Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 31 mai 2013

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD


[Cliquez sur le tableau pour l'agrandir]






Selon Kader Hamiche, l'ADIMAD aurait "tort d’appeler au boycott de « Au soleil des deux rives » du 2 juin à Nice"


Si je ne partage pas le point de vue de Kader Hamiche quant à cette réunion, je tiens à souligner que le blog de Kader Hamiche et certains des arguments développés dans l'article cité en référence restent pertinents, notamment cette invitation lancée aux Français d'Algérie et leurs enfants, toutes confessions confondues, à davantage participer à la vie politique française, je dirais même d'entrer dans une opposition radicale au régime en place et aux institutions de la république actuelle, déchet excrété par DeGaulle instaurant la dictature d'un parti unique - à l'origine le sien -, et dont la nocivité et l'obsolescence sont chaque jour de plus en plus manifestes… Sans le cloaque de cette 5ème république pourrie, il y a bien longtemps que Flanby aurait rejoint la poubelle des flans avariés et les francs-macs n'auraient point cette puissance de nuisance ainsi acquise dans des structures où quelque soit le vote des Français ils restent en permanence toujours les plus forts…


C'est plus un coq… c'est un cloaque !

Quant à la participation à cette réunion du 2 juin à Nice, pourquoi pas ? Mais un préalable : que cette saloperie de statue de l'infâme criminel compulsif DeGaulle soit déboulonnée… À moins que cette réunion ne devienne une joyeuse occasion de renverser cette merde qui reste une insulte permanente aux nombreux Français d'Algérie établis à Nice ou qui y sont de passage… Quant à renverser le degaulliste Estrosi, ça viendra en temps voulu…

Parmi les nombreuse réactions à l'article de Kader Hamiche, ici je n'en relèverai qu'une, celle qui me paraît la plus pertinente en soulignant mon adhésion totale aux mises au point faites en post-scriptum [quoique personnellement je ne dise jamais "réfugié" mais systématiquement "exilé"…  d'Algérie bien sûr] :


PAPADACCI Jean-Pierre dit : [28 mai 2013 à 12 h 32 min]

L’ADIMAD a raison d'appeler au boycott, les patriotes et les Français d’Algérie dignes de ce nom n’ont rien à faire dans « une kermesse » organisée, avec le soutien et les subventions du gaulliste Estrosi. Vous avez, comme beaucoup la mémoire courte, il n’y a rien à attendre des gaullards et vous vous faîtes le COMPLICE de leurs manœuvres de récupération électorale. Vos beaux discours et vos écrits ne les touchent pas ce qui les intéresse ce sont vos voix : vos bulletins de vote. C’est grâce à des gens comme vous que l’escroquerie gaulliste des Estrosi et consorts se perpétue, ils veulent bien dénoncer les crimes commis à l’encontre des Français d’Algérie mais ils ne prononcent jamais le nom du traître et du COUPABLE : DE GAULLE CHARLES.

Vous êtes libre d’accepter de côtoyer les héritiers et les admirateurs du gaullisme ne serait-ce que pour vendre quelques livres ! L’ADIMAD (qui refuse toute subvention) est libre d'appeler au BOYCOTT. Salutations françaises.

Jean-Pierre PAPADACCI.

PS : 1) Quand je dis "Français d’Algérie", j’y inclus naturellement les Harkis.

2) Je n’emploie jamais le mot "Pied-noir" terme péjoratif créé tardivement par nos ennemis.

3) Je n’emploie jamais le mot "rapatrié" mais le mot "réfugié". (Si vous acceptez le mot de rapatrié cela veut dire que vous n’étiez pas chez vous en Algérie !)


Guy Pervillé : Pour en finir avec les "Pieds-noirs" ! (2004)
Qu’on se rassure, mon intention n’est pas de prêcher une guerre d’extermination contre ceux de nos compatriotes qu’on appelle les « Pieds-noirs », mais seulement de combattre l’accréditation générale et sans examen d’une idée fausse, suivant laquelle les Français d’Algérie se seraient toujours appelés ainsi… [lire la suite de l'article]


Hommage public à Dominique Venner, ce vendredi 31 mai 2013



Dominique Venner n'était pas l'homme du désespoir ! Rendons lui cet hommage. Bien fol celui qui s'arroge le droit de le juger. Son acte, le haut lieu choisi, ses derniers écrits, peuvent nous choquer. Nous pouvons y voir un orgueil démesuré, un coup de folie ou que sais-je encore ? Dans un tel acte, l'homme garde tout son mystère et il est vain de vouloir comparer un tel acte à d'autres « similaires »... Nous dirons simplement que Yukio Mishima n'a pas réveillé la jeunesse japonaise.
Nous prions pour Dominique Venner et pensons fort aux siens.
Extrait d'un article de Portemont sur "Les Manants du Roi"

Pour lire la totalité de l'article :

Puisse-t-il reprendre sa grande quête…

http://www.lesmanantsduroi.com/index.php/quelle-societe/97-quelle-societe-8


On y trouvera inclus deux textes de l'abbé Guillaume de Tanoüarn, l'un écrit sur le choc de l'émotion le 21 mai, l'autre « Peur, quand tu nous tiens » - réponse à l'abbé Robinne et à quelques kozeurs...

http://ab2t.blogspot.fr/2013/05/peur-quand-tu-nous-tiens-reponse-labbe.html


Pierre Sidos : D. Venner, contempteur du nationalisme

jeudi 30 mai 2013

Les catholiques doivent entrer en Résistance !


Le 30 mai 1431 Jeanne d'Arc est brûlée vive à Rouen




Ni maçonnique, ni laïque, la France est catholique…





Le discours prononcé par Alain Escada, secrétaire général de Civitas devant plusieurs milliers de personnes rassemblées à Paris, Place des Pyramides, devant la statue de Ste Jeanne d'Arc, à la fin du défilé du dimanche 13 mai 2012.

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« Toute loi portée par les hommes n'a raison de loi que dans la mesure où elle découle de la loi naturelle.
Si elle dévie en quelque point de la loi naturelle, ce n'est alors plus une loi mais une corruption de la loi. »

Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique I, II, q 95, a 2

« Si donc il arrive aux dirigeants d'édicter des lois ou de prendre des mesures contraires à (l') ordre moral
et, par conséquent, à la volonté divine, ces dispositions ne peuvent obliger les consciences (…)
Bien plus, en pareil cas, l'autorité cesse d'être elle-même et dégénère en oppression. »

Notre Flanby national, ce mardi dans sa télé à ses ordres, nous a hoqueté une bien naïve explication… Entre moult spasmes, il aurait voulu nous faire entendre que le mot "résistance" est réservé à la Seconde Guerre mondiale et ne peut donc être utilisé par les défenseurs de la Famille… Et la Résistance de l’Europe asservie au communisme ? Nous ne pouvons point l'oublier. Et la Résistance des Français d’Algérie, toutes confessions confondues, unis dans l’OAS contre le FLN et le gaullisme ? Celle-là reste à jamais gravée dans nos chairs et nos mémoires… Et le Conseil national de la Résistance (CNR) fondé le 20 mai 1962 à Rome par Georges Bidault, Jacques Soustelle, Antoine Argoud, Pierre Sergent toujours pour lutter contre la lâcheté de la politique de renoncement de DeGaulle ? Ce CNR-là nous dit qu'un sursaut national viendra nécessairement… Une Résistance que nous écrirons désormais avec un "R" majuscule… Oui, entrons en Résistance… pour défendre la Famille et le droit des Enfants !

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L’abbé Blaïn du Poët écrit au Président Hollande…



Agressé par la police politique à Flanby pour délit de "bonne gueule"
Photo extraite du Portofolio de Louis Witter, reporter photographe :
26 MAI 2013 - "La Rue Qui Se Lêve"


Photo extraite du Portofolio de Louis Witter, reporter photographe : 26 MAI 2013 - "La Rue Qui Se Lêve"

Monsieur le Président, hier, comme de nombreux Français, je me suis rendu à Paris pour manifester, non contre des personnes, mais contre une loi inique que je combattrai autant que Dieu me prêtera vie. Je suis prêtre catholique et fier de l’être malgré mon indignité. Certains pensent que la place d’un prêtre n’est pas dans une manifestation. Dans ce cas, nous étions nombreux hier à n’être pas à notre place si j’en juge par les nombreux confrères croisés dans la foule, y compris certains évêques. Mais pourquoi ne serions-nous pas à notre place ? Ne vient-on pas chercher notre bulletin de vote quand il s’agit d’élection ? Sommes-nous devenus des citoyens de second rang ? La place du Pasteur est d’être avec son troupeau, surtout lorsque celui-ci est menacé par des lois qui visent à le détruire.

Il y a un mois, après une autre manifestation, j’ai écris à votre Ministre de l’Intérieur une lettre à laquelle il n’a pas daigné répondre. Dans cette lettre, je disais ceci : « En tant que prêtre catholique, je rencontre beaucoup de personnes, et notamment beaucoup de jeunes qui commencent à être à bout et qui pourtant sont très loin d’être des extrémistes. Je m’efforce, car c’est mon devoir, de les apaiser, mais je sens bien que cela ne va plus être possible très longtemps. Étant donné que vous êtes responsable de l’ordre intérieur du pays, je tiens à vous le signaler, afin que vous ne puissiez dire que vous n’étiez pas au courant. » Ces propos, je vous les adresse cette fois à vous, Monsieur le Président. Ces jeunes sont de plus en plus à bout, mais leur résistance n’est pas celle de ceux qui ont fait Mai 68 ! Ils ne sont pas violents, mais ils sont vigilants et ils veillent. Leur lutte est la défense de la vérité. Ma place est d’être parmi eux, de les former et de les soutenir dans la résistance qu’ils mènent pour préserver leur avenir.

« Les mots ont toujours un sens. Il faut leur donner leur signification. La Résistance, c’était par rapport au nazisme, à l’Occupation », avez-vous déclaré devant des journalistes à l’issue d’une visite au lycée Buffon. Depuis quand le terme “résistance” est-il réservé dans le dictionnaire à une époque de l’Histoire ? A-t-il un label 1939-1945 ? « Nul n’a le droit d’utiliser ces mots, dites-vous, pour défendre des idées –  si on peut appeler ça des idées – d’aujourd’hui. » Vous avez bien raison de souligner : « si on peut appeler ça des idées », car pour eux, à la différence de leurs aînés de Mai 68, il ne s’agit pas d’idéologie, mais de réalité, de vérité. Vous avez condamné ceux « qui utilisent les mots de la Seconde Guerre mondiale, la lutte contre le nazisme, à des fins qui n’ont plus rien à voir avec ce que ces mots, justement, ont signifié ». N’y a-t-il plus de dictature de nos jours ? Ou auriez-vous donc peur que ces jeunes vous accusent de dictature ? Trop tard, ils le font déjà, et ce n’est pas moi qui irai leur dire qu’ils ont tort.

Monsieur le Président, si les mots ont un sens, pourquoi le mot “mariage”, qui désigne l’union d’un homme et d’une femme, a-t-il perdu cette signification par votre seule volonté et celle d’un lobby ? Vous avez tout fait pour en pervertir le sens et ainsi permettre à une union qui n’a rien de naturelle d’en prendre le nom, et vous osez dire aujourd’hui à ces jeunes qu’ils n’ont pas le droit d’utiliser le mot de “résistance” ! Oui, Monsieur le Président, les mots ont un sens. Et si vous voulez me traiter d’homophobe parce que j’écris que cette union n’a rien de naturelle, je vous réplique tout de suite en vous disant que je ne m’attaque pas aux personnes (que je respecte), ce que signifie l’accusation d’homophobie, mais à des actes qui, que vous le vouliez ou non, sont intrinsèquement mauvais et ne peuvent en aucun cas être assimilés à l’union matrimoniale.

Monsieur le Président, ces jeunes je les aime et je suis prêt à mourir pour les défendre. Si je leur enseigne que le Christ a dit : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », je leur dit aussi que, par la voix du premier Pape, il a affirmé haut et clair : « Il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes ». Si vous vous attaquez aux jeunes et aux familles, alors il vous faudra d’abord passer sur mon corps et sur les corps de beaucoup de prêtres.

Recevez, Monsieur le Président, l’assurance de mon respect pour votre fonction
et de mes prières pour votre personne.

Abbé François-Marie Blaïn du Poët+


Diacre Keith Fournier : il est temps de rejoindre la nouvelle Résistance française…




mercredi 29 mai 2013

Flanby… Pol Pot… l'URSS… 1789 : rafles et élimination des élites, mêmes méthodes partout




Lettre ouverte d'un jeune officier au Président de la République après la rafle des Champs-Élysées du 25 mai 2013

Monsieur le Président de la République,

Jeune officier dans la Réserve Opérationnelle de l’Armée de Terre, arrêté arbitrairement lors de la Rafle des Champs-Élysées le 25 mai 2013 et détenu pendant 24 heures, je vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires. Le déshonneur que vous m’avez fait subir ne me permet plus de porter dignement le symbole de respect qui m’était consenti par la Nation.

Juriste dans le civil, diplômé de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr et d’un master 2 de relations internationales Sécurité Défense, je pensais être digne de la République en ayant su intégrer les valeurs et les vertus enseignées tout au long de mon éducation.

N’étant pas habitant de notre Capitale mais simple provincial, je me dirigeais vers la tombe du Soldat Inconnu afin de me recueillir auprès de nos aïeux tombés pour notre Liberté. Je remontais l’Avenue des Champs-Élysées lorsque des mouvements de foule m’ont interpellé. Je me suis naturellement rapproché de ce qui semblait être le centre d’une action de protestation. J’ai reconnu des drapeaux de « La Manif pour Tous ». Je ne voyais que des jeunes gens obstinés mais pacifistes.

Entrainé pour des missions de protection du territoire comme Vigipirate, je venais d’apprendre que l’un de mes camarades fut blessé sur le parvis de la Défense en effectuant sa mission quelques heures auparavant. Troublé par tant d’agitation parisienne, je restais spectateur et stupéfait de la violence avec laquelle nos forces de l’ordre agissaient contre ces jeunes. Les images parlent d’elles-mêmes. Je connais la difficulté de maîtriser une foule et je ne remets pas en cause les agissements individuels de notre Police qui exécute les ordres hiérarchiques.

Cependant, je suis indigné par les arrestations complètement arbitraires organisées à la veille d’une manifestation autorisée par la Préfecture.

J’ai été neutralisé alors que je n’étais que passant curieux et spectateur silencieux ! Un commandant me pointant du doigt et ordonnant à ses subordonnés de « m’embarquer » après un échange de regard… Était-il trop clair pour sembler innocent ? Ma coiffure d’officier leur semblait-elle trop courte pour incarner le simple badaud, pourtant chef de Piquet d’Honneur d’une commémoration quelques jours auparavant pour le 68ème anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945… les mots prononcés par le Préfet me résonnent encore à la lecture du message de Monsieur Kader Arif, Ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants qui a dénoncé les pratiques politiques des nazis sur les individus jugés indignes. La jeunesse française éduquée et instruite vous semble-t-elle indigne Monsieur le Président ?

Oui, nous pouvons parler d’une RAFLE. Organisée par vos services ce soir-là. Aucune de mes (nos) libertés n’ont été respectées. Arrêté sans aucune raison, je n’avais ni signe ostentatoire partisan, ni comportement agressif. J’ai été embarqué avec véhémence comme un vulgaire délinquant, sans aucune sommation, sans aucune explication, sans aucune considération. Je n’ose parler des conditions de détention. Vingt-quatre heures de garde à vue Monsieur le Président, permettez-moi de vous rappeler que « la force sans le droit rend la vérité abjecte ».

Je ne me permettrais pas de qualifier votre opération de rafle si des arrestations massives et improvisées n’avaient pas été constatées. Ces vingt-quatre heures de détention ont au moins eu le mérite de permettre l’échange avec mes codétenus… les nombreux cadres dirigeants et étudiants supérieurs qui m’entouraient me faisaient penser à ces élites que l’on enferme par crainte qu’ils deviennent des vecteurs de conscience.

Déshonoré par ces méthodes, je suis profondément blessé et vous prie de vouloir bien me retirer mes décorations militaires qui me rendaient fier d’incarner l’Amour profond de Notre Patrie et les devoirs qu’elles impliquent.

« On meurt pour une cathédrale non pour des pierres, pour un peuple non pour une foule. On meurt par amour de l’homme s’il est clé de voûte d’une communauté, on meurt pour cela seul dont on peut vivre », Antoine de Saint-Exupéry.

Afin de vous faciliter les démarches administratives, puisqu’ayant subi des retards répétitifs relatifs à ma solde, je prends bien naturellement des précautions d’usage en vous transmettant mon identifiant défense, communément appelé, le matricule : 0xxx020120.

Vous remerciant par avance pour votre Diligence,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de mon profond respect.



Massacre de Katyń

Au Grand-Bornand, sur les pentes du hameau haut-savoyard du Bouchet, au lieu-dit « La Peserettaz », depuis le 24 août 1944, trône une étrange nécropole…



Robert Ménard : Au tréfonds du Premier Homme… Un Appel !

Les "Veilleurs Corses" entrent eux aussi en résistance…




Monseigneur de Germay félicite et encourage l'assemblée des Veilleurs




Au pied de la Cathédrale d’Ajaccio, à quelques encablures de la Mer, une petite foule s’agrège doucement. Il fait un peu froid : ce ne sont pas les températures de saison. Pourquoi donc se réunir ? Parce qu’il faut résister, parce qu’il faut veiller. On trouve là des personnes de tous âges mais toutes réunies par cette conviction que la loi ouvrant le mariage (et implicitement la filiation) aux homosexuels est une menace.

Arrivé en milieu de soirée, Monseigneur de Germay est venu féliciter et encourager les participants qui s’étaient réunis alors que la loi Taubira a pourtant été votée : "Tout ce qui a été fait n’a pas été inutile. Cela a permis de voir sortir une nouvelle génération qui lutte contre l’idéologie du genre. Soyez des éveilleurs de conscience, luttez contre la destruction de la famille. C’est le sort des plus faibles qui est en jeu. Je suis avec vous."

Soutenue par le Diocèse d’Ajaccio, cette initiative de laïcs n’en était pourtant pas une émanation. Cette soirée s’est voulue respiration pour protéger la famille et le mariage naturels avec pour armes le chant, la méditation, le refus pacifique. Un mot d’ordre : "ne pas courber l’échine  : le monde a besoin de cette flamme. L’espérance sème à tout vent au milieu du chagrin. Mais elle donne sens à la vie"

Si ce collectif des Veilleurs Corses est pour le moment circonscrit à Ajaccio, d’autres mobilisations, à l’image de celle organisée vendredi soir dans la Cité Impériale, devraient prochainement voir le jour. Et peut-être s’étendre à l'avenir à d'autres secteurs de l'île de Beauté.

Les "Veilleurs Corses" entrent en résistance contre le mariage pour tous !

Création des Veilleurs d’Ajaccio

Les Veilleurs rallument la flamme de l’espérance

Monseigneur de Germay : « Soyez des éveilleurs de conscience, luttez contre la destruction de la famille »

mardi 28 mai 2013

Le franc-maçon Valls intensifie les rafles contre les catholiques…



Raflé par la police politique du franc-maçon Valls, ce jeune catholique tend son chapelet
à travers les vitres du fourgon de police qui le conduit dans les geôles de la république

Lors de la nuit des Veilleurs du 26 mai, des centaines de jeunes catholiques et leurs amis ont été sauvagement raflés par la police politique de Manuel Valls. En témoignage, une magnifique et symbolique image (merci le Salon Beige !) prise ce dimanche soir montrant un de ces "dangereux extrémistes" brandissant un chapelet, son “arme de destruction massive”, embarqué vers les geôles de la station de police de la rue de « l’Évangile » (cela ne s’invente pas !)… Tout est dit dans cette photo… Quelle émotion… Quelle tristesse… Une scène qui ne peut qu'évoquer 1789 et les sanglantes années qui ont suivi ! Des rafles qui ne cessent de se répéter et s'intensifient…


Le Salon Beige - Rétentions arbitraires : l'État va être poursuivi en justice

La Voix de la Russie : Numéro spécial dédié à la "Manif pour tous" du dimanche 26 mai 2013


Alerte : cet enregistrement est resté bloqué pendant 12 heures par l'hébergeur de la Voix de la Russie, sans que ses services techniques daignent donner la moindre réponse à de nombreuses réclamations. Cet hébergeur serait-il français ou sous influence française ?



Sommaire de cette édition du 27 mai 2013 :

Numéro spécial dédié à la Manif pour tous du 26 mai 2013

lundi 27 mai 2013

Samedi 1er juin, la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) ordonne cinq de ses diacres…



Le district des États-Unis de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) verra cinq de ses diacres du Our Lady of Guadalupe Seminary de Denton (Nebraska) ordonnés prêtres le 1er juin prochain en la cathédrale du Risen Christ de Lincoln (Nebraska) par Mgr James D. Conley, évêque.

Mgr James D. Conley, en 2009, alors évêque auxiliaire de Denver

La cérémonie d’ordination sacerdotale sera retransmise en direct sur LiveMass.net, un apostolat de la FSSP aux États-Unis sur le net.

Rappelons que cette messe d'ordination pourra être suivie en direct, comme d'ailleurs la messe de chaque jour en direct puis en différé, à l'adresse :