Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 10 novembre 2012

Coucou… les allocations familiales : mouth sweet mouth…


Philippe Pétain

Les allocations familiales, déjà en vigueur depuis plusieurs années, ont été obligatoirement généralisées par la loi du 15 février 1941 qui en détermine ainsi le taux en pourcentage du salaire moyen mensuel : 2 enfants : 10 %  ; 3 enfants : 30 % ; 4 enfants : 6o % ; puis une augmentation de 30 % par enfant au delà du quatrième.


Konrad Lorenz a longtemps étudié les cichlidés… Quiconque aura organisé, fait vivre, observé un aquarium de cichildés, notamment ceux des grands lacs africains, Tanganyika ou Malawi, aura bien plus appris qu'à la lecure de bibliothèques entières d'ouvrages traitant de sociologie… et d'appropriation de tout territoire, domestique ou hors-les-murs…

Le cas des allocations familiales est particulièrement édifiant. Voilà une mesure généralisée dans les meilleures intentions par le maréchal Philippe Pétain pour protéger la famille française et assurer la pérennité des forces vitales de la Nation… Une mesure parfaitement justifiée en son temps… Et advint que les prétendus dirigeants qui depuis des décennies se sont emparé des commandes de la France et dont l'incompétence n'a d'égales que la cupidité et l'arrogance moralisatrice non seulement ont tenté de s'approprier la paternité de cette mesure mais n'ont toujours pas compris qu'une décision excellente en un temps peut s'avérer désastreuse plus tard… Des dirigeants aussi imbéciles que criminels dans leur démagogie démocratique de monopolisation du pouvoir, incapables de toute réforme salutaire… Et voilà que ces allocations familiales jadis si bienvenues se révèlent depuis longtemps être l'instrument majeur et déterminant de substitution d'une population par une autre… D'une population indigène par une population opportuniste venue d'ailleurs profitant de l'aubaine…

Synodontis multipunctatus, le coucou du Tanganyika


Mouth sweet mouth ! Une histoire édifiante que celle de cette maman Cichlidé soucieuse de couver et protéger ses petits en les aspirant dans sa bouche jusqu'à ce que le danger soit passé…  Sauf, qu'elle n'a pas compris qu'un malin coucou, un poisson-chat, s'est immiscé dans cette belle mécanique de dévouement maternel  pour jouer un bien sale tour à maman Cichlidé… À méditer…

[Notons que cette fable d'une extrême lucidité a été publiée par Berberia666… Parmi ses excellentes vidéos mises en ligne : "La prophétie du bachagha Boualam, le seigneur de l'Ouarsenis et chef des harka".]

Synodontis multipunctatus




Début octobre 2012, une équipe de la première chaîne publique russe Rossiya 1 est venue en reportage en France. Comme lieux représentatifs, elle a choisi Barbès (Paris) et Saint-Ouen. Elle y a vu beaucoup de vendeurs à la sauvette, de mendiants Roms, de musulmans adeptes des prières de rue et de trafiquants de drogue. Ce pays, s'est-elle dit, est envahi par les étrangers, ces coucous tous nourris, eux et leur progéniture, par les allocations familiales généreusement distribuées par les indigènes français…


… Saint Gangulphe, patron des cocus, est fêté le 11 mai !

http://home.scarlet.be/amdg/oldies/sankt/gangulphe.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Gangulphe

http://fr.wikipedia.org/wiki/Coucou

Renaud Camus : Discours d'Orange, 4 novembre 2012

Renaud Camus : La France est en guerre et personne ne veut le dire

Réédition du “Grand Remplacement” de Renaud Camus, augmentée du discours d’Orange

Une étude montrant le pourcentage de naissances en France concernées par le risque de drépanocytose en 2010 indique l’ampleur du remplacement de population à l’œuvre en France

Télécharger cet article publié le 03/07/2012 : Institut de veille sanitaire - La drépanocytose en France : des données épidémiologiques pour améliorer la prise en charge

En 1904, James Herrick, médecin à Chicago, fait la première description médicale de la drépanocytose : il examine un étudiant noir âgé de 20 ans, hospitalisé pour toux et fièvre. Le sujet est faible, a des vertiges et souffre de maux de tête. Depuis un an, il ressent des palpitations et un essoufflement comme certains membres de sa famille. L’examen du sang montre que le malade est très anémique, le nombre de ses hématies n’atteignant que la moitié de la valeur normale. L’observation d’un frottis sanguin montre des hématies inhabituelles en forme de faucille ou feuille d'acanthe.

En 1949, James Neel démontre que la transmission de cette maladie est mendélienne. La même année Linus Pauling montre qu'elle est due à une structure anormale de l'hémoglobine, caractérisée par une moindre solubilité. C'est ainsi la première fois qu'on découvre l'origine moléculaire d'une maladie génétique.

En 1956, le Britannique Vernon Ingram montre qu'elle est due à un remplacement d'un acide aminé dans l'hémoglobine anormale. Cela a démontré pour la première fois que les gènes déterminaient la nature de chaque acide aminé dans une protéine.

En 1978, Tom Maniatis isole le gène de la bêta globine.

En 1980, Yuet Wai Kan met au point un test génétique prénatal de la drépanocytose.

1 commentaire:

  1. Saint Gangulphe, patron des cocus… La Saint Gangulphe, le 11 mai, ne serait-ce pas dès lors l'authentique fête nationale des Français ?

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