Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 8 mai 2012

ปอยส่างลอง - Poï Sang Long : gloire et humilité des garçons de cristal, vers Mae Hong Son


En langue shan, Poï Sang Long signifie « glorifiation des garçons de cristal » [Buad Luk Kaew]. L’origine de cette cérémonie relève de la légende bouddhiste. Le Prince Rahula, fils de Bouddha, décida un jour de tout quitter et de suivre les traces de son père pour bénéficier de son enseignement spirituel. Il est considéré comme le premier novice…

ประเพณีบรรพชาสามเณรภาคฤดูร้อน เฉลิมพระเกียรติพระบาทสมเด็จพระเจ้าอยู่หัว ประจำปี 2555 ระหว่างวันที่ 23-27 มีนาคม 2555 ของหมู่บ้านไทยใหญ่เมืองนะ ต.เมืองนะ อ.เชียงดาว จ.เชียงใหม่ ณ วัดเวฬุวัน (วัดของชาวบ้านไทยใหญ่) จำนวน 76 องค์

Danses sur des rythmes lancinants, garçons maquillés comme des filles et revêtus d’habits scintillants et colorés : à Mae Hong Song et dans tous les environs, cette cérémonie est l’événement de l’année, celui que tout le monde attend, celui que chacun a préparé durant des mois…

Cette célébration, qui a lieu tous les ans vers la fin mars ou le début d’avril, est une coutume ancestrale des Thai Yai, branche cousine des Thaïs appartenant à l’ethnie Shan, une population installée en Birmanie et dans la région de Mae Hong Son depuis le Xème siècle. Pendant trois jours, de jeunes garçons âgés de 7 à 14 ans, ornés de bijoux et de fleurs, trôneront sur les épaules des adultes sous les rythmes de la musique shan. Cette parade magique, pleine de dignité, les mènera vers le temple où ils seront présentés comme novices. Ils participeront alors à la vie monastique durant quelques semaines pour les uns, ou durant des années pour ceux qui se destinent déjà à devenir moines. Mais le temps de cette glorification, ces enfants seront de magnifiques princes inspirés par Rahula, le propre fils de Bouddha.

À Mae Hong Son, le premier jour

Dès l’aurore, sur la place provinciale de la petite cité, les premiers groupes sont déjà à l’œuvre. Sur les épaules de leurs pères, les garçons, tête rasée, sont maquillés et coiffés de fleurs. Leurs habits scintillants et colorés éclatent dans la lumière du petit matin. La musique shan transporte les danseurs dans une sorte de transe. Le rythme est ponctué par des longs instruments à percussions, portés par deux hommes. L’un d’entre eux fait actionner une série de bâtons, attachés le long de l’instrument, qui frappent des cymbales, inlassablement, à la même cadence. Les habitants sortent de chez eux, se mettent à battre des mains ou entament des pas de danse. Les groupes continuent à affluer. Bientôt, la place est devenue trop petite pour contenir la foule. Ce ne sont plus que danses et rythmes stridents, lancinants, envoûtants, sous les cymbales et les tambours, les garçons toujours perchés sur les épaules de leur père. Les adultes épuisés se font relever par un oncle ou un ami, car les garçons ne pourront mettre pied-à-terre de la journée, ni les jours suivants…

Même les anciens s’y mettent, levant les bras et s’arrêtant un court instant à chaque rythme, ravis de voir se perpétuer cette tradition ancestrale. Comme menée par un guide mystérieux, la foule se dirige maintenant vers une maison située à un jet de pierre, dont elle envahit le jardin et la terrasse ; des chaises ont été préparées à l’intention des garçons. C’est la demeure du gouverneur qui a organisé une réception en faveur des futurs novices. Ce soir, les garçons rentreront chez eux exténués. Mais le jour Un n’est pas encore terminé, loin de là. La famille et les amis ont été invités pour les congratuler et participer à une fête organisée dans chaque maison en leur honneur. Buffet, orchestre et danses, partout l’ambiance bat son plein, sous le son des cymbales. Ils finiront par s’endormir épuisés, en rang d’oignon sur des nattes. L’aube n’est plus très loin.

Le deuxième jour

Toute la ville est dans la rue : les Thaïs Yai, avec leurs chapeaux coniques et leur longues jupes, les tribus des collines en habits traditionnels. Sous des airs débonnaires, une immense procession se forme, pleine de couleurs, pour porter des offrandes au temple. Près de deux heures seront nécessaires pour constituer le cortège qui s’ébranle enfin, au rythme toujours lancinant des percussions, cette fois entouré de danseuses qui invitent la foule à les rejoindre. Sur le trottoir, les vieilles femmes sourient, les enfants, eux, suivent la procession en poussant des cris. En vedettes, les jeunes princes du jour ferment le cortège, toujours sur le dos des adultes qui dansent en rond, lentement, en se dandinant. Aujourd’hui encore, les festivités dureront jusque tard dans la nuit.

Le troisième jour

L’interminable cortège se reconstitue laborieusement le long du lac, en face du magnifique temple en bois, le Wat Jong Klang, de style birman. Les premiers rayons du soleil font scintiller la rosée du matin et dispensent une lumière magique. Les costumes traditionnels semblent sortir d’un film à grand spectacle. Dès les premiers coups de cymbales, la fatigue disparaît des visages et les danses reprennent, en attendant le départ de la procession. Aujourd’hui, la foule fera trois fois le tour du temple en passant par les rues du centre-ville. C’est une véritable marée humaine, colorée et bigarrée, qui se presse sur les marches de la pagode. Les garçons, toujours sur les épaules des adultes, tentent de se frayer un passage dans la foule. Ils sont attendus par les moines assis en rang.

Les futurs novices s’agenouillent alors en face d’eux, en rangées, toujours dans leurs habits de fête. Progressivement, le silence s’établit. Le contraste est saisissant. L’instant est solennel. Premières prières : les garçons se prosternent. Ils demandent avec humilité la permission d’être ordonnés novices et se prosternent à nouveau. La permission accordée, ils se relèvent. C’est l’heure de quitter leurs vêtements d’apparat pour enfiler l’humble robe safrane des moines. La famille les aide, les démaquille, les encourage, les félicite. Le grand moment est arrivé : celui qu’ils attendent depuis si longtemps et qui marquera officiellement leur passage à l’âge adulte, tel un rite d’initiation. Encore quelques prières et les garçons se retrouveront avec les moines pour entamer leur enseignement. C’est le moment de se retirer sur la pointe des pieds.


Voir article Bangkok Post : A colourful ordination ceremony called Poi Sang Long in Pai district, Mae Hong Son, has much more than the lively and fun atmosphere to explore: the evidence of a strong Buddhist faith

มนต์รักปอยส่างลอง - La magie de Poï Sang Long : invitation à la musique traditionnelle shan

Défilé de la Victoire : répétition générale sur la place Rouge



La dernière répétition du défilé de la Victoire s'est tenue le 6 mai sur la place Rouge à Moscou. Les militaires russes répètent inlassablement afin d'être fins prêts pour le 9 mai. Ils doivent assimiler des mouvements d'une grande précision, devant être réalisés au centimètre près…


Vladimir Poutine investi Président de la Fédération… Bienheureuse Grande Russie !


Le Président Vladimir Poutine lors de son investiture ce 7 mai 2012

"Je suis heureux aujourd'hui que Vladimir Poutine devienne président, c'est un homme d'expérience et un leader fort, soutenu par la majorité de nos citoyens. Je souhaite à Vladimir Poutine du succès (…) dans son travail pour notre pays et notre peuple", a déclaré Dmitri Medvedev lors de la cérémonie d'investiture solennelle du nouveau président élu de la Fédération de Russie qui s'est déroulée au Grand Palais du Kremlin.







La cérémonie d'investiture à la présidence russe de Vladimir Poutine s'est achevée par un défilé du régiment présidentiel sur la place des Cathédrales du Kremlin…


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8 Mai 1945 : de Sétif à Chartres… et ailleurs dans cette France en fête…






















lundi 7 mai 2012

La malédiction du Maréchal Alphonse Juin


« ... Que les Français, en grande majorité aient, par referendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger. Cela je le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
La France est en état de péché mortel.
Elle connaîtra un jour le châtiment. »
Maréchal Alphonse JUIN, 2 juillet 1962           

*   *   *




Le drapeau taché du sang d'Hernandez,
La foule qui crie "Algérie Française",
Des civils en armes derrière des pavés,
Je suis dans l'enceinte du camp retranché.

Il y a quelques heures une fusillade
A semé la mort chez mes camarades:
Venant du Forum avec leurs fusils
Des gardes casqués ont tiré ici.

Sur cette esplanade
Où des barricades
Se sont élevées.
Flotte le drapeau taché.

Lorsque le FM a craché ses balles,
Les Pieds-Noirs chantaient l'hymne national,
Un homme parlait du haut d'un balcon,
Alger se levait contre l'abandon.

La nuit qui commence sera difficile.
Des hélicoptères survolent la ville,
Où des soldats crient, des enfants ont peur.
Où des femmes prient et des hommes meurent.

Sur cette esplanade
Où des barricades
Se sont élevées,
Pleure le drapeau français.

Alger, 24 janvier 1960

« (...) Il est 18 heures. L'armée vient de recevoir l'ordre de dégager le bas du Forum des manifestants qui s'y trouvent. Les parachutistes se font attendre. Les gendarmes mobiles font mouvement. L'ordre est délibérément provocateur (...) Les escadrons descendent de front les larges marches des grands escaliers du Forum. Un hélicoptère s'approche. La première grenade lacrymogène tombe sur la foule paralysée par une vision d'épouvante. Des rangées d'hommes casqués, aux yeux cerclés par des lunettes de protection avancent d'un pas de robot en tenant leurs mousquetons à deux mains, à hauteur de la hanche. Les insultes giclent comme des crachats, des pierres tourbillonnent, des objets lourds sont lancés des balcons. Les gendarmes avancent. Les crosses de fusils brisent les visages, enfoncent les poitrines, ouvrent les crânes. Algérie française ! scandent les Pieds-noirs.

Deux coups de feu claquent. Une arme de petit calibre. Une grenade offensive explose au milieu des manifestants. Genoux à terre, les gendarmes ajustent leurs tirs. Sur le balcon du PC d'Ortiz, les hommes des Unités Territoriales ripostent pour protéger les manifestants. De lourdes rafales de fusils-mitrailleurs se mêlent aux explosions des grenades larguées par les hélicos ou projetées par les lance-patates des gardes mobiles. La foule se disperse en hurlant, cherchant un abri. Les enfants crient, effrayés. Les yeux brûlés par les gaz qui les enveloppent et les étouffent, les mains collées à leurs oreilles pour atténuer le bruit des explosions. (...)

Un gendarme qui se prépare à lancer une grenade défensive sur des manifestants qui fuient est fauché par un sniper. L'engin meurtrier explose au milieu de ses camarades qui tombent, touchés par les éclats. Pris entre le feu de leur unité et ceux des trois F.M. d'Ortiz, des gendarmes s'effondrent au milieu des jardins du Forum. (...)

Il est 18 heures 25. Les bérets verts du 1er REP et les bérets rouges du 1er RCP s'interposent. Le feu s'arrête après quinze minutes de tirs.(...) Huit morts, vingt blessés chez les manifestants. Quatorze morts dont deux officiers, cent-vingt-trois blessés dont six officiers chez les gendarmes mobiles. (...)

Le drapeau tâché du sang d'Hernandez, Pied-noir de Bab-el-Oued, tué dans la fusillade flotte sur les barricades du camp retranché. (...) »



*   *   *



Alphonse Juin, Maréchal de France, est élu à l'Académie française le 20 novembre 1952



Méridien Zéro - Émission n°95 : "JE SUIS PARTOUT ! UNE ANTHOLOGIE ÉVÈNEMENT"


Méridien Zéro - Émission n°95 : "JE SUIS PARTOUT ! UNE ANTHOLOGIE ÉVÈNEMENT"




En ce triste dimanche pour la France, Méridien Zéro a décidé de s'écarter des combats de nains et de prendre un peu de champ en vous proposant de rencontrer Pierre Gillieth, auteur et éditeur de l'anthologie de "Je suis partout", le célèbre hebdomadaire de l'Avant-guerre et de l'Occupation.

Une série impressionnante de plumes célèbres : Robert Brasillach, Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, Céline, Henry de Montherlant, Jacques Perret, Thierry Maulnier, Lucien Combelle, Jean Azéma et bien d'autres.

Pierre Gillieth est accompagné de Philippe d'Hugues, critique de cinéma et préfacier de l'ouvrage…

Émission présentée par Eugène Krampon, Gérard Vaudan et Wilsdorf…

Lien pour télécharger et écouter l'émission : "JE SUIS PARTOUT ! UNE ANTHOLOGIE ÉVÈNEMENT"





Références de l'ouvrage

- Je Suis Partout : Anthologie (1932-1944) - Éditions Auda Isarn, 2012, 652 pages avec iconographie, préface de Philippe d'Hugues

Philippe d'Hugues (préface) : "On l’attendait depuis 68 ans ! Une anthologie de près de 700 pages des meilleurs articles (politiques, culturels) de l’hebdomadaire Je Suis Partout, couvrant toute l'histoire du journal (de 1932 à 1944). Retrouvez Robert Brasillach, Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, Céline, Henry de Montherlant, Jacques Perret, Thierry Maulnier, Lucien Combelle, Jean Azéma et bien d’autres signatures prestigieuses. Avec, cerise sur le cake, une cinquantaine de dessins (notamment du génial Ralph Soupault). Futur collector de textes totalement introuvables aujourd’hui !"

Louis Montarnal, L'Action française 2000 : "Encore un siècle de journalisme, écrivait prophétiquement Nietzsche, et les mots pueront ; Péguy, quant à lui, ne comprenait pas qu’une main pure puisse toucher un journal sans une convulsion de dégoût. Quelques rares organes de presse infirment ou ont infirmé ces jugements pourtant particulièrement lucides à l’heure du Monde-Libé : L’Action française, cela va de soi, mais aussi La Nation française de Boutang, L’Idiot international de Jean Edern-Hallier ou, plus anciennement, Je suis partout, journaux conçus et rédigés par des écrivains qui, comme tels, assuraient une cure d’altitude mentale à leurs lecteurs. C’est à ce dernier hebdomadaire, à « la légende immense et noire », que Pierre Gillieth a eu la bonne idée de consacrer une somptueuse anthologie préfacée par le critique de cinéma Philippe d’Hugues. Y écrivirent, excusez du peu, Pierre Gaxotte, Brasillach, Rebatet, Georges Blond ou P.-A. Cousteau mais, aussi, André Fraigneau, Jacques Perret, Abel Bonnard, La Varende, Barjavel, Pierre Véry, Jean Anouilh ou Drieu La Rochelle ; y dessinèrent Ralph Soupault, Hermann-Paul ou God. En l’occurrence, on lira des reportages sur l’Allemagne hitlérienne, des critiques littéraires sur les livres de Péguy, Sorel, George Sand, Maurras, Benoist-Méchin, Alphonse Daudet ou Céline, des considérations sur Léon Blum, Primo de Rivera, Codreanu, La Cagoule, la révolution bolchevik, l’Espagne de Franco, l’Eglise, Katyn ou le cinéma français. Rebatet décrit ainsi Claudel, par exemple : « C’est un catholique d’une intransigeance fanatique. C’est aussi un ancien ambassadeur, qui a été quarante ans durant au service de toutes les formes de la pourriture démocratique. Auprès de Claudel, Hugo lui-même fait figure de profond philosophe. Claudel est en politique l’équivalent de la concierge parisienne qui, depuis quarante ans, attend l’arrivée des Anglais dans sa rue pour le lendemain matin... » Et Maritain : « Chez ce croisé haletant de la démocratie, le mélange du latin de séminaire, d’un jargon de logicien et de scholastique moliéresque avec la phraséologie des Loges et des tribunes électorales, ce mélange serait du plus haut bouffon si malheureusement trop de cervelles candides n’avaient cru y entendre les accents d’un pur prophète. » Si seulement nous étions libres d’en redemander."

Réfléchir et Agir : "Je suis Partout, ce sont d'abord et avant tout de jeunes plumes dotées d'un immense talent et d'une grande culture historique, politique et culturelle, nées dans l'ombre de Charles Maurras et de L'Action française. Au cours des années d'avant-guerre, le grand hebdomadaire suit avec la plus grande attention les expériences politiques et sociales nouvelles en Italie et en Allemagne, et ne craint pas de dire que seul un "fascisme à la française" pourrait régénérer la patrie, réunir nos peuples au delà des frontières et assurer la paix entre nous. Une cinquantaine d'articles choisis avec intelligence vous démontreront vraiment ce qu'est une presse d'opinion de talent."

Francis Bergeron, Synthèse nationale : "Nous savions, depuis Dioudonnat, mais déjà bien avant lui, que Gaxotte, Brasillach et Rebatet avaient beaucoup de talents. Nous le savions par Comme le temps passe, par Notre avant-guerre ou par Les Deux Etendards et Une Histoire de la musique. Maintenant nous le savons par leurs articles politiques, écrits à chaud. Mais surtout nous découvrons avec plaisir la verve éblouissante d’un P.A. Cousteau, d’un Alain Laubreaux, d’un Charles Lesca, d’un Henri Lebre, d’un Claude Jeantet, les dessins d’un Ralph Soupault, d’un Hermann-Paul. Des auteurs et dessinateurs trop oubliés aujourd’hui. Relues soixante-dix ou quatre-vingt années plus tard, ces pages, dégagent un talent inouï. Comme Céline, comme Les Décombres, il faut du recul pour en apprécier le sel, quand l’odeur de la poudre et du sang en masquait un peu le goût."

Emmanuel Ratier, Radio Courtoisie : "Un monument qui sort du sable !"

L'ouvrage peut être commandé à :
Auda Isarn, BP 90825,
31008 Toulouse cedex 6
Chèque à l'ordre d'Auda Isarn


Ça vaut mieux que d'attraper la scarlatine…




Au Royaume de Thaïlande, le président Nicolas Sarkozy avec 1652 suffrages (64,84%) a très largement écrasé son adversaire socialiste qui, en majorité au Lycée français de Bangkok, n’a ramassé que 896 voix (35,16%)… 95 bulletins ont été comptés blancs ou nuls…