Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 13 avril 2014

Gérard Baudry

Communiqué de l'ADIMAD

Cher(e)s Ami(e)s,

Notre Camarade Gérard Baudry nous a quittés le 8 de ce mois, âgé de 85 ans.
Sergent-Chef à la Légion étrangère il rejoignit la véritable armée française : la Secrète, où il se distingua particulièrement.

C’était un frère de combat qui connut les pires épreuves : condamné à mort, il resta durant quatre mois les fers aux pieds et s’attendit, tous les petits matins de Fresnes, à rejoindre nos héros Claude Piegts, Albert Dovecar, Jean Bastien-Thiry et Roger Degueldre !

Grâcié, il nous rejoignit à l’île de Ré où il se comporta en homme et ne se plaignit jamais.
Libéré, il continua de défendre avec pugnacité la mémoire du juste combat de l’Algérie française.
Ses éminents mérites militaires lui valurent d’être décoré de la Légion d’Honneur, dans les jardins du Sénat, par, et en présence des plus hautes autorités de l’état !

Ses obsèques auront lieu mardi 15 avril selon les modalités suivantes :

·       Mise en bière : 08 h 45 au funérarium de Juvisy Sur Orge (91700)
·       Messe de requiem : 10 h 45 à Saint-Nicolas du Chardonnet : 23, rue des Bernardins – 75005 Paris
·       Inhumation : 13 h 00 inhumation au carré du cimetière Russe Othodoxe de Sainte-Geneviève des Bois : tombe n° 5724.             

Cérémonie organisée par le Lt-Colonel Guyffrey. Le Président de l’Amicale des Anciens de la Légion Etrangère - grâce à qui nous avons obtenu l'emplacement- présentera la carrière de notre "Vieux Chouff" .

Que tous ceux qui le peuvent viennent rendre un dernier hommage à notre frère de combat !
Semper fidelis
JF Collin
ADIMAD





samedi 12 avril 2014

Robert Boissières



 
Robert Boissières, 20 ans
(photo prise peu avant son assassinat)
Robert Boissières, né le 11 février 1942 à Toulouse, a été odieusement assassiné à vingt ans devant le domicile de ses parents le jeudi 12 avril 1962 à Alger par une bande d'aviateurs de l'armée française en vadrouille. Agression gratuite, lâche, imbécile, criminelle. Geste de Français ordinaires…

Aspects de la France, jeudi 19 avril 1962


Nouvelles d’Alger 
(Copie intégrale d’un article non signé publié par Aspects de la France, le jeudi 19 avril 1962. L’original de cette coupure de journal m’a suivi jusque dans mon exil asiatique.)
Le 12 avril 1962, vers 23 heures, un peu avant le couvre-feu, un jeune Français de 20 ans, étudiant en 1ère année de Droit, Robert Boissières, a été tué par les « forces de l’ordre », une patrouille de gendarmerie de l’Air, près du Rectorat, route du Golf à Alger. 
Il venait, avec quatre camarades, dont son frère, âgé de 18 ans, d’apposer des inscriptions "O.A.S." dans le quartier.
Ils rentraient chez eux lorsque, entendant une voiture militaire, ils se cachèrent dans le rebord du talus, parmi les herbes. C’est là que sans sommation aucune, Robert Boissières fut exécuté d’une rafale de mitraillette, tandis que son camarade, Jean Zonza, 21 ans, étudiant en Médecine, était grièvement blessé.
Le quartier fut mis en émoi par cette rafale et en particulier les parents de Robert qui habitent au Clair Logis des P.T.T. Son père, inquiet, descendit immédiatement sur les lieux du drame. Il rencontra un militaire qui lui annonça froidement qu’il venait de « fusiller » un jeune, en même temps qu’il lui tendait la carte d’identité de sa victime. Douleur du pauvre père lorsqu’il reconnut que c’était celle de son fils.
Les Agences de Presse ont donné différentes versions, des versions fausses surtout. On a prétendu qu’un coup de feu avait été tiré. C’est faux. Ces garçons n’étaient pas armés. Mais on use du mensonge pour essayer d’excuser un acte odieux…
Les obsèques de la jeune victime ont été célébrées ce matin, lundi 16 avril, à 9 heures, à la "sauvette". On avait interdit tous faire-part et communiqués dans les journaux. On craignait l’affluence… J’y suis allé avec mes enfants et deux camarades de Robert Boissières.
Malgré toutes les précautions prises par les autorités, il y avait plus d’un millier de personnes à suivre ce malheureux convoi de quelques mètres dans le cimetière de Saint-Eugène, entre la morgue et le dépositoire. Mais obsèques émouvantes, bouleversantes dans leur simplicité, dans leur clandestinité. Foule digne, très impressionnée… Les martyrs de la foi en ont eu d’identiques, et de telles morts, de telles obsèques ne peuvent qu’affermir une religion ou un idéal…
Le jeune frère de Robert, retenu à l’école de police d’Hussein Dey, n’a pas été autorisé à rendre ce dernier hommage… Quelle tristesse.
Ce n’est pas avec de tels assassinats, de tels procédés pour essayer d’étouffer nos sentiments qu’on parviendra à l’apaisement d’une population française de plus en plus survoltée.
Après cette pénible cérémonie, je suis allé ensuite, seul, me recueillir sur les lieux du drame. À l’endroit où est tombé ce pauvre enfant : des bouquets de fleurs, quelques-uns avec ruban tricolore et contre le tronc d’un arbre mort trois lettres sont épinglées : celle d’une mère bouleversée, et deux autres écrites par des camarades de la victime. Lettres qui crient une indignation bien légitime…

Le rédacteur, sous la menace de la censure et de la saisie du journal, malgré son émotion, reste très réservé. Il ne précise pas que la caserne de ces aviateurs jouxte l’immeuble du Clair Logis des P.T.T. Il ne s’interroge pas sur ce que faisaient réellement à cette heure hors de leur base ces aviateurs ? Retour de beuverie ? Ce qui est avéré est que le militaire assassin qui proclama froidement qu’il venait de « fusiller » un jeune, ses acolytes et toute la troupe, jusqu’à tard dans la nuit, fêtèrent ce haut fait de guerre sous les fenêtres des familles des victimes. De plus, nous ne pouvons manquer de nous interroger sur la sanction de cet acte de bravoure. L’assassin et ses complices furent-ils par la suite décorés ? La haine gaulliste n’exclut rien.

Depuis, en France, sur le territoire français métropolitain, partout, chacun risque de croiser l’un de ces ivrognes. Pourquoi ne serait-ce pas celui-ci ? Pourquoi pas celui-là ? De toute façon par leurs votes successifs, et d’abord celui en faveur de l’abandon de l’Algérie, les Français ont sans cesse réaffirmé leur complicité avec ces assassins… Décidément, ce pays m’est définitivement infréquentable… À présent, mon vœu le plus cher reste de n'avoir jamais à vivre dans ce pays d’infâmes, la France,… ni d'y crever,… ni que mes cendres y soient  souillées.

Alex Nicol dans « La Bataille de l’OAS » publié dès novembre 1962 (Les Sept Couleurs) donnera une version qui rejoint celle d’Aspects de la France, et  confirme (pages 129-130) : « Jamais on n’a fait état de l’ouverture d’une enquête quelconque ni de sanctions prises contre ces militaires pour le moins nerveux sur la gâchette… »

Une version tout aussi horrible de ces faits est rapportée par Francine Dessaigne dans son « Journal d'une mère de famille pied-noir » :

Vendredi 13 avril 1962. … Le journal d'hier nous apprend la mort de Robert Boissières, dix-neuf ans. Jeudi soir, il dînait en compagnie de son frère aîné chez la fiancée de ce dernier. Vers 11 heures ils rentrent à pied dans le quartier de la Redoute. Un groupe de jeunes gens court sur la chaussée suivi de près par une patouille de métropolitains. Les Boissières s'arrêtent. Les jeunes gens prennent une petite rue et disparaissent dans la nuit. La patrouille revient sur ses pas et retrouve les deux frères. Bruit de culasse, les jeunes gens s'aplatissent sur le trottoir. Les soldats s'approchent et, presque à bout portant, tirent deux balles dans la tête de Robert et une rafale sur son frère. Robert Boissières est mort hier matin; son frère exsangue est dans un état grave. C'est ce que raconte à mon mari un de leurs cousins…

Les divergences entre ces versions des circonstances d’un même assassinat témoignent de l’extrême tension qui régnait alors à Alger et de l’intolérable pression exercée par les séides du pouvoir métropolitain d’alors désormais allié inconditionnel du FLN, tant dans le crime que dans la propagande et la manipulation de l’information. Ce même jour, ce 12 avril 1962, le général Edmond Jouhaud, arrêté à Oran peu avant, est condamné à mort. Le vendredi suivant, le 20 avril, le général Raoul Salan devait être lui aussi arrêté…


Faire-part édité et diffusé clandestinement par l’Association générale des étudiants d'Alger (AGEA) :


(Maquette réalisée par Josseline Revel-Mouroz et Hélène Mattéi - AGEA)
Instants de bonheur à l'AGEA…  Robert : le seul civil

Le 10 octobre 1984 Robert a quitté Terre-Cabade. Il repose désormais au nouveau cimetière de Cugnaux, dans la proche banlieue de Toulouse.


Le 5 juillet 2003, en présence de plus de 1500 personnes unies dans un profond recueillement, était inaugurée, au centre du cimetière du Haut-Vernet à Perpignan, une stèle en l'honneur de 104 des "fusillés et combattants  tombés pour que vive l'Algérie française". 


Inauguration de la stèle aux "Martyrs tombés pour l'Algérie française", fin de cérémonie : appel personnel de chacun des 104 Martyrs
"Aux fusillés, aux combattants tombés pour que vive l'Algérie française",
cimetière du Haut-Vernet, Perpignan


"Aux fusillés, aux combattants tombés pour que vive l'Algérie française"… 104 martyrs auprès des fusillés  Bastien Thiry, Degueldre, Dovecar, Piegts,
 cimetière du Haut-Vernet, Perpignan


Sur ce blog, une page spéciale est désormais dédiée à Robert Boissières [clic sur sur cette page, bouton à droite "Robert Boissières" ]. Une page qui appartient à tous ceux qui se souviennent de Robert, à tous ses amis… Qu'ils y déposent témoignages, photos, documents pour que de Robert vive le souvenir…

lundi 31 mars 2014

Ce 31 mars 2014, retirez vos jeunes enfants de l'école publique franc-maçonne corruptrice…


Nos enfants n'appartiennent pas à la raie-publique… Mais à la sage protection de leurs parents…



Civitas et Alain Escada appellent les familles à participer massivement à la prochaine journée de retrait de l'école publique, le 31 mars…

Le 31 mars 2014, retirez vos jeunes enfants des écoles publiques

Je lance un appel solennel aux familles de France.

Le gouvernement expérimente en ce moment dans des centaines de classes réparties dans dix grandes régions de France une idéologie du genre qui veut faire croire aux enfants, dès leur plus jeune âge, qu’ils sont en droit de choisir s’ils sont une fille ou un garçon et qu’ils peuvent varier d’avis autant de fois qu’il leur plaira.

Cette absurdité avance notamment sous le couvert d’un programme intitulé ABCD de l’égalité introduit dans les écoles par le ministre Najat Vallaud-Belkacem. Or ce programme, en réalité, n’est pas destiné à favoriser l’égalité entre filles et garçons mais à normaliser l’homosexualité, la bisexualité et la transsexualité parmi les enfants.

En CE1, il est notamment conseillé aux enseignants de faire lire en classe le livre « Papa porte une robe » en vue de permettre à l’enfant, je cite, de « construire sa personnalité ». Des dizaines d’autres livres, de films et de dessins animés servent de matériel pédagogique pour endoctriner les enfants dès l’âge de la maternelle afin de banaliser auprès d’eux l’inversion des normes.

Ces livres et ces films sont généralement écrits ou réalisés par des militants homosexuels. Des représentants d’associations LGBT prennent également la parole dans les écoles. C’est un conditionnement des esprits de nos enfants qui s’organise au profit d’une révolution sexuelle.

Familles de France, allez-vous laisser l’âme de vos enfants être souillée de la sorte ?

Face à un tel péril, quel parent n’aura pas la ferme volonté de protéger ses enfants ?

Parents, vous pouvez et vous devez réagir. Le 31 mars prochain, en signe de protestation, n’envoyez pas vos enfants à l’école publique !

Ce message s’adresse à tous, car nous connaissons tous de la famille, des amis, des collègues, des voisins, dont les enfants sont à l’école publique. Diffusez ce message et contribuez à la protection des enfants de France.


La JRE du mois de mars 2014 aura lieu le lundi 31 mars


Cette date vous est communiquée pour la première fois dix jours à l’avance. Vous allez donc tous être éprouvés. Le Ministère de l’Éducation Nationale va exercer sur vous de fortes pressions pour vous empêcher d’y participer.

Sachez que ces menaces ne sont que des pressions psychologiques sans fondement légal, et sans réalité.

Vous avez le droit légalement de garder vos enfants à la maison une journée par mois. Les parents sont seuls juges ! L’éducation de nos enfants nous appartient.

Courage et gardez à l’esprit que votre action doit sauver vos enfants d’une idéologie mortifère.

Je vous conseille de déposer la lettre aux chefs d’établissements le plus rapidement possible pour vous protéger de ces pressions. Voici le lien qui conduit à cette lettre. Lisez-la, signez-la et faites-la signer puis envoyez-la à chaque école de votre quartier.

http://www.jre2014.fr/2014/03/05/lettre-type-aux-chefs-detablissements/

Des comités de soutien locaux sont d’ores et déjà à votre disposition pour vous répondre le cas échéant :

http://www.jre2014.fr/comites/

Une ligne téléphonique JRE, sera mise en place prochainement sur le site : il s’agit d’une Ligne Verte JRE, ligne d’écoute pour les parents JRE.

Les trolls vont venir polluer cette annonce. Ne leur répondez pas. Ils sont payés pour passer leurs journées et leurs nuits à nous démolir. Vous ne devez pas les nourrir en leur répondant. L’essentiel est notre combat pour sauver les enfants.

Suivez notre actualité sur facebook ! Tous les jours jusqu’au 31 mars nous vous apporterons des informations décisives pour vous organiser. Demain samedi, nous serons à Cologne en Allemagne pour participer à une manifestation organisée par l’association « Les parents inquiets » qui se mobilise pour sauver leurs enfants du programme de sexualisation précoce à l’école. L’Italie, La Pologne, l’Angleterre nous rejoindront bientôt dans le combat… Supportons les pressions de l’Etat. Souffrons pour nos enfants avant que nos enfants souffrent à cause de nous.

Vaincre ou mourir.


Entretien avec Farida Belghoul - Contre l’idéologie du genre, une seule solution : le redressement de la France !



Genre, PMA : les engagements de François Hollande auprès d’Homosexualité et Socialisme


Alain Escada analyse le document "les réponses de F. Hollande aux 17 questions posées par Homosexualité et Socialisme" publié par HES en 2012. 


Plan d'action gouvernementale et lobby LGBT


Alain Escada analyse ici le document "Programme d'action gouvernementale…" publié par le cabinet du Premier Ministre. Cette vidéo pédagogique de Civitas destinée à mettre à disposition du public les documents qui démontrent les connivences entre le Gouvernement et le lobby homosexuel. Il est question ici d'un document officiel publié par le cabinet du Premier ministre. Inversion des normes et théorie du genre sont notamment au menu. À voir et à diffuser !



Théorie de genre : une institutrice commet délibérément un attentat à la pudeur à l'école maternelle de Joué-les-Tours



L'éducation nationale, un repère de pervers


La maitresse baisse le pantalon d’un petit garçon à présent traumatisé

Le X à l'école : le nouveau mal de notre société

C'était en… 1925 !

Vincent Badré : Élèves musulmans en écoles catholiques…

L'honneur du Chevalier Bayard vengé… le socialopard Cohen se prend une fessée…

Des facéties électorales pour pas grand chose… Le seul vrai problème est et demeure le système…  La gôche et les socialauds enfumeront, voudront croire, faire croire ou ignorer que leur boulet c’est Flanby… Malgré tout quelques satisfactions.  La grosse fessée de Cohen à Toulouse. Et surtout l’échec cuisant de Marine Le Pen et de sa garde rapprochée… Son mentor, franc-maçon Philippot, battu à Forbach… Son compagnon Alliot battu à Perpignan… Collard, l’avocat opportuniste battu à Saint-Gilles du Gard… Une telle concordance ne peut être le fait du hasard. Et l’on se prend alors à rêver : quel aurait dû être l’immense succès du Front National s’il ne s’était dénaturé en vendant son âme au système…
En débaptisant le pont dédié au Chevalier Bayard, Cohen, maire de Toulouse, a osé avec une clique de quillards communistes célébrer le 19 mars 1962, jour de la capitulation de l'Infâme criminel compulsif DeGaulle devant le FLN… Capitulation du 19 mars 1962 qui fera encore du sang versé pour la plus grande satisfaction haineuse de DeGaulle… Le sang de centaines de milliers de Français d'Algérie, soldats harkis et leurs familles pour la plupart, trahis par une France parjure… aussi celui de Fernandez, Gomez, Pérez et encore de Toledano, Bensoussan, Lévy… et Cohen… Oui, des Cohen ont également été assassinés en Algérie par le FLN après ce 19 mars 1962… Des Cohen, Français d'Algérie, portant le même patronyme que vous, infâme maire de Toulouse… 

Et voilà que le grand jour de la revanche arrive.  Les Toulousains ont mis un grand coup de pied au cul de ce maire indigne,  compagnon des socialauds squatteurs du pouvoir républicain… Une défaite, celle de cet infâme maire, qui sera alors célébrée dans la joie… Une défaite qui sera la victoire des Toulousains… Une victoire à laquelle les Français d'Algérie, très nombreux dans cette bonne ville de Toulouse, auront apporté toute leur contribution lors de cette campagne électorale. Et ont répondu massivement présents ce jour où a été déposé leur bulletin dans l'urne fatale à Cohen… 







Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"19 mars 1962" : Pierre Cohen maire socialiste de Toulouse s'obstine…

Toulouse : Le pont de l'Infâmie… 19 mars 1962,  un "maire" ose célébrer une capitulation !!!

Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Toulouse : le pont du Chevalier Bayard lavé des outrages infligés par le socialaud Cohen…

Sur le "Pont Bayard" Toulouse érige la statue de l'infamie dédiée à son maire Pierre Cohen…

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

Ce samedi, Pierre Cohen inaugure le pont du 19 mars 1962 : article édifiant par ses commentaires lucides à l'égard de Cohen  et ses commanditaires communistes de la FNACA, les Gavoury, Dandelott, Pouillot, des "bataillons de la quille du 19 mars"

Guillaume Zeller : Le 19 mars ne peut pas célébrer la « paix en Algérie »

Manuel Gomez : "Accords d’Évian : fin de la protection des Français en Algérie"…

mercredi 26 mars 2014

Mémoire du 26 mars 1962 : Rivarol s'entretient avec Jehan Morel, combattant d'Indochine…

Que le passé éclaire le présent et notre avenir…
  Jehan Morel : La guérilla, ultime recours des Européens ? (Rivarol n°3134 daté du 27 mars 2014)



Les guérillas sont aujourd'hui la seule manifestation de la guerre, en dehors de rares périodes, toujours courtes, de conflits ouverts entre États. Aucun continent, pas même l'Europe, n'y échappe.

La guérilla, c'est l'imagination au pouvoir, l'adaptation à tous les types de situations, à tous les types de terrains, à tous les types de populations, de cultures, de religions.

On pourrait croire que, de ce fait, il est difficile de théoriser sur ce sujet, sauf de façon ponctuelle. Et pourtant, de très nombreux points communs permettent de dessiner une sorte de typologie de la guérilla. C'est ce à quoi s'est attaqué l'auteur avec succès, combattant d'Indochine et du Congo ex-belge dans sa jeunesse.

Qu'on les nomme terroristes, résistants, insurgés ou rebelles, les guérilléros ont, en règle générale, les mêmes attitudes (révolte, conflit avec le pouvoir ou un pays occupant), les mêmes motivations (se libérer, faire sécession, prendre le pouvoir, imposer une idéologie), les mêmes besoins (argent, armes, personnel formé, appuis extérieurs matériels ou politiques) et souvent les mêmes méthodes (guérilla armée plus ou moins militarisée, clandestinité, attentats, élimination de représentants de l'autorité, encadrement des populations, contrôle des territoires, propagande).

Et surtout, ces guerres sont caractérisées par l'absence du respect des règles les plus communément admises par les armées régulières, voire la négation des sentiments d'humanité les plus élémentaires. D'où des réactions parfois atroces de la part de ces troupes, d'autant plus violentes qu'elles sont le fruit d'un sentiment d'insécurité permanente, d'insaisissabilité de l'adversaire autant que de son omniprésence, d'impuissance militaire face à ces non-soldats. Il arrive un moment où les techniques les plus sophistiquées ne peuvent plus rien contre l'implacable volonté de l'ennemi souvent fanatisé et son mépris de la vie humaine.

Le but de l'auteur, grâce à son expérience et à ses années de recherches sur le sujet, bien loin de vouloir élaborer un "véritable manuel de guerre civile" comme certains critiques ont pu le dire, est de proposer un arsenal de méthodes, une véritable "imprégnation" de l'esprit de guérilla, afin de mieux la combattre. Bien loin des techniques de l'armée américaine sur ses théâtres d'opérations actuels, il prône au contraire une compréhension de l'intérieur de ces mouvements, une rigueur équivalente à celle de ses combattants, des méthodes d'occupation du terrain, d'encadrement des civils, capables de rivaliser avec les leurs.

Ce livre est à la fois un ouvrage pratique d'une (hélas) terrible actualité et une véritable réflexion en profondeur sur les échecs et les réussites des armées régulières dans ce type de situations, aujourd'hui comme demain. Sans aucun à-priori et surtout sans langue de bois.



 


Rivarol n°3134 daté du 27 mars 2014 : un long entretien avec Jehan Morel sur deux pleines pages


Jeune Pied-Noir : 26 Mars 1962, Alger rue d'Isly (Jeune Pied-Noir reste un site de référence incontournable,  très régulièrement mis à jour des informations concernant toutes les manifestations)






Manuel Gomez : Alger, 26 mars 1962, rue d’Isly : un crime d’État !

Sur ordre de l'infâme criminel compulsif DeGaulle, Christian Fouchet a fait assassiner le 26 mars 1962 des Français innocents et désarmés. Il attendra le 28 octobre 1969, après avoir été limogé par son maître le 31 mai 1968, pour avouer avoir été, sur ordre de DeGaulle, l'organisateur du massacre de la rue d'Isly à Alger… DeGaulle, toujours assoiffé du sang des Français, se serait délecté si en mai 1968 Christian Fouchet avait une fois de plus fait tirer sur des Français, cette fois-là à Paris…  C'est ce que confirme Jean Mauriac à la page 41 de son ouvrage "L'Après De Gaulle ; Notes Confidentielles, 1969-1989" :
« J’en ai voulu au Général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique. Il m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre… » « Vous n’avez pas osé faire tirer », m’a-t-il dit. « J’aurais osé s’il l’avait fallu », lui-ai-je répondu. « Souvenez-vous de l’Algérie, de la rue d’Isly. Là, j’ai osé et je ne le regrette pas, parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise. » Lire l'article de Manuel Gomez


Simone Gautié : http://www.alger26mars1962.fr

26 mars 2014 à Saint-Hippolyte-du-Fort

26 mars 2014 à Trèbes

Bordeaux : commémoration du massacre du 26 mars 1962 à Alger et du génocide du 05 juillet 1962 à Oran

Souvenir du 26 mars 1962




mardi 25 mars 2014

Municipales : Marcel Berthomé réélu triomphalement maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle…




Marcel Berthomé, ancien combattant et maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle,
devant la stèle dédiée au général Salan, sur la place qui porte son nom

Ce 26 mars 2014 à 11 heures, notre Ami Marcel Berthomé, Maire de Saint-Seurin, réélu dès le premier tour, vous invite à une cérémonie qui aura lieu en sa ville de Saint-Seurin sur l'Isle, place du Général SALAN :

Aux Fusillés, aux Patriotes, aux Résistants,
aux Disparus, aux Harkis
tombés pour que la France vive en Algérie



Sud Ouest : Quand Saint-Seurin célèbre le chef de l’OAS

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD

Printemps Français : la lettre n°43 du 25 mars 2014

Newsletter du Printemps Français.
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Newsletter n°43 - 25 mars 2014
Printemps Français
L’article de la semaine
Le danger, c’est la technique. Voulez-vous une vision terrifiante et historique ? Tapez ici et découvrez les horreurs du capitalisme issu de la Révolution française. Voulez-vous une vision terrifiante et (à peine) prospective ? Tapez et découvrez les horreurs du totalitarisme technologique. Et d’ailleurs, pourquoi cette incantation politique incessante en faveur de l’innovation ?…







 
L'action de la semaine

« ...Résistance ! »

A Toulouse, un citoyen s'est vu interdire l'accès à son bureau de vote car il portait un sweat de La Manif pour Tous...
Démocratie bafouée, ne lâchons rien, jamais! ( Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire... )
 

Éditorial

Surveiller et punir.
Filipetti nous engage à surveiller les municipalités Front National, qui oseraient supprimer des livres, alors que l’État français veut nous en imposer certains et organise le boycott des autres (et Najat nous assure que les élus FN sont méchants) ; Olivier Py veut punir les Avignonnais qui auraient le culot de voter Front National, lui qui n’habite pas Avignon (et Ribes dit qu’il a bien raison) ; Laurent Bouvet considère que le PS est bien puni de sa sottise et de son aveuglément ; à Grenoble, les vigilants bienpensants veulent surveiller l’extrême-droite. Bref, le FN demeure un signe de division et d’incompréhension, les vrais enjeux politiques sont laissés de côté et une fois encore on aura détourné les modes d’expression populaire de leur véritable finalité. Le débat est au ras des pâquerettes et Hollande va jusqu’à expliquer que le résultat des élections est « injuste » ! Ce qui est un comble d’aveuglément, de déni, de mépris.
Ces élections municipales ne devraient pas être le signe public d’une validation ou d’une invalidation du PS, elles devraient permettre aux citoyens de choisir leurs élus locaux. Mais les partis qui se disputent le pouvoir ne savent pas penser autrement, et forcent ceux qui votent à être partie prenante d’une vaste comédie où les enjeux locaux sont systématiquement ignorés, y compris et surtout par ceux qui prétendent s’intéresser au peuple.
Quoi qu’en pensent les tenants de l’ordre social établi ou du nouvel ordre à (r)établir, la politique n’est pas l’art d’opposer les bons et les méchants, ni celui de créer des bons et des méchants, ni celui de surveiller et punir les méchants opposants, les futurs méchants opposants, les supposés méchants opposants, les supposés futurs méchants opposants (« Chez les Papous, il y a les Papous papas… »).
A l’arrivée, le Pouvoir surveille le Peuple, dont il se méfie, le Peuple punit le Pouvoir, qui l’a déçu. Ne serait-il pas temps de sortir du jeu des partis ?… Même Guaino finit par dire des choses intelligentes. Le sens du bien commun, le sens du peuple, le respect du peuple, est-ce si extraordinaire, en démocratie ? A entendre débattre Bouvet et Badiou, on mesure que rien n’est acquis. A lire Chevènement, on comprend que sans le cadre de la Nation, ce sera impossible.


On ne lâche rien!

Printemps Français
 
La question de la semaine

« Votre combat contre Google, d’accord, mais c’est gratuit. »

C’est une bonne question. Nous avons la réponse : cette gratuité est un leurre. La valeur de ce que vous fournissez gratuitement à Google (et Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest, LinkedIn,  WhatsApp…) est incomparable par rapport au relatif confort d’utiliser gratuitement ses outils. D’une part vous enrichissez Google et Google investit : il rachète Nest et ses objets connectés dans la maison, il vend du test ADN, il investit dans l’éducation, il est à la pointe du transhumanisme, il va pouvoir remplacer toutes les industries existantes. D’autre part Google voit tout, surveille tout, il est partout chez vous et dans la rue. Vous lui cédez votre vie sous prétexte de ne pas passer par un autre moteur de recherche, une autre messagerie, une autre plateforme vidéo, un autre cloud, etc. Vous lui cédez votre intelligence : son moteur vous entraine à penser comme lui (c’est-à-dire comme tout le monde) avec son système d’autocomplétion qui vous propose des choix sans attendre la fin de votre frappe. Bref, vous gagnez du temps, vous gagnez de l’argent, vous perdez votre âme.



Le conseil de la semaine

Testez le collaboratif solidaire.

On vous en parle souvent mais ça vaut le coup. Au menu, financer un site qui vous permettra de réparer vos vieux appareils sans les jeter (et la revue Socialter n’est pas mal), et ce site qui permettra à certains d’acheter moins cher et contribuer à moins de gâchis. Au fait, vous connaissez la campagne sur les fruits et légumes moches et pas chers ?
© 2014 Printemps Français.

lundi 24 mars 2014

"Quand les cons voleront, tu seras chef d'escadrille"… Flanby lui est président… Et il vole !


Président - même squatter - c'est quand même bien plus haut dans la hiérarchie que chef d'escadrille !

Arrivée de Flanby à Tulle pour mettre un bulletin socialaud dans l'urne… Et qui l'a dans le cul ?

Outre le désaveu enregistré dimanche par son parti, François Hollande essuie ce lundi de nombreuses critiques quant au mode de transport qu’il a utilisé pour aller voter à Tulle dimanche. Pour aller plus vite, le président a en effet choisi de se rendre dans son fief corrézien en Falcon. Ce rapide aller-retour au départ du Bourget aurait coûté 15 000 euros, rapporte Le Point. Et alors que le chef de l’Etat se targuait pendant sa campagne de vouloir être un "président normal" dont l’un des principes serait de favoriser les déplacements sur rails, son choix n’a pas manqué d’être vivement critiqué. "Hollande, qui se vantait de prendre le train va voter en Falcon. Il aurait dû se taire dans 1 cas et ne pas le faire dans l’autre" ou encore "Je me sens marginalisée depuis que les gens normaux vont voter en Falcon", pouvait-on en effet lire dès dimanche en fin d’après-midi.

Une facture de 30 000 euros en 2012

Et ce n’est pas la première fois que François Hollande se fait épingler pour un voyager en Falcon. En 2012, le soir de son élection face à Nicolas Sarkozy, les Français lui ont notamment reproché d’avoir utilisé deux Falcon pour rentrer plus vite de Tulle et savourer sa victoire à Paris. Le président et son équipe avaient en effet loué deux jets à la compagnie de Bruno Perdriel. La facture s’était alors élevée à 30 000 euros.

Vladimir Poutine célèbre le retour de la Crimée en Russie : « Nous sommes ensemble ! »




Vladimir Poutine s’est exprimé lors d’un rassemblement à Moscou derrière le slogan « Nous sommes ensemble ! », en soutien à l’adhésion de la République de Crimée à la Fédération de Russie.

PRÉSIDENT DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE VLADIMIR POUTINE :

Mes chers amis,

C’est un jour de grande joie et de bonheur pour nous !

Citoyens de Russie, habitants de Crimée et de Sébastopol !

Après un long périple, difficile et épuisant, la Crimée et Sébastopol sont de retour dans leur foyer, dans leur terre natale, dans leur port d’attache, la Russie !

Je tiens à remercier les habitants de Crimée et de Sébastopol pour leur prise de position cohérente et décisive et pour leur volonté clairement exprimée d’être avec la Russie. Nous avons tous ressenti de l’émotion pour eux, et la Russie leur a donné sa chaleur, s’est tournée vers eux et leur a ouvert son cœur.

Nous sommes extrêmement préoccupés par les événements qui se déroulent en Ukraine, mais je crois que l’Ukraine surmontera toutes ces difficultés. Nous ne sommes pas de simples voisins, nous sommes une famille, et notre réussite future dépend de nos deux pays, à la fois de la Russie et de l’Ukraine.

Je voudrais encore une fois remercier les habitants de Crimée et de Sébastopol pour leur courage et leur persévérance, pour être restés fidèles à la mémoire de leurs ancêtres héroïques et pour avoir maintenu leur amour pour notre mère patrie, la Russie, à travers les décennies.

Ensemble, nous avons accompli de grandes choses, mais il reste encore beaucoup à faire, plus de tâches à mener à bien. Cependant, je suis certain que nous allons surmonter tous ces problèmes, et nous le ferons parce que nous sommes ensemble.

Vive la Russie !

Le rassemblement s’est conclu par l’hymne national de la Fédération de Russie :

Russie ô notre patrie sacrée,
Russie ô notre pays bien-aimé.
Une volonté puissante, une gloire immense
Seront ton héritage à jamais !
Rossiya – svyashchennaya nasha derzhava,
Rossiya – lyubimaya nasha strana.
Moguchaya volya, velikaya slava –
Tvoio dostoyanye na vse vremena!
[Refrain]

Sois glorieuse, ô notre libre Patrie,
Alliance éternelle de peuples frères !
Sagesse ancestrale de notre peuple !
Sois glorieux, ô notre pays ! Nous sommes fiers de toi !
Slav'sya, Otechestvo nashe svobodnoye,
Bratskih narodov soyuz vekovoi,
Predkami dannaya mudrost' narodnaya!
Slav'sya, strana! My gordimsya toboi!