Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 27 janvier 2013

Flanby et ses séides gaullo-FLN fomentent un nouvel attentat contre Jean-François Collin…


Selon un communiqué du Comité Veritas, le gaullo-FLN Flanby avec la complicité d'un de ses valets minhistrion s’apprêterait à signifier à notre respecté président de l'Adimad, Jean-François Collin, sa radiation de la Valeur militaire… Une décision hautement imbécile qui illustrerait parfaitement la vision politique traditionnelle des socialistes. Si la Légion d’honneur est décernée sur des critères subjectifs voire partisans, la preuve en est les récentes promotions d’un imam islamiste notoire et d’une menteuse manipulatrice professionnelle, la Valeur militaire repose, elle, sur des faits, des actes précis et reconnus de bravoure face à l’ennemi, en l’occurrence l’ennemi FLN ! Acte de bravoure de Jean-François Collin en temps de guerre dont le prix reste une mutilation irréversible… Comment nier des faits ? Seuls des illusionnistes socialistes déconnectés des réalités peuvent oser une telle aberration… Une radiation qui ne serait donc que du vent… Du vent de haine… Un vent nauséabond… Un pet ! Une incongruité qui ne pourrait que disqualifier un peu plus leurs auteurs, les déshonorer… "Un peu plus, un peu moins", direz-vous… après l'inqualifiable discours à Flanby devant le Parlement algérien désormais tout est possible en ce malheureux pays, la France…

Le gaullo-FLN Flanby à Alger en décembre 2012…
Encore tout débraillé après une déculottée…

Communiqué du Comité Veritas

Avons-nous atteint le fond ?

Avec la décision de retirer la Croix de la Légion d’Honneur à notre ami Jean-François COLLIN, nous croyions que rien ne pouvait plus désormais nous surprendre de la part de nos ennemis, nous disons bien « ennemis » parce que c’est de cela qu’il s’agit dorénavant, d’ennemis qui nous ont déclaré une guerre ouverte à travers, non pas une, mais deux offenses maintenant !

En effet, nous venons d’apprendre l’impensable. Au pays des droits de l’Homme, une sanction pour DÉLIT D’OPINION : Le Ministre de la Défense LE DRIAN s’apprête à signifier à notre ami le retrait de la « Croix de la Valeur Militaire » qui lui a été décernée en tant que grand mutilé de guerre à titre définitif !

Vous avez bien lu, et cette déconcertante nouvelle est officialisée par le responsable du bureau des décorations du Ministère questionnée par notre amie Éliane SALLABERRY qui n’a pu obtenir la raison d’une telle décision.

Qu’en dire sinon que ces sordides décisions ne sont que le reflet de la haine que nous prouvent tous les jours ces tenants de la décadence de la France, ces responsables du malheur de toute une communauté trahie qui n’en finit plus de les subir ?

Et, parallèlement, sont décorés des porteurs de valises et un Imam islamiste notoire. Alors nous sommes en droit de nous poser certaines questions quant aux nouvelles « valeurs » de cette société qui sanctionne ses patriotes et encense les traitres en temps de guerre et même un « cheval de Troie » !

Allons-nous réagir, et comment ? Ou avons-nous atteint définitivement le fond ? Vous pouvez tous écrire à M. Le Drian et à M. Georgelin l’indignation que vous avez ressentie à cette nouvelle. Vous pouvez tous apprendre au Ministre de la Défense et au Grand Chancelier de la Légion d’Honneur, que si nous sommes toujours en démocratie, le délit d’opinion n’existe pas dans le droit français et que M. Collin n’a pas commis d’autre faute que celle d’exprimer un avis que nous partageons tous, à savoir que De Gaulle est le plus grand traître de l’Histoire :

Ministère de la Défense : 14 rue Saint Dominique 75007 PARIS

Chancellerie Légion d’Honneur : 1 rue Solférino 75700 PARIS SP7

PROTESTEZ ! ÉCRIVEZ ! PROUVEZ QUE LE FOND N’EST PAS ATTEINT !

Jean-Marie AVELIN, président
Geneviève de TERNANT, vice-présidente
Alain ALGUDO, vice-président
Anne CAZAL, déléguée générale
Alain AVELIN, délégué à la communication

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À propos de la déculottée de Flanby en Algérie…


Lettre ouverte du président du Cercle national des Rapatriés à François Hollande

Combien de fois vous ai-je entendu dire que vous êtes le président « de tous les Français » et un « homme de dialogue » ? Vous êtes exactement l’inverse : un homme sectaire. Votre « discours d’Alger » n’a été qu’un réquisitoire haineux contre l’œuvre magnifique de la France en Algérie.

Je ne vous pardonnerai jamais d’avoir ainsi souillé la mémoire de mes aïeux qui, à la sueur de leur front, avaient bâti ce merveilleux pays. Combien de pionniers sont morts, épuisés par leur travail et les maladies ? Vous n’avez même pas eu cette décence de le reconnaître, de parler de ce peuple cosmopolite – français, berbère, arabe, espagnol, italien, maltais, juif – tous Français d’Algérie, de peur de vexer vos hôtes…

Je ne vous pardonnerai jamais d’avoir également travesti la vérité historique. Vous vous êtes comporté d’une façon indigne de votre fonction, comme un procureur partial, pour condamner la France. Vous avez parlé de la « souffrance du peuple algérien » en omettant volontairement de parler de la nôtre de souffrance. Notre seul « tort », c’est d’avoir aimé viscéralement notre terre natale. Le félon, De Gaulle, avait déjà fait de nous non pas des Français à part entière, mais des Français entièrement à part, autant dire des parias.

Vous avez évoqué la « torture ». Celle « pratiquée » par la France, bien sûr… Eh bien, oui, je l’avoue, si j’avais eu à le faire, je l’aurais fait pour sauver des centaines de vies d’innocentes victimes, hommes, femmes et enfants. Vous occultez les horreurs barbares du FLN.

Vous avez glorifié les traîtres, les collabos, les porteurs de valises, en citant quelques noms, dont celui de Germaine Tillon, mais vous avez omis d’y ajouter le camarade Yveton, gazier de son état, qui déposa une bombe dans un vestiaire de l’EDF, Yveton que votre idole, le président Mitterrand, fit condamner à mort.

Comment osez-vous parler de « vérité historique » en ne condamnant que la France ? Sans jamais dénoncer les attentats commis par le FLN, les assassinats de dizaines de milliers de harkis, les milliers de disparus d’Oran lâchement abandonnés depuis cinquante ans. Ces otages dont personne ne parle. Vous écrivez l’Histoire en vous référant à l’« historien » Benjamin Stora qui a quitté l’Algérie à l’âge de dix ans…

Je ne vous pardonnerai jamais d’avoir insulté ces civils et ces militaires qui ont combattu pour la France et pour l’honneur de la France.

Je ne vous pardonnerai jamais votre lâcheté : sans prononcer le mot de « repentance », vous avez fait pire encore. Quant à moi, septuagénaire, tant que Dieu m’en donnera la force, je me battrai pour que la vérité historique soit dite et que soit reconnue l’œuvre positive de la France en Algérie. Je suis fier de mes ancêtres qui, d’un désert, ont fait un paradis devenu, depuis son abandon par la France, un enfer d’où la jeunesse ne rêve que de s’enfuir pour retrouver en France ses « persécuteurs ». Cherchez l’erreur…

André Vidal, président du Cercle national des Rapatriés



Georgelin se cassera la gueule dans les Pyrénées le 18 août 2023… De ce salopard rien d'autre à retenir que cette radiation de la Légion d’Honneur de notre ami Jean-François Collin, président de l’Adinad…



jeudi 24 janvier 2013

Lettre ouverte au "général" Georgelin, la honte… Honneur à Jean-François Collin…





De Jean-Pierre PAPADACCI : LETTRE OUVERTE AU GÉNÉRAL GEORGELIN

Monsieur,
J’avais déjà peu de considération pour l’officier qui, ayant fait principalement carrière dans les écoles, les états-majors, les cabinets de toutes sortes et peut-être même les loges, avait atteint le plus haut grade et la plus haute fonction de l’armée française.
J’avais ressenti de la honte lorsque, faisant fi de toute modestie et de toute dignité, vous aviez accepté de devenir le premier grand chancelier, d’origine militaire, dépourvu de tout titre de guerre. Je pensais avoir tout vu mais je me trompais. À l’arrivisme et à l’outrecuidance, qui vous caractérisent, vous avez ajouté l’infamie d’une décision : l’exclusion d‘un Français exemplaire de l’Ordre de la Légion d’Honneur.
Je vous tiens pour l’unique responsable de cette sanction injuste et partisane. Vous êtes responsable car, en décidant de saisir le conseil de l’ordre, vous avez obéi immédiatement à la délation d’un Gavoury qui vous sommait par communiqué de presse d’ouvrir une procédure disciplinaire. Vous êtes responsable car vous avez qualifié des propos libres et incontestables (déjà maintes fois tenus et écrits contre De Gaulle Charles par de nombreuses personnalités appartenant à l’ordre, sans entraîner aucune sanction) en un acte contraire à l’honneur et vous avez choisi la sanction la plus grave envers un patriote irréprochable, OFFICIER décoré et blessé au combat. Vous êtes responsable car vous n’avez pas eu pour Jean-François Collin l’indulgence qui fut accordée à un ancien président de la République et à un ancien Premier ministre, pourtant tous deux repris de justice. Vous avez attendu un an avant de rendre publique votre sanction infamante sans avoir eu la correction d’en informer auparavant le premier intéressé. Bien que général, vous vous êtes dispensé d’une tradition et d’un vieil usage de l’armée qui demande que toute sanction soit notifiée à l’intéressé mais aussi clairement motivée. Et vous y avez ajouté la maladresse, pour ne pas dire la perfidie, de faire coïncider l’exclusion de Jean-François Collin avec l’annonce d’un wagon de promotions de “favoris” du pouvoir comprenant, entre autres, l’imam marocain de Bordeaux et une avocate qui s’était illustrée dans la défense des terroristes du FLN.
Certes votre sanction inique et sans appel, dans la droite ligne des tribunaux militaires d’exception gaullistes qui firent exécuter, emprisonner, limoger, dégrader et déchoir les Patriotes Résistants de l’Algérie Française, restera sans effet sur un HOMME qui a toujours fait passer l’HONNEUR avant les honneurs. Mais elle constitue néanmoins une PROVOCATION et un véritable OUTRAGE envers les Français d’Algérie et tous les patriotes qui cultivent encore une haute idée de la PATRIE et de L’HONNEUR. Une telle décision, qui révèle parfaitement au grand jour votre conception sordide et courtisane de l’HONNEUR, ne pouvait rester sans riposte c’est pourquoi je tiens à vous exprimer, par la présente mon indignation doublée de mon plus profond mépris.
Veuillez agréer, Monsieur, les salutations françaises que m’impose la courtoisie.


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Caroline Fourest décorée par le régime socialiste, tout comme l'imam Tareq Oubrou ! … À quand le tour à Florence Cassez, compagne d'un voyou ?

La récipiendaire a-t-elle invité ses amies Femen chez le ministre de la Culture ?
Dans l’agenda du ministre de la Culture, Aurélie Filipetti, on pouvait lire à la date du 17/01/2013 : « Cérémonie de remise des insignes de Chevalier de l’ordre de la Légion d’Honneur à … … Caroline Fourest, journaliste, essayiste et chroniqueuse. »
Caroline Fourest, récemment condamnée pour diffamation et notamment dénoncée dans Les intellectuels faussaires : Le triomphe médiatique des experts en mensonge de Pascal Boniface, directeur de l’Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS), comme une « experte en mensonges ». Distinguée tout spécialement par le régime socialiste.



Thomas Piketty refuse la Légion d'honneur et tacle le gouvernement



Georgelin se cassera la gueule dans les Pyrénées le 18 août 2023… De ce salopard rien d'autre à retenir que cette radiation de la Légion d’Honneur de notre ami Jean-François Collin, président de l’Adinad…




mardi 22 janvier 2013

La Voix de la Russie : "Hollande ne sait plus ce qu'il a dit, alors sait-il encore ce qu'il fait ?"





Bienvenue pour cette nouvelle édition du journal télévisé de La Voix de la Russie. Ce rendez-vous hebdomadaire en français vous présente les actualités russes, françaises et internationales sous l’angle de la réinformation. Contrairement à une vision tronquée et manichéenne de l’information délivrée par le mainstream médiatique français, nous nous efforcerons de vous faire percevoir que la vérité n’est jamais toute entière du même côté…

Au sommaire de cette édition du 21 janvier 2013 :

- L'Islam : des données bien différentes en France et en Russie
- Immigration : les rois de France exilés dans leurs tombeaux pendant que Vladimir Poutine protège la Russie
- Piraterie en Somalie : Quand la France casque, la Russie cogne !
- Mali : Hollande ne sait plus ce qu'il a dit, alors sait-il encore ce qu'il fait ?
- Théâtre du Châtelet : rencontre inspirée entre la haute couture française et le ballet classique russe

En bref et en détail :

- Syrie : la presse indépendante assassinée, à qui profite le crime ?
- Épiphanie en terre orthodoxe : entre la pureté et la glace

lundi 21 janvier 2013

Messes pour Louis XVI… 2013… la Dérévolution de la France, bientôt une réalité


"Louis XVI" 2013 !...

Les Français ont un Roi ! Qu'attendons-nous pour l'appeler ?
« Je suis au service de la France et si les Français le veulent, je serai toujours là », Louis XX

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Les Messes pour Louis XVI, dites partout en France - et à l'étranger - depuis 1793, ne sont plus de pure commémoration. Elles doivent aussi, elles doivent surtout, pour aujourd'hui, nourrir le processus de Dérévolution dont la France a besoin pour renouer avec son Histoire, se replacer dans le droit fil de sa trajectoire historique et, s'il se peut, reprendre, un jour, sa marche en avant.

Pendant bien des années, en effet, tous les 21 janvier, les Messes pour Louis XVI étaient, essentiellement, commémoratives.

Les dernières de cette longue série, que l’Action française était presque seule à maintenir, ne réunissaient plus, du moins en province, malgré une fidélité remarquable des participants, que peu de monde ; elles étaient plutôt tristes ; souvent, le célébrant ne disait pas un mot du roi Louis XVI ; ces Messes avaient un air de naufrage du grand souvenir qui les motivait.

Les choses ont bien changé depuis déjà quelques années.

Il semble qu'elles aient basculé, pour un certain nombre de raisons assez identifiables, autour des années 1987, 1989 et 1993...

1987, c'était le millénaire capétien où le comte de Paris prit l'heureuse décision de titrer, avec solennité, ses petits-fils Jean et Eudes, ducs de Vendôme et d'Angoulême ; de désigner le prince Jean comme devant reprendre le flambeau de la Famille de France et de la tradition royale. Par là, il semble qu'il rouvrait à l'hypothèse monarchique un horizon nouveau...

1989, ce fut l'échec patent des commémorations de la Révolution.

1993, deuxième centenaire de l'exécution de Louis XVI, ce fut, grâce à l'action de quelques uns (Jean Raspail, Marcel Jullian, Jean-Marc Varaut…) l'occasion d'un procès en règle de la Révolution, de ses horreurs, de l’exécution du Roi et de la Reine, du martyre de Louis XVII, de la Terreur, du génocide vendéen...

Quelques uns encore (Jean-Marc Varaut, Alain Besançon, Jean-François Mattéi) ont développé l’idée que cette révolution était la matrice des horreurs révolutionnaires et totalitaires qui ont marqué tout le XXème siècle. Ainsi, le rejet de la Révolution commençait à s’inscrire dans notre modernité. Et aboutissait, de facto, à la remettre en cause. On sait que, depuis, cette remise en cause est pratiquée aussi par des intellectuels issus de la gauche, parmi les plus éminents.

Au cours des années qui ont suivi, la redécouverte progressive de notre histoire monarchique par un certain nombre d’intellectuels, mais aussi dans la presse, les médias, et, finalement, une frange non négligeable de l’opinion française, s’est faite, de plus en plus, de façon non plus négative, mais positive.

Un certain basculement de ce que Barrès nommait « les puissances du sentiment » s’est produit, en France, à partir de 1987 jusqu’à aujourd’hui, l’on ne peut plus parler ni de la Révolution ni de notre passé monarchique, après, comme on en parlait avant…

Ce n’est sûrement pas une coïncidence, si, simultanément, dans toute la France, les Messes du 21 janvier ont pris, de façon a priori surprenante, un nouveau visage. Les assistances sont devenues nombreuses, ferventes, priantes ; les prêtres sont devenus sensibles à l’exemplarité du Roi et de la Reine, au sort indigne infligé à Louis XVII, aux conséquences sociales, politiques et, même, religieuses de la Révolution. Ces Messes ont cessé d’être des Messes d’enterrement. Elles ont retrouvé un sens. La liturgie y est, souvent, redevenue très belle et la présence des Princes, à Paris, comme en Province, donne à ce qu’elles commémorent une incarnation qui pourrait être utile au temps présent.

C’est ainsi que les Messes pour Louis XVI contribuent symboliquement et effectivement au processus de dérévolution. Processus dont la France a besoin pour rompre le cycle schizophrène qui, depuis deux siècles, l’a coupée d’elle-même.

Nous avons la chance historique – pour la première fois depuis fort longtemps – que les Princes de la Maison de France, y soient, à titre éminent, partie prenante.

Si nous savons contribuer à activer et amplifier ce processus, tout simplement, nous serons utiles, non à notre propre plaisir, mais à notre Pays.


Voici une liste, bien loin d'être exhaustive, de ces Messes...

N.B. : Devant la difficulté de recenser, dès à présent, toutes les Messes qui seront dites cette année 2013 en la mémoire du Roi Louis XVI, il peut être opportun de consulter le programme des Messes dites l'an dernier :

Lundi 21 Janvier 2013

(Messes, seulement)

Paris : - 12h15, Saint-Germain-l'Auxerrois.

- 18h, St Nicolas du Chardonnet (5ème).

Saint-Denis : 12h00, en la Basilique Saint-Denis.

Marseille : - 19h, Basilique du Sacré-Coeur, avenue du Prado.

- 18h30, Eglise Saint Pie X, 44, rue Tapis Vert (1er).

Montpellier : 18h, Chapelle des pénitents Bleus, rue des Étuves.

Béziers : 18h, Église des Pénitents, rue du 4 Septembre.

Bordeaux : 19h, Eglise saint-Bruno (tram ligne A).

Fabrègues : 18h30, Prieuré Saint-François de Sales, 1 rue Neuve des Horts.

Lyon : 18h30, Église Saint-Denis de la Croix-rousse.

Grenoble : 18 h, Collégiale saint-André.

Toulon : 18h30, Paroisse Saint-François de Paule. Messe célébrée par Mgr. Rey, évêque de Fréjus-Toulon.

Mulhouse : 19h30 en l'église Saint-Etienne.

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Manifestations organisées d'autres jours que le 21 janvier

Samedi 19 janvier

Le Planquay (Eure) : 11h, Messe, Église du Planquay.

Louailles (Sarthe) : 11h, Messe, Église de Louailles.

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Dimanche 20 janvier

Amiens : 10h30, Chapelle, 195 rue Léon Dupontreué.

Nice : Journée-hommage (Messe, Déjeuner, Conférence) : renseignements 04 93 81 22 27

Nancy : 9h25, Église Saint Pierre, Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny.

Fête des Rois de l’U.S.R.L. et de La LORRAINE ROYALISTE à partir de 12 h. Repas suivi de la galette traditionnelle, Restaurant « Chez Maître Marcel » (au coin des rues Raymond Poincaré et de l’Armée Patton à Nancy). Allocutions de Jean-Marie CUNY, Jean-Paul LUPORSI, Philippe SCHNEIDER. Inscrivez-vous dès maintenant à La Lorraine Royaliste, 22 rue Victor Hugo, 54000, Nancy ou téléphonez au 06 19 19 10 69.
Inscription impérativement pour le 15 Janvier au plus tard.

Nantes : * 12h30 : Dépôt de Gerbe en hommage à Louis XVI et aux victimes de la Révolution.

* 13h15 : Repas à la Taverne du Château : 23 Allée Commandant Charcot (PAF : 23 euros. Inscription obligatoire par mail : urbvm@hotmail.fr )
* 15h : Conférence de Gérard Bedel : Louis XVI ou la tragédie de la Vertu. (PAF pour ceux qui ne déjeunent pas sur place : 2 euros).

Belloy (Oise) : 11h, Messe, Église de Belloy.

Paris : Marche aux flambeaux en hommage à Louis XVI. Rendez-vous devant l’église de la Madeleine à 18h00 précises.

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Samedi 26 janvier

Nîmes : 11h, Messe, Église Sainte Perpétue

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Dimanche 27 janvier

Chemillé ( Maine-et-Loire) : 10h30, en la chapelle Saint-Joseph, 14 rue du Presbytère.


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Albert Camus le meurtre du roi-prêtre.pdf
L’homme révolté (La Pléiade, pages 528/529)

"Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Évangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt, mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau."

Quand les lys blancs refleuriront 1934
Vive Louis, notre Roi légitime !



lundi 14 janvier 2013

La Voix de la Russie était présente à la "Manifestation pour tous" ce dimanche 13 janvier




La Voix de la Russie nous propose cette semaine une émission spéciale consacrée à la "Manifestation pour tous", organisée ce dimanche 13 janvier à Paris, contre le mariage homosexuel et l’adoption par ces couples.

Voici les personnalités qui se sont exprimées au micro de La Voix de la Russie lors de ce défilé ayant rassemblé plus de 800 000 personnes :

• Thierry Mariani, Député de la 11e Circ. Des Français de l’Étranger – Droite Populaire
• Carl Lang, Parti de la France – ancien député européen
• Marc Laffineur, UMP – Ancien secrétaire d’État à la Défense
• Claude Greff, UMP - Secrétaire d'État chargée de la Famille
• Alain Escada, Président de Civitas
• Patrick Balkany, Député de la 5e Circ. des Hauts-de-Seine
• Bruno Gollnisch, Front National - Député européen
• Jean-François Lamour, UMP - Député de la 13e Circ. de Paris
• Alain Chanclu, Président du Collectif France Russie
• Jean-Claude Martinez, ASIREF – ancien député européen
• Henri Guaino, Député de la 3e Circ. des Yvelines
• Jacques Bompard, Député de la 4e Circ. du Vaucluse, Maire d’Orange
• Christian Jacob, Président du groupe UMP à l’Assemblée Nationale


N.B. : Les commentaires qui accompagnent chaque semaine ce journal sont tout aussi édifiants que le journal lui-même… Pour lire ces commentaires reportez-vous sur le site Prorussia.tv… Vous ne serez pas déçus, il existe encore des Français qui ne sont pas des veaux  !

dimanche 13 janvier 2013

Quand Flanby s'en va-t-en guerre… Un zapping spécial Iran : cherchez les terroristes…




Christian  Vanneste : "Stop à l'arrogance des nuls"…



Le duo de nuls Peillon/Vallaud-Belkacemun : "un talent pour les gaffes qui confine au génie"


La gauche liberticide : stop à l'arrogance des nuls

Une règle semble s’établir : plus le gouvernement démontre son incompétence, plus il affiche son mépris pour ceux qui le contestent. Sa suffisance n’a d’égale que ses insuffisances, comme dit la sagesse populaire. Il est logique que le Porte-Parole du gouvernement figure en bonne place dans la série. Prise la main dans le sac pour avoir fait de la propagande en faveur du « mariage » homo dans un collège public, et chacun peut la voir et l’entendre sur une vidéo, elle ose accuser Christine Boutin, qui s’en offusque à juste titre, de « manipulation grossière ». Sa justification consiste à prendre les Français pour des imbéciles. Elle était là dans le cadre de la lutte contre l’homophobie, dit-elle. Traduire : on peut faire la promotion du « mariage » unisexe dans les établissements publics parce que çà rentre dans le cadre de la lutte contre l’homophobie. On ne peut pas l’évoquer dans les établissements catholiques, parce que cela favoriserait l’homophobie, ce que n’a pas manqué de dire l’inénarrable Peillon. Ce déni infantile a le mérite d’un double dévoilement : c’est d’abord l’expression d’un refus de la démocratie et du pluralisme qu’elle exige. La gauche qui sévit en France est idéologique et intolérante. C’est ensuite la démonstration sans doute involontaire que la lutte contre l’homophobie peut être le Cheval de Troie du prosélytisme homosexuel.

Dans le duo Peillon/Vallaud-Belkacem, chacun aura reconnu un morceau d’anthologie : l’arroseur arrosé. L’impayable Peillon, qui n’a rien appris, ni rien oublié depuis Ferdinand Buisson, voulait donner une leçon de laïcité à une école catholique, qui, par définition n’y est nullement tenue et il se prend en pleine figure la démonstration de l’absence de neutralité d’un Ministre de la République dans un établissement de l’enseignement public. Il faut d’ailleurs reconnaître à notre Ministre de l’Éducation Nationale, un talent pour les gaffes qui confine au génie. On peut compter sur lui pour rallumer les mèches ou les pétards qui s’éteignent. C’est ainsi qu’il avait souhaité rouvrir le débat sur la légalisation du cannabis. Dans les deux cas et chez nos deux ministres, les mots sont les mêmes : il faut « avancer », « arracher » les préjugés familiaux de la tête des enfants, la France ne doit pas être « retardataire ». Le bon sens, c’est le cas de le dire, nous enseigne pourtant que la marche arrière est bien utile pour sortir d’un sens interdit dans lequel on s’est engagé par absence de « précaution ». Les propagateurs de la pédophilie libérée des années 70 en sont le vivant témoignage, eux, qui parlent beaucoup, mais refusent qu’on en reparle. Le bon sens familial aura tendance à dire aux Ministres : mêlez-vous de vos affaires et les vaches seront bien gardées. Quant à la France, depuis le temps que la droite et surtout la gauche lui font descendre les marches, elle aurait bien envie d’en remonter quelques-unes.


En pointe de cette vague, il y avait Duflot, cette géographe spécialiste de l’environnement qui situait le Japon et son terrible Tsunami dans l’hémisphère austral. Elle avait, elle aussi, plaidé pour la légalisation du cannabis pour des raisons écologiques mystérieuses et participé à la cathophobie gouvernementale en dénonçant l’égoïsme foncier de l’Église, pourtant engagée au premier chef dans l’aide aux sans-logis. Le Président de la République avait d’ailleurs, sans doute par souci de cohérence dogmatique, fait retirer le portrait de l’Abbé Pierre de la tribune sur laquelle il intervenait lors d’une visite à Emmaüs. Le locataire de Matignon, lui qu’on accuse à tort de ne pas savoir diriger son gouvernement, a pourtant su donner le sens de la marche. Il n’y a personne qui sache, comme lui, se prendre les pieds dans le tapis avec autant d’assurance et de constance. « Minable » avait-il dit de Depardieu à propos du départ de celui-ci pour la Belgique, le pays de Waterloo. Il n’a pas pensé un seul instant que Depardieu était un artiste mondialement connu, et qu’on le veuille ou non, associé à l’image de la France. Il a donc réussi ce coup de la gaffe à trois bandes : d’abord, dire au monde entier que notre matraquage fiscal en constante évolution était un piège qu’il fallait à tout prix éviter, ensuite dire aux Russes soucieux de démocratie que leur système pouvait être jugé préférable au nôtre, enfin susciter chez Gégé ce rôle grandiose du Bouffon, au sens le plus noble du terme, c’est-à-dire de celui qui peut dire au roi qu’il est grotesque quand il l’est. Son exil au pays de la Bérézina est une provocation jubilatoire qui devrait aider le pouvoir à être lucide : il n’est pas à la hauteur de sa prétention.



Communiqué du Rassemblement Pour la France : tous à Paris ce 13 janvier !

Le Rassemblement Pour la France appelle tous ses militants et sympathisants à participer à la manifestation du 13 Janvier à PARIS pour protester contre le Projet de Loi visant à instaurer le « mariage » entre personnes de même sexe et l’adoption par des « couples » homosexuels. La présence massive des Français et des Françaises dans les défilés sera un acte de résistance :

- contre un gouvernement de plus en plus sectaire qui affaiblit, divise notre Pays, et met en péril la Liberté d’expression.

-contre un pouvoir qui par tactique ou par aveuglement idéologique sert les intérêts d’un lobby ultra-minoritaire, et pourtant très puissant au détriment du Bien Commun.

-pour défendre le droit des enfants qui vont naître ou être adoptés de bénéficier de l’accueil équilibré et équilibrant d’un Père et d’une Mère.

-pour mettre en valeur l’écologie humaine du mariage qui unit dans l’égalité et le respect mutuel les deux sexes qui composent l’humanité et la perpétuent.

-pour rappeler que la France, notre Nation a, pour son avenir, d’abord celui de ses enfants, un besoin vital d’une institution familiale solide et que l’État n’est lié à la famille que dans ce but et non pour reconnaître des sentiments privés.

-pour exiger enfin que le Président de la République et le Parlement vérifient par référendum que les Français les ont bien élus pour pratiquer ce contre-sens anthropologique.

Christian VANNESTE, Président du Rassemblement Pour la France.