Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 28 juin 2013

Moi-je-Pipo-Flanby… par malheur, la France arrivra-t-elle jusqu'au 8ème jour piétinée par cet enfoiré ?


Le Printemps Français s'invite chaque jour sur le Tour de France… Mais une date à retenir particulièrement :  le 7 juillet !


Moi-je… pipo… pipo… pipo…

Flanby dans ces œuvres… jusqu'au 8ème jour ?


Devant l'Assemblée nationale, Dominique Dord, député de la Savoie, revisite la Genèse pour résumer la "politique" menée par Flanby depuis un an…
Le premier jour, il est allé voir madame Merkel. Il lui a dit : "Madame Merkozy, je veux renégocier votre traité". Elle lui a dit : "Nein !". Alors, il a dit : "Au diable les Allemands, ces conservateurs égoïstes !". Et vous avez ratifié le traité.

Le deuxième jour, il a voulu casser tout ce qu'avait fait Nicolas Sarkozy. Finies, les heures supplémentaires pour huit millions d'ouvriers et d'employés ! Il a dit : "Au diable, le pouvoir d'achat des classes moyennes !"

Le troisième jour, il a levé 30 milliards d'impôts. Tous les riches ont quitté le pays et il a dit : "Au diable les riches ! Qu'ils aillent dépenser leur argent en Angleterre !"

Le quatrième jour, il s'est fait plaisir. Il a levé sept milliards de dépenses, en créant, par exemple, 60 000 postes dans l'éducation. Il a dit : "Je refuse de céder au diktat des 3% ! Nous serons à 3,6% !". On apprend aujourd'hui qu'il est à 3,9%. Il a dit : "Vive les déficits et vive les marchés financiers !"

Le cinquième jour, il a récompensé madame Royal : il a fait d'elle une banquière, parce qu'elle le vaut bien ! Et il a dit : "Au diable la République irréprochable !"

Le sixième jour, il a envoyé la police contre les familles qui tentaient de s'accrocher au peu de repères qu'elles avaient encore. Et il a dit : "Au diable les familles, les religions, les conservateurs et les rétrogrades ! Vive le progrès ! Vive les LGBT !"

Enfin, le dernier jour, comme le veut la tradition, il s'est reposé. Il est monté sur le Mont Corrèze avec Valérie pour contempler son œuvre, et là, il a vu une France en ruine, des Français sans un sou, sans espérance, sans avenir, sans fraternité. Et il a eu cette phrase historique, il a dit : "Je sais que je tiens le bon cap". Alors, il est revenu à Paris en train, comme il l'avait promis !

Et, le Huitième Jour… malheur !!!


Flanby… le 8ème jour… malheur !


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