huit mois et vingt jours. Au cours du règne de L’Angkar, durant 1361 jours, 1,7 million de Cambodgiens vont être avalés par un Moloch déchaîné. 1249 victimes sont quotidiennement sacrifiées pour le triomphe d’une cause sans nom, sans doctrine. Une cause qui, de fait, n’existe pas. Par-delà la barbarie, explique un rescapé, force est de constater un déferlement délirant de la stupidité.
Olivier Weber nous plonge dans la république du silence. Son grand mérite est de nous obliger à ne pas oublier cette extermination qui dépasse par son ampleur tous les holocaustes d’un XXe siècle qui n’en fut pourtant pas avare. Reste qu’il n’y aura pas de procès, pas plus que de regrets officiels de tous ceux qui, ici, ont soutenu les Khmers rouges. La plupart des responsables sont morts. Leurs descendants demeurent. Leur impunité nous oblige à nous montrer de plus en plus vigilants devant l’émergence de toutes les barbaries.

Charlie Hebdo : Ramzan Kadyrov et Jean-Marie Le Pen accusent les services secrets occidentaux


Midi Libre du 20 janvier : Que sous-entend le cynisme de cette Une ?

Je crois qu’il s’agit en effet d’une piste djihadiste, c’est hautement probable étant donné le contexte, cette affaire date de près de 10 ans. Mais cela ne signifie pas qu’il ne puisse pas y avoir d’autres personnes impliquées dans cette affaire. Ni qu’on n’ait pas purement et simplement laissé faire les terroristes. Les services secrets s’attendaient sans doute à quelque chose, mais peut-être pas de cette ampleur. Il est également possible que les enquêteurs cachent quelque chose qui n’a rien à voir avec cette tragédie, et que ce qu’ils cachent pourrait sortir au grand jour. Et ils veulent peut-être éviter que ces informations soient révélées. Je pense qu’il est tout à fait possible que les personnes impliquées soient bien plus nombreuses, entre commanditaires, cerveaux, mercenaires, infiltrés, dirigeants ou cellules isolés.

Жан-Мари ле Пен - «КП»: Нам нужна единая Европа от Парижа до Владивостока. Или мы станем колонией США

Malgré l'omerta des médias et de la classe politicienne complice, malgré la trouille des foules formatées à la bienpensance,  dans un entretien accordé à Daria Aslamova de la Komsomolskaya Pravda le président d'honneur et fondateur de Front national, Jean-Marie Le Pen, a eu le courage de déclarer,  que la [trop bienvenue] tuerie perpétrée au siège du journal satirique Charlie Hebdo aurait été orchestrée par des "agents américains et israéliens" avec la complaisance des autorités françaises. "La fusillade de Charlie a tout d'une opération secrète, mais nous n'avons pas de preuves", explique-t-il.


Ce lundi 19 janvier à Grozny, le président de la république russe de Tchétchénie Ramzan Kadyrov a confirmé sa conviction que l'attaque ciblant Charlie Hebdo aurait été organisée par les services secrets occidentaux, probablement pour renforcer le groupe terroriste État islamique.

"L'incident pourrait avoir été organisé par les autorités et services secrets des pays occidentaux souhaitant provoquer une nouvelle vague d'embrigadement pour l'État islamique", a indiqué le président tchétchène Ramzan Kadyrov lors d'une manifestation en faveur des valeurs islamiques qui a réuni plus d'un million de personnes dans sa capitale, Grozny.

"Nous voyons que l'Europe n'a pas tiré de leçons des événements sanglants de Paris. Au lieu de condamner les tireurs et ceux qui les ont provoqués en publiant leurs caricatures, les autorités françaises ont organisé un spectacle de rue en faveur d'une permissivité excessive", a-t-il ajouté.

Selon le président Ramzan Kadyrov le groupe djihadiste État islamique se trouverait sous la tutelle de la CIA et d'autres services secrets occidentaux ; des données attesteraient que le général américain David Petraeus, ancien chef du Commandement central des États-Unis, aurait "enrôlé" le chef de l'État islamique Abou Bakr al-Baghdadi.


RIA Novosti - Charlie Hebdo: un million de musulmans manifestent en Tchétchénie

Jean-Marie Le Pen to Russian newspaper: 'Charlie Hebdo attack has the hallmarks of being a secret service operation'



Trop attendus + 21 %… Merci Charlie ! Merci les RG "mal renseignés" ! Merci les foules…


Flanby impérial… +21% !…




lundi 19 janvier 2015

Sylvie Collet présente ses "réinfos" bimensuelles du 19 janvier…




Au sommaire de ce numéro de "Réinfo" du 19 janvier :

• Une semaine après les attentats, le système répressif se met en place : Mais pas contre les auteurs potentiels d’attentats, mais contre ceux qui en dénoncent les causes ! En France, on défile pour la liberté d’expression, mais surtout on l’encadre…

Flanby : une gigantesque opération de mystification des masses

• Bruno Mégret, ancien député européen et président du MNR nous livre ses impressions sur, je cite, « la plus grande opération d’endoctrinement des masses » jamais conduite en France : une parole rare, trop rare et d’autant plus remarquable.
• Face à la vague de sympathie à l’égard des terroristes qui submerge les collèges et lycées de France, Najat Vallaud-Belkacem a la solution : de la laïcité, plus de laïcité, encore de la laïcité. Qu’on se dise dans les chaumière, l’éducation nationale sera une fabrique de crétins, oui, mais de crétins laïcs !
Immigration-colonisation : En Allemagne, les manifestations de PEGIDA, die Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes, prennent de l’ampleur à chaque édition. Les autorités civiles et religieuses ont beau éteindre l’éclairage public… rien n’arrête le mouvement qui s’exporte en France et en Espagne.


Viktor Orban participait à la manifestation obligatoire de dimanche dernier, mais il n’était pas à l’unisson avec le « vivre-ensemble » de rigueur. Tout au contraire, il demande à l’Europe de fermer ses frontières à l’immigration parce que, je cite, « elle ne fait qu'apporter des troubles et des menaces aux peuples européens ». Voilà qui n’est pas politiquement correct…
Russie… On nous l’annonçait mourante, agonisante avec un rouble qui ne valait plus rien, isolée sur la scène internationale… Dîtes-vous bien que si on ne vous en parle plus dans les médias dominants, c’est que le scénario originel a du plomb dans l’aile et que la réalité est toute autre…





dimanche 18 janvier 2015

Les trois frères : "État islamique", "Je suis Charlie", "Boko Haram"… contre la chrétienté


Les trois frères  ...
"État islamique", "Je suis Charlie", "Boko Haram"…
contre la chrétienté, au service du mondialisme et du sionisme









dimanche 11 janvier 2015

Par la grâce d'Al-Qaïda au Yémen, Flanby trône enfin en "Président de la République"…





Voilà l'ouvrage essentiel pour décrypter ce que nous avons subi ces derniers jours : Gustave Le Bon : clés et enjeux de la psychologie des foules… C'est vrai d'abord en France… Mais les images ont été également diffusées pratiquement en continu par la BBC, par CNN… pour attaquer l'ensemble de la planète Terre… Pas un pays, sauf peut-être la Corée du Nord, qui n'ait été épargné… Un ouvrage  aujourd'hui bien plus utile et bien plus d'actualité que la Soumission de Houellebecq - en retard d'une capitulation qui oublie que la "soumission" est déjà inscrite dans un passé ancien avec la capitulation de DeGaulle au pied du FLN, précurseur du terrorrisme islamiste et djihadiste - ou que tous les Zemmour causeurs, brûlots alimentaires ne visant qu'un marché d'autosatisfaction simplette de convaincus…



Mardi 11 septembre 2001, 16h30.
En quelques minutes la planète entière, via CNN et les dépêches des agences de presse reprises en boucle par radios et télévisions connait le nom de Ben Laden qui « au vu des premiers indices» semble être l’instigateur de l’attentat du World Trade Center.

Dimanche 14 Mai 2011, 13h.
Aux actualités de la mi journée les télévisions du monde entier diffusent l’image du directeur du FMI, accusé de viol, menotté entre deux policiers. Plus personne désormais n’ignorera ni son nom, ni son visage.

Deux immenses tours en flammes, un « grand» de ce monde menotté… Deux images choc qui, diffusées dans le monde entier, se comprennent sans mots. Les conséquences, quelles qu’elles soient (décisions des dirigeants nationaux et internationaux, guerres, révoltes etc.), seront reçues par des individus à travers le prisme initial de cette image. Tel est le phénomène que Gustave Le Bon, médecin français passionné de science sociale, décrit dès les premières pages du petit livre choc qu’il publie en 1895, Psychologie des foules : «L’orientation des sentiments et des pensées dans un même sens, premiers traits de la foule en voie de s’organiser, n’implique pas toujours la présence simultanée de plusieurs individus sur un seul point. Des milliers d’individus séparés peuvent à un moment donné, sous l’influence de certaines émotions violentes, un grand événement national par exemple, acquérir les caractères d’une foule psychologique…» L’analyse lébonienne originelle continue de constituer un excellent préliminaire à la compréhension de la psychologie politique contemporaine, car la pensée simple et claire de Gustave Le Bon reste, comme le découvrira le lecteur, d’une éblouissante actualité. [extrait de la 4ème page de couverture de l'ouvrage, un nouvel épisode vient de nous être infligé sans que cela soit déjà fini…]






*   *   *


Même un trou du cul ça peut être chef !
Dimanche 11 janvier : le trou du cul s'assied enfin sur un  trône introuvable… porté par une populace empuantée à en être anesthésiée…
La merde c'est pour la France… mais il paraît que sa porte bonheur !


Il aura fallu près de trois ans avant que Flanby puisse enfin jouer au "Président de la République" et accéder au trône… Ce sont des évènements sanglants perpétrés à Paris même sous le sceau d'Al-Qaïda au Yémen qui lui auront donné l'occasion de se mettre ainsi en scène… Coïncidence, cette mise en scène avait été tapageusement annoncée dès le tout début de l'année par les services de l'Élysée… Étrange synchronisation… Curieux, comme la chance sourit enfin à ce "président" en mal de légitimité…


Al Qaïda à l'origine financée et armée par les USA pour combattre les soviétiques en Afghanistan




Ainsi cette investiture officielle inespérée se fera ce dimanche 11 janvier en grand tapage, dans la rue et la foule comme il sied à un authentique président de gauche… Non content d'être entouré de son bon peuple enfin retrouvé et "uni", pour mieux se persuader de sa légitimité le "président" a balancé des invitations un peu partout à travers le monde… Ont déjà répondu à cette pathétique sollicitation Mariano Rajoy - en premier -, David Cameron, Matteo Renzi, David Tusk (moins connu, mais on s'en moque), Jean-Claude Juncker, mais aussi Angela Merkel, la malicieuse - se souvenant comment en 2012 Flanby lui rendant visite s'était pris les pieds dans le tapis, aurait-elle encore envie de se payer une tranche de rigolade ? -, Petro Porochenko, lui aussi en mal de légitimité en son Ukraine… On ne sait toujours pas si Abou Bakr al-Baghdadi al-Husseini al-Qurashi a reçu une invitation de son obligé… L'histoire ne dit pas non plus si le président de la Sainte Grande et Éternelle Russie Vladimir Poutine a été convié à la farce… Ramzan Akhmadovitch Kadyrov, le président de Tchétchénie, pourtant fort d'une incontestable expérience face à l'islamisme quant à lui on n'aurait pas même pensé à le solliciter…


SAVOIE, CHARLIE HEBDO, GENDARMERIE, FRANCOIS HOLLANDE, MANUEL VALLS, SIONISME, ISRAËL, MOSSAD, TSAHAL, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER






L'union nationale s'impose… un préalable une dissolution de l'Assemblée Nationale…


Selon un sondage exclusif Ifop/Paris Match, face au terrorisme qui menace le pays, une majorité écrasante de Français (97%) veulent se rassembler par-delà leurs différences :
"Les Français u-na-ni-mes. C’est assez rare pour le souligner et une magnifique leçon envoyée aux hommes politiques. Les résultats de l’enquête Ifop/Paris Match confirment ce besoin évident d’unité nationale ressenti depuis l’attentat perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo puis la folle traque des terroristes jusqu’en Seine-et-Marne et dans une superette juive porte de Vincennes à Paris. Bouleversés, 97% des Français approuvent cette volonté union nationale selon le sondage Ifop/Paris Match, réalisée les 9 et 10 janvier à la veille de la manifestation parisienne. 80% des Français jugent même ce rassemblement « tout à fait nécessaire ». Jeunes, vieux, diplômés ou pas, de gauche, de droite, tous veulent se rassembler. Y compris chez les sympathisants du Front national (72%)…"
L'Union nationale c'est une volonté politique… Ça ne passe pas par une marche opportuniste destinée à renforcer le pouvoir en place… L'union nationale ça suppose au préalable que l'on en crée les conditions : par une dissolution de l'Assemblée nationale… Que le pouvoir manipulateur soit pris à son propre piège… 

Toutes les conditions d'une dissolution sont plus que jamais réunies…

Une seule solution :
dissolution de l'Assemblée Nationale