Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 24 novembre 2011

La France, valet affiché de l'axe américano-sioniste… le pourquoi des guerres anti-Arabes, de la Libye à la Syrie…

Celui que Le Figaro dans son insipidité coutumière continue à qualifier de "philosophe", le bouffon marchand de soupe scriptorrhéique activiste sioniste Bazar-Henri Lévy a déclaré lors de la première Convention nationale organisée par le Conseil représentatif des organisations juives de France (Crif), ce 20 novembre que "c'est en tant que juif" qu'il avait "participé à l'aventure politique en Libye""J'ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël", a-t-il déclaré.


Le Crif tenait à Paris sa première convention nationale, intitulée "Demain les Juifs de France", où apparaissaient sous différents masques de nombreux "intellectuels", "politologues", "sociologues", "chercheurs". Près de 900 personnes ont ainsi assisté à des débats, "très ouverts, souvent animés, sur les défis communautaires, les nouveaux visages de l'antisémitisme, ou les nouveaux défis pour les juifs de France".

Bazar-Henri Lévy, invité à s'exprimer sur ce thème a déclaré: "C'est en tant que juif que j'ai participé à cette aventure politique, que j'ai contribué à définir des fronts militants, que j'ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques". "Je ne l'aurais pas fait si je n'avais pas été juif", a poursuivi le philosophe. "Ce que je vous dis là, je l'ai dit à Tripoli, à Benghazi, devant des foules arabes, je l'ai dit lors d'une allocution prononcée le 13 avril dernier sur la grand place de Benghazi devant 30.000 jeunes combattants représentatifs de toutes les tribus de Libye", a-t-il ajouté.

Ces propos émanant d’un “diplomate français” autoproclamé  (avec l’aval du président de la République Nicolas Sarkozy) confirment que la France, en donnant mandat à ce type de personnage, a décidément abandonné toute volonté politique pro-arabe au moyen et au proche Orient, préférant devenir le valet affiché d’un axe américano-sioniste.

Les récentes éructations du pitoyable benêt Alain Juppé, ouvertement cocufié par le bouffon marchand de soupe scriptorrhéique activiste sioniste, envers l’Iran semblent confirmer cette soumission qui pèsera lourd dans la vision qu'ont de la France les pays arabes… une France pourtant jusqu’à une époque récente considérée comme un partenaire privilégié.

Comment un président de la République française peut-il accepter qu’un agent de l’étranger évince son ministre des Affaires étrangères ? Comment un agent de l’étranger peut-il déterminer la politique étrangère de la France ? Comment un président de la République française peut-il maintenir en fonction, même fictive,  un tel ministre ?  C’est tout ce à quoi Nicolas Sarkozy s’est soumis…


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