Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 14 novembre 2014

Une lettre publiée par "Soldats de France"… Soutien à nos soldats en opération…



Voici une lettre très touchante qui a été véritablement écrite par un être humain ayant vécu cette situation. Prenez quelques minutes pour la lire.


Nous sommes parfois vite sur le jugement face aux autres…

J'ai mis mes bagages dans le compartiment à bagages dans l'avion et je me suis assis à ma place assignée. Cela allait être un long vol. Je suis content d'avoir un bon livre à lire. Peut-être aussi vais-je faire une courte sieste, pensai-je.

Juste avant le décollage, plusieurs soldats sont entrés dans l'allée et ont pris tous les sièges vacants autour de moi. J'ai décidé de commencer une conversation. J'ai demandé « Où allez-vous ? »« Petawawa », me répondit l'un d'eux « Nous allons être là pendant deux semaines pour une formation spéciale, et puis nous irons en déploiement en Afghanistan ».


Après une heure de vol, une annonce a été faite que les déjeuners "sacs" étaient disponibles pour cinq dollars. Comme le vol serait long, j'ai décidé qu'un déjeuner aiderait à passer le temps.

Comme je prenais mon portefeuille pour payer le déjeuner, j'ai entendu un soldat demander à son copain s'il avait prévu d'acheter le déjeuner. « Non ça semble être beaucoup d'argent pour juste un déjeuner sac »« Je vais attendre que nous rentrions à la base ». Son ami était d'accord, et s'abstint lui-aussi.

J'ai regardé autour, pour voir la réaction des autres soldats. Aucun n'a commandé de déjeuner.
J'ai marché à l'arrière de l'avion et remis au préposé du vol un billet de cinquante dollars. « Donnez s.v.p. un déjeuner à chaque soldat ». Elle saisit mon bras et le serra fortement. Ses yeux mouillés de larmes, elle m'a remercié. « Mon fils était un soldat en Afghanistan, c'est un peu comme si vous le faisiez pour lui. Il y est mort d'un obus dissimulé le long de la route près de Peshawar ».


Reprenant dix sacs, elle s'est dirigée dans l'allée à l'endroit où les soldats étaient assis. Elle s'arrêta à ma place et m'a demandé, « Que préférez-vous ? Bœuf ou poulet ? »« Poulet », lui répondis-je, me demandant pourquoi elle m'a posé cette question. Elle se retourna et partit pour l'arrière de l'avion, pour revenir moins d'une minute plus tard avec une assiette de première classe. « C'est mon merci » dit-elle.

Après avoir fini de manger, je suis allé de nouveau à l'arrière de l'avion, pour utiliser les toilettes. Un homme m'a arrêté. « J'ai vu ce que vous avez fait. Je veux être de la partie. Tenez, prenez cela ». Il me tendit vingt-cinq dollars.
Peu de temps après, je retournai à ma place, au moment où le commandant de bord descendait l'allée, en regardant les numéros de banc en marchant.
J'espérais qu'il ne me cherchait pas. J'ai alors remarqué qu'il regardait les numéros de mon côté de l'avion. Quand il est arrivé à ma hauteur, il s'arrêta, sourit, me tendit la main et dit : « Je tiens à vous serrer la main ». J'ai rapidement détaché ma ceinture pour serrer la main du capitaine. Avec une voix de stentor, il dit : « J'étais pilote militaire il y a quelques années. Une fois, quelqu'un m'a acheté un déjeuner. C'était un acte de bonté que je n'ai jamais oublié ».
J'étais gêné lorsque les applaudissements se firent entendre de tous les passagers.
Plus tard, comme je marchais à l'avant de l'avion pour que je puisse me dégourdir les jambes. Un homme qui était assis à peu près six rangées en avant de moi, me tendit la main. Il a laissé un autre vingt-cinq dollars dans ma main.
Lorsque nous avons atterri, j'ai rassemblé mes affaires et tous ont commencé à débarquer. Juste à l'intérieur de la porte de l'avion il y avait un homme qui m'a arrêté pour me mettre quelque chose dans la poche de chemise, puis se retourna et s'éloigna sans dire un mot. Encore vingt-cinq dollars !

En entrant dans le terminal, j'ai vu les soldats se rassembler pour leur voyage vers la base de "Petewawa" environ 2h30 heures au nord de Toronto. Je me suis dirigé vers eux et leur ai remis les soixante-quinze dollars. « Il vous faudra un certain temps pour atteindre la base et vous prendrez sûrement un sandwich le long de la route »« Dieu vous bénisse », me répondit l'un des soldats qui prit l'argent.

Comme je marchais vivement à ma voiture, je dis intérieurement une prière pour leur retour en toute sécurité. Ces soldats donnaient leur vie pour notre pays et notre protection. Je ne pouvais leur donner qu'un repas. Cela me semblait si peu.

Un ancien combattant est une personne qui, à un moment donné de sa vie, a écrit un chèque en blanc à l'ordre du "Canada" pour un montant allant jusqu'au "prix de sa vie".

C'est l'honneur, et il y a beaucoup trop de gens dans ce pays qui ne le comprennent pas.

Que Dieu vous donne la force et le courage de passer ce message à tout le monde sur votre liste de contacts courriels…
Quand vous recevrez cette lettre, s'il vous plaît arrêtez-vous un instant et dites une prière pour nos troupes à travers le monde. S'il-vous-plaît envoyez ce message après une courte prière. Ne cassez pas cette chaîne de lettres.

Il suffit d'envoyer ceci aux gens de votre carnet d'adresses. Ne la laissez pas s'arrêter avec vous. De tous les cadeaux que vous pourriez donner à nos jeunes engagés dans les Forces canadiennes, Françaises et, autres pays libres la prière est le plus grand cadeau que vous puissiez leur donner…

Suggestion de prière :

« Seigneur, protégez nos troupes en mission dans le monde. Protégez-les comme ils nous protègent tous à l'abri dans nos foyers. Bénissez-les ainsi que leur famille pour les actes désintéressés qu'ils accomplissent pour nous.
Que la paix soit.
Amen »



jeudi 13 novembre 2014

Entretien avec Monseigneur Luc Ravel, évêque aux Armées Françaises




En ce 11 novembre 2014, 96e anniversaire de l'armistice de 1918, l'évêque aux Armées Françaises s'interroge sur le sens de la commémoration de l'année… 1914 ! Il remet néanmoins en perspective l'enjeu de la mémoire, notamment pour les catholiques. Pour Mgr Luc Ravel, il est nécessaire de faire « mémoire ensemble », à l’image de l’Union sacrée vécue il y a un siècle par-delà les clivages politiques exacerbés après la loi de séparation de l'Église et de l'État en 1905.


L'histoire décryptée des Illuminati… Dan Brown : Anges et démons

La parole à Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants

Emmanuel Todd : "Je suis capable de dire que je souhaite une victoire russe"











Au côté de Nicolas Poincaré les "grandes voix d’Europe 1", Philippe Gildas, Gérard Carreyrou et Olivier Duhamel débattent de sujets faisant l’actualité du jour avec Emmanuel Todd dans « Le Club de la Presse »…




mardi 11 novembre 2014

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD


MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE






Mardi 11 novembre :
Hommage à Jean Bastien-Thiry, sur sa tombe
rendez-vous à 15 heures
cimetière de Bourg-la Reine, 29 rue de Bièvre, 92340


La une du Bulletin de l’ADIMAD 2014/2





IIIe colloque du Cercle Algérianiste du Gers :
« Ceux qui ont mis leur vie au bout de leurs idées »
Le Cercle Algérianiste du Gers organise son IIIe colloque à Condom les 27 et 28 novembre 2014. Ces rencontres, outre d'offrir le plaisir d’un échange entre compatriotes que l’histoire, la culture et les sensibilités rapprochent, permettent la recherche d'une meilleure connaissance et compréhension du passé pour mieux envisager l’avenir. L’Avenir a un long Passé.
En 2012 le colloque avait pour thème les Français d’Algérie face aux violences politiques, notamment le terrorisme. En 2013, le thème traité était celui du positionnement des intellectuels face à la violence, à l'exemple d’Albert Camus.
En 2014, le colloque du Cercle Algérianiste du Gers posera ses projecteurs sur « Ceux qui ont mis leur vie au bout de leurs idées ».

Date : 27 et 28 novembre 2014
Lieu : Condom (Gers)
Information : 06 30 37 00 41
Courriel : marie-paule.garcia3@orange.fr
Georges Belmonte : 06 84 51 39 42
Courriel : belmonte-georges@wanadoo.fr











dimanche 9 novembre 2014

À Colombey… ou à Pathein ? C'est au paya Settayaw que DeGaulle expie pour l'Éternité…


Le "gaullisme", ces semelles compensées des nains en politique aux idées courtes…

Ce 9 novembre Christian Estrosi, bien que lèche-cul des Français d’Algérie, ira sans doute une fois de plus se "recueillir" naïvement sur les lieux près desquels a clapsé l’infâme criminel compulsif DeGaulle… en cela imité par quelques politiciens nains impénitents… Citons parmi ces minuscules de tout bords débusqués par le Figaro : François Fillon, Michèle Alliot-Marie, Laurent Wauquiez, Arnaud Danjean (UMP),  Nicolas Dupont-Aignan (DLR),  Charles Guené et Gérard Larcher, respectivement ancien vice-président et à nouveau président du Sénat, Dominique Reynié (Fondapol), Anne Hidalgo et Sylvie Hubac représentant Flanby (PS), le père Auvigne, curé général du département… ainsi que le franc-maçon de service du Front national, Florian Philippot, pied-noir renégat… Bande de veules manipulateurs, vous feignez d'ignorer que, depuis bien longtemps, le Diable a reçu livraison du damné et l'a transféré dans l'Enfer d'un paya de haute sécurité du delta de l'Irrawaddy…  Le damné y subira aujourd'hui comme chaque jour le châtiment mérité… À Pathein ce sera encore, et pour l’Éternité, une journée bien ordinaire…

Qui pouvait mieux connaître le "général" que son épouse, Yvonne Vendroux ? Dès lors, qui pouvait plus s'inquiéter de son au-delà qu'Yvonne Vendroux ?
Le général DeGaulle n'eut rien de très catholique, au sens propre comme au sens figuré. Son épouse Yvonne Vendroux par contre était très pieuse. Après la mort du "général" en 1970, elle prit rendez-vous avec Marthe Robin. Elle lui demanda :
- Où est mon mari ?
- En Enfer !
On vit Yvonne repartir en pleurs.
Cela appelle quelques observations :
- Un, Yvonne était inquiète qu'il ne soit au Purgatoire et peut-être pire. Elle voulut savoir.
- Deux, le "général" avait autorisé à nouveau les sociétés secrètes et soutenu la franc-maçonnerie, grande ennemie de l'Église catholique.
- Leur fils Philippe dut son prénom à son ami Philippe Pétain que le "général" admirait, grand catholique lui !
- D'autres affaires gravissimes dans lesquelles il était impliqué ne pouvaient que perturber Yvonne Vendroux qui voulut en avoir le cœur net.


L’extravagant imposteur Qieci, "bouddha" rieur,
prétendue réincarnation du Bouddha Maitreya,
- chacun sait qu'un bouddha ne se réincarne plus ! -
s'est-il installé là pour narguer les damnés ?

L'Enfer aussi a son greffier…

Ces joyeux lurons à la gueule pourtant bien sympathique restent de redoutables gardiens des lieux…


L'Enfer, comme jadis les bagnes gaullistes, prétend effacer toute identité,
pourtant cette stèle décrivant les crimes du damné ne laisse aucun doute…



Tenterait-il d'embobiner le Diable par un piteux  "Je vous ai compris" ?


 




Nécrologie

La Marine Le Pen célèbre DeGaulle

L’abbé de Dhammakaya a enfin retrouvé Steve Jobs…


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samedi 8 novembre 2014

SAR le Prince Maha Vajiralongkorn a revêtu le Bouddha d'Émeraude de ses vêtements de saison froide…




Le Bouddha d’Émeraude est une statue de 48,3 cm de large pour 66 cm de haut. La statue qui est en réalité taillée dans de la jadéite appartient par son style à l’école de Chiang Saen et daterait du 15e siècle.

Selon la légende, en 1434, la foudre aurait éventré un chedi à Lamphun. Dans les décombres, les moines découvrirent alors une statue couverte de stuc qui, se craquelant, laissa bientôt apparaître un Bouddha de couleur vert émeraude. Il fut baptisé Phra Kéo Morakot.

La statue resta 32 ans à Lamphun puis fut déplacée à Chiang Mai où la niche est du chedi Luang l’accueillit jusqu’en 1551, année où elle fut capturée par les armées du roi de Luang Prabang qui l'emmena dans sa capitale. Puis, en 1564 le Bouddha partit pour Vientiane…

Ce fut le général Chakri, futur Rama 1er,  qui reprit la statue au royaume de Vientiane en 1778 pour la ramener à Thonburi au wat Arun. C'est le 22 mars 1784 qu'elle fut accueillie dans la grande chapelle du nouveau palais royal de Rattanakosin.

Depuis le Bouddha d’Émeraude est vénéré en tant que protecteur du Royaume et de ses rois.

mercredi 5 novembre 2014

Meurtre par procuration : Haroun, instrumentalisé tant par DeGaulle que ses alliés FLN, assassine Meursault …





Page d'accueil de La Chronique de Kamel DAOUD sur Facebook

Pour tout enfant d'Algérie, Européen, Arabe ou Kabyle, d'hier ou d'aujourd'hui, DeGaulle et les gaullistes, le FLN et ses agents n'ont jamais été des adversaires politiques mais des ennemis de sang… Leurs crimes en témoignent. La vérité historique comme le respect de la mémoire des martyrs des deux bords exige que, tant pour les Algériens vivant aujourd'hui en Algérie ou en France que pour les Français d'aujourd'hui, ceux-là - gaullistes, néo-gaullistes, FLN et islamistes issus du FLN - ne soient en aucun cas considérés comme des adversaires politiques mais pour ce qu'ils sont en réalité : des ennemis de sang… Tout laudateur contemporain, à la cervelle d'oiseau, de DeGaulle se rend immanquablement complice des crimes conjugués gaullistes et FLN dont Haroun et Meursault furent les victimes exemplaires contées par Kamel Daoud et Albert Camus… C'est sans doute pour éviter que cette évidence éclate que le jury du prix Goncourt a préféré ignorer l'œuvre littéraire d'un écrivain au talent immense et fervent pratiquant de la langue française, un écrivain de chez nous : notre Algérie déchirée… Ne pleurons pas



Kamel Daoud sur Berbère Télévision nous parle de son roman Meursault, contre-enquête

Kamel Daoud, écrivain-journaliste, qui espérait encore le prix Goncourt ou Renaudot parle de son parcours personnel et de son roman Meursault, contre-enquête sur Berbère Télévision…
Kamel Daoud, né le 17 juin 1970 à Mostaganem, est un écrivain et journaliste algérien d'expression française. Il est le fils d'un gendarme, et le seul enfant de la famille ayant fait des études. En 1994, il entre au Quotidien d'Oran. Il y publie sa première chronique trois ans plus tard, titrée Raïna raïkoum (« Notre opinion, votre opinion »). Il est pendant huit ans le rédacteur en chef du journal. D'après lui, il aurait obtenu, au sein de ce journal « conservateur » une liberté d'être « caustique », notamment envers Abdelaziz Bouteflika même si parfois, en raison de l'autocensure, il doit publier ses articles sur Facebook.
Il est aussi éditorialiste au journal électronique Algérie-focus
Le 12 février 2011, dans une manifestation dans le cadre du printemps arabe, il est brièvement arrêté.
Ses articles sont également publiés dans Slate Afrique.
Le 14 novembre 2011, Kamel Daoud est nommé pour le prix Wepler-Fondation-La Poste, qui échoit finalement à Éric Laurrent.
En octobre 2013 sort son roman Meursault, contre-enquête, qui s'inspire de celui d'Albert Camus L'Étranger : le narrateur est en effet le frère de « l'Arabe » tué par Mersault. Le livre était présent dans la première sélection du prix Goncourt 2014.

Mais revenons plutôt au temps où Meursault et Haroun vivaient heureux, ce temps où l'Algérie était heureuse…
























La Chronique de Kamel DAOUD sur Facebook

« Meursault, contre-enquête » de Kamel Daoud : L'assassinat de « l'Arabe » inconnu de Camus remis sur le tapis

Contreligne - Kamel Daoud : « Meursault, contre-enquête »

La Seybouse - "Mémoire ne nous abandonne pas", une vidéo de notre compatriote Régis Guillem : Oran, 5 juillet 1962

El Estado Islámico se radicaliza y difunde en video su ejecución más salvaje