Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 24 mars 2014

"Quand les cons voleront, tu seras chef d'escadrille"… Flanby lui est président… Et il vole !


Président - même squatter - c'est quand même bien plus haut dans la hiérarchie que chef d'escadrille !

Arrivée de Flanby à Tulle pour mettre un bulletin socialaud dans l'urne… Et qui l'a dans le cul ?

Outre le désaveu enregistré dimanche par son parti, François Hollande essuie ce lundi de nombreuses critiques quant au mode de transport qu’il a utilisé pour aller voter à Tulle dimanche. Pour aller plus vite, le président a en effet choisi de se rendre dans son fief corrézien en Falcon. Ce rapide aller-retour au départ du Bourget aurait coûté 15 000 euros, rapporte Le Point. Et alors que le chef de l’Etat se targuait pendant sa campagne de vouloir être un "président normal" dont l’un des principes serait de favoriser les déplacements sur rails, son choix n’a pas manqué d’être vivement critiqué. "Hollande, qui se vantait de prendre le train va voter en Falcon. Il aurait dû se taire dans 1 cas et ne pas le faire dans l’autre" ou encore "Je me sens marginalisée depuis que les gens normaux vont voter en Falcon", pouvait-on en effet lire dès dimanche en fin d’après-midi.

Une facture de 30 000 euros en 2012

Et ce n’est pas la première fois que François Hollande se fait épingler pour un voyager en Falcon. En 2012, le soir de son élection face à Nicolas Sarkozy, les Français lui ont notamment reproché d’avoir utilisé deux Falcon pour rentrer plus vite de Tulle et savourer sa victoire à Paris. Le président et son équipe avaient en effet loué deux jets à la compagnie de Bruno Perdriel. La facture s’était alors élevée à 30 000 euros.

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