Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 18 septembre 2014

La France périphérique : fractures françaises…




La haine de la France profonde et populaire, attachée aux traditions, est donc un des fondamentaux de la classe médiatique et politique au pouvoir. Le même symptôme se retrouve dans d’autres pays d’Europe. Dans leur majorité (pas à 100% évidemment), les médias, les intellectuels, les institutions européennes parlementaires, judiciaires et administratives, les appareils gouvernementaux, bref l’oligarchie antidémocratique qui gouverne (comme en URSS, sous le label ”démocratique”) ne cessent de pencher, sous prétexte, de Droits de l’homme, en faveur de la protection de l’immigré clandestin privilégié et des délinquants en majorité d’origine immigrée. Tout ce qui ressemble à la protection et à la préférence envers les catégories populaires européennes est assimilé au péché populiste, raciste et fasciste. Par une sinistre inversion, l’État de droit ne protège plus le peuple, il le dépouille de ses défenses. Il est implicite, d’autre part, que les classes moyennes autochtones, doivent payer et se taire. Les envahisseurs se ravissent de cette maladie mentale. Et tous les autres pays du monde extra-européen nous regardent en pensant que nous sommes devenus fous.

Dans La France périphérique, comment on a sacrifié les classes populaires (Flammarion), le géographe Christophe Guilluy démontre que 61% de la population française ont été relégués hors des grandes agglomérations ; les classes populaires se concentrent dans les villes petites et moyennes enclavées et dans les espaces ruraux. Comme l’a relevé le sociologue Dominique Lorrain, les ”banlieues sensibles” ne sont nullement abandonnées mais au contraire privilégiées dans d’énormes proportions par les investissements publics – sans aucun résultat en matière de paix sociale. Les mensonges des médias sur les ”quartiers immigrés défavorisés” sont dignes de la propagande soviétique. L’image misérabiliste de banlieues ghettos où seraient parqués des immigrés afro-maghrébins condamnés à la pauvreté est à la fois un fantasme et une propagande. Le revenu moyen dans les banlieues d’immigrés est la plupart du temps de 20% supérieur à celui des zones périphériques ou éloignées où vivent les classes populaires de souche, les ”petits Blancs” ignorés. Abreuvées de subventions, d’allocations, d’aides de toute nature, la Seine Saint Denis ou les banlieues marseillaise, lyonnaise, lilloise, etc. sont, en terme de PIB, beaucoup plus aisées que la Meuse, l’Ariège, le Cantal. Précisons qu’aux aides, payées par les classes moyennes de souche ultra-fiscalisées, s’ajoutent les revenus substantiels des trafics, dont celui de stupéfiants, de moins en moins réprimés. Chiffre sans appel destructeur de légendes : 85% des ménages pauvres (qui gagnent moins de 993€ par mois, soit 60% sous le salaire médian) n’habitent pas dans les ”quartiers sensibles ” immigrés.


Le « petit peuple » de souche, méprisé par l’oligarchie et discriminé par rapport aux immigrés

La "France périphérique" : là où se joue l'avenir des nouvelles classes populaires

L'ethnicisation des "Blancs", un phénomène qui pose la question de la cohésion sociale en France



mercredi 17 septembre 2014

Suicide mode d'emploi - Généreux et spectaculaire : s'offrir en festin aux crocodiles…






Une femme de 65 ans, après avoir ôté ses chaussures - bienséance oblige -, s'est laissée tomber dans la fosse aux crocodiles de la ferme de Samut Prakarn en banlieue de Bangkok. La police judiciaire n’a pu déterminer l’identité de la suicidée que grâce à sa carte d'assurance maladie, indigeste pour les crocodiles, qui flottait à la surface de l’eau.

La famille aurait été autorisée par la direction de la ferme à visionner la vidéo de surveillance à la condition que l’affaire ne soit pas révélée ! Elle y aurait vu le corps de la femme tomber dans la fosse, rester étendu sur la plage avant que les crocodiles ne se précipitent pour festoyer, tandis que les employés impuissants tendaient une perche pour tenter de l’aider à s'échapper.

La direction de la ferme aux crocodiles a ensuite démenti le fait d'avoir voulu dissimuler cette nouvelle affaire en priant la famille de la victime de garder le silence. Très rapidement des barrières plus hautes auraient été érigées pour prévenir tout nouveau sacrifice.



Hommage public à Dominique Venner, ce vendredi 31 mai 2013

Bangkok Post : Depressed woman commits suicide by crocodile in Samut Prakan

BBC News Asia : Thailand woman dead after jumping into crocodile pit

Suicide, mode d’emploi : allez "vivre" à Madagascar !

Madagascar… île des Naufrageurs… Défense de s'échapper…

Madagascar Mandritsara : meurtre odieux de Sœur Marie Emmanuel Helesbeux, 82 ans

Bangkok : suicide, mode d'emploi… faire-part sur Facebook… mais information tronquée…

Suicide honorable, mode d'emploi… le seppuku

Suicide, mode d'emploi : pensez aux jeux vidéos !

Divorce ou suicide assisté ? Mode d'emploi… Merci Flanby d'imposer le divorce pour tous…

Suicide, mode d'emploi… ne pas oublier les crocodiles…

Suicide, mode d'emploi… et pourquoi pas un millepatte…




mardi 16 septembre 2014

Exceptionnel : Cheetah réclame justice dans un entretien exclusif accordé à Rivarol

Cérémonie laïque : la République (laïque) fête le nouvel an juif…


Manuel Valls boycotte les fêtes nationales françaises, mais pas les célébrations juives

Après son passage à mosquée d’Évry pour fêter la fin du ramadan, Manuel Valls se rendra à la grande synagogue de la Victoire festoyer selon le rite casher pour le nouvel an juif – année 5775 – aux côtés des très extrémistes juifs Michel Gugenheim, impliqué dans le scandale des divorces juifs, Haïm Korsia et Joël Mergui.
"À l’occasion du nouvel an juif 5775, le Premier Ministre M. Manuel Valls présidera la présentation officielle des vœux de la communauté juive du Consistoire Central instaurée par le Président du Consistoire, M. Joël Mergui, pour partager nos inquiétudes, nos espoirs et évoquer nos nombreux combats…"



Conseil Représentatif des Institutions juives de France : Manuel Valls présentera les vœux 5775 à la synagogue de la Victoire

Jeune Nation : Journal du 16 septembre 2014



lundi 15 septembre 2014

Igor Strelkov a donné une conférence de presse à Moscou







Rares sont ceux à ne pas avoir entendu parler du « colonel » Igor Strelkov, ex-ministre de la défense de la République populaire de Donetsk et chef de guerre charismatique devenu une véritable légende en Russie. Rentré dans son pays après sa démission à la veille de la grande contre-offensive victorieuse des insurgés du Donbass contre l’armée ukrainienne, ce combattant et patriote russe hors-norme a donné hier une conférence de presse à Moscou. Médias-Presse-Info a donné une traduction française de l’article qu’y a consacré ce vendredi 12 septembre le quotidien russe Nezavissimaïa gazeta :

Igor Strelkov (Guirkine), ancien ministre de la Défense de la république populaire de Donetsk (RPD) autoproclamée, a donné hier [11septembre] à Moscou une conférence de presse.

Il a critiqué la trêve dans le sud-est de l’Ukraine, exprimé un soutien total à Vladimir Poutine et mis en garde contre les « activités destructrices de la cinquième colonne en Russie ».

Strelkov a déclaré qu’il y a un mois, il faisait partie des rares dirigeants de la RPD à savoir que les forces d’autodéfense allaient passer prochainement à la controffensive et infliger à l’ennemi (les forces gouvernementales ukrainiennes) une « défaite cuisante ». Mais il ne pouvait pas en parler à ses subordonnés. À l’époque déjà, Strelkov savait qu’il ne dirigerait pas personnellement les forces insurgées – lors de sa conférence de presse à Moscou l’ex-ministre de la Défense de la RPD a préféré ne pas s’étendre sur les circonstances qui l’ont poussé à démissionner. Il a toutefois souligné que ce départ était un « acte juste » qui avait permis « de regrouper le commandement des forces armées de la république entre les mêmes mains » et « d’éviter de nombreux conflits ».  Strelkov a déclaré qu’il avait sous son commandement plusieurs officiers d’active russes venus en permission en Nouvelle-Russie (autre nom de l’État séparatiste ukrainien couvrant le territoire du Donbass).

L’ex-chef des forces armées de la RPD estime que « l’offensive des forces d’autodéfense contre l’ennemi paniqué » a été enrayée par une « cinquième colonne infiltrée dans le gouvernement russe ». Selon lui, « ces forces ont détruit l’URSS et ont à nouveau relevé la tête aujourd’hui ». Elles ont obtenu une trêve en « tendant la main aux punisseurs ». Strelkov pense que les accords évoqués à Minsk « sont une honte ». D’après lui, ils donnent du répit à aux forces gouvernementales ukrainiennes, armées jusqu’aux dents et soutenues par la population – « qui subit une puissante propagande en recourant aux méthodes de programmation neurolinguistique ». La « cinquième colonne libérale russe, selon Strelkov, veut renverser Vladimir Poutine, et la défaite dans la guerre en Ukraine couplée à la crise économique provoquée par les sanctions occidentales fait partie de leur plan ».

Igor Strelkov a également « fait son choix quant à sa place dans la lutte contre les forces subversives ». « Le principal front du combat pour la Russie se trouve ici aujourd’hui », a-t-il déclaré. L’ex-commandant reviendra dans le Donbass s’il en recevait l’ordre mais il n’étudie pas cette possibilité à l’heure actuelle. Strelkov a souligné que dans le contexte d’une guerre déclenchée contre la Russie il soutient bien évidemment Vladimir Poutine, bien que par le passé il ait critiqué certaines de ses décisions en termes de politique nationale. L’ex-ministre de la Défense de la RPD n’a pas l’intention de devenir un leader de la protestation populaire. Strelkov considère que l’échange du devoir de servir sa Patrie contre une gloire et une popularité éphémère est le « summum du déshonneur ». Il ne croit pas aux élections et ne fera pas de politique. Strelkov estime également que l’abstention de toute activité d’opposition à l’arrière est une condition primordiale en temps de guerre.

Les journalistes l’ont également questionné sur les circonstances du crash du Boeing malaisien : Igor Strelkov est persuadé que « l’avion a été abattu par les Ukrainiens » et que c’était une « provocation préméditée »

Il transparaît incontestablement des paroles d’Igor Strelkov que celui-ci, célébré comme un héros dans son pays, est un homme d’honneur qui a fait de la défense de sa patrie l’œuvre de sa vie.

Cela étant, revenons sur les conditions de son départ que le héros russe qualifie d’ « acte juste » ayant permis « de regrouper le commandement des forces armées de la république entre les mêmes mains et d’éviter de nombreux conflits ».

En effet, on peut dire qu’Igor Strelkov a été poussé vers la sortie dans le cadre d’une restructuration de la direction des républiques populaire de Lougansk et de Donetsk. Concrètement, les Russes occupant de hautes fonctions dans les rangs insurgés ont été remplacés par des personnalités locales ayant fait leurs preuves au cours du conflit. C’est ainsi que, par exemple, le président du conseil des ministres de la région de Donetsk, le Russe Alexandre Borodaï, a été remplacé par Alexandre Zakhartchenko et qu’Igor Plotnitski est devenu le nouveau président de la république de Lougansk à la place de Valerii Bolotov. Ces nouveaux dirigeants ont en commun d’être des enfants du Donbass et d’avoir commandé des unités des forces d’autodéfense au front. Igor Plotnitski, jadis commandant d’un régiment d’artillerie dans l’armée soviétique (1982-1991), a mené au feu le « bataillon populaire de libération Zarya (Aube) » tandis qu’Alexandre Zakhartchenko était à la tête du bataillon « Oplot ». On peut également remarquer que Plotnitski et Zakhartchenko sont tous deux issus de l’aile gauche de la rébellion novorusse. Nostalgiques de l’URSS, ils entretenaient des liens, avant la guerre civile, avec le courant le plus à gauche et prorusse du parti des régions du président déchu Viktor Ianoukovitch.

Le patriote russe Strelkov, quant à lui, n’a pas réellement su faire l’unanimité autour de sa personne en Nouvelle-Russie en raison de ses fortes convictions conservatrices, monarchistes tsaristes.

Enfin, comme il l’a bien mentionné dans sa conférence de presse, la nouvelle équipe a à son actif d’avoir mis en place un commandement unifié des différentes milices et d’avoir donné un coup de fouet à la structuration du nouvel État.



Igor Strelkov a donné une conférence de presse à Moscou

Стрелков переключится на внутренних врагов

Igor Strelkov : avec Poutine et contre la 5e colonne en Russie

dimanche 14 septembre 2014

Jean-Pierre Arrignon : « La Russie et l’Ukraine de Byzance à nos jours - Permanence et rupture »



 Jean-Pierre Arrignon : Les relations russo-ukrainiennes au fil de l’Histoire


Historien, spécialiste de la Russie et professeur des universités, Jean-Pierre Arrignon a inauguré le 9 septembre le cycle de conférences du Courrier de Russie sur le sujet : « La Russie et l’Ukraine de Byzance à nos jours : Permanence et rupture ».


Conférences du Courrier de Russie



Flanby, marionnette manipulée par les ficelles russophobes des USA pour détruire l'Europe


« Pour nous, ce ne sera pas une tragédie [ce contrat était] avantageux en premier lieu pour les Français. »
Iouri Borissov, vice-ministre de la Défense
« Le refus de la France de livrer les Mistral à la Russie créera plus de problèmes chez eux que chez nous. »
Oleg Botchkarev, directeur adjoint de la Commission militaire et industrielle auprès du Gouvernement
« La Russie n’avait pas réellement besoin de ces navires…
Cette commande passée à la France était avant tout un geste politique visant à consolider les relations franco-russes. »
Sergueï Karaganov, conseiller auprès de l’Administration présidentielle pour la politique étrangère



Guillaume Faye : Flanby, "ce pauvre garçon tombe toujours plus bas"…

- Les enjeux économiques et géopolitiques du conflit contre la Russie dans le contexte de la guerre ukrainienne ;
- Une erreur géopolitique majeure dans l’histoire de France ;
- L’affaire des frégates Mistral.


Le Courrier de Russie - Mistral : une histoire de confiance


Le Stagirite : pédagogie, langue de bois, infantilisation démocratique…





"Je viens de voir tes premières vidéos. Très beau travail d'éducation populaire et de désenfumage médiatique. Ça, c'est sans doute le Youtube que j'aime le plus. Merci de t'être farci les chaînes d'actualité, vu dans quel état me mettait le peu que j'ai vu, je crois que j'aurais fait un malheur si j'avais tout vu. Continue tes vidéos, elles sont de salubrité publique, en plus d'être bien faites et drôles. Et compte sur moi pour parler de ta chaîne (j'ai plusieurs copains à qui ça va plaire)."

"Je viens de découvrir ta chaîne avec surprise. C'est super, j'ai hâte de voir les prochaines vidéos."

https://www.youtube.com/user/LeStagirite



samedi 13 septembre 2014

Avant le vote de confiance des députés, le fabuleux bilan de Flanby…





Manuel Valls, chef du gouvernement préposé de Flanby, se présentera devant les députés ce mardi 16 septembre pour obtenir leur confiance. Face à un tel bilan, que penser d'une Chambre qui à n'en pas douter continuera d'approuver tant de belles promesses tenues ?…
Le vote de confiance est défini par l'article 49-1 de la Constitution. Il permet au premier ministre d'engager la responsabilité de son gouvernement devant l'Assemblée : « Le premier ministre, après délibération du conseil des ministres, engage devant l'Assemblée nationale la responsabilité du gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration de politique générale. »

Manuel Valls fera une déclaration de politique générale. En cas de vote négatif de l'Assemblée, il devra donc remettre la démission de son gouvernement.

Si le décompte des voix est important, Manuel Valls n'a pas pour autant le pouvoir de décider qui doit être comptabilisé ou non dans le vote. Il représente le gouvernement, donc l'exécutif. Et la séparation des pouvoirs fait qu'il n'a pas prise sur les votes de l'Assemblée, qui est souveraine.

Par exemple, si un député Front national ou UMP souhaitait voter la confiance au gouvernement Valls, il en aurait le droit le plus strict. Manuel Valls peut donc décider, en son for intérieur, de retrancher d'une voix le score qu'il obtiendra. Mais il n'a pas le pouvoir de demander à l'Assemblée de ne pas comptabiliser le vote d'un député pourri tel que Thomas Thévenoud, que ce vote soit positif ou négatif. Pas plus qu'il ne peut l'empêcher de voter.

Seule solution, pour Manuel Valls : si la confiance lui était votée à une voix près, il pourrait choisir… de démissionner tout de même.