Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 18 novembre 2013

La Voix de la Russie : Pour faire diversion en Flanbiland… Les ficelles usées de l’antiracisme…



Au sommaire de cette édition du 18 novembre 2013 :

Hollandie : La lutte contre le racisme est le plus important, si vous le contestez, vous l'êtes
France 2 n'a plus aucune déontologie : sa russophobie assumée est une véritable profession de foi
Rencontre avec Laurent Ozon, intellectuel écologiste, animateur et président fondateur de "Maison commune"
Parole d'Élu a rencontré Evgeny Fedorov, du Mouvement Rossiya et député à la Douma pour une heure de franc-parler
Ukraine : une curieuse hésitation entre la ruine au sein de l'UE et la prospérité à l'Est
Marco Spada et Pierre Lacotte ouvrent la saison des grandes découvertes au Bolchoï de Moscou
Le Centre Russe pour la Science et la Culture de Paris accueille l'exposition "Les Cosaques à Paris en 1814", en prélude aux commémorations prévues l'an prochain 

dimanche 17 novembre 2013

Loy Krathong : émerveillement d'une nuit de pleine lune…




Le Loy Krathong, dont l’origine remonte à l’ancien royaume de Sukhotaï au XIIIème siècle, est célébré par les  Thaïlandais la nuit de la pleine lune du douzième mois… Il s’agit de « remercier la déesse de l’eau Phra Mae Khongkra qui offre le précieux liquide aux hommes pour leur survie, et aussi de demander pardon de toutes les souillures faites à la rivière ».

Dans le même temps à Phnom Penh au confluent du Tonle Sap et du Mékong lors de la pleine lune douzième mois est célébrée la Fête des eaux…

Dans la nuit de ce dimanche 17 novembre donc, nuit de la pleine lune du douzième mois en cette année 2556, des millions de Thaïlandais se rendront près d’une étendue d’eau, lac, fleuve, rivière, bassin… et revivront le rite du loy krathong.

"Loy" signifie "faire flotter" ou "laisser dériver".  Le "krathong" est une petite corbeille dont la composition varie d’une contrée à l’autre. Le plus souvent le krathong est fait d’un bout de tronc et de feuilles de bananiers, décoré d'orchidées et autres fleurs, planté de trois bâtons d’encens et d'une bougie…  Il peut parfois être fait à partir d’écorce de noix de coco. Dans le passé, il était coutumier de déposer des piécettes ou un morceau de noix de bétel sur la corbeille flottante. Aujourd'hui, seules des pièces de monnaies sont déposées sur les krathongs… au grand bonheur des enfants postés un peu plus loin dans l'eau pour les récupérer. À Bangkok, sur les rives du Chao Phraya des milliers de poissons sont libérés et rendus à la rivière…

Le rite de base consiste à poser un krathong sur l'eau et le laisser s'éloigner… Pour tous, c'est un rite de purification des choses négatives accumulées l’année écoulée. C'est aussi un instant d'un grand romantisme… Les jeunes couples laissent partir, unis, un même krathong faisant pieusement vœu d’amour éternel. Si le krathong reste illuminé après la mise à l’eau les amoureux sont assurés que tous leurs souhaits seront exhaussés.

C'est à Chiang Mai que la fête est la plus merveilleuse, des milliers de lanternes en papier (yi peng), gonflées à l'air chaud selon le principe de la montgolfière, s’envolent dans les cieux par une magnifique nuit de pleine lune…



Programme 2013 de Loi Krathong


samedi 16 novembre 2013

Un modèle de démocratie en Birmanie : Peuple et autorités morales affirment leur identité…


Yangon, 13 novembre 2013 - « Dehors les musulmans ! » : c’est par ce salut unanime contre une ingérence extérieure que des centaines de bouddhistes à Yangon, Mandalay, Sittwe… ont accueilli, ce 13 novembre en Birmanie, une délégation de l’Organisation de la conférence islamique (OIC) prétendant interférer dans les affaires intérieures de la Nation birmane…  La délégation de l’OCI, menée par son secrétaire général le turc Ekmeleddin Ihsanoglu, comprend des ministres et représentants d’Indonésie, de Malaisie et du Bangladesh, tous trois voisins de la Birmanie, mais aussi de Turquie, d’Arabie Saoudite, d’Égypte et de Djibouti.













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Un bateau de Rohingya vogue vers d'autres cieux : "Adieu la Birmanie"…


OIC Delegation Met By Angry Protesters in Sittwe
Bago : le bouddhisme, force spirituelle… force démocratique…

vendredi 15 novembre 2013

Bago : le bouddhisme, force spirituelle… force démocratique…


Tout jeune Birman consacre un temps de sa vie à son peuple et à la spiritualité fondatrice de sa Nation… Une réalité bien éloignée de cette image émasculée que les baba-cools occidentaux voudraient propager du bouddhisme… À quand le jour où le catholicisme fondateur de nos Nations occidentales aura retrouvé sa vigueur et  sa persuasion d'antan ?

Que de lourdes responsabilités ! La solitude du père abbé…


Monastère (Kyaung) Kha Khat Wain… Moines du peuple… moines soldats… garants de la volonté du peuple : la démocratie vraie !

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Et pendant ce temps en Europe ?

"Il est plus facile d'arracher une herbe qu'une souche"


René Marchand, essayiste, spécialiste de l'islam : « L'Europe risque de disparaître » (Lyon, 25/10/2013)




mardi 12 novembre 2013

Hery Martial Rajaonarimampianina officiellement candidat de la Révolution à Madagascar…


Andry Rajoelina : "Mon candidat sera le nouveau président de Madagascar"


Dans un entretien publié en France par le journal Le Monde - aux questions toujours aussi insidieuses ! - et sur Internet sur le site "Andry Rajoelina en action", le président Andry Rajoelina affirme clairement son soutien à Hery Martial Rajaonarimampianina… 39 ans, brillant communicant, diplômé d'HEC Jouy-en-Josas, un temps disc-jockey puis maire de Tananarive, Andry Rajoelina, président actuel de Madagascar a reçu en 2009 le pouvoir du peuple qui avec le soutien de l'armée a chassé un président affairiste, corrompu, mafieux, religieux sectaire sinon fanatique, Marc Ravalomanana… Toujours fugitif, réfugié semble-t-il en Afrique du Sud, Ravalomanana a tenté de présenter sa femme à cette élection présidentielle ouverte démocratiquement par Andry Rajoelina… Cette candidature ayant été rejetée par la Commission électorale spéciale, Ravalomanana s'est offert un sous-marin pour un éventuel retour sur la Grande Île : Jean-Louis Robinson [sic !]… Et voilà qu'un second tour de l'élection présidentielle opposera, le 20 décembre, ce candidat Robinson (21 % des voix au premier tour) au garant de la Révolution : Hery Rajaonarimampianina (16 % au premier tour, mais 55 % pour l'ensemble des candidats de la Révolution)…

"Hery" signifie tout simplement "La Force" en malgache…

Interrogé par le journal Le Monde, le 9 novembre 2013, le Président de la Transition, Andry Rajoelina a été clair, concernant sa manière de supporter le candidat Hery Rajaonarimampianina. Soutenir Hery Vaovao n’est pas se substituer à lui. Comme l’a fait Marc Ravalomanana durant toute la campagne du premier tour, à la TVM (télévision nationale) sous forme de spot, et dans les meetings, en direct via téléphone portable. Extraits de l’entretien.

Le Monde : Robinson Jean Louis (21,10 % des voix au premier tour) et Hery Rajaonarimampianina (15,93 %) s'affronteront le 20 décembre. Contrairement au premier tour, allez-vous soutenir officiellement un candidat ?

Andry Rajoelina : Je ne pouvais pas soutenir officiellement un candidat au premier tour car ma mouvance avait plusieurs candidats. Je voulais qu'il y ait une égalité de chance. Mais dans la coulisse, j'ai soutenu Hery Rajaonarimampianina. J'ai donné des consignes. Mes ministres l'ont soutenu. Pour le second tour, c'est désormais clair : Hery Rajaonarimampianina est le candidat de la mouvance Rajoelina, le candidat de la révolution.

Le Monde : Peut-il gagner ?

Andry Rajoelina : On connaît désormais les forces des uns et des autres, et je suis assez fier et satisfait car la révolution, à Madagascar, s'est traduite dans les urnes. L'ancien président Marc Ravalomanana a fait campagne pour Robinson Jean Louis, et celui-ci a obtenu 21%.
De notre côté, nous avions dix candidats. Si on fait le calcul, nous arrivons à près de 55%. Le candidat que je soutiens sera le nouveau président de Madagascar.

Le Monde : Allez-vous faire campagne aux côtés de votre candidat ?

Andry Rajoelina : Je ne peux pas encore dévoiler notre stratégie, mais nous allons respecter la loi. Le code électoral malgache autorise l'utilisation de ma photo pendant la campagne. Je peux aussi assister à des meetings, mais je n'ai pas le droit d'y parler.

Le Monde : La feuille de route de sortie de crise n'exige-t-elle pas que le président malgache reste neutre pendant le processus électoral ?

Andry Rajoelina : Je ne comprends pas pourquoi la communauté internationale n'a pas interdit à l'ancien président Ravalomanana de parler en direct pendant les meetings de Robinson Jean Louis depuis l’Afrique du Sud.

Le Monde : Cinq ans après, vous retrouvez Marc Ravalomanana sur votre chemin. N'est-ce pas cinq années de transition pour rien ?

Andry Rajoelina : Nous allons savoir qui le peuple veut voir à la tête de ce pays et qui a eu raison. Effectivement, nous revenons à la case départ. Il fallait faire des élections depuis longtemps. J'avais proposé d'en organiser en décembre 2009.
Nous aurions ainsi réglé cela depuis longtemps, mais la communauté internationale nous a imposé de nombreuses exigences pour la tenue du scrutin.

Le Monde : Quelle est votre principale réussite à la tête du pays ?

Andry Rajoelina : Je suis fier que Madagascar n'ait pas basculé dans la guerre civile. Tous les signaux étaient au rouge, mais j'ai déployé les efforts nécessaires pour éviter le pire.

Le Monde : La situation économique et sociale ne s'est-elle pas considérablement dégradée depuis votre arrivée au pouvoir ?

Andry Rajoelina : Nous avons fait beaucoup d'efforts pour permettre au pays d’avancer, comme, par exemple, bâtir des hôpitaux aux normes internationales dans les neuf grandes villes de Madagascar.
Mais beaucoup reste à faire. Notre grand défi a été de nous en sortir malgré les sanctions imposées pendant cinq ans. Ce sont les personnes les plus vulnérables qui ont été les plus touchées.

Le Monde : Sous votre présidence, les trafics, comme celui du bois de rose, n'ont-ils pas prospéré ?

Andry Rajoelina : Ces trafics existaient déjà du temps de l'ancien gouvernement. Nous avons tout fait pour éradiquer les exportations illicites de bois de rose, de pierres précieuses, de tortues, etc. En 2011, j'ai signé une ordonnance interdisant l'exploitation de bois précieux. Les forces de l'ordre font de leur mieux, mais des responsables locaux et des cadres du ministère de l'environnement s'arrangent pour exporter illicitement le bois.

Le Monde : On vous accuse, ainsi que votre entourage, de vous être enrichi personnellement pendant votre présidence. Est-ce le cas ?

Andry Rajoelina : Je suis un patriote. Je ne me suis pas enrichi pendant cette transition. Ni de près ni de loin. Ni directement ni indirectement.
J'ai d'ailleurs renoncé à mon salaire de président. Je vis grâce à mes sociétés et mes biens immobiliers.

Le Monde : Quel est le montant de votre fortune personnelle ?

Andry Rajoelina : C'est personnel. Ce que je peux vous dire, c'est qu'on ne peut pas m’acheter et que je ne suis pas un homme qui court après l'argent.

Le Monde : Si votre candidat l'emporte, serez-vous son premier ministre ?

Andry Rajoelina : Cela dépendra de la situation politique. Si le nouveau président peut sereinement gérer le pays avec un autre premier ministre, je les laisserai faire. Mais si le pouvoir est mis en danger par une tentative de renversement par exemple, je serai toujours là aux côtés du peuple malgache.

Le Monde : Quel rôle comptez-vous jouer après l'élection ?

Andry Rajoelina : Je laisserai celui qui sera élu diriger librement le pays. Je serai comme un sage, je prendrai du recul.
Je veux préparer l’avenir de Madagascar. Je travaillerai avec des experts internationaux et nationaux pour établir un programme de développement du pays à cinq, dix, quinze et vingt ans.

Le Monde : Est-ce pour mieux revenir lors de l'élection présidentielle de 2018 ?

Andry Rajoelina : Oui, c'est ce que j'ai en tête. Je veux revenir en force, tôt ou tard, pour le peuple malgache.

Le Monde : Et si votre candidat est battu ? Partirez-vous en exil ?

Andry Rajoelina : Lors de la crise de 2009, quand Marc Ravalomanana voulait m’arrêter, la chargée d'affaires française, après avoir eu la gentillesse de m’accueillir à l'ambassade, m'avait proposé de m’exiler en France. Mais un patriote ne se sauve jamais. Je suis prêt à une passation de pouvoir démocratique, mais de toute façon, ça sera avec notre candidat car il va gagner l'élection. C'est clair et net.



Didier Ratsiraka, 77 ans : Elle court elle court la maladie d'amour…




Elle court elle court
La maladie d'amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans…



Photos : Andry Rajoelina a assisté aux 77 ans de Didier Ratsiraka


lundi 11 novembre 2013

11-Novembre… Flanby est de sortie… sortons-le ! Libérons la France de cette clique !





Le 11-Novembre, honorons nos anciens en nous engageant pour la France

Les Bonnets Rouges, c’est le peuple qui prend à son compte la revendication citoyenne et fait reculer le gouvernement et sa bêtise. Revendication citoyenne partie d’une Bretagne qui ne se laisse pas faire… Les Bretons courageux montrent un exemple qui partout ne peut qu'être suivi. Partout sur les réseaux sociaux fleurissent les pages "Bonnets Rouges", des comptes twitter "Bonnets Rouges" dans chaque département…

"Bonnets rouges", n’est pas une mode, c’est un mouvement

Un patriote raconte, enthousiaste : "Je rentre de Quimper, où j’ai pu afficher bien haut la banderole géante HOLLANDE-DÉMISSION. Aidé d’un camarade, nous attendions pas moins de trois équipes de jeunes pour l’Action. Arrivés avec quatre heures d’avance nous avions reconnu le terrain. Les groupes devaient arriver en avance aussi, mais les CRS avaient mis en place des filtrages qui ralentissaient tellement le trafic que d’immenses bouchons se sont formés. Une demie heure avant de passer à l’action, nous n’étions encore qu’une poignée. Mais nous n’étions pas sans ressources : nous étions munis d’un petit stock de badges hollande-démission, que nous avons offerts. Quel accueil enthousiaste de la part de ceux qui les reçoivent ! L’équipe pour soutenir la banderole s’est donc reconstituée, spontanément. Hollande démission ? Besoin de soutiens ? Il suffisait de demander… Et aujourd’hui nous vous demandons : Faites passer le mot !"

Ce mouvement de Fronde Fiscale est une chance pour la France, le climat est à la contestation. Les Français reprennent courage. Bonnets rouges, badges Hollande-Démission, Banderole aérienne, et cette foule qui scande « Hollande Démission » à Quimper : il y a une continuité. Le mouvement se prolonge, une victoire en appelle une autre, tant que le combat n’est pas gagné. Et la France, aujourd’hui, a besoin de nous. L’heure est au rassemblement, pour sauver la France de ces impôts et gaspillages qui étranglent son énergie, sa vie. C’est parce que le 11-Novembre appartient à notre HISTOIRE, qu’en FAISANT L’HISTOIRE ce même 11-Novembre, nous faisons honneur à nos aînés.

Ne laissons pas le président catastrophe chercher à redorer son image par l’exercice régalien du pouvoir. Hollande est-il digne de déposer en notre nom une gerbe sur la tombe du Soldat, qui, lui, était courageux ? Lui, le Flanby PS, le menteur, le ridicule, l’ambitieux parvenu qui ruine la France ? Non. Il est INDIGNE. Les Français du siècle passé se sont donnés sans compter, ils méritent une chose : que nous fassions mémoire non par les paroles creuses d’un président sans honneur, mais en faisant mémoire par nos actes, le salut d’une génération qui reprend le courage de ses aïeux. Donnons au 11-Novembre à nouveau toutes ses lettres de noblesse : nos aînés sont tombés pour la Patrie, levons nous pour notre France.

C’est pourquoi, nous nous donnons tous rendez-vous sur les Champs-Élysées le 11-Novembre à 11h11, côté place de l’Étoile. Nos bonnets rouges symboliseront notre courage, qui est la meilleure façon d’honorer nos aïeux.

La Mobilisation commence maintenant : faites passer le mot… En avant, sauvons la Patrie en danger…


Hollande-Demission.fr : Le 11 novembre, honorons nos anciens en nous levant pour la FRANCE

L'Armistice Fiscal le 11 Novembre - Victoire de la Fronde Fiscale


dimanche 10 novembre 2013

Plus d'un million de Français exilés d'Afrique du Nord… Leur souvenir s'inscrit en Métropole !


Ce 9 novembre 2013, cérémonie du souvenir à Quint Fonsegrives autour de la stèle dédiée aux Combattants d'Afrique du Nord

La trahison de DeGaulle et son pouvoir criminel, relayant la volonté d’abandon déjà affirmée par Gaston Deferre et les socialistes, ont conduit plus d’un million, certainement bien plus, de Français d'Afrique du Nord, Européens et Musulmans, à l’exil en Métropole… Sans oublier ceux venus d’Indochine, d’Afrique noire et de Madagascar… Aujourd’hui ceux-là et leurs enfants et petits-enfants représentent une population de plusieurs millions de Français… Des Français qui se souviennent des spoliations et du sang versé… Sang versé pour défendre la Patrie, notamment lors des deux Grandes Guerre, mais aussi sang versé lorsque le pouvoir central les a abandonnés… et pire, combattus…

Ceux-là aujourd’hui se souviennent… Venant d'initiatives les plus diverses, à présent partout en France métropolitaine s’érigent des stèles à la mémoire de ceux d’Afrique du Nord venus défendre sur son sol la mère patrie envahie… à la mémoire de ceux qui sont tombés face au pouvoir central pour défendre la France sur leur terre natale d’où l’on voulait les arracher…

Autour de l'une de ce stèles, une émouvante cérémonie du souvenir, ce samedi 9 novembre au cimetière de Quint Fonsegrives, près de Toulouse… Une gerbe a été déposée par trois personnes représentant chacun des territoires d'Afrique du Nord, Maroc, Algérie, Tunisie. Un hommage particulier a été rendu à tous nos frères d'armes, ces Harkis lâchement abandonnés, ainsi qu'à tous ceux et celles qui sont morts pour l'Algérie française, sans oublier les soldats métropolitains du contingent, ceux qui ont vaillamment combattu sourds aux appels à la trahison et à la quille des traitres gaullistes ou communistes…